MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Présenté par : Mohamed Cherif MADAGH Professeur en management & Communication Samir BENHALIMA, MBA, PGS Management Au profit des étudiants de Master Marketing (INSIM & PGSM) page 1 Organisation: Structures, processus et systèmes sociaux page 2 LE TRAVAIL DES DIRIGEANTS M. traditionnel Rôle dirigeant: Autorité Environnement stable M. transitionnel Rôle dirigeant: Leadership M. Renouvelé Rôle dirigeant: Coach Environnement instable page 3 ODC) L’organisation (P DEFINITION DE L’ORGANISATION 4 Le terme organisation vient d’organiser, d’organe, du grec organon (=moyens). Organiser, c’est donc constituer des organes, c’est-à-dire différencier ou spécialiser les éléments, établir des relations entre eux et par rapport à l’environnement. Le terme organisation est pris en français dans trois sens : 4 L’acte d’organiser, 4 Le résultat de cet acte, c’est-à-dire la nature des organes et des relations entre eux et par rapport à l’environnement. L’organisation est donc la répartition des services, mais aussi les relations qui existent entre ces services, entre eux et par rapport à l’environnement. page 4 1.1- DEFINITION DE L’ORGANISATION 4 pris dans le sens américain de groupe organisé, l’organisation définit alors un groupe formel et finalisé. En français, on disait jusqu’ici organisme. On parlera alors de l’organisation « Citroën » par exemple comme d’autres parlent de l’entreprise ou firme « Citroën ». B. cette organisations peut être plus ou moins consciente, réfléchie ou voulue. On oppose l’organisation formelle a l’organisation informelle. L’organisation formelle est celle qui est voulue par la direction et publiée. L’organisation informelle est la partie de l’organisation réelle qui n’est pas publiée ; elle existe mais n’est pas forcément connue de la direction, voire elle existe en dépit de la direction. L’importance des éléments non publiées est plus ou moins grande. Il peut à la limite ne pas y avoir d’éléments publiés ou formels parce que la direction a estimé qu’une description trop précise des rôles de chacun freinerait la concurrence entre individus ou générait l’adaptation. page 5 Les composantes de l’organisation L’organisation est composé de quatre composantes : 4 4 4 4 culture, hommes, structures, processus. page 6 Les composantes de l’organisation On peux les schématisés comme suit : Culture Structure Homme Processus page 7 Les composantes de l’organisation 1.La culture C’est la manière de penser, de se sentir et d’agir donc se sont des valeurs, normes des attitudes et des comportements dans l’organisation. On peux les schématisés comme suis : -manière de penser, La culture = -manière de se sentir, -manière d’agir. = système de significations accepté. -valeurs, -normes, -attitudes, - comportements. page 8 Les composantes de l’organisation 2.Les hommes Il n’est d’entreprise que l’hommes. une entreprise c’est d’abord un groupe d’hommes (exceptionnellement un homme seul dans l’entreprise artisanale ou le petit commerce), réunis, organisés, équipés en vue d’un travail en commun. On dit volontiers que l’entreprise est une communauté de travail. Elle n’est pas que cela ; mais elle est d’abord cela. Parmi les responsabilités aux quelles elle doit faire face et que l’on examinera par la suite figure donc la satisfaction des besoins de la communauté, envisagée globalement, et de chacun des ses membres. page 9 Les composantes de l’organisation 3.La structure Ensemble des fonctions et des relations déterminant formellement les missions que chaque unité de l’organisation doit accomplir, et les modes de collaboration entre les unités. 4.Le processus On peut définir d’une façon simple, un processus comme une séquence d’activités organisées en vue de la production d’un résultat prédéfini, produit ou service. On peut dire ainsi que tout ce qui se réalise dans l’entreprise est le résultat d’un processus : passer une commande, fabriquer un outil, émettre une facture, expédier une marchandise, communiquer un rapport, embaucher un collaborateur, etc. Une façon plus générale de définir un processus est de considérer l’ensemble des activités qui contribuent à la réalisation d’un produit ou service donné. . page 10 Donc une organisation est un système social organisé pour atteindre un Objectifs de l’organisation certain type d’objectifs ; cela suppose : un but formel et légitimant ainsi que des objectifs latents, personnels, non conformes à la réalité affichées. une division des tâches, une spécification des fonctions, une attributions des rôles et responsabilités. un système de communication entre les sous-ensembles du système, engendrant le système d’information. un mécanisme de prise de décision combiné aux structures actuelles de l’autorité. un ensemble de règles et de procédures permettant l’évaluation de son