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CARREFOUR INTERNATIONAL
DE THEATRE DE OUAGADOUGOU
« LES TROIS PETITS VIEUX
QUI NE VOULAIENT PAS MOURIR »
- Texte de Suzanne Van LOHUIZEN
- Co Mise en scène : Laure Azoumi GUIRE et Edwige KIEMTAREMBOUM
Dates : du 23 avril au 21 mai 2016
DOSSIER DE PRESSE
22 avril 2016
RC PS : 96-274/MATS/SGAT/DLPAJ 01 BP : 6739 Ouagadougou 01
Tél. [phone]
Site web: www.citotheatre.org E-mail: [email protected]
Le CITO, un maillon fort du théâtre au Burkina Faso !

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« Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir » du 23 avril au 21 mai 2016
Le CITO, un maillon fort du Théâtre au BURKINA FASO !
 LE CITO
Le CITO est une structure culturelle originale et atypique reconnue par récépissé n° 96-
274/MATS/SGAT/DLPAJ du 21 octobre 1996 amendé le 13/03/2005. Il est une organisation dont la
vocation est de rassembler sous le même parapluie des artistes exerçant dans des disciplines
aussi diverses que variées. Ainsi sont membres du CITO des comédiens, des metteurs en scène,
des musiciens, des chorégraphes, des conteurs, des scénographes, etc, tous motivés par la
conviction que l’union dans la diversité peut être un moteur de vitalité artistique pour un
développement culturel véritable au Burkina Faso.
Il compte 2 catégories de membres :
- Des membres individuels (plus de 609 en octobre 2015)
- Des membres sympathisants (compagnies ou troupes) au nombre de 49.
Tout ceci fait du CITO la plus grande association culturelle du Burkina Faso.
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Le Carrefour International de Théâtre de Ouagadougou
Présente
« LES TROIS PETITS VIEUX QUI NE VOULAIENT PAS MOURIR »
- Texte de Suzanne Van LOHUIZEN
- Co Mise en scène : Laure Azoumi GUIRE et Edwige KIEMTAREMBOUM
Dates : du 23 avril au 21 mai 2016
Tous les mercredi, jeudi, vendredi et samedi à 20 h 00
Entrée : 1 000 F CFA
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« Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir » du 23 avril au 21 mai 2016
Le CITO, un maillon fort du Théâtre au BURKINA FASO !
 CONTEXTE
En Mars 2016, le CITO innove en décidant d’accorder une carte blanche aux deux (02)
metteurs en scène féminins, Laure GUIRE et Edwige KIEMTAREMBOUM, à l’effet de
créer et proposer au public d’ici la mi-avril 2016, un spectacle de leur choix avec des
comédiens de leur choix.
Cette mesure exceptionnelle a pour objectifs de :
Promouvoir la notion du genre en renforçant les capacités des metteurs en scène féminins
formés par le CITO.
 Développer et stimuler le professionnalisme dans le milieu féminin du CITO.
 Répondre positivement aux réclamations et attentes du public.
Il est à noter que cette création est hors budgétaire et repose principalement sur
l’engagement volontaire des metteurs en scène, des comédiens et des techniciens qui s’y
impliquent. L’ensemble des membres du CITO a donc été invité à soutenir cette équipe
« Commando » qui est allée au charbon pour l’honneur et le bonheur de la maison.
 LA PIECE
 Résumé:
« Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir ».
Trois vieux se retrouvent dans une maison, abandonnés à eux-mêmes. Ils ont partagé une
bonne partie de leurs années de vie sans rien ni personne : Ils ne recevaient ni visite, ni
coup de fil, ni courrier…
Voilà qu’un beau matin, à leur réveil, ils trouvent une lettre. Une lettre qui leur
annonce… leur mort
 Note d’intention
Pourquoi ?
Parce que la pièce parle d’une fatalité la plus redoutée, cette étrangère qui n’est jamais la
bienvenue pour n’importe quel être : LA MORT
Comment ?
Dans un décor très simple (une boite noire) de trois lits, 3 fantômes. Les petits vieux se
défendent contre la mort. Pour montrer ainsi le coté enfantin des personnes du 3ème âge et la
perception de la mort à l’africaine. La sortie de l’âme qui fait faire des choses incroyables.
