
DESCRIPTION DU RISQUE IMPACT POTENTIEL FACTEURS ET MESURES DE MITIGATION
Programme de 
développements pour 
compte propre excessif
Incertitude sur les recettes futures Activité limitée à maximum 10
% de la juste valeur du 
portefeuille.
Gestion défaillante des 
grands travaux
1. Non respect du budget et timing.
2.  Augmentation des coûts et/ou 
diminution des revenus ; impact négatif 
sur la rentabilité des projets.
Équipe interne de Project Management spécialisée. (1,2)
Project Managers externes spécialisés, sélectionnés pour les 
projets de plus grande taille. (1,2)
Variation négative de 
la juste valeur des 
immeubles
Impact négatif sur le résultat net, la valeur 
de l’actif net et le ratio d’endettement.
Au 31.12.2014, une variation de valeur 
de 1
% aurait eu un impact de l’ordre de 
€
31,99
millions sur le résultat net et de 
l’ordre de €
1,78 sur la valeur intrinsèque 
par action (contre respectivement 
€
33,47
millions et €
1,90 au 31.12.2013).
Elle aurait également un impact sur le 
ratio d’endettement de l’ordre de 0,44
% 
(contre 0,44
% au 31.12.2013)
Patrimoine immobilier valorisé par des experts indépendants 
selon une périodicité trimestrielle favorisant la prise de 
mesures correctrices.
Politique d’endettement clairement définie et prudente.
Stratégie d’investissement orientée vers des actifs de qualité 
et offrant des revenus stables.
Portefeuille multi-actifs sujet à différentes tendances de 
valorisation pouvant se compenser.
Actif principal représentant seulement 3,1
% du portefeuille 
(voir page
32).
Variation négative de la 
juste valeur des biens 
immobiliers sur la capacité 
pour la société à distribuer 
un dividende
Incapacité partielle ou totale verser un 
dividende si les variations cumulées 
de juste valeur dépassent les réserves 
distribuables.
La société dispose d’importantes réserves distribuables, pour 
un montant de €
174,5
millions.
Dans le passé, le Groupe a réalisé certaines opérations 
lui permettant d’assurer la distribution de son dividende : 
distribution de dividendes par les filiales à la maison-mère 
et requalification de réserves indisponibles en réserves 
disponibles correspondant à des plus- values réalisées lors 
de fusions avec la société-mère1.
Vacance locative (non 
occupation)  
des immeubles
1. Perte de revenus locatifs.
2.  Niveaux de loyers revus à la baisse et 
octroi de gratuités/incentives.
3.  Frais commerciaux majorés pour attirer 
de nouveaux locataires, impactant les 
résultats.
4. Baisse de valeur des immeubles.
Au 31.12.2014, une variation de valeur 
de 1
% aurait eu un impact de l’ordre de 
€
31,99
millions sur le résultat net et de 
l’ordre de €
1,78 sur la valeur intrinsèque 
par action (contre respectivement 
€
33,47
millions et €
1,90 au 31.12.2013).
Elle aurait également un impact sur le 
ratio d’endettement de l’ordre de 0,44
% 
(contre 0,44
% au 31.12.2013)
Gestions commerciale et immobilière (pro)actives par des 
équipes de location et de Property Management internes. (1,3)
Durée moyenne des baux élevée (11,0
ans) avec maximum 
13
% arrivant à échéance lors d’une seule année. (1, 2,4)
Préférence donnée aux baux de longue durée :
les immeubles de bureau sont, si possible, loués à moyen 
voire long terme ; l’immobilier de santé à très long terme 
(durée initiale de 27
ans en Belgique, 12
ans en France, 15 
ans aux Pays-Bas, 25 ans en Allemagne) ; les pubs pour une 
durée initiale de minimum 23
ans et les agences de services 
financiers (louées à MAAF) pour une durée initiale de 9,7
ans ; 
le taux d’occupation des bureaux s’élève à 90,4
% ;  ceux 
de l’immobilier de santé et de l’immobilier de réseaux de 
distribution s’élèvent respectivement à 99,1
% et 98,4
%. (1, 2,4)
Au 31.12.2014, le taux d’occupation global2 était de 95,2
% 
contre 95,4
% en 2013 soit une baisse de 0,21
%.
Frais de maintenance Diminution des résultats. La quasi-totalité des baux pour l’immobilier de santé sont des 
contrats triple net ; pour les cafés/restaurants et agences, les 
obligations d’entretien sont limitées. Pour les bureaux, une 
politique de maintenance périodique est appliquée.
Usure et dégradation des 
immeubles
Obsolescence architecturale, technique 
ou du point de vue environnemental et 
par conséquent attrait commercial des 
immeubles réduit.
Politique de remplacement d’équipements systématique à 
long terme.
Rénovation régulière des immeubles pour qu’ils restent 
attractifs.
Cession d’immeubles si le prix offert est supérieur à la valeur 
estimée nette des frais de rénovation anticipés.
Destruction des 
immeubles
Activité interrompue et par conséquent 
perte du locataire et revenus locatifs 
diminués.
Portefeuille assuré pour une valeur totale de reconstruction 
de €
1,57
milliard3 (i.e. vs. la juste valeur, terrain compris, de 
€
1,35
milliard pour les mêmes biens). Couverture contre les 
vacances locatives occasionnées par calamités. Assurance 
de la responsabilité civile du propriétaire ou du maître 
d’ouvrage.
1  Pour rappel, le transfert de €
214 087 000 approuvé par l’Assemblée Générale 
Extraordinaire du 29.03.2011 a eu pour impact, d’une part, de relever d’autant le 
montant distribuable et de rendre positif le montant total des réserves statutaires 
et du résultat reporté de Cofinimmo SA et, d’autre part, de diminuer l’ensemble 
constitué du capital social et des primes d’émission.
2 Le taux d’occupation est calculé sur base des loyers contractuels et des loyers 
potentiels du vide locatif.
3 Ces assurances couvrent 44,8% du portefeuille (100% en prenant compte les 
assurances prises par les occupants). Ce montant n’inclut pas les assurances 
prises en cours de chantiers ni celles dont les occupants sont en charge 
contractuellement (i.e. pour l’immobilier de santé en Belgique, en France, aux 
Pays-Bas et en Allemagne, l’immobilier de réseaux de distribution et certains 
immeubles de bureaux). La prime d’assurance correspondant est de €
823 098.
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