dossier de presse

Un nouveau concept d’hôtellerie 2 étoiles
des hôtels économiques et écologiques

Peintures minérales, placages en noyer, revêtements de sols recyclés :
Jean-Marie Guéno, créateur des intérieurs EcoNuit, fait entrer le design
écologique dans une chaîne 2 étoiles économique…
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À l’origine du concept EcoNuit, le Groupe GHP Hôtels qui exploite déjà
deux hôtels 3 étoiles : l’hôtel de la Cité à Guérande et l’hôtel de la
Plage à saint Marc sur mer, et prochainement le Best Western Garden
and Spa à la Baule…
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(*) Tarifs variant de 39 € à 69 € en chambre standard.
Une construction en béton cellulaire à très hautes performances
énergétiques, avec panneaux photovoltaïques et récupérateurs d’eau
de pluie : l’équation de l’écologique économique résolue par Joël
Gimbert, l’architecte…
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Le premier hôtel EcoNuit a ouvert ses portes le 23 juin 2011 à Guérande,
sur le domaine de Bréhadour. 70 chambres d’hôtels supplémentaires
dans une ville qui n’en comptait que la moitié il y a trois ans…
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Une hôtellerie innovante
Lorsqu’il s’est penché sur le projet EcoNuit,
le designer de Nantes Jean-Marie Guéno
a choisi de partir de l’incontournable pour
arriver à la création, dans les chambres, les
couloirs, la salle du petit déjeuner et, bien sûr,
à l’accueil. Son objectif : garantir que la qualité,
le confort et le bien-être étaient au rendez-vous.
Trois lignes d’harmonie sont ressorties : l’épure,
l’intégration et la couleur, appliquées aux revêtements
(sols et murs) et aux meubles (en placage noyer naturel).
Dans les chambres (pièces identiques), 4 ambiances
différentes sont proposées, avec une dominante verte,
beige, taupe ou violette. La couleur change sur le mur
de la tête de lit, à l’intérieur du placard, ainsi que sur
le mur de l’espace douche. L’utilisation de peintures
minérales naturelles mates et de tons clairs permet par
ailleurs de mieux restituer les volumes. De leur côté, les
tissus – légers – sont eux aussi déclinés, du taupe au
beige. Partout, l’espace est optimisé dans un souci de
fonctionnalité maximale, de dynamisme et de modernité.
Ainsi, le bureau s’inscrit dans la continuité de la tête de
lit et du chevet et le placard est une enclave dans un
angle de la salle de bains. Les meubles de toutes les
pièces et le buffet du petit déjeuner sont faits sur mesure.
Tous intègrent dans leur conception les obligations en
matière d’accessibilité des personnes à mobilité réduite.
Tous rendent la déambulation et l’utilisation de l’espace
évidents.
Un compromis avantageux
Des meubles aux accessoires de salle de
bains, en passant par les produits à usage
unique et les objets décoratifs, chaque
“composé” répond au cahier des charges
de la marque EcoNuit, compromis permanent
entre l’écologie et l’économie :
• chauffage électrique radiant,
• boîtiers électriques économiseurs,
• éclairage et TV LCD LED,
• robinetterie thermostatique avec mousseurs pour
diminuer la consommation d’eau et garder la pression,
• moquette de la salle de séminaire composée à 70 %
de produits recyclés,
• literie et produits de douche bio,
• blanchisserie et produits d’entretien biodégradables.
EcoNuit côté déco
“La décoration passe souvent au
second plan quand on construit
un hôtel économique. Notre
concept atteint l’équilibre entre
optimisation des équipements,
confort, qualité des prestations,
modernité et une touche déco
chaleureuse.”
Gaëlle Jacques, directrice associée

