HEROLD4_deboeck 07/06/12 15:11 Page1 G . H E R O L D Médecine interne E LE GUID DE NE L’ INTER G . H E R O L D et ouvrage de Médecine interne, pratique et concis, est particulièrement complet dans la description des pathologies, et envisage systématiquement : u l’épidémiologie, u l’étiologie, u la physiopathologie, u la clinique, u le diagnostic différentiel, u le traitement et le pronostic. C Médecine interne E LE GUID DE NE L’ INTER Traduit de l’allemand Frédéric Marenne : Diplômé de médecine, chirurgie et accouchement de l’Université catholique de Louvain et spécialisé en médecine interne. Anne Marenne-Loiseau : Docteur en sciences de l’Université catholique de Louvain. ISBN : 978-2-8041-6335-8 9782804163358 HEROLD www.deboeck.com Conception graphique : Primo&Primo Il bénéficie d’une mise à jour complète de son contenu en fonction des dernières publications et études qui font autorité dans chaque domaine spécifique de la médecine interne. La 4e édition française comporte un index des Diagnostics Différentiels, ce qui est une originalité et un plus par rapport à l’édition originale allemande, ainsi qu’un atout précieux pour les étudiants en médecine. Médecine interne intègre la classification ICD-10 (plus connue en France sous l’appellation CIM 10), très utile pour les médecins hospitaliers à l’heure où les hôpitaux tarifient à l’activité et demandent le codage des actes selon cette classification. Destiné aux étudiants ayant passé les ECN avec succès(6e année de médecine, internat), ce livre permet également aux médecins généralistes et aux spécialistes de médecine interne de disposer des données médicales les plus récentes. Médecine interne > Physiopathologie > Diagnostic > Thérapeutique E LE GUID DE E N R E T N L’ I e 4 édition G . H E R O L D Traduit de l'allemand par Frédéric Marenne et Anne Marenne-Loiseau Médecine interne Chez le même éditeur Collection études médicales John D. Firth, BAKER E. H., Bases scientifiques pour l’étudiant en médecine John D. Firth, Claire G. Nicholl, Nicola G. Rudd, Jane K. Wilson, Gériatrie et soins palliatifs Paul F. Jenkins, Médecine d’urgence Michael I. Polkey, Paul R. Roberts, Cardiologie Michael I. POLKEY, Paul R. ROBERTS, Pneumologie Satish C. Keshav, Gastroentérologie et hépatologie M. Gurnell, Endocrinologie Patrick M. Maxwell, Néphrologie Siraj A. Misbah, Rhumatologie et immunologie clinique Médecine interne > Physiopathologie > Diagnostic > Thérapeutique 4e édition Gerd Herold Traduction de l’édition allemande par Frédéric Marenne et Anne Marenne-Loiseau Ouvrage original Innere Medizin, Eine vorlesungsorientierte Darstellung © 2011 Gerd Herold, Köln Toutes les données médicales diagnostiques et thérapeutiques sont en évolution constante et font donc appel aux connaissances scientifiques rigoureusement actualisées au moment de l’élaboration du livre. Nous avons porté une attention particulière, lors de la rédaction de cet ouvrage, à l’exactitude de dosage des médicaments cités (en gén. pour les adultes avec une fonction rénale et hépatique normale). Nous engageons cependant le lecteur à vérifier les recommandations des fabricants respectifs, en particulier