A penser que l’on peut se jouer la mort.
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« Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir » du 23 avril au 21 mai 2016
Le CITO, un maillon fort du Théâtre au BURKINA FASO !
 LES METTEURS EN SCENE ET LES
COMEDIENS
Edwige
KIEMTAREMBOUM est
une comédienne, conteuse,
metteur en scène burkinabè.
Elle débute le théâtre avec la
compagnie le Roseau en 2001
avant d’intégrer le CITO
comme membre quelques
années plus tard. Au Roseau,
elle joue et met en scène avec
sa camarade comédienne, la
conteuse Oliva
OUEDRAOGO, pour « Les
murs transparents ». C’est ainsi qu’elle découvre son goût pour la mise en
scène et saisit l’opportunité d’une formation donnée par le CITO en mise en
scène. Elle affute ses armes en assistant de grands metteurs en scène comme
Edward Lompo du Niger, avant de se voir confier par le CITO, la mise en
scène du spectacle, « Genèse d’une vie », puis celle du perturbant
« Comment je suis devenue Cinglée »
Sur la scène du CITO, Edwige KIEMTARBOUM a brillé dans de grandes
créations majeures comme « Soleil des Indépendances » de Moussa
SANOU, « Les voix du silence » mise en scène par Prosper KOMPAORE,
« LA FIN DE LA FAIM » adapté du roman « Les dieux délinquants » » de
Augustin Sondé COULIBALY, co-mise en scène par TINDANO Mahamadi
et Joseph KABORE…
Laure Azoumi GUIRE est une
comédienne, conteuse, metteur en
scène. Elle arrive au théâtre vers la fin
de ses études universitaires en 1996,
mais c’est en 1998 qu’elle intègre le
Théâtre de la Fraternité du Professeur
Feu Jean Pierre GUINGANE. Mais en
2001, le professeur la nommera à la
tête de la radio Gambidi. Apres deux
années dans un rôle de bureaucrate,
elle revient au théâtre par la grande
porte en signant avec le grand metteur
en scène Dani KOUYATE dans « On
ne paie pas ». Sur le conseil de ses
ainés et professeurs, elle s’inscrit à
l’Ecole Internationale du Bénin, d’où
elle sort trois années plus tard avec un
diplôme en Théâtre et une licence en
conception et mise en œuvre de projets culturels, un diplôme de l’université
Aix-en Provence de Marseille. Elle participe à une formation offerte par le
CITO en mise en scène. Elle est sollicitée pour la mise scène de la 30ème
création majeure du CITO, « LE CHARLATAN », une adaptation du roman
« Dr KNOCK » de Jules Romains. Elle a monté aussi « L’art » de Yasmina
REZA un spectacle qui a tourné en Afrique.
Laure Azoumi GUIRE partage son temps entre le Benin et le Burkina
dans de nombreuses créations qui font le tour du monde. En 2014, elle donne
la réplique à deux monstres du théâtre burkinabé Alain HEMA et Serge
HENRY dans « L’OURS », une mise en scène d’Ildevert MEDA.
Après la mise en scène de « Trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir »,
Laure GUIRE est attendue sur scène à Lyon, où elle jouera « Solitude »
d’André SCHWART BARTE les 28 et 29 avril 2016.

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« Les trois petits vieux qui ne voulaient pas mourir » du 23 avril au 21 mai 2016
Le CITO, un maillon fort du Théâtre au BURKINA FASO !
Rôle : Un fantôme
Kouanda Abdoul Rasmane, commence le théâtre en 2007
dans la troupe théâtrale de la Radio Télédiffusion du Burkina.
Une troupe spécialisé dans le théâtre de sensibilisation
(théâtre forum et le théâtre radiophonique). Avec cette troupe
il parcourt pendant trois ans les villes et villages du Burkina
sous la houlette de grands metteurs en scène comme Alassane
DAKISSAGA… Il bénéficie ensuite d’une bourse de
formation au CARTEL offerte par le CITO. « Les trois petit vieux qui ne voulaient
pas mourir » est sa toute première participation au CITO.
