sémiologie DCEM1
splénomégalie
A. Delmer
adénopathies
follicule secondaire
follicule primaire capsule
territoire T
lymphatique
efférent
lymphatique
afférent
A V L
sinus marginal
médullaire : zone B
corticale externe : zone B
corticale profonde : zone T
• organes lymphoïdes secondaires (comme la rate et les plaques de Peyer)
- présentation de l’antigène par cellules macrophagiques (cellules réticulaires dendritiques)
- activation et expansion clonale des lymphocytes T et B réponse cellulaire et humorale
• siège de la 1ère étape de la réaction immunitaire :
ganglions lymphatiques
• augmentation de volume d’un (ou plusieurs) ganglion(s) lymphatique(s)
• étiologies multiples
• démarche clinique méthodique / bon sens
principales aires ganglionnaires
superficielles profondes
- cervicales : sous-maxillaires
jugulo-carotidiennes
spinales, trapéziennes
- sus-claviculaires
- axillaires
- inguinales (Scarpa, rétrocrurales)
- épitrochléennes, poplitées
- médiastinales : latérotrachéales,
interbronchiques
péribronchiques
- abdominales : rétropéritonéales
mésentériques
- pelviennes : iliaques internes
iliaques externes
adénopathies
principales aires ganglionnaires
aires ganglionnaires cervicales
prolifération lymphocytaire « physiologique » réactionnelle à la
stimulation antigénique loco-régionale (infectieuse ou tumorale) ou
générale (infectieuse ou dysimmunitaire)
colonisation par des cellules tumorales non lymphoïdes (métastases
ganglionnaires)
prolifération tumorale primitive du tissu lymphoïde (lymphomes malins)
accumulation de cellules granuleuses et/ou d’histiocytes (cellules
épithélioïdes et géantes) lors de réactions inflammatoires aiguës ou
chroniques
mécanismes responsables des adénopathies
adénopathie(s) : diagnostic clinique
- siège
- circonstances d’apparition
(interrogatoire)
- contexte
1
- caractéristiques cliniques
- taille ?
- consistance ?
- signes inflammatoires (périadénite)?
- mobili/ fixité par rapport aux
plans profonds ?
- signes compressifs
2
- autres aires ganglionnaires
superficielles : adénopathie isolée ou polyadénopathie ?
-présence d’une splénomégalie ?
3
adénopathie isolée : rechercher une lésion infectieuse ou tumorale
dans le territoire de drainage (+++)
siège rechercher une lésion infectieuse ou
tumorale au niveau de :
cervical sphère ORL, cavité buccale
thyroïde
cuir chevelu
axillaire membre supérieur
sein
inguinal membre inférieur
organes génitaux externes : pénis, scrotum, vulve
région anale
sus-claviculaire médiastin, bronches
étage sous-diaphragmatique : tube digestif
testicule
diagnostic d’une adénopathie superficielle isolée
3 cm Ø
4 cm Ø 1.5 cm Ø
rate + 5 cm
données de l’examen clinique consignées sur un schéma ...
imagerie : explorations des aires ganglionnaires profondes
sus-diaphragmatique
sous-diaphragmatique
cliché thoracique
scanner thoracique
échographie (limites)
scanner abdomino-pelvien
lymphographie : obsolète
imagerie conventionnelle
sus et sous-diaphragmatique
scintigraphie au citrate de gallium
PET-scan (18-deoxyfluoroglucose)
imagerie « fonctionnelle »
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