quant aux dosages, aux effets secondaires et aux contre-indications des substances proposées. L’utilisation des données fournies est sous la responsabilité du prescripteur. Rem : Le code ICD10, utilisé dans le texte/l’index, correspond à la version 1.3. Des différences de codification par rapport à la version 2.0, utilisée à l’hôpital, sont possibles. Pour toute information sur notre fonds et les nouveautés dans votre domaine de spécialisation, consultez notre site web : www.deboeck.com ©Groupe De Boeck s.a., 2012 Éditions De Boeck Université Rue des Minimes, 39 B-1000 Bruxelles 4e édition Tous droits réservés pour tous pays. Il est interdit, sauf accord préalable et écrit de l’éditeur, de reproduire (notamment par photocopie) partiellement ou totalement le présent ouvrage, de le stocker dans une banque de données ou de le communiquer au public, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit. Imprimé en Belgique Dépôt légal: Bibliothèque Nationale, Paris: juillet 2012 Bibliothèque royale de Belgique, Bruxelles: 2012/0074/237ISBN 978-2-8041-6335-8 Références pour les traductions de cet ouvrage (adresse e-mail entre parenthèses) Édition afghane : Dr. Nazar Sultansei, Mussinanstr. 120, 92318 Neumarkt (OPF)/Allemagne (Paschtu)(www.sultansei.de) Édition albanaise :Dr. Leke Abdyli, Rudolf-Schelchgasse 11, 8530 Deutschlandsberg/Autriche ([email protected]) Édition bulgare :Kyrill Scharow, ul. Budapesta 72, 1202 Sofia/Bulgarie ([email protected]) Édition anglaise : www.herold-internal-medicine.com Édition estonienne :Karl Väärt, Luha 16-3, 10129 Tallinn/Estonie ([email protected]) Édition française :Groupe De Boeck, Rue des Minimes, 39, B-1000 Bruxelles/Belgique ([email protected]) Édition géorgienne :Nika Kuridze, Kipshidze Str. 14/16, 0162-Tbilissi/Georgie ([email protected]) Édition grecque :John B. Parisianos Medical Publications, Mikras Asias 76, Goudi, 11527-Athens, Grèce ([email protected]) Édition italienne :Monduzzi Editore, Via Roberto Longhi, 14/a, 40128 Bologna/Italie ([email protected]) Édition polonaise :Wydawnictwo Lekarskie PZWL, Sp.Zo.o., ul. Miodowa 10, 00-251 Warszawa/Pologne (www.pzwl.pl) Édition roumaine :Dr. M. Nicolae, Heckenweg 12, 71287 Weissach/Allemagne ([email protected]) Édition suédoise :Philipp Kubens, Hauptstr. 24, 79104 Freiburg/Allemagne ([email protected]) Édition serbocroate :Dr. Darko Markota, Markovac bb, 88260-Titluk/Bosnie et Herzégovine ([email protected]) Édition slovène :Dr. Miroslav Petrovec, MD, PhD, Zaloska 4, 1000 Ljubljana/Slovenie ([email protected]) Édition espagnole :Dr. A. Graf von Perponcher, Schwaighofstr. 31, 83684 Tegernsee/Allemagne ([email protected]) Édition tchétchène :Nakladatelstvi; TRITON, Vykánská 5, 10000 Praha, Tchétchénie (www.tridistri.cz) Édition hongroise :Medicina Publishing House, Rákóczi ut. 16, 1072 Budapest/Hongrie ([email protected]) Remerciements Prof. Dr. med. E. Erdmann (Cologne) Prof. Dr. med. W. Krone (Cologne) Prof. Dr. med. R. Gross (Cologne) Prof. Dr. med. H. Schicha (Cologne) Je remercie également mes collègues pour leur collaboration à des chapitres particuliers : Dr. med. Schahin ALIANI Oncologue et hématologue