activité. Finalement l’organisation est un système de structures et de relation formelles au sein et à l’extérieur de l’entreprise. page 11 1.2- HISTORIQUE DE L’ORGANISATION Deux approches anciennes : A.le courant rationaliste classique au début du siècle, B.l’école béhavioriste dans les années trente. Deux approches plus récentes (ayant trouvé leurs racines dans les années cinquante) : A.le mouvement sociologique, B.l’école managériale et stratégique. page 12 1.Le management traditionnel page 13 Principes 4 4 4 Structure l’organisation de manière à ce qu’elle puisse atteindre les fins fixées lors de la planification Conjugue la rationalité, l’optimisation des processus et des personnes et des considérations d’ordre pratique Établit la diffusion de l’autorité dans l’organisation et définit les responsabilités de chacun 1. 2. 3. 4. Concevoir l’organigramme Élaborer le système de planification, de direction et de contrôle Déterminer un système de prise de décision Concevoir les postes de travail 1. Spécialisation du poste 2. Formalisation du poste 3. Formation du poste 5. Coordination des postes de travail 1. Standardisation des procédés 2. Standardisation des résultats 3. Standardisation des qualifications page 14 L’organigramme, outil-clé 1. DIFFUSION DE L’AUTORITÉ (DÉLÉGATION) 2. DESCRIPTION DES POSTES 1. Tâches responsabilités description 2. Ab heredibus enim incipere actiones vel contra heredes, veteres non concedebant. Ab ignotis dominis, ut jam dominum non habeat. Ab ignotis dominis, ut jam dominum non habeat. Ab ignotis dominis, ut jam dominum non habeat. 3. Ab initio voluntates, ex post facto necessitates. Ab intestato. Abolitio est deletio, oblivio et extinctio acusationis. Abolitio generalis. Abolitio publica. 4. Abolitio specialis. Ab omnibus officiis civilibus vel publicis remotae. Abrogatio parte in qua. Abruptio cursus praescriptionis. Absentem accipere debemus eum, qui non est eo loco, in quo loco petitur. 5. Absentis alicujus praesens imago. Abstine ab alieno. Abstinens censetur quasi non fuisset. 6. Abusus non tollit usum. Ab utraque parte. Accessio cedit principali. Accessio solo cedit. Accessorium sequitur naturam rei principalis. Accessorium sequitur principale. Accusatio suppositi partus nulla temporis praescriptione depellitur. Accusatio capitalis quae ad capitis periculum pertinet. 7. Acta diurna. Acta forensia. Acta judiciorum. Acta militaria. Acta principis. 8. Acta publica probant se ipsa. Acta publica. 9. Acta simulata veritatis substantiam mutare non possunt. 10. Acta vel quaecumque scripta publica probant se ipsa, id est rei aliter gestæ fidem faciunt inter quoscumque. 3. RÉORGANISATION POUR MIEUX ATTEINDRE LES FINS page 15 Départementalisation 4 Processus de division en sous-unités : départements, divisions, sections, services, etc. 4 Formes de de départementalisation: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Par fonctions (finance, marketing, GRH, ...) Par procédé ou équipements (forgerie, peinture, soudure, inspection, …) Par produit ou service (Buick, Chevrolet, Oldsmobile, …) Par projet (prototype A, contrat B, technologie C, …) Géographique ou territoriale (Québec, Ontario, USA, Europe, …) Par clientèle (particuliers, corporations, gouvernements, …) Par horaire (jour, soir, nuit) Par canaux de distribution (pharmacies, épiceries, grandes surfaces, …) Mixte page 16 Éventail de subordination (A. Graicunas, 1930) 4 L’éventail de subordination est un critère souvent utilisée dans l’approche traditionnelle pour procéder à des restructurations. 8 Par exemple, lorsqu’un supérieur s’adjoint un cinquième subordonné, il augmente la capacité de travail de son service de 25%, mais le nombre de relations possibles s’accroît de 127% ! 8 Selon Graicunas, le nombre optimal de subordonnés pour des postes de cadres supérieurs est de 4 à 5, et de 8 à 10 pour des cadres intermédiaires. Nb subord. Nb relat. Nb subord. Nb relat. 1 1 6 222 2 6 7 490 3 18 8 4 44 5 100 Interactions: • Supérieurs à subordonnés 1080 • Entre subordonnés 9 2376 • 10 5210 Entre groupes de subordonnés I = N(2N/2+N-1) page 17 Les fondements classique du management Taylor et Fayol page 18 Frederick W. Taylor (1856-1915) 4 Fils de riche 4 Quaker et puritain 4 Personnalité compulsive 4 Contributions: 8 Systématise une pratique de spécialisation qui se pratiquait dans le monde industriel 8 Veut combattre la « flânerie » en éliminant les tentations et les temps morts 8 Organisation « scientifique » du travail, parcellisation des tâches (taylorisme) page 19 FREDERI CK W. TAYLOR (1856-1915) NATIONALITÉ FORMATION IDÉES CENTRALES Américain = culture particulière Ingénieur = administration des choses L’organisation scientifique du travail (OST) Poursuit 2 objectifs: 1) Améliorer la productivité 2) Trouver La meilleure façon de faire CONSÉQUENCE Division entre l’exécution