Rôle : Un fantôme
NACCANABO Jean Baptiste artiste comédien, musicien,
metteur en scène. Depuis 1998, il joue au théâtre en amateur à
l’église. C’est en 2008 à la suite d’une formation au CITO par
Paul ZOUGNANA et Moussa SOURGOU qu’il devient
professionnel de théâtre. Il s’investit également dans le partage
des connaissances reçues en initiant des enfants au théâtre.
Avec eux, Il met en scène « La femme de mon père n’est pas
ma mère » Lamoussa T. KAFANDO. Il écrit et met en scène en 2014, la pièce « On
gagne ou on gagne » qui s’est jouée au CITO en octobre 2014. Le public du CITO
sera impressionné par son calme et son style de jeu à l’humour nonchalant dans
« Trois prétendant un mari » et dans « L’or de Yennenga ».
Rôle : Un fantôme
NANA Hilaire, comédien, conteur, instrumentiste
traditionnel, commence le théâtre en amateur en 1990 à
l’Eglise St Pierre de Goughin. Aux environs de 1996, il entre
dans la compagnie « Le Roseau ». Membre du CITO en 2007,
il en est l’un des comédiens les plus adulés. Dès con premier
casting il est sélectionné pour « l’os de Morlam », avec Issaka
SAWADOGO. Il s’en suit une série de participations à de
grandes créations comme «Les voix du silence », « La fin de la
faim », « Trois prétendants, un mari », «Yamgouba, Roi du Kipirssi », « l’Or de
Yennenga » ou encore « Griffes de panthère » la dernière création majeure du
CITO, inspirée des contes du Larlé Naaba Ambga.
Rôle : Stanislas
OUATTARA Yacouba, est un comédien formé en 2012 à l’école
BOAMANI AFRICA par le metteur en scène et musicien Abidine
DOARI qui lui fera confiance en 2013 en lui accordant le rôle principal
dans « Yamgouba roi du Kipirssi ». Ce comédien en quatre années de
parcours s’est imposé sur les planches burkinabè par des créations
théâtrales comme « Crépuscules des temps anciens », ou « L’éléphant du
roi » une pièce que le CITO a reprise en 2015 pour une tournée
Nationale. Après « Genèse d’une vie », il bénéficie une fois de plus de la
confiance de Edwige KIEMTAREMBOUM en intégrant le casting de cette création
intitulée « Les petits vieux qui ne voulaient pas mourir ».
Rôle : Ernest
YRA Nabi Siaka, cet ancien comédien de l’ATB (1997-2000) estime
que la comédie chez lui est un don. Bien qu’il ait une prédilection pour
le théâtre, il est également une vedette du petit écran (Commissariat de
Tampy, l’As du Lycée…). Membre du CITO depuis 2000, il a
bénéficié de l’expérience de plusieurs metteurs en scène européens et
africains, ainsi qu’un passage de deux ans à l’Ecole International du
Benin (EIB). Ce qui justifie l’étalage de son talent dans des créations
majeures comme « songe d’une nuit d’été », « Le Charlatan », ou encore sa
prestation fulgurante dans « l’or de Yennenga », dans le rôle de Sibiri.
Rôle : Désiré
ZOUNGRANA Soumaila, commence le théâtre dans les années
2000 dans les activités scolaire. Mais sa passion le conduit vers des
grands noms du théâtre comme Alain HEMA, Ildevert MEDA avec
qui il se forme, loin des rares écoles conventionnelles qui étaient en
activité. En 2006, il intègre le CITO et une année plus tard, participe à
une création majeure avec le Ildevert MEDA dans « Monsieur de
Pourceaugnac » de Jean MOLIERE. Ensuite, il s’inscrit dans une
longue liste de participations importantes au CITO comme
ailleurs, grâce auxquelles il fait le tour de l’Afrique et du Monde : « Je
soussigne cardiaque » par Alougbine DINE (Bénin), « Le charlatan »
avec Laure GUIRE(Burkina), « Sevrage » et « L’or de Yennenga » avec
Roger NYDDEGER (Suisse)