faiblesses; irritation de la gorge; douleurs abdominales; ⦁ ⦁ ⦁
Et en cas d’aggravation :
⦁toux; éruption cutanée; douleurs thoraciques; yeux⦁ ⦁ ⦁
rouges; insuffisance rénale et hépatique; hémorragies internes⦁ ⦁
et externes. Les personnes au contact de viandes contaminées⦁
comme celle dite "de brousse" (chasseur, dépeceur, boucher,
cuisinière) peuvent aussi présenter un risque. Ces personnes
peuvent d'ailleurs être le point de départ d’une épidémie.
La prévention : La prévention passe par l'évitement du virus
Ebola. Il est conseillé de ne pas se rendre dans les villes où une
épidémie sévit. Pour les personnes résidant en zone d’épidémie,
certains conseils prévalent :
⦁Se laver les mains régulièrement à l’eau et au savon, Eviter⦁
d'être en contact avec des personnes malades, qui doivent être
mis en quarantaine. Il ne faut pas toucher, embrasser ou même
laver une personne malade. Les soignants doivent porter⦁
blouses, gants, masques et lunettes. Et ne pas réutiliser les
seringues. Une attention particulière doit être portée lors des⦁
rites funéraires puisque les personnes décédées sont encore
porteuses du virus et peuvent être contagieux. Apprendre à ne⦁
pas porter sa main à sa bouche ou à ses yeux, portes d’entrées du
virus. Porter des gants et vêtements de protection pour⦁
manipuler les animaux malades et leur chair. Rester vigilants⦁
chez les malades guéris qui peuvent encore transmettre le virus
pendant 7 semaines. Ils doivent éviter les relations sexuelles
pendant ce temps ou utiliser un préservatif.
Les chercheurs avancent sur un vaccin contre le virus Ebola mais
ce dernier, prometteur, n'est pas encore disponible.
Les traitements :
Il n'existe pas de traitement efficace pouvant guérir la fièvre
Ebola. Les soins qui peuvent être faits consistent donc à soulager
les symptômes et augmenter les chances d’une personne atteinte
de survivre à la maladie. On parle dans ce cas de soins
symptomatiques : maintenir une tension artérielle convenable,