et la conception du travail page 20 Principes du taylorisme 1. Le dirigeant organise scientifiquement le travail 2. Le dirigeant doit choisir les bons ouvriers en fonction des tâches et les former 3. Le dirigeant s’assure que le travail est effectué tel que prévu (conforme à la « science » des dirigeants). Cela nécessite la collaboration des employés 4. La responsabilité du travail dépend autant du dirigeant que de l’ouvrier, et chacun est rémunéré en conséquence page 21 Le TAYLORI SME – les idées clés 1. Combattre la flânerie NATURELLE et SYSTÉMATIQUE Autorité, contrôle et communication 2. Division entre DIRECTION et OUVRIER Planification et exécution 3. Décomposition systématique du travail Sélection et entraînement scientifique des employés 4. Chacun doit faire sa part et recevoir son dû Adéquation entre exigences de tâches et rémunération page 22 Le TAYLORI SME – CONSÉQUENCES Quelles sont les conséquences du taylorisme? 4 L’augmentation de la valeur ajoutée n’est pas répartie équitablement entre le dirigeant et l’ouvrier 4 Permet un contrôle redoutable sur les employés 4 La formation des ouvriers n’est pas fait, le travailleur devient au contraire encore plus remplaçable. Il est considéré comme une machine, un ramassis de réflexes conditionnés (employé Schmidt) 4 Division sociale grandissante entre cols bleus et cols blancs, ceux qui « pensent » et ceux qui « éxécutent » 4 Parcellisation du travailleur (travail à la pièce) 4 Contribue à la déshumanisation du travail : aliénation et monotonie page 23 Henri Fayol (1841-1925) Ingénieur de terrain École des Mines de Paris Bourgeoisie française, aristocratie napoléonienne Premier « gourou » du management (consultant et conférencier très apprécié à l’époque) page 24 HENRI FAYOL (1841-1925) NATIONALITÉ Français FORMATION Ingénieur IDÉES CENTRALES 1) Place les bases du management avec le PODC et les FONCTIONS de l’entreprise 2) Décrit les 14 principes nécessaire à une bonne gestion CONSÉQUENCE Conception de la fonction administrative moderne page 25 HENRI FAYOL (1841-1925) PRÉVOI R Scruter l’avenir et dresser un plan d’action ORGANI SER Constituer le corps technique et social COORDONNER Unir et harmoniser les actes COMMANDER Faire fonctionner le personnel CONTRÔLER Conformité face aux ordres P O D C page 26 Fonctions d’entreprise (FAYOL) Marketing, vente Gestion ressources Humaines, entretien et maintenance De sécurité Commerciale Administrative Gestion des opérations, Gestion de la production, Fabrication, etc. Technique Planification, organisation, Direction, coordination, contrôle Comptable États financiers, Inventaires, analyse des coûts de revient, etc. Financière Gestion financières, gestion des capitaux page 27 FAYOL: CE QUI N’A PAS ÉTÉ RETENU... La fonction administrative est répartie sur l’ensemble du personnel Le mauvais fonctionnement repose sur les dirigeants La division du travail et la spécialisation ont leurs limites Privilégier la communication verbale Le partage des bénéfices Autonomie dans le choix de l’outillage et des méthodes Le chef doit donner l’exemple Art principal de l’administration: « agir sur les hommes » page 28 Les 14 PRINCIPES généraux de la gestion 1. 2. 3. 4. 5. 6. Division du travail. Autorité- Responsabilité. Discipline. Unité de commandement. Unité de direction. Intérêt général. 7. Rémunération équitable et satisfaisante. 8. Centralisation. 9. Hiérarchie. 10. Ordre. 11. Équité (bienveillance et justice) 12. Stabilité du personnel. 13. Initiative. 14. Union du personnel page 29 HENRY FORD (1863-1947) NATIONALITÉ FORMATION IDÉES CENTRALES Américain Ingénieur mécanique La CHAINE DE MONTAGE Il jette les bases de la société de consommation en augmentant les salaires de ses employés pour leur donner un pouvoir d’achat CONSÉQUENCE Production en SÉRIE et STANDARDISATION page 30 Synthèse – Le management traditionnel Quête Rationalité Mots-clés Normes, efficacité, rentabilité (productivité) Méthode Raison, logique, calcul, processus Solutions Règles, principes, outils, techniques, plans, définitions, mesure de rendement, comptabilité financière Validité « One best way », universalité Métaphore de l’entreprise Machine Image de l’entreprise Pyramide Image du gestionnaire Ingénieur, technicien, patron, « bon père de famille » Image du salarié (origine sociale de Taylor et Fayol) Facteur de production, instrument passif, musculaire, peu qualifié, motivation économique, flâneur et irresponsable Rapports de travail (ibid.) Militarisme, séparation entre ceux qui pensent et ceux qui exécutent, relations de méfiance Finalité de l’entreprise Maximisation des profits, croissance indéfinie page 31 Effets du MANAGEMENT CLASSI QUE Sur l’entreprise Sur la société Hausse de la productivité Standardisation des produits et de leur qualité Hausse des profits des entreprises Amélioration des salaires