Tenter de nous apporter des informations pour essayer de trouver « un dénominateur commun » à ces douleurs « Kyste de Tarlov ». L’objet de cette recherche est à visée épidémiologique. Si nos informations sont suffisantes, elles pourront être exploitables avec une méthodologie appropriée, dans le cadre des recherches sur les maladies rares : ce qui veut dire, probablement de nouveaux questionnaires qui seront affinés en fonction des réponses au questionnaire que vous allez recevoir, et, utiles aux médecins. Ce questionnaire, anonyme si vous le souhaitez, vous semblera prendre des directions diverses ; mais ce sont vos réponses qui permettront d’infléchir un nouveau questionnaire, et, n’oubliez pas que, plus nous aurons d’informations précises, mieux le questionnaire sera exploitable. Vous aurez connaissance des résultats, soit par mail, ou par un administrateur du groupe ce qui permettrait une discussion. 120 Femmes; 101 100 80 60 40 20 Hommes; 14 0 Hommes Femmes Série 1 Série 2 Série 3 L’Age du groupe varie entre 20 ans et 67 ans. IRM, scanners, péridurale, hernie discale, ponction lombaire, infiltrations, Resultat 115 101 80 79 19 IRM PERIDURALE PONCTIONS LOMBAIRE INFILTRATIONS SCANNERS Série 1 Chute et Accident chute/accident; 15 chute/accident chute/accident; 100 0 20 40 60 Non Oui 80 100 120 CHARGES LOURDES Non 20% Oui 80% Nombres d'Années 1 an 2 ans 5 ans 18% 3 ans 4ans 5 ans plus de 5 ans 1 an 14% 2 ans 20% 4ans 36% 3 ans 12% Douleurs jambes, fesses, cuisse, hanche, pygalgie, périnée, sacrum, hernies discale, sciatique,( tronquée/bascule ), douleurs lombaires, Incontinence, difficulté a la marche, ou assis, claudication neurogene, brulures au talons , fourmillements, décharge, brulures, constipation, céphalées, trouble de la vue, NOMBRE DE KYSTE Nombre de Kyste 54 32 31 14 10 5 1 2 3 4 5 plus de 5 Nombres de persone 11% 17% décharge Electrique, brûlures 20% 19% incontinence lombaires et dorsales sciatique 13% 20% claudication neurogéne pygalgie Nombre de personne cruralgie 14% 18% céphalées, trouble de la vue, vertige, nausées 12% 19% 22% 15% écrasement, tiraillement, Douleurs sacrum, périnée, bassin, aine cephalées Titre de l'axe Trouble de la vue 90 80 70 60 50 40 30 20 10 0 Nombre de personne Injections de colle 51 Infiltrations 84 Operation 29 Operation Infiltrations Injections de colle Diminution du temps de marche Non 15% Oui 85% Oui Non 120 100 Titre de l'axe 80 60 Pensez-vous que votre médecin ou votre spécialiste vous comprend ? 40 Colonne1 20 0 Oui Non Pensez-vous que votre médecin ou votre spécialiste vous comprend ? 11 104 Colonne1 11 104 Titre de l'axe Fréquentez-vous ou avez-vous fréquenté un centre antidouleur ? Oui Non 49% Non Oui 51% 1. Coupe coronale du bassin en IRM révélant des kystes de Tarlov. 2. Naissance à la jonction entre la racine dorsale et des racines sacrées essentiellement avec une prédominance en S2-S3. 3. Rares cas de topographie non sacrée. 4. La cavité kystique correspond à une prolongation de l’espace sous arachnoïdien entre l’endonèvre et le périnèvre. 5. Uniques ou multiples. 6. pas de critère de taille 1. présence de cellules nerveuses ou ganglionnaires dans la paroi kystique, le reste de la paroi est constituée de tissu conjonctif aspécifique. 2. Antécédent de port de charges lourdes retrouvé. 3. Manœuvre de Vasalva augmente le volume du kyste constaté en peropératoire. Mécanisme de valve/ prolifération arachnoïdienne qui communique avec le kyste avec l’espace sous arachnoïdien bloquant le LCR dans le kyste retrouvé en per-opératoire. 4. - Traumatique, antécédent de traumatisme à l’anamnèse. 