pédiatrique, Saarlouis (Chapitre des déficits immunitaires) Dr. med. Christopher AMBERGER Rhumatologue, Bad Neuenahr (Collaborateur au chapitre de rhumatologie) Dr. med. Sammy BAIERLEIN et Dr. med. Anja WISTOP Eckersdorf (Chapitre Septicémie) Prof. Dr. med. Helmut BAUMGARTNER Centre EMAH / cardiologie, clinique universitaire Münster Dr. med. Heinz Beckers Directeur du centre de médecine du travail, Deutz AG, Cologne (Collaborateur pour différents chapitres, en particulier celui des maladies infectieuses) Prof. Dr. med. Dr. h.c. Helmut BORBERG Centre d’hémaphérèse, Cologne (Chapitre Hémaphérèse) Dr. med. Dennis BÖSCH Clinique Bremerhaven / Pneumologie (Collaborateur au chapitre BPCO et emphysème) PD Dr. med. Jens G. BROCKMANN, FRCS Hopital Churchill, Université d’Oxford (Chirurgie de transplantation abdominale) Dr. med. Mag. Dipl. oec. med. Jürgen BRUNNER Clinique universitaire d’Innsbruck, pédiatrie (Collaborateur à des chapitres de rhumatologie ; syndrome de fièvre héréditaire) Dr. med. Georg BÜHLER Clinique universitaire, Ulm (Chapitre des troubles psychosomatiques et troubles alimentaires) Dr. med. Ulrich DEUSS Endocrinologue à Cologne (Collaborateur au chapitre de l’endocrinologie) Prof. Dr. med. Manfred O. DOSS Consultation Porphyries, Marburg an der Lahn (Chapitre des porphyries) Prof. Dr. med. Hans DREXLER Directeur de l’Institut de médecine du travail de l’Université d’Erlangen PD Dr. med. Lothar FABER Centre cardiaque et diabétique, Bad Oeynhausen (Collaborateur au chapitre des cardiomyo­pathies) 2 Remerciements PD Dr. med. Sebastian FETSCHER Clinique pour l’oncologie et l’hématologie, clinique Sana, Lübeck Prof. Dr. med. Meinrad GAWAZ Clinique universitaire de Tübingen (Collaborateur au chapitre de l’endocardite) PD Dr. med. Ulrich GERMING Université Henrich-Heine de Düssel­dorf (Collaboration au chapitre d’hématologie) Prof. Dr. med. Hartmut GÖBEL Clinique de la douleur, Kiel (Chapitre du traitement de la douleur) Dr. med. Pontus HARTEN Rhumatologue, Strande (Syndrome anti-phospholipide et collaborateur pour différents chapitres) Dr. Barbara HAUER, MPH Institut Robert-Koch, Berlin (Collaboratrice aux chap. de la tuberculose et mycobactérioses non tuberculeuses) Dr. med. Joachim HEBE Clinique Links der Weser / Electrophysiologie et Cardiologie (Chapitre des troubles du rythme cardiaque) Prof. Dr. med. Jan HEIDEMANN Clinique universitaire Münster (Collaborateur au chapitre gastro-entérologie, hépatologie) PD Dr. med. Tobias HEINTGES Clinique médicale, Hôpital Neuß Lukaskran­kenhaus (Collaborateur au chapitre de gastro-entérologie) Dr. med. Britta HÖCHSMANN Clinique universitaire Ulm (Collaborateur au chapitre hématologie, hémoglobinurie paroxystique nocturne) Dr. med. Björn HOFFMANN Université Heinrich-Heine, Düsseldorf (Chapitre des thésaurismoses lysosomiales) Dr. med. Guido HOLLSTEIN Kiel (Collaborateur à différents chapitres) Dr. med. Alfred JANSSEN Interniste / angiologie / phlébologie, Cologne (Collaborateur au chapitre d’angiologie) Prof. Dr. Dr. med. Harald KAEMMERER Centre cardiologique allemand, Munich (Anomalies cardiaques congénitales et acquises à l’âge adulte et syndrome