de temps entre les deux mesures vont donner une mesure objective du souvenir et de
l’oubli. C’est le véritable créateur de la méthode expérimentale.
En 1932, le psychologue Bartlett va émettre une critique à la fois fondé et infondé. Il
va s’en prendre aux travaux de Erbinghaus en disant que le caractère peu importante de
la sémantique de l’apprentissage. Il va être le premier à montrer que la mémorisation de
texte ne donne pas un souvenir statique mais donne à un souvenir qui continue d’être
élaboré, déformé et compléter avec le temps. Toutes ces modifications vont dépendre
des attentes ainsi que des conditions affectives ou encore des croyances ou des valeurs
auxquelles adhère le sujet. Bartlett va montrer que les attentes et la motivation d’un
individu est importante.
Ex : deux individu, l’un athée, l’autre croyant, on leur donne un texte et on leur demande
d’expliquer le texte un moi plus tard et ils auront un souvenir différent des choses auront
plus attiré l’attention du croyant que de l’athée.
La meilleur façon de mettre en évidence des déficits chez les cérébraux lésé, il existent
deux test dit de la boratoire et dit écologique qui renvoie à des taches qui ressemble au
quotidien. Quand on les test avec des test écologique, ils les réussissent toujours car ils
ont l’habitude de faire certaines choses du quotidien . Ce n’est pas le type de test
adéquat. La meilleur façon de le faire chuter est d’utilisé seulement les taches de labo.
Seul ces taches vont révéler la pathologie. Bartlett avait à la fois tort et raison.
Les découvertes de Pavlov sur le réflexe conditionné vont donné une orientation très
particulière à la psychologie scientifique. En effet, durant la période béhavioriste ou
comportementaliste, les psy vont se centrer sur l’apprentissage et ils vont laissé de côté
d’autres aspects fondamentaux de la mémoire tel que par exemple la structure des
connaissances ou encore comment fonctionne la mémoire autobiographique ? Il va falloir
attendre les années 60, ce que l’on a appelé la révolution cognitive pour voir réapparaitre
l’intérêt des psy pour la mémoire. Ils ne vont plus se limiter à l’étude des comportements
observables mais ils vont s’intéressé aux états internes de l’individu. La découverte de
l’ordi et de ses capacités de calcul ont encouragé les psy dans ce sens là. L’acticité
mentale va être assimilé à une activité de traitement de l’information. Le premier modèle
cognitiviste de la mémoire date de 1968 et il est l’œuvre de deux auteurs qui sont
Atkinson et Shiffrin . Leur modèle va avoir la particularité de distinguer deux types de
mémoire : la mémoire à court terme et la mémoire à long terme.
Ils seront les premiers à émettre que la mémoire est divisé en plusieurs mémoires.
I ou infos (Stimulus) MS (Mémoire Sensorielle) MCT (Mémoire à Court Terme)
MLT (Mémoire à Long Terme)
En 1972, le canadien Tulving va distinguer en MLT deux mémoire possible : la mémoire
sémantique qui est la mémoire des connaissances générale et abstraites et d’autres part,
la mémoire épisodique qui enregistre elle l’information relative à un évènement unique ou
un épisode. La mémoire sémantique est tout ce qui ne fait pas parti de la mémoire
épisodique, ce qui n’est pas daté, qui n’est pas situé dans l’espace. C’est tout ce qui n’est
pas personnel. La mémoire épisodique = voir plus tard en TD et CM.
Dans les années 80, Shacter va faire une distinction entre mémoire implicite et la
mémoire explicite. Il a découvert que certains apprentissage pouvait se faire de manière
non conscient. A l’insu du sujet, des informations sont apprises.