Indice du taux de
change
ROL/USD/Indice des
prix de la
consommation
(1990=100) - %
.. 126,0 163,7 113,4 104,3 96,9 105,9 96,6 75,2 89,1
Indice du salaire/Indice
des prix de la
consommation (oct.
‘90=100) - %
.. 81,7 71,3 59,4 59,4 66,5 72,7 56,3 58,2 58,4
Population occupée
(total économie) – mille
pers.
10839,
5 10785,
8 10458,
0 10062,
0 10011,
6 9493,0 9379,0 9022,7 8812,6 -
- Agriculture 3153,5 3112,3 3448,8 3621,1 3653,0 3270,2 3326,4 3389,6 3354,3 -
- Industrie 4004,7 3802,9 3300,9 3030,6 2881,7 2714,2 2740,8 2449,6 2316,9 -
- Constructions 705,9 500,9 579,2 574,0 562,7 479,1 474,4 439,2 391,0 -
- Services 2975,4 3269,7 3129,1 2836,3 2914,2 3029,5 2837,4 2744,3 2750,4 -
Taux du chômage - % 3,0 8,2 10,4 10,9 9,5 6,6 8,9 10,3 11,5
Masse monétaire
(moyenne/an.) – mld.
ROL 478,0 603,5 1209,6 2764,4 6652,2 13107,
7 22219,
5 45116,
4 70212,
5 106348
Masse monétaire
(moyenne/an.) –
croissance par rapport
à l’an précédent - %
17,0 26,2 100,4 128,5 140,6 97,0 69,5 103,0 55,6 51,5
Masse monétaire
(M2)/PIB 55,7 27,4 20,1 13,8 13,4 18,2 20,4 18,0 19,1 20,4
Dette extérieure totale
brute (mil. USD) .. 2131,0 3240,0 4249,0 5563,0 6482,1 8344,9 9502,7 9807,0 8589,0
Dette extérieure totale
brute/hab. (USD) .. 91,9 142,2 186,7 244,7 285,8 369,1 421,5 435,8 382,5
Déficit du budget
général consolidé en
PIB - % 1,0 3,2 -4,6 -0,4 -2,4 -2,9 -4,1 -3,9 -4,1 -4,0
Exportations FOB (mil.
USD) 5775 4266 4363 4892 6151 7910 8084 8431 8302 8505
Importations FOB (mil.
USD) 9202 5372 5784 6020 6562 9487 10555 10411 10926 9592
Différence FOB/FOB
(mil. USD) -3427 -1106 -1421 -1128 -411 -1577 -2471 -1980 -2624 -1087
Investissements
directes nets (des non-
résidents) – mil. USD .. 37,0 73,0 87,0 341,0 417,0 263,0 1224,0 2040,0 961,0
(Source: Stratégie nationale de développement économique de la Roumanie à
moyen terme, 2000)
Même si le rôle d’une approche stratégique globale, de synthétise (telle que la Stratégie
nationale de développement économique de la Roumanie à moyen terme), établie au niveau
décisionnel macro-économique, ne peut être ignoré, en Roumanie on a ressenti dès le début
l’absence d’une stratégie économique claire, avec des objectifs et termes clairs, surtout dans des
problèmes fondamentaux comme la propriété, la restructuration de l’industrie ou attaquer la
politique de privatisation, etc., qui puisse être prise pour repère par les managers des entreprises
roumaines en vue de la consolidation des propres stratégies (on ne s’arrête pas là – mais on le fera
ultérieurement – sur la capacité des managers à faire face à une telle approche). C’est pourquoi, la
transition roumaine est parfois « repérée directement comme une crise de manager »6, qui n’a
pas encore été dépassée, le management politique – responsable de la réalisation de la vision
stratégique et la préoccupation dans la direction de son implantation – en ne réussissant pas à
6 Marin, D., œuvrage cité, p. 28