de Marfan) Prof. Dr. med. Joachim KINDLER Médecin chef de la clinique du centre médical, Aachen, Würselen (Collaborateur au chapitre de l’hypertension et à la néphrologie) Dr. med. Stefan KINTRUP Dülmen (Chapitre de la transplantation des organes) 3 Remerciements Dr. med. Peter KREBS Cologne (Chapitre de l’anorexie mentale, la boulimie) Dr. med. Dirk LÖHR Heidelberg (Collaborateur à différents chapitres) Dr. med. Jin LI Clinique universitaire Heidelberg (Chapitre urgences liés aux drogues) Dr. med. Klaus MAGDORF Comité central allemand pour le combat contre la tuberculose, Berlin (Collaborateur aux chap. de la tuberculose et des mycobactérioses non tuberculeuses) Dr. med. Achim MELLINGHOFF Interniste à Lindau-Bodensee (Collaborateur pour différents chapitres) Dr. med. Klaus-Peter MELLWIG Centre cardiologique et diabétique, Bad Oeyn­hausen (Collaborateur au chapitre des maladies coronariennes/infarctus myocardique) Dr. med. Guido MICHELS Centre cardiaque Cologne (Collaborateurs pour différents chapitres, intoxications) Prof. Dr. med. Gynter Mödder Radiologie et médecine nucléaire à Cologne (Collaborateur au chapitre de la thyroïde) Dr. med. Michel MONTEMURRO Centre hospitalier universitaire Vaudoise, Lausanne (Chapitre Oncologie) Prof. Dr. med. Kurt OETTE Centre d’hémaphérèse, Cologne (Chapitre des troubles métaboliques et chimie clinique/valeurs de référence au laboratoire) Dr. med. Mark OETTE Hôpital des Augustines, Cologne (Collaborateur au chapitre VIH/SIDA) Prof. Dr. Dr. med. Günter OLLENSCHLÄGER Clinique universitaire de Cologne et centre médical pour la qualité de la médecine, Berlin Prof. Dr. med. Hans-Georg PREDEL École supérieure des sports, Cologne (Chapitre activité physique et santé) Prof. Dr. med. Winfried RANDERATH Hôpital Bethanien, Solingen (Collaborateur au chapitre de pneumologie) Dr. med. Matthias ROSS Clinique universitaire Münster (Collaborateur au chapitre hépatologie) 4 Remerciements Dr. med. Alexander RÖTH Clinique universitaire Essen (Collaborateur au chapitre d’hématologie, hémoglobinurie paroxystique nocturne et anémie aplasique) Dr. med. Wolfgang SAUER Hôpital St. Elisabeth, Bonn (Collaborateur au chapitre d’angiologie et gastro-entérologie) Dr. med. Andreas I. SCHICHO Clinique universitaire, Düsseldorf (Collaborateur au chapitre hypertension) Dr. med. Henning Karl SCHMIDT Centre cardiologique et diabétique, Bad Oeyn­hausen (Collaborateur au chap. des maladies coronariennes/infarctus myocardique) Dipl.-Psych. Josef SCHWICKERATH Clinique Berus, Überherrn-Berus (Chapitre : Mobbing) Prof. Dr. med. Jörg SPITZ Société pour l’information médicale et la prévention, Schlangenbad (Chapitre: tabagisme et vitamine D) Dr. med. Sedat YOKUS Université Heinrich-Heine, Düsseldorf (Collaborateur à différents chapitres) PD Dr. med. Heinz ZOLLER Clinique univeristaire Innsbruck (Chapitres des sidéroses/hémochromatose) Je veux également remercier les collègues et collaborateurs suivants : Viktor Bäuerle (Augsburg) Dr. med. J. Bargfrede (Köln) Dr. med. D. Bastian (Ingolstadt) Prof. Dr. med. K. Bauch (Chemnitz) Dr. med. J. Beier (Köln) Dr. med. J. Beller (Stuttgart) Felix Bermpohl (Berlin) Dr. med. R. Bergert (Berlin) Dr. med. A. Bierschwale (Hannover) Dr. med. A. Bierschwale (Hannover) Gudrun Binder (München) Dr. med. S. Binder (Bergisch-Gladbach) Dr. med. H. Binsfeld (Drensteinfurt) Prof. Dr. med. M. Blüher (Köln) Dr. med. U. Böck (Dülmen) Dr. med. B. Böll (Köln) Hanibal Bohnenberger (Göttingen) Prof. Dr. med. R. Braun (Genf) Prof. Dr.H.