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l'ADN. Cependant, ces thérapies se heurtent à la très grande résistance intrinsèque des
cellules tumorales du poumon aux thérapies conventionnelles et à de fréquentes
résistances.
Objectif principal : Cette étude vise à identifier de nouvelles voies de signalisation
impliquées dans la survie des cellules cancéreuses du poumon et à explorer si l'inhibition de
ces voies augmentent l'efficacité des traitements. Il s’agit de déterminer des thérapies
innovantes pour traiter les cancers du poumon.
L’équipe de recherche : le projet est piloté le Dr. Antonio MARAVER, responsable de
l'équipe IRCM "Voies Oncogéniques dans le Cancer du Poumon".
Financement : 45 000 euros
2/ Un projet de recherche translationnelle dans le cancer du sein
Nom du projet : Impact de la détection de mutations de la PIK3CA dans l’ADN circulant
comme potentiels nouveaux biomarqueurs d’hormono-sensibilité dans les cancers du sein.
Etude ancillaire du protocole miRho.
Contexte : Plus de 70% des cancers infiltrant du sein expriment le récepteur des
œstrogènes alpha, la principale cible des traitements hormonaux. Malgré l’expression des
récepteurs hormonaux, 30 à 40% de ces patientes présentent une résistance initiale à
l’hormonothérapie, et d’autres développent à terme une résistance secondaire en particulier
en situation métastatique.
Objectif principal : Cette étude vise à suivre l’évolution de l’ADN tumoral circulant chez des
patientes atteintes d’un cancer du sein traitées par hormonothérapie, et à établir des
corrélations entre les mutations du gène PIK3CA et la réponse au traitement.
L’équipe de recherche : le projet est piloté par le Dr William JACOT et le Dr Evelyne
CRAPEZ, avec le soutien de l’Unité de Recherche Translationnelle de l’ICM.
Financement : 100 000 euros
3/ Un projet de recherche clinique dans le cancer colorectal
Nom du projet : NIPOX - Essai de phase I évaluant la tolérance de la chimiothérapie
intrapéritonéale en néoadjuvant dans le traitement des carcinoses péritonéales d’origine
colorectale.
Contexte : Le cancer colorectal est la 2ème cause de décès par cancer en Europe. Pour 40%
des patients touchés, des métastases se forment dans la cavité péritonéale (carcinose
péritonéale), réduisant le pronostic de survie. Pour 20% de ces patients, l’ICM propose une
technique de chirurgie associée à de la chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale
(« CHIP »).
Objectif principal : Cette étude vise à trouver une alternative thérapeutique pour les
patients atteints par un cancer colorectal avancé qui ne peuvent pas être opérés : la
chimiothérapie intrapéritonéale plutôt que la chimiothérapie en intraveineuse.
L’équipe de recherche : le projet est piloté par le Dr François QUENET et le Dr Olivia
SGARBURA, tous les deux chirurgiens à l’ICM.
Financement : 45 000 euros