Séparation entre ceux qui conçoivent et ceux qui exécutent Aliénation Déshumanisation du travail Confrontation dirigeants-employés Création d’une classe moyenne Amélioration des conditions matérielles Création de la société de consommation Apparition des maladies professionnelles (stress, burn-out...) Dépendance de l’employé vis-à-vis l’employeur Apparition des syndicats et du communisme page 32 Faiblesses et critique du MANAGEMENT CLASSI QUE Vision simpliste des individus - Homoeoconomicus Limites de la vision mécanique et rationnelle Démotivation des employés à moyen terme Les employés développent de la méfiance Difficulté de mobiliser les employés Tendance à la bureaucratie paralysante Ne permet pas à la créativité de s’exprimer Culture d’entreprise axée sur la déresponsabilisation, les procédures, les méthodes page 33 2.Le management transitionnel La révolution de l’École des Relations Humaines page 34 Principes 4 Jette un regard différent sur l’organisation. 4 Ne propose pas de nouvelles formes d’organisation, mais prend en compte la nature humaine, politique, contextuelle et historique des entreprises (c.f. cours 2) page 35 Elton Mayo (1880-1949) 4 4 4 4 Philosophe, médecin et chercheur en management S’intéresse à la productivité, à l’absentéisme, au taux de roulement Constate la morosité généralisée des travailleurs Contributions: 8 Facteurs humains (affectif, émotionnel) 8 La satisfaction affecte l’efficacité (et non l’inverse) 8 « Inventeur » de la pause-café productive page 36 Expérience à Hawthorne Works Mesure des effets de la variation de l’éclairage sur la productivité Situation initiale Éclairage accrue Éclairage diminué Retour à la situation initiale Productivité basse Augmentation de la productivité Augmentation de la productivité ? Augmentation de la productivité ! Paradoxe? page 37 Poursuite des expériences à Hawthorne Works 4 4 Mayo poursuit ses expériences pendant 5 ans, notamment sur six employées en améliorant leurs salaires, en introduisant une pause, en diminuant la semaine de travail et instaurant un système de représentation. La productivité augmente. Puis il retourne aux conditions initiales, mais constate que la productivité augmente encore ! Mayo conclut que ce sont moins les variations des conditions du travail que le sentiment d’être considéré par la direction qui a contribué à l’augmentation de la productivité. page 38 Les constats généraux de Hawthorne Les ouvriers travaillent mieux lorsqu’on s’occupe d’eux Découverte de l’importance des phénomènes affectifs Le travail est une activité de groupe et l’individu tend à vouloir collaborer avec ses collègues La considération contribue à leur satisfaction Les individus ont naturellement besoin d’appartenir à un groupe page 39 Deux principales contributions de Elton Mayo 1. Réintroduire la réalité de l’humain comme Être : 8 social 8 irrationnel et émotif 8 de besoins 2. Conception de l’organisation comme entité sociale et politique page 40 Un management centré dorénavant sur l’individu et son groupe Individuel Estime de soi Réalisation de soi Besoins cognitifs Besoins esthétique Désirs, préférences, qualités, défauts Personnalité Aspirations Culturel Valeurs Idéologies Symboles Politique Clans et lutte de pouvoirs Sécurité d’emploi Rémunération et avantages marginaux Collaboration, affrontements, négociation page 41 Implications managériales 4 4 Reconnaissance du groupe 8 L’organisation est un lieu d’expression du collectif 8 Il existe des réalités politiques 8 Il existe une culture propre à chaque milieu et il faut en tenir compte Reconnaissance des individus 8 Pour bien comprendre une organisation, il faut s’intéresser aux individus qui la composent 8 Récompenser les réalisations est plus efficace que récompenser les comportements 8 L’argent n’est pas la seule façon de motiver les gens 8 Il est importance de porter de l’attention aux gens, de les féliciter, de les encourager, de les soutenir page 42 Mayo et ses contributions L’équation de la motivation Taylor Mayo Efficacité Satisfaction au travail Rémunération Efficacité Satisfaction au travail Rémunération page 43 Le sens du travail L’acte productif exercé au sein d’un collectif est bien plus qu’un acte mécanique à finalité économique Le travail est aussi : 1. Activité de subsistance et moyen de gagner sa vie 2. Acte social relationnel 3. Élaboration du «projet de soi» 4. Acte de transformation de la matière, de la nature, des rapports sociaux 5. Engagement pour la prospérité commune 6. Acte de création et d’intervention dans le réel, le concret 7. Participation à une œuvre collective 8. Etc. page 44 Quelques pionniers de l’après-Mayo Frederic Herzberg Facteurs de motivation Abraham Maslow Pyramide des besoins Kurt Lewin Leadership, dynamique des groupes Chris Argyris Personnalités dans les organisations Rensis Likert Rôle de