fermer le circuit.
On observe des courbes de type exponentielles. Plus on impose une tension importante, plus le
courant est grand, donc plus la vitesse de la réaction qui se passe
rapide.
ce n’est pas ce qu’on lit sur la courbe.
bien supérieure. Donc il faut appliquer une tension supérieure à celle prévue par la
thermodynamique. Il existe donc des surtensions.
On mesure les surtensions pour une valeur de courant donnée.
Rq
: on peut aussi mesurer les surtensions
I.3.3
Influence du type d’électrode
Les surtensions ne sont pas les mêmes avec les 2
électrodes. Donc d’un point de vue industriel,
lorsqu’on réalise une électrolyse,
connaître l
e comportement d’un couple sur les
différentes électrodes pour minimiser les surtensions
à appliquer.
Pourquoi ces surtensions ?
Pour que la réaction ait lieu, il
faut imposer une ddp supérieure au potentiel d’équilibre du
couple. On visualise ici un des a
spects cinétiques des réactions
d’oxydoréduction = transfert de charge
transférer ses électrons avec l’électrode. Si l’électrode est
recouverte d’oxydes, ce transfert est ralenti.
système de systèmes lents.
Tous les systèmes ont-
systèmes (couple/électrode) pour lesquels les paramètres
cinétiques sont négligeables ?
∆
∆∆
∆E
II.
Etude d’un système rapide
100 Manip n°59 p.169
On visualise un système ra
pide, sans surtension. Il existe
donc 2 types de systèmes : les
systèmes lents. Fe
3+
+ e- → Fe
2+
On a ici uniquement un échange d’électrons. Dans le cas
de l’eau, il y a des ruptures au niveau des molécules (ce
n’est pas simplement
expliquer le fait qu’un couple soit rapide ou lent.
On visualise également sur ces courbes (qui ne sont
de simples exponentielles, mais qui possèdent un palier),
ce qu’on appelle un palier de diffusion.
st
ationnaire est atteint, c’est le transfert de matière qui
devient le facteur limitant. Celui
trois formes : -
migration des ions (action d’un champ
électrique)
-
convection (action d’une agitation mécanique notamment)
On observe des courbes de type exponentielles. Plus on impose une tension importante, plus le
courant est grand, donc plus la vitesse de la réaction qui se passe
au niveau de l’électrode est
I.3.1
étude de la réduction de l’eau
2 H
3
O
+
+ 2e
-
= H
2
+ 2 H
2
O
En théorie, le dégagement de H
- 0,06 pH=0V
Sur platine, on lit sur la courbe que le potentiel à
imposer correspond à celui du
I.3.2
étude de l’oxydation de l’eau
H
2
O = ½ O
2
+ 2H
+
+ 2e-
En théorie, le dégagement de O2 doit se faire à
E=E°+0,03log[H
+
]
2
p
O21/2
ce n’est pas ce qu’on lit sur la courbe.
On commence à voir apparaître un couran
bien supérieure. Donc il faut appliquer une tension supérieure à celle prévue par la
thermodynamique. Il existe donc des surtensions.
On mesure les surtensions pour une valeur de courant donnée.
: on peut aussi mesurer les surtensions
directement dans la cuve à électrolyse à l’aide d’une ECS.
Influence du type d’électrode
Les surtensions ne sont pas les mêmes avec les 2
électrodes. Donc d’un point de vue industriel,
e comportement d’un couple sur les
différentes électrodes pour minimiser les surtensions
Pour que la réaction ait lieu, il
faut imposer une ddp supérieure au potentiel d’équilibre du
spects cinétiques des réactions
d’oxydoréduction = transfert de charge
. En effet, l’eau doit
transférer ses électrons avec l’électrode. Si l’électrode est
recouverte d’oxydes, ce transfert est ralenti.
On qualifie ces
ou existe t-il des
systèmes (couple/électrode) pour lesquels les paramètres
= ∆
∆∆
∆E
thermo
+ surtensions + rI
Etude d’un système rapide
pide, sans surtension. Il existe
rapides et les
On a ici uniquement un échange d’électrons. Dans le cas
de l’eau, il y a des ruptures au niveau des molécules (ce
-), ce qui peut
expliquer le fait qu’un couple soit rapide ou lent.
On visualise également sur ces courbes (qui ne sont
pas
de simples exponentielles, mais qui possèdent un palier),
ce qu’on appelle un palier de diffusion.
Quand le régime
ationnaire est atteint, c’est le transfert de matière qui
ci peut avoir lieu sous
migration des ions (action d’un champ
convection (action d’une agitation mécanique notamment)
On observe des courbes de type exponentielles. Plus on impose une tension importante, plus le
au niveau de l’électrode est
étude de la réduction de l’eau
(cathode) :
En théorie, le dégagement de H
2
doit se faire à E=E°
Sur platine, on lit sur la courbe que le potentiel à
imposer correspond à celui du
couple H
+
/H
2
.
étude de l’oxydation de l’eau
(anode) :
En théorie, le dégagement de O2 doit se faire à
-0,06 pH=1,23. Mais
On commence à voir apparaître un couran
t pour un tension
bien supérieure. Donc il faut appliquer une tension supérieure à celle prévue par la
directement dans la cuve à électrolyse à l’aide d’une ECS.