- Les personnes qui exercent une
profession qui demande beaucoup de
vigilance.
EFFETS SECONDAIRES POSSIBLES
Somnolence, fatigue, étourdissements,
nausées, vision brouillée, constipation et/ou
diarrhée, trous de mémoire, confusion,
maux de tête, sécheresse de la bouche,
gain de poids et augmentation de l’appétit,
un goût amer, de la dépression, des
vertiges, des irritations cutanées, diminution
de l’appétit sexuel, incontinence urinaire,
etc.
Les médicaments périmés ou inutilisés qui
traînent à la maison sont une des
principales causes d’empoisonnement
accidentel. Ils constituent aussi un danger
pour l’environnement s’ils sont jetés dans
les égouts ou avec les ordures ménagères.
Par ailleurs, il est important de bien se
renseigner auprès de son pharmacien sur
les médicaments qu’on prend, qu’ils soient
vendus sur ordonnance ou non. En plus de
représenter un danger pour la santé, le
mauvais usage des médicaments entraîne
des coûts directs et indirects importants. On
estime en effet que le refus de se conformer
aux ordonnances serait responsable de 10%
des admissions.
Source : Telbec, 2 mars 1998 cité dans
Dernière Heure, vol.5, no.9
Une réaction allergique aux médicaments
qui leur ont été prescrits peut affecter
jusqu’à près du tiers des malades, indique
une enquête publiée dans la dernière
livraison du journal Of the Américain Médical
Association (J.A.M.A.)
Cette étude indique que jusqu’à 30% ces
patients hospitalisés peuvent souffrir d’une
réaction à leur médication, et jusqu’à 29,3%
des malades à domicile requérir une
hospitalisation requièrent une hospitalisation
des suites d’allergies à leurs médicaments.
Les auteurs de l’enquête, les Drs Richard
DeShazo et Stephen Kemp, de l’Université
du Sud de l’Alabama à Mobile, soulignent
que tout médicament ou agent biologique
peut provoquer des réactions allergiques.
Celles-ci peuvent être causées entre autres
par un dosage inadapté, le fait qu’un malade
ne tolère par certaines substances ou
interaction négative de différents
médicaments.
Note : Article paru dans le journal la Presse,
mercredi le 10 décembre 1997.
MALADES
ALLERGIQUES À LEUR