Coup d`oeil sur les traitements - When your partner has prostate

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B592_Sanofi Booklet_2016_French_Layout 1 2016-04-04 12:05 PM Page 6
Qui devrait envisager ce traitement ?
Effets secondaires possibles (+=oui, -=non)
Coup d’oeil sur les traitements
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Nom
Attente sous surveillance /
Surveillance active
Prostatectomie
radicale
Radiothérapie
externe
Curiethérapie
Hormonothérapie
Chimiothérapie
Cryochirurgie/
Cryothérapie
Ultrasons focalisés
de haute intensité (HIFU)
Thérapies
complémentaires
Description
Évolution du cancer
suivie de près par des
visites régulières chez
le médecin pour les TR, tests
d’APS et biopsies.
Ablation complète
de la prostate et des
vésicules séminales
réalisée habituellement
par une grande ou
plusieurs petites
incisions dans
l’abdomen. Peut être
associée à d’autres
thérapies si le cancer
s’est propagé.
Énergie radioactive dirigée
sur la prostate pour détruire
les cellules cancéreuses.
Une séance par jour, cinq
jours par semaine pendant
cinq à huit semaines.
De petits grains radioactifs
sont insérés directement
dans la prostate. Ces
implants restent actifs
pendant environ six mois,
puis sont laissés en
permanence dans la
prostate. Curiethérapie
à forte dose : les grains
sont insérés temporairement
à l’aide de tubes. Traitement
associé habituellement à
la radiothérapie externe.
Inhibition des hormones
favorisant la croissance
du cancer au moyen de
médicaments oraux ou
injectables. Traitement
utilisé avant la radiothérapie
pour réduire la tumeur et
ralentir sa croissance, ou à
la suite de la prostatectomie
ou la radiothérapie pour
traiter les cellules
cancéreuses restantes.
Médicaments
détruisant
les cellules
cancéreuses.
Surtout employée
lorsque l’hormonothérapie
n’est plus efficace
ou en présence
d’un cancer
au stade avancé
pour soulager
la douleur.
Injection d’azote
liquide ou d’argon
gazeux dans la
prostate par le
périnée pour geler
et détruire les cellules
cancéreuses.
Traitement non invasif d’un
cancer localisé. Au lieu de
la prostatectomie ou de la
radiothérapie, ce traitement
utilise l’énergie d’ultrasons
focalisés de haute intensité
(ondes sonores) pour
détruire des régions précises
de la prostate. Le traitement
est réalisé par voie transrectale
sous anesthésie rachidienne
péridurale avec sédation
intraveineuse.
Thérapies administrées
en concomitance avec
d’autres traitements
simultanés, notamment :
acupuncture, massage
et modification du
mode de vie (activité
physique, régime
alimentaire, méditation
et supplément
vitaminique).
Rétablissement
Minime —
après la biopsie
Court séjour à l’hôpital
(deux à cinq jours) suivi
d’un mois de convalescence et plus à domicile. Maintien en place
de la sonde pendant
une à trois semaines
après la prostatectomie.
Pas d’hospitalisation.
Traitements fréquents, mais
courts. Effets secondaires
courants : fatigue, perte
de poils dans la zone
irradiée et réaction cutanée.
Trouble urinaire et anal/
rectal possible.
Requiert une anesthésie
générale ou épidurale.
Glande prostatique
temporairement enflée.
Difficulté à uriner, diarrhée
et saignement rectal
possibles.
Risque continu de bouffées
de chaleur, manque
d’énergie, sensibilité ou
gonflement des seins, perte
de masse musculaire. Risque
élevé d’ostéoporose, de
dépression, sautes d’humeur
et perte du désir sexuel.
Selon les médicaments utilisés.
Effets secondaires
temporaires :
nausées, perte de
cheveux, fatigue,
vomissements,
diarrhée.
Convalescence courte.
Pas d’hospitalisation.
Traitement sous anesthésie
rachidienne et sans
radiothérapie pouvant être
répété au besoin. Sonde
laissée en place pendant une
semaine après le traitement.
Taux
de guérison
Méthode non curative.
La meilleure option
si le cancer ne
s’est pas propagé
au-delà de la capsule
prostatique.
Très efficace si le cancer ne
s’est pas propagé au-delà
de la capsule prostatique.
Réapparition possible des
cellules cancéreuses si elles
ne sont pas toutes détruites.
Varie selon la gravité
de la tumeur.
Traitement non
curatif visant seulement
la rémission. Ralentit la
croissance des tumeurs
et en réduit la taille.
Traitement
non curatif.
Inconnu, car thérapie
relativement nouvelle.
Rôle encore controversé
comme traitement de première
intention. Pas de résultats
à long terme permettant de
mesurer ses effets.
Fonction principale :
soutenir la qualité de vie.
Douleur
+ (après la biopsie)
++
–
+
–
–
–
Déformation
–
+
+
–
–
–
–
Incontinence
–
+
+
+
–
++
–
–
Dysfonctionnement
érectile
–
+++
50 à 100 %
+++
40 à 60 %
++
20 à 50 %
++
++
Problèmes
psychologiques
+
++
++
+
+++
Fertilité
–
+++
++
++
Meilleurs
candidats
• Mauvais état de santé
général éliminant la prostatectomie ou les autres options
non adaptées au patient.
• Examens indiquant un
cancer à faible risque
(évolution lente, peu
de cellules atteintes).
• Âge avancé (70+).
• Cancer bien accepté.
• Cancer limité à la
prostate et aux tissus
adjacents.
• Patient pouvant
prendre un
congé pour le
rétablissement.
• Espérance de vie de
7 à 10 ans.
• Problèmes de santé
rendant la prostatectomie
risquée.
• Patients vivant près d’un
centre de traitement.
• Cancer limité à la prostate.
• Patient ne pouvant
s’absenter du travail.
• Patients ne vivant pas près
d’un centre de traitement.
Exclusions
• Cancer de type agressif ;
biopsies indiquant une
grande quantité de
tissus cancéreux.
• Patient gérant mal
l’incertitude.
• Problèmes de
santé rendant la
prostatectomie
risquée.
–
–
++
+
–
–
• Cancer propagé à
d’autres régions du
corps ou réapparu
après d’autres types
de thérapies.
• Patients ayant une courte
espérance de vie.
• Bien que ce traitement ne soit pas
curatif, les études
démontrent qu’il
peut augmenter
considérablement
les chances de
survie d’un cancer
résistant à l’hormonothérapie.
• Cancer au stade
précoce ou
radiothérapie
inefficace.
• Cancer limité
à la prostate.
–
–
• Cancer au stade précoce
de faible grade limité à
la prostate.
• Tous les patients ;
choix en fonction de la
situation de chacun.
• Cancer agressif.
• Obstruction prostatique.
CANCER DE LA PROSTATE
CANCER DE LA PROSTATE
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