liaison du leader, soutien moral Douglas McGregor Nature de l’être humain (X et Y) et motivation page 45 La hiérarchie des besoins de Maslow transcendance Besoin d’accomplissement Besoin d’estime Besoins d’appartenance Besoins de sécurité Besoins physiologiques page 46 Autres contributions Postulat de base Théorie X McGregor Théorie Y Postulat de base Les Hommes sont paresseux Les Hommes ont besoin d’être responsables Il faut les contrôler pour qu’ils travaillent On ne les contrôle pas Les Hommes contrôlés ne sont pas épanouis Ils sentent qu’on leur fait confiance Ils se démotivent et se sentent irresponsables Ils assument leurs responsabilités Ils cherchent à en faire le moins possible Ils sont motivés et font le maximum page 47 Alfred D. Chandler (1918) La stratégie en tant que déterminant de la structure Professeur d’histoire du management à l’Université de Harvard, il analyse l’histoire des plus puissantes compagnies d’assurance entre 1850 et 1920 et démontre que chaque modification importante de la stratégie amenait les entreprises à modifier leur structure. Il caractérise ainsi un cycle d’activité de l’entreprise (… « Stratégie et structure de l’entreprise »-1962…) -1stade : la petite entreprise mono-activité qui est faiblement structurée et qui appuie son développement sur une logique de volume 2stade : l’entreprise croît, s’étend géographiquement amenant un renforcement de la fonction administrative pour coordonner le fonctionnement des différents sites. -3stade : l’entreprise élargit ses activités au delà de son activité de base en internant des fonctions qui étaient gérées jusque là par d’autres société. Cela l’amène alors à s’organiser par fonction. -4stade : l’entreprise diversifie ses activités et met en place une organisation divisionnelle (« la firme multi-divisionnelle) page 48 ODC) L’organisation (P Pourquoi une structure? Pour répartir: L’AUTORITÉ entre le personnel Pour répartir: LES RESPONSABILITÉS Pour répartir: RÈGLES, PROCÉDURES Et l’INFORMATION HIÉRARCHIE Division du travail Coordination page 49 ODC) L’organisation (P La Structure, une définition (Mintzberg): « Somme totale des moyens pour diviser le travail entre des tâches distinctes pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches » page 50 Les composantes de l’organisation (H. Mintzberg, 1987) Rôle de standardisation, planification, contrôle du travail des autres employés, surtout les opérationnels. Standardise le travail opérationnel et intellectuel, et les systèmes de planification. Intermédiaire du haut vers le bas (politiques, directives et orientations stratégiques), et du bas vers le haut (rapports, réclamations) Sommet Sommetstratégique stratégique TechnoTechnostructure structure Support Support logistique logistique (fonctionnel) (fonctionnel) Mission de l’entreprise, pilotage, développement stratégique, allocation des ressources, relations avec l’environnement Biens, services et informations nécessaires aux activités des opérationnels. Ne s’occupent pas de la standardisation. Parfois sous-traités. Ligne Ligne hiérarchique hiérarchique Centre Centreopérationnel opérationnel Travail directement à la production des biens et des services de l’entreprise page 51 Types de postes dans la structure organisationnelle Conseil d’administration Président Comité Personnel directeur attaché au Président NOTE IMPORTANTE Relations publiques Comptabilité Contrôle Relations sociales Formation V.P. V.P. Opé- Marrations keting Recherche opérationnelle Recherche et développement Tarification ResDirecteurs ponsables d’usines régionaux des ventes Ordonnancement de la production Paie Réception Méthodes Maintenance Chefs d’Ateliers Acheteurs Mintzberg ne propose pas des formes d’organisation. Conseil juridique Planification stratégique Opérateurs sur machines Responsables Des Ventes (Districts) Assembleurs Vendeurs Il ne fait qu’observer ce qu’elles sont déjà, et en particulier l’agencement des composantes en présence et leurs interactions. Cafétéria Expéditeurs page 52 1. Structure simple 4 4 4 4 4 4 4 4 Petite organisation Supervision directe de la part du propriétairedirigeant Division du travail imprécise Travail peu spécialisé, peu standardisé Comportements peu formalisés Communication informelle Peu de planification, stratégie très intuitive, peu analytique Ex: Dépanneur du coin Avantages 4 Centralisation du pouvoir permet d’informer parfaitement le centre opérationnel 4 Structure flexible où une personne seule peut agir 4 Structure facile à modifier 4 Favorise l’innovation Inconvénients 4 Structure plus risquée, repose sur un seul individu page 53 2. Bureaucratie mécaniste 4 4 4 4 4 4 4 4 4 Grande organisation Division du travail précise, travail routinier Procédures et règles internes bien développées Minimum de qualification au niveau opérationnel Formation réduite Coordination