Gestion du risque a posteriori : cas de - CCLIN Paris-Nord

Gestion du risque a posteriori :
cas de transmission de E.cloacae
BLSE et duodenoscopes
C. CHEFSON-GIRAULT
Introduction
Depuis 2003 2007 : Textes et recommandations
en endoscopie Prélèvements microbiologiques
Niveau de contamination d’un endoscope après un
acte d’endoscopie et avant traitement :
106 à 107 UFC par bronchoscope ou par duodénoscope
108 à 1010 UFC par coloscope
+ risque viral (arbre bronchique, digestif, hématogène)
Germes d’origine endogène (patient) ou exogène
(défaut matériel, procédure, dysfonctionnement…)
C. CHEFSON-GIRAULT 2
Qu’est qu’un biofilm ?
1 : Les bactéries (-) se rapprochent de la surface interne des canaux (+), s’y fixent et y adhèrent
2 : sécrétions d’exopolysaccharides pour se protéger
3 et 4 : création d’une matrice qui va protéger les bactéries (500 fois plus résistante qu’une bactérie en
suspension)
5 : Phénomène d’accélération avec multiplication et relargage intermittent de bactéries dans l’environnement
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C. CHEFSON-GIRAULT
Peg Dirckx - David Davies 2003
Qu’est qu’un biofilm ? Pliure au
niveau du
béquillage
Rayures engendrées par les pinces à biopsie
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C. CHEFSON-GIRAULT
Surveillance microbiologique au CHU
Endoscopes
Contrôles
Programmés
Contrôles ponctuels notamment
prêt d’endoscope, nouvel appareil
retour de maintenance (après procédure renforcée systématique)
Validation si changement de procédure / LDE
Prélèvements au DNP
Canal / canal
après au moins 6h de stockage
LDE : eau d’alimentation, eau de rinçage terminal +/- eau lavage
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