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Psychologie générale
Psychologie de la mémoire humaine - psychologie générale
La mémoire : on la définit par la capacité à réactiver partiellement ou totalement de
façon véridique ou erronée des événement du passé. Cela serait une forme particulière de
connaissance en l’occurrence la connaissance des événement du passé. Elle ne concerne
pas que le passé, elle va détermine largement ce que sera notre présent et notre avenir
et ceci donc en générant de façon permanent des cadres d’interprétation qui vont
façonner modeler nos anticipation. Donc la mémoire n’a pas pour seul fonction de
réactiver le passé, mais elle va permettre de faire de nouvelle acquisition.
Elle permet d’anticiper. La mémoire prospective, c’est la mémoire des actions à effectuer
dans le future. Ex : poster une lettre demain.
Le mot mémoire renvoie au grec mnémosyne qui est en relation avec la mytho, c’est-à-dire
une déesse, une maitresse de Zeus avec qui il a eu 9 filles ou muses qui sont les patronnes
de différents domaines. L’histoire est un contenu mémorielle.
Les métaphores utilisé pour expliquer pour expliquer la mémoire : la tablette de cire,
pour les grecs il s’agit d’une tablette recouverte de cire qui va se modeler par les
souvenirs pour former les connaissances. Ensuite, celle du labyrinthe, c’est-à-dire que les
anciens l’ont utilise pour tenter d’illustrer l’accès parfois compliqué et sinueux à un
souvenir . Puis, celle de la bibliothèque comme l’archivage des souvenirs et des
connaissances que l’on peut consulter comme une vrai bibliothèque avec des rayonnage.
Les auteurs de notre époque ont été des auteurs littéraire comme marcel Proust et
chateaubriand et sa mémoire d’outre tombe. Le biais essentiel de tentative de
comprendre ce qu’est la mémoire humaine est que pour expliquer il vont utiliser une
méthode : la méthode d’introspection. C’est l’attitude d’un individu qui essaye
d’autoanalyse pour comprendre son fonctionnement, trouver en soi son propre mode de
fonctionnement. Lorsqu’on le fait, on peut accéder à un niveau relativement correct , mais
jamais plus loin, plus profond. Les autres auteurs qui se sont intéressé à la mémoire sont
des philosophe comme Bergson qui va fondé son étude philo de la mémoire. Il va être le
premier a concevoir que la mémoire n’est pas un simple réservoir mais que au contraire
elle est une reconstruction dynamique c’est-à-dire active, en perpétuelle remaniement. Il
va utiliser lui aussi la méthode d’introspection.
Les deux auteur du début du 20 siècle : Ribot (Français) né en 1839 et Ebbinghaus
(allemand). Ribot va être le premier auteur à se démarquer de la méthode introspective
pour développer une méthode empirique d’étude de la psychologie applicable à la mémoire.
Cette méthode s’appelle la méthode pathologique. Pour ribot, c’est sous l’angle de la
pathologie d’une fonction que l’on peut appréhender son fonctionnement et sa structure.
Il faut donc étudier l’amnésie pour comprendre le fonctionnement normal de la mémoire.
On considère que ribot est le précurseur ou créateur de la neuropsychologie.
Erbinghaus est le premier expérimentaliste de la mémoire. Il a mesuré l’effet de
l’apprentissage sur la mémoire. Il a étudier le temps nécessaire pour apprendre des listes
de syllabes dénuer de sens et pour les réapprendre plus tard. Evidemment, la différence
de temps entre les deux mesures vont donner une mesure objective du souvenir et de
l’oubli. C’est le véritable créateur de la méthode expérimentale.
En 1932, le psychologue Bartlett va
émettre une critique à la fois fondé et infondé. Il
va s’en prendre aux travaux de Erbinghaus en disant que le caractère peu importante de
la sémantique de l’apprentissage. Il va être le premier à montrer que la mémorisation de
texte ne donne pas un souvenir statique mais donne à un souvenir qui continue d’être
élaboré, déformé et compléter avec le temps. Toutes ces modifications vont dépendre
des attentes ainsi que des conditions affectives ou encore des croyances ou des valeurs
auxquelles adhère le sujet. Bartlett va montrer que les attentes et la motivation d’un
individu est importante.