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Près des grands axes
Le choix de Guérande comme site du
premier hôtel EcoNuit n’est pas un hasard. La
cité médiévale est à deux pas de La Baule
et de Saint-Nazaire, à une heure de Vannes
et de Nantes. Avec l’EcoNuit, situé 1 rue du
Milan Noir à Guérande-Bréhadour, la ville
accroît sa capacité d’accueil de 70 chambres.
Pour une halte touristique ou un séjour d’affaires, l’hôtel
permet de répondre à une demande d’hébergement
de qualité à un prix très abordable (de 39 € pour
une chambre individuelle, à 69 € pour une chambre
familiale, avec wifi gratuit). L’EcoNuit de Guérande, ce
sont :
• 2 bâtiments de 2 étages de 38 et 32 chambres chacun
(pour respecter les règles architecturales locales) ;
• 57 chambres standard (14 m2) avec lit double ou lits
séparés (possible dans 40 chambres) ;
• 13 chambres familiales (18 m2) pour 4 personnes avec
lit double et lits superposés ;
• 1 salle de séminaire entièrement équipée (72 m2) ;
1 salle pour le petit déjeuner (buffet avec pain bio,
yaourts bio, café et chocolat bio, spécialités régionales
sucrées, fruits de saison).
Un impact économique local
L’ouverture de l’EcoNuit de Guérande a des incidences
immédiates sur l’économie de la presqu’île guérandaise,
en termes d’emplois créés et d’activités
induites (loisirs, restauration…). Le taux
d’occupation prévisionnel pour la première
année est en effet de 50 %, ce qui représente
environ 18 000 personnes sur une année
complète.
Ouvert 24h/24
L’accueil (en français, anglais, espagnol et allemand) est
assuré par du personnel qualifié aux heures ouvrables,
tous les jours de la semaine. En soirée et la nuit, les clients
peuvent accéder à l’EcoNuit avec leur carte bancaire,
après avoir confirmé leur réservation au téléphone, sur
le site de la chaîne, ou par les relais hôteliers habituels
(agences de voyage, sites de booking, etc.).
L’hôtel
en chiffres
• Coût de construction :
3,2 M€
• Rentabilité : le surcoût
d’investissement, soit
18% du coût de la
construction, sera amorti
au bout de 7 ans.
• Nombre d’emplois créés en 2011 : 6 emplois
directs et 4 emplois indirects

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Construire compact et sain
Pour élaborer le projet EcoNuit, l’architecte
pornichétain Joël Gimbert est parti du
cahier des charges : faire respectueux,
beau, bien et raisonnable. La nécessité de
la performance énergétique et la maîtrise des
coûts ont orienté ses choix : un bâtiment compact,
des ingrédients vertueux (le béton cellulaire et le soleil)
et l’envie d’optimiser les modules intérieurs pour que
les clients s’y sentent bien. Matériau ancien délaissé à
tort, le béton cellulaire offre une très haute performance
énergétique. Mélange expansé de chaux, de ciment
blanc et de poussière d’alumine, il est dit “perspirant”,
autrement dit c’est un régulateur d’hygrométrie hors
pair, qui assure un confort thermique été comme
hiver, évite les ponts thermiques et limite le recours au
chauffage. Le béton cellulaire a en outre des propriétés
bactéricides, ce qui permet de créer un bâtiment salubre
pour longtemps. Les panneaux photovoltaïques installés
sur le toit et le chauffe-eau solaire qui leur est associé
présentent, quant à eux, l’avantage de réduire de 25 %
l’empreinte sanitaire du bâtiment (selon la norme RT
2005). Un bénéfice considérable au regard des besoins
en eau d’un hôtel.
La qualité dans l’essentiel
Dans les pièces de vie (chambres, salle de bains, salle
du petit déjeuner), il était important de poursuivre
l’effort de rationalisation “économicologique” entrepris
à l’extérieur et de proposer des prestations de qualité.
Dans les chambres, entre le coin nuit et la salle de
bains, l’exploitation des volumes est optimale.
Une fois créé le module général, les éléments
(lit, radiateur, sanitaires, éclairages…) composent
alors avec les normes d’accessibilité et les
exigences de sécurité en vigueur.
Penser déconstruction
Le projet EcoNuit a été pensé comme un produit qui
sera, un jour, en fin de vie. Sa déconstruction a donc
été envisagée dès sa conception, que ce soit pour les
enduits, les peintures minérales, les revêtements de sols
ou encore les cellules photovoltaïques. La majorité des
matériaux appartiennent d’ailleurs à la filière sèche.
Intégrer le cycle de vie des bâtiments est conforme aux
recommandations du Grenelle de l’environnement.
EcoNuit : l’engagement biodiversité
La marque EcoNuit a la volonté
d’obtenir l’Eco-label européen
afin de pérenniser ses actions
en faveur de l’environnement.
Premières initiatives : installation
de ruches sur le toit pour créer un
site favorable à la biodiversité, et
végétalisation éco-responsable
des espaces paysagers.