réalisée par la standardisation Séparation des niveaux hiérarchiques Stratégie formelle et systématique, du haut vers le bas Ex: Compagnie d’assurance Avantages 4 Structure adaptée à la production de masse de produits standardisés 4 La technostructure améliore l’efficacité et la réduction des coûts Inconvénients 4 La technostructure freine l’innovation et la flexibilité 4 Structure difficilement modifiable 4 Problèmes de motivation au niveau opérationnel (absentéisme, roulement de personnel, résistance au changement, etc.) page 54 3. Bureaucratie professionnelle 4 4 4 4 4 4 Grande organisation Deux « centres d’activités » 8 Centre opérationnel: Professionnels aux tâches non standardisées 8 Support logistique: Opérateurs aux tâches standardisées, similaires à la bureaucratie mécaniste, souvent syndiquées Formation longue et continue des professionnels Redevance des professionnels à des organismes externes (corps professionnels) Résultats des professionnels difficilement mesurables Ex: Universités, Hôpitaux Avantages 4 Autonomie considérable pour les professionnels 4 Amélioration constante des qualifications 4 Structure adéquate pour des personnes compétentes et consciencieuses Inconvénients 4 Peu de contrôle sur le travail des professionnels 4 La coordination entre les deux centres opérationnels est critique et souvent difficile 4 Requiert beaucoup d’habiletés politiques 4 Structure rigide, peu adaptée à des environnements dynamiques 4 Structure inadéquate pour éliminer les individus peu compétents ou peu consciencieux. page 55 4. Adhocratie 4 4 Structure ponctuelle (du latin, ad hoc, « pour cela ») Organisée autour de projets ou d’opérations saisonnières Structure souple, beaucoup d’autonomie Peu de règles, information informelle Peu d’encadrement Spécialisation très poussée, aucune standardisation Décisions prises à tous les niveaux en fonction des expertises Stratégie fluctuante, émergente Ex: Cirque du soleil, théatre, groupe de musique 4 4 4 4 4 4 4 Avantages 4 4 4 4 Favorise l’innovation Participation intense Mise en œuvre très rapide L’incompétence est vite identifiée par les pairs Inconvénients 4 N’est pas la structure idéale pour ceux qui recherchent la stabilité 4 Situations souvent ambiguës du fait du manque de définition des postes et des relations d’autorité 4 Problème d’efficience 4 Processus décisionnel démocratique et long page 56 5. Structure divisionnalisée 4 4 4 4 4 Structure composée de plusieurs entités autonomes Le siège social exerce une autorité très distante sur les opérations, il se concentre essentiellement sur les profits Habituellement plus efficace quand les divisions sont mécanistes, mais peut abriter toutes les autres formes La stratégie et la culture d’entreprise sont globales, mais les décisions d’opérations sont souvent décentralisées Ex: Bombardier Avantages 4 Bonne capacité de réponse stratégique, le siège social en fait sa principale préoccupation 4 Allocations efficace des ressources entre divisions (péréquation) 4 Meilleure répartition des risques Inconvénients 4 Une division problématique ou déficitaire a un effet sur l’ensemble du système 4 Mécanisme de coordination complexe qui peut amener à des incohérences (dédoublement, cannibalisation, etc.) 4 L’évaluation des résultats est limitée aux données financières page 57 Les configurations structurelles Configuration structurelle Composante dominante Mécanisme de coordination Exemple Structure simple Sommet stratégique Supervision directe Cuir Dimitri Unibroue Bureaucratie mécaniste Technostructure Standardisation du travail Assurances La Capitale Wal-Mart Bureaucratie professionnelle Centre opérationnel Standardisation des activités HEC Hôpital Sacré-Cœur Structure divisionnalisée Cadre intermédiaire Standardisation des résultats Philip Morris Power Corporation Adhocratie Soutien Ajustement mutuel Festival de Jazz NúFilms page 58 Mintzberg: Les Configurations La Structure simple • Il n’existe pas de structure idéale Bureaucratie mécaniste • La quête du management: l’Équilibre Bureaucratie professionnelle • Avec les théories de la contingence, il faut qu’il y ait un FIT entre les facteurs structurels et les éléments contextuels Structure en divisions Adhocratie • L’organisation est un système OUVERT en interaction avec son environnement • La rentabilité de l’organisation dépend de son adéquation entre sa structure et son environnement page 59 L’ORGANIGRAMME page 60 Structure fonctionnelle Directeur général Conseillers administratifs GOP marketing GRH finance TI page 61 Structure multidivisionnelle Exemple: PDG Bombardier Aéronautique Bombardier Transport Bombardier Capital page 62 LES TYPES DE STRUCTURES STRUCTURE MATRICIELLE -Optimiseles ressources -Flexibilitéet vitessederéaction -Efficacitéfonctionnelle -Doublesupervision -Fonctionnement par projets Production