5. Congénitale. Génétiquement, ils sont rattachés à la famille des défauts du tube neural. Les kystes de Tarlov sont situés dans la région S1 et S4 de la moelle épinière. Ils se forment généralement sur les composants extra-duraux de racines nerveuses sacrococcygien à la jonction de ganglion de la racine dorsale et postérieure des racines nerveuses et se posent entre le endonèvre et périnèvre. À l'occasion, ces kystes sont observés dans la colonne thoracique. Cependant, ces kystes plus couramment surviennent à la jonction S2 ou S3 du nerf dorsal du ganglion. Les kystes sont souvent multiples, s'étendant autour de la circonférence du nerf, et peut agrandir au fil du temps pour comprimer les racines nerveuses voisines, pour provoquer l'érosion de l'os. Les kystes peuvent se trouver en avant de la région du sacrum et ont été connus pour s'étendre dans la cavité abdominale. Ces kystes, bien que rares, provoque souvent des douleurs abdominales sévères de compression sur le kyste lui-même ainsi que les nerfs voisins. Lorsque les kystes de Tarlov deviennent symptomatiques, on peu parlé de maladie de Tarlov. Cette expression est inappropriée car une mauvaise traduction du mot anglais dis-ease. En fait il faut parler de syndrome des kystes méningés puisqu'il s'agit d'un ensemble de symptômes qui peuvent apparaître après divers événements traumatiques, par réaction à l'intérieur du LCR, de substances qui y deviennent irritantes pour le nerf. Les troubles sont les troubles neurologiques typiques que l'on retrouve dans d'autres pathologies. Il s'agit de troubles sensoriels, incluant des douleurs invalidantes. Ces douleurs concernent les territoires innervés par la racine nerveuse à proximité de cette poche méningée, des hypoesthésies, des paresthésies ainsi que des troubles intestinaux et génitaux. Des maux de têtes peuvent aussi apparaître, des troubles de la vues, dus à la mauvaise circulation du liquide céphalo-rachidien (LCR). Les kystes de Tarlov sont souvent asymptomatiques. Néanmoins, ces kystes sont des entités cliniques importantes en raison de leur tendance à augmenter au cours du temps, ce qui pourrait provoquer des complications et l'érosion du tissu osseux environnant. Les patients avec des kystes de Tarlov symptomatiques peuvent être divisés en quatre catégories, en fonction de leurs symptômes expérimentés. : douleur coccyx qui rayonne sur les jambes avec une faiblesse potentielle (fessalgie, crurale, sciatique, sciatique à bascule, douleurs aux genoux, pieds, et claudication neurogène) ; la douleur sur les os, les jambes, l'aine, les dysfonctions sexuelles, et de la vessie dysfonctionnel, mictions, vessie neurologiques, constipation, etc. la douleur qui rayonne à partir du site de kystes dans les hanches de l'abdomen inférieur, le périnée, etc. pas de douleur, juste une dysfonction sexuelle et de la vessie dysfonctionnel. Les Symptômes fréquemment rapportés associés à des kystes de Tarlov : maux de dos, douleurs péri-neurales, sciatique, syndrome de la queue de cheval, dysurie, incontinence urinaire, constipation, vessie neurologique, coccygodynie, radiculalgie sacrée, les douleurs radiculaires, maux de tête, trouble de la vue, paresthésies et hypoesthésies, éjaculation rétrograde, troubles moteurs des membres inférieurs et des organes génitaux, du périnée ou lombo-sacrée, difficulté à marcher, douleurs abdominales basses, périnée, aine, etc. paresthésie vaginale ou du pénis, des changements sensoriels sur les fesses, le périnée, et des membres inférieurs, claudication neurogéne, brulures, décharge, fourmillement, pincement . Le terme « kyste de Tarlov » ou « kyste péri-neurale sacré » a souvent été mal utilisé pour faire référence à d'autres lésions kystiques dans la région sacrée. Les Kystes de Tarlov sont souvent détectés par IRM ou CT myélographie, ces outils sont très utiles dans la détection des kystes dans la région, mais ils ne peuvent pas distinguer une différence majeure entre les kystes de Tarlov et autres kystes, le fait que les murs contiennent des fibres nerveuses. Par conséquent, le diagnostic final d'un kyste de Tarlov n'est pas radiologique mais plutôt histopathologique. Ces kystes sont parfois diagnostiquées à tort comme une hernie discale lombaire ou sténose du canal rachidien lombaire, surtout quand ils font pression sur le S-1 de la racine nerveuse.