- Les personnes immunodéprimées (SIDA, ...)
- Les personnes avec des maladies chroniques (diabète, maladie de Parkinson, hépatopathie ...)
- Les enfants de - 2 ans et les femmes enceintes (une grippe chez une femme enceinte peut
conduire à des
hospitalisations et des malformations fœtales
- Personnes souffrant d’obésité morbide
VI. Les grandes crises :
- La grippe aviaire H5N1 : communément appelée «grippe du poulet »
Le sous-type H5N1
Un virus de la grippe aviaire hautement pathogène a infecté pour la première fois des êtres
humains en 1997, lors d’une épizootie touchant la volaille à Hong Kong.
Depuis sa réémergence à une vaste échelle en 2003 et 2004, ce virus aviaire s’est propagé de
l’Asie à l’Europe et à l’Afrique et s’est durablement enraciné dans les populations de volailles de
certains pays, provoquant des millions d’infections chez ces oiseaux, des centaines de cas
humains et de nombreux décès chez l’homme.
L’OMS, l’Organisation mondiale de la Santé animale (OIE) et l’Organisation des Nations Unies
pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) collaborent à travers tout un ensemble de mécanismes
pour suivre et évaluer les risques pour la santé publique liés aux virus de grippe animale, et en
assurer la gestion à l’interface entre homme et animal partout où ils peuvent apparaître dans le
monde.
- La grippe A H1N1 : Plus connu sous le nom de « grippe mexicaine », « grippe porcine » avec
propagation extrêmement rapide (éternuement, toux, simple contact avec quelqu’un contaminé).
La maladie est apparue en 2009 au Mexique, ensuite dans tout le sud de l’Amérique puis arrive
en Europe vers avril-mai.
Les symptômes sont comparables à une grippe saisonnière : fièvre, maux de gorge, maux de
tête, douleur musculaire et articulaire.
Elle peut entrainer la mort (infection pulmonaire) et touche plus les jeunes car 60 % des cas les
plus grave ont moins de 20 ans.
Depuis il y a eu des recommandations officielle : se laver les mains, évité le contacte avec les
contaminés,…
Un vaccin à été mis en place fin 2009, et en novembre 2009, le personnel hospitalier à été
vacciné.
VII. Conclusion :