Projet A Projet B Projet C Conflit politiques liés àl’autorité des superviseurs. Difficultédes employés degérer les doubles demandes. Ex.: Microsoft, NASA, (R&D) Dirigeant Marketing Finance page 63 LES TYPES DE STRUCTURES STRUCTURE RÉSEAU -Relations latérales -Partenariats -Marchéfragmenté -Faiblehiérarchieverticale -Partaged’informations -Indépendancedes décisions Fonctionnement soumis àla bonne volontédes membres du réseau. Possibilitédeprofiter des opportunités qui seprésentent. Mais peut mener àl’exploitation. Ex.: Dell, Nike, IKEA, Verifone DIRIGEANTS DISTRIBUTION PRODUCTION MARKETING FINANCE page 64 3. Management renouvelé page 65 Principes 4 Fait « éclater » l’organigramme traditionnel fondé sur: 8 la distribution de l’autorité du haut vers le bas 8 La description des tâches, postes et fonctions 8 La stabilité de la structure 4 Favorise plutôt: 8 8 8 8 8 la flexibilité l’innovation et l’expérimentation le développement de compétences transversales la mobilisation de tous les membres du personnel la circulation, l’exploitation et la gestion de l’information 4 Exploite souvent les nouvelles technologiques de l’information (NTI) 4 Adaptée aux nouvelles réalités structurelles et sectorielles, par exemple: 8 8 8 8 La sous-traitance La mondialisation L’accélération des cycles de vie La virtualisation des produits page 66 PETERS & WATERMAN 4 Posent la question: « quelles entreprises réussissent ? » 8 Japon = excellence, qualité 4 Retour vers les contributions du management traditionnel et d’une certaine forme de prescription 4 Attributs de l’excellence selon P & W 8 8 8 8 8 Insiste sur les revenus Écoute du client, produits différenciés, qualité et service Focus sur les personnes (motivation = productivité) Focus sur le savoir-faire Prendre le parti de l’action, agir et expérimenter, se fier à l’intuition 8 Autonomie, innovation, droit à l’erreur, structures souples, auto-contrôle, petites équipes de travail autonomes 8 Mixte de souplesse/rigueur, centralisation/décentralisation 8 Philosophie de gestion centrale et explicite page 67 Peter SENGE 4 Organisation « intelligente » 8 L’entreprise fait partie d’un système, est elle-même un système 8 Le gestionnaire doit trouver une situation d’équilibre – Éviter la rétroaction excessivement négative – Éviter la rétroaction excessivement positive 4 Auto-apprentissage permanent Æ apprendre à apprendre 4 Les 5 disciplines selon Senge 8 Maîtrise personnelle – Focalisation, patience, objectivité 8 Auto-critique – Remise en question des modèles mentaux, réfléchir sur ce que l’on fait, sur le comment on le fait, dialogue à tous les niveaux 8 Vision partagée – Consultation interne 8 Apprentissage en équipe – Remet en cause le principe de la division du travail 8 Pensée systémique Å 5e discipline ! – Comprendre la situation dans son ensemble page 68 James CHAMPY 4 Abandonner l’image de l’organisation comme « machine » 4 Recentrer l’entreprise sur: 8 8 8 8 Un projet global Une culture de ténacité et d’imagination Des collaborateurs de choix Des processus à revoir Æ RÉINGÉNÉRIE des processus 4 La fin du PODC 8 Mobilisation Æ Volonté, motiver 8 Responsabilisation Æ Volonté, motiver 8 Définition Æ Pourquoi l’activité ? 8 Évaluation Æ Les résultats, évalués par tous 8 Communication Æ Dialogue constructif page 69 L’organisation infiniment plate Système où la plupart des membres du personnel sont des partenaires égaux. Représente, par exemple, des organisations regroupant des professionnels autonomes ou semiautonomes: firmes de courtiers, d’agents d’immeuble, de consultants, d’avocats, etc. Dans cette forme, les revenus sont souvent décentralisés directement auprès de chaque partenaire. page 70 L’organisation inversée Les décisions sont prises par la base Spécialistes Cela implique une démocratie industrielle particulièrement efficace Reflète bien la réalité des organisations coopératives Personnel auxiliaire S’apparente fortement au système de décision japonais nommé « Ringi ». Dans les grandes organisations japonaises, la décision se passe ainsi: 1. Discussions en profondeur par et avec tout le personnel concerné par un dossier. Ces discussions peuvent prendre des semaines, des mois, voire des années! 2. Rédaction d’une proposition par un jeune du service. PDG 3. Lecture et approbation par tous les membres du personnel-cadre, une personne à la fois, en commençant par les plus humbles. Si la personne approuve la proposition, elle appose son tampon (ringi) et la proposition est acheminée vers un collègue ou un supérieur. Si elle ne l’approuve pas, le processus retourne à l’étape 2 (rédaction d’une nouvelle proposition) et à l’étape 3 (on doit consulter tout le monde, à nouveau). 