Ex : deux individu, l’un athée, l’autre croyant, on leur donne un texte et on leur demande
d’expliquer le texte un moi plus tard et ils auront un souvenir différent des choses auront
plus attiré l’attention du croyant que de l’athée.
La meilleur façon de mettre en évidence des déficits chez les cérébraux lésé, il existent
deux test dit de la boratoire et dit écologique qui renvoie à des taches qui ressemble au
quotidien. Quand on les test avec des test écologique, ils les réussissent toujours car ils
ont l’habitude de faire certaines choses du quotidien . Ce n’est pas le type de test
adéquat. La meilleur façon de le faire chuter est d’utilisé seulement les taches de labo.
Seul ces taches vont révéler la pathologie. Bartlett avait à la fois tort et raison.
Les découvertes de Pavlov sur le réflexe conditionné vont donné une orientation très
particulière à la psychologie scientifique. En effet, durant la période béhavioriste ou
comportementaliste, les psy vont se centrer sur l’apprentissage et ils vont laissé de côté
d’autres aspects fondamentaux de la mémoire tel que par exemple la structure des
connaissances ou encore comment fonctionne la mémoire autobiographique ? Il va falloir
attendre les années 60, ce que l’on a appelé la révolution cognitive pour voir réapparaitre
l’intérêt des psy pour la mémoire. Ils ne vont plus se limiter à l’étude des comportements
observables mais ils vont s’intéressé aux états internes de l’individu. La découverte de
l’ordi et de ses capacités de calcul ont encouragé les psy dans ce sens là. L’acticité
mentale va être assimilé à une activité de traitement de l’information. Le premier modèle
cognitiviste de la mémoire date de 1968 et il est l’œuvre de deux auteurs qui sont
Atkinson et Shiffrin . Leur modèle va avoir la particularité de distinguer deux types de
mémoire : la mémoire à court terme et la mémoire à long terme.
Ils seront les premiers à émettre que la mémoire est divisé en plusieurs mémoires.
I ou infos (Stimulus) MS (Mémoire Sensorielle) MCT (Mémoire à Court Terme) MLT (Mémoire à Long Terme)
En 1972, le canadien Tulving va distinguer en MLT deux mémoire possible : la mémoire
sémantique qui est la mémoire des connaissances générale et abstraites et d’autres part,
la mémoire épisodique qui enregistre elle l’information relative à un évènement unique ou
un épisode. La mémoire sémantique est tout ce qui ne fait pas parti de la mémoire
épisodique, ce qui n’est pas daté, qui n’est pas situé dans l’espace. C’est tout ce qui n’est
pas personnel. La mémoire épisodique = voir plus tard en TD et CM.
Dans les années 80, Shacter va faire une distinction entre mémoire implicite et la
mémoire explicite. Il a découvert que certains apprentissage pouvait se faire de manière
non conscient. A l’insu du sujet, des informations sont apprises.
En 1974, Baddeley (1974 ) a proposé la notion de mémoire de travail. C’est une forme
de mémoire qui nous permet de réalisé dans un intervalle de temps bref plusieurs taches
mentales simultanément.
Ex : le calcul mental.
Cette multiplication ou explosion du nombre de mémoire possible a provoqué de nombreux
débat sur la multiplicité des systèmes de mémoire. De nos jours, les chercheurs ont
élargis leurs champs d’intérêt. On étudie de plus en plus l’interaction qui existe entre la
mémoire, émotion et personnalité. On s’intéresse aussi de plus en plus aux troubles de
mémoire dans les maladies mentales. En faites, on s’intéresse aussi aux aspects sociaux
de la construction des souvenirs notamment tout ce qui renvoie à la mémoire collective.
On parle de la mémoire de Vichy, de
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