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d'informations nutritionnelles
Viser à l'acquisition d'un capital culinaire/ alimentaire pour restaurer la confiance en ses
capacités à bien s'alimenter auprès :
- des enfants scolarisés
- des hommes
- des personnes relais (médecin généraliste, sage-femme, animateur culturel, etc.)
2. Le poids de l'industrie agroalimentaire et le système de
distribution des denrées en GMS
Une praticité perçue négativement
L'emballage des produits, source de confusion nutritionnelle
La cacophonie alimentaire créatrice de « détresse alimentaire »
Agir sur les modes de prévention
3. Le refus d'intégration des préoccupations pour la santé ?
L’apparition d’une nouvelle norme : la nourriture comme vecteur essentiel de la santé
Considérer les habitudes alimentaires comme le résultat de processus complexes qui vont
dépendre de l’âge, de la position sociale, du moment de la vie, etc. …
Des facteurs favorisent les changements, permettant de cibler plus efficacement
l'information : les micro-changements sociaux à l'échelle individuelle
Repenser l'adéquation « alimentation et santé » en parlant plutôt d'alimentation et de bien-
être
Conclusion
Importance des forces normatives et contraignantes qui imprègnent le champ de
l'alimentation. On est loin d'une image statique de l'alimentation / des habitudes
alimentaires.
Penser en terme de “système alimentaire” :
- Intégrer la multiplicité des facteurs en jeux qui interagissent dans les habitudes /
pratiques alimentaires.
- Tenir compte de l'interdépendance des facteurs environnementaux, sociaux, individuels,
économiques, politiques et culturels en matière d'alimentation avec des variables comme :
l’âge, le moment de la vie, le rythme de vie, les revenus et le statut social, la composition
familiale, le genre, la région d'origine et de résidence, l'histoire familiale, l'état de santé,
etc.