4. Lorsque tout le personnel s’entend sur une proposition, la proposition tamponnée par tous aboutit dans les mains de la haute direction qui émettra alors naturellement son feu vert, sauf circonstances exceptionnelles 5. Au moment où la décision est prise, tout le personnel est déjà au courant de ce qu’il faut faire. page 71 Organisation en toile d’araignée Collaboration de plusieurs experts et de plusieurs divisions sur des projets limités dans le temps Réorganisation constante selon les besoins de l’entreprise Le subordonné le temps d’un projet peut devenir supérieur au projet suivant, et vice-versa La structure formelle de l’organisation (organigramme classique) existe mais importe peu. page 72 Organisation en étoile Société mère et ses filiales IBM Canada Distribue l’expertise, les stratégies et les modes d’organisation à chacune des entités périphériques Nexacor (Services immobiliers) ISM Médialinx Progistix Solutions (Logistiques) Bell Nexxia (Services télécom, marché affaires) Expertech (Bâtisseurs de réseaux) Bell Canada CGI (SI/TI) Connexim Fédère le tout par une vision stratégique commune SNCLavalin Bell distribution (Téléboutiques) Bell Gardium (Services de surveillance) Bell Actimedia (Annuaires, Sympatico) HydroQuébec page 73 Organisation hypertexte La base de connaissances Le niveau des équipes de projet La connaissance et l’organisation sont dynamiques La définition des tâches est flexible et s’adapte à l’évolution de la base de connaissances La base de connaissances n’oblige plus le gestionnaire à être un expert. 1. une organisation hiérarchique, réalisant des activités routinières 2. des équipes de projets temporaires (développement de nouveaux produits) Le niveau du système de production et de vente 3. base de connaissances des deux types d’activités page 74 Management traditionnel: Management renouvelé: les facteurs de succès les facteurs de succès 2. Les ORGANISATIONS • Clarté des rôles • Spécialisation des tâches • Efficacité du contrôle • Productivité / coûts Administration des CHOSES • Vitesse de réponse à l’environnement • Flexibilité dans les tâches • Capacité d’intégration des talents • Innovation et Créativité Administration des PERSONNES page 75 2. Les ORGANISATIONS Avant: Vision mécaniste: l’individu s’adapte aux technologies de l’organisation afin de produire de la meilleure façon (« one best way ») Après: Vision humaniste: Les technologies sont au service des individus Pour communiquer Pour développer des compétences Pour créer Pour mieux collaborer Pour éliminer les tâches peu valorisantes page 76 1. Remise en cause du principe d’autorité 2. Remise en cause du principe de contrôle 3. Remise en cause de laMANAGEMENT vision traditionnelle de l’employé 3. Le • Les employés sont responsables de leur propre productivité • Les employés détiennent l’expertise • Ce sont les employés qui apportent la valeur ajoutée au client • Ont de plus en plus le pouvoir, puisqu’ils détiennent le SAVOI R page 77 3. Le MANAGEMENT Apparition d’une nouvelle culture du travail Les termes LOYAUTÉ et CONFIANCE prennent une autre signification Un monde de PROJETS - Collaboration Instantanéité et flexibilité Besoin de reconnaissance Conjointement à l’apparition d’une nouvelle génération, aux valeurs différentes... page 78 Synthèse Traditionnel Conception Transitionnel Renouvelé Pyramide organisationnelle Groupes internes en relations Réseaux d’échanges Auteurs Fayol, Graicunas Mintzberg, Greiner Peters, Waterman, Katz, Kahn, Nonaka, Takeuchi Finalité Distribuer le pouvoir de manière logique et rationnelle, définir les tâches et responsabilités de chacun Comprendre comment la nature de chaque organisation amène à des contraintes et des mécanismes différents Représentations imagées des principes d’autonomie, de flexibilité, et de réorganisation permanente Responsable Les dirigeants (selon leur niveau, stratégique, tactique ou opérationnel) Les dirigeants (qui réfléchissent) Tous les membres (formes émergentes naturelles) Sommet vers la base Autocratique Démarche séquentielle Analytique sociologique Jeu politique Base vers le sommet Participatif Remise en question Caractéristiques Centralisée, formelle, précise Systémique, contextuelle Flexible, décentralisée, floue Outils et produits Organigrammes, définition de tâches Typologie d’analyse uniquement Métaphores (ne représente pas réellement la structure de l’organisation) Processus page 79 PRINCIPAUX DOMAINES DE RECHERCHE EN ORGANISATION APPROCHES TRADITIONNELLES COURANT RATIONALISTE Organisation scientifique du travail APPROCHES RECENTES APPROCHE BEHAVIORISTE Expérience de hawtharne Styles d’autonomie APPROCHE SOCIOLOGIQUE Mouvement sociotechnique Dysfonctionne ments des bureaucraties ECOALE MANAGERIALE Approche globale de management stratégique Informatio n et décision Expérience de hawtharne Groupes autonomes Théorie des besoins Facteurs de satisfaction au travail Organisati on et stratégie Flexibilité organisationnell e Théorie contingente page 80