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« Comme l’hôpital
mais à la maison ! »
« Après une intervention chirurgicale,
ma plaie s’est mal cicatrisée et j’ai dû être
réopérée. Résultat : un trou de 18 cm de large
sur 7 de hauteur et autant de profondeur… À
la demande de mon chirurgien, j’ai été prise
en charge par SSBR pour des pansements à
pression négative. À mon retour au domicile,
tout le matériel médical* était installé pour
m’assurer un confort de vie semblable à
celui de l’hôpital. Leur stomathérapeute a
encadré les inrmières libérales dans la pose
technique de ces pansements qui accélèrent la
cicatrisation. En 2 mois, ma ‘‘boîte-aux-lettres’’
était refermée et je pouvais reconduire !
Merci à tous ces soignants... »
Joëlle Arambel,
PATIENTE (ST PALAIS)
Prise en charge en hospitalisation
à domicile (HAD).
Équipée par SSBR d’un lit médicalisé,
d’un fauteuil roulant, d’une chaise percée,
d’une table roulante et d’un déambulateur.
Jusqu’à 2 passages par semaine.
« On s’intéresse
l’un à l’autre. »
« Tout s’est compliqué après une infection
qui a accentué ma paralysie. Santé Service
Bayonne et Région me fournit une aide
à la toilette et au lever/coucher, matin
et soir. Je suis très heureux de pouvoir
rester chez moi, c’est beaucoup plus calme
qu’en établissement, j’ai mes copains pas
loin et ma famille auprès de moi. Surtout,
les aides-soignantes de SSBR sont très
professionnelles et très gentilles. Et notre
relation n’est pas seulement entre un
patient et un soignant, on s’intéresse l’un à
l’autre en tant qu’individus. »
PATIENT (BIARRITZ)
Pris en charge par le service de soins
inrmiers à domicile (SSIAD) Personnes
Handicapées.
2 passages par jour (aide-soignante).
« On ne peut vivre
l’un sans l’autre. »
« Pour Marie, aujourd’hui hémiplégique
après un accident vasculaire cérébral,
j’avais le choix entre une maison de repos
médicalisée ou une hospitalisation à domicile.
Ne pouvant pas vivre l’un sans l’autre, nous
avons fait appel à SSBR. Si je m’occupe d’elle
24h/24 et 7j/7, je ne peux me passer des
interventions des aides-soignantes : elles ont
ce savoir-faire pour la toilette et l’habillage
et, surtout, elles prennent leur temps,
s’appliquent dans leur travail, et s’adaptent
aux situations. Je suis là pour les aider, en
préparant leurs interventions, mais elles sont
aussi là pour me soutenir : le temps qu’on
passe à discuter, c’est bon pour le moral ! »
Jean Borda,
ÉPOUX DE PATIENTE (ANGLET)
Devenue dépendante, son épouse Marie
est prise en charge en HAD.
2 passages par jour (aide-soignante)
+ 1 passage par semaine (inrmière).
« On est rassurées par
le service de garde ! »
« Après sa chute, ça n’était plus possible. Un
corps, c’est lourd : il faut être deux pour la
toilette. Et, surtout, il y a un savoir-faire :
ce n’est pas une poupée qu’on lave et qu’on
habille. Si cette aide extérieure nous est
techniquement indispensable, les soignants
SSBR apportent aussi ce rayon de soleil que
ma mère attend chaque jour… et moi aussi !
On a besoin de cette compagnie, de ce va-et-
vient. On est aussi rassurées par le service de
garde inrmiers : vous pouvez les appeler
n’importe quand ! L’inrmière arrive vite,
évalue l’état de santé de ma mère et si besoin
appelle un médecin. Bref, on est sûres
d’être secourues. Avec cette tranquillité, ce
professionnalisme et cette gentillesse, ça
peut tenir le coup encore bien longtemps ! »
Marie-France Rivière,
FILLE DE PATIENTE (BIARRITZ)
Grabataire, sa mère Odette est prise en
charge par le SSIAD Personnes Âgées.
2 passages par jour (aide-soignante)
+ 3 séances par semaine (kinésithérapeute).
CE QU’EN DISENT LES AIDANTSCE QU’EN PENSENT LES PATIENTS