-P. Brezinschek (Graz) Patrick Brunner (Wien) Angelika Bublak (Berlin) Jan Bucerius (Köln) Dr. med. Th. Butz (Bad Oeynhausen) Dr. med. Dipl.-Psych. W. Carls (Überherrn-Berus) Dr. med. A. Cerma (Köln) Prof. Dr. med. Ch. Chaussy (München) Dr. med. P. Dahl (Kassel) Dr. med. A. Derstroff (Wiesbaden) Prof. Dr. med. H.J. Deutsch (Frechen) Dr. med. C. Dworeck (Berlin) Knut Ehlen (Düsseldorf) Michael Ehren (Aachen) Manfred Eidt (Karlsruhe) Oliver Eisen (Köln) Dr. med. Th. Eisenbach (Leverkusen) Knut Ehlen (Düsseldorf) PD Dr. med. S. Fetscher (Lübeck) Dr. med. F. Fortenbacher (Jettingen) Dr. med. M. Friebe (Mönchengladbach) Dr. med. J. Fuchs (Köln) Patrick Gerner (Mainz) Dr. med. T. Giesler (Erlangen) Dr. med. B. Göhlen (Köln) Dr. med. E.M. Göllmann (Dülmen) Michael Göner (Münster) Dr. med. K. Götz (Freiburg) Dr. med. S. Götze (Berlin) Dr. med. S. Gromer (Bad Schönborn) Dr. med. K. Grosser (Köln) Dr. med. M. Günther (Köln) Dr. med. F. Gundling (München) Dr. med. B. Gutschreiter (Burghausen) Dr. med. S. Haack (Frankfurt a.M.) Peter Häussermann (Bochum) PD Dr. Dr. T. Haferlach (München) Dr. med. H. Hagenström (Lübeck) Anton Hahnefeld (München) Andreas Hammer (Rauenberg) 5 Remerciements Fabian Hammer, MD (Birmingham, UK) Dr. med. G. Hansmann (Freiburg) Carmen Heilmann (Jena) Ursula Hein (Hannover) Dr. med. W. Hein (Kassel) Dr. med. U. Heinrich (Adendorf) PD Dr. med. H. Herfarth (Regensburg) Dr. med. B. Heßlinger (Freiburg) Drs. med. D. und M. Hestermann (Bonn) Ulrike Höcherl (Fürstenfeldbruck) Arnd Hönig (Vellmar) Dr. med. J. Hohlfeld (Hannover) Dr. med. H. Hohn (Koblenz) Dr. med. G. Hollstein (Kronshagen) Dr. med. D. Holtermann (Moers) Dr. med. Th. Holtmeier (Neustadt a.d.Waldnaab) Dr. med. G. Hübner (Otterberg) Alexander von Hugo (Hamburg) Jan Humrich (Würzburg) Ralf Husain (Berlin) Dr. med. S. Jäckle (Villingen) Dr. med. Ph. Jansen (Frankfurt a.M.) Dr. med. M. Jost (Hamburg) Dr. med. J. Jordan (Berlin) Dr. med. C. Jürgensen (Heide) PD Dr. med. W. Jung (Bonn) Bernhard Kaess (München) Dr. med. P. Kalin (Kiel) Dr. med. J. Kavan (Dortmunde) Dr. med. I. Kaya (Düsseldorf) Dr. med. K. Kenn (Schönau/Königsee) Akhtar Khawari (Leipzig) Dr. med. P. Kirchhof (Münster) G. Klausrick (Greifswald) Dr. med. T. Klever (Bremen) Dr. med. J. Klünemann (Regensburg) Dr. med. G. Klug (Würzburg) Dr. med. S. Klumpe (Münster) Dr. med. M. Knechtelsdorfer (Wien) Dr. med. T. Koch (Hamburg) Dr. med. M. Köhler (VS-Villingen) Dr. med. M. Körner (Bad Oeynhausen) Gabriele Komesker (Köln) Prof. Dr. med. T. Kraus (Aachen) Clemens Krauss (Graz) Patrick Kreisberger (München) Dr. med. H. Kriatselis (Nürnberg) Andreas Krier (Mannheim) Florian Krötz (München) Dr. med. C. Krüger (Schriesheim) Dr. med. D. Kügler (Halle/Saale) Dr. med. M. Kunze (Villingen-Schwenningen) Dr. med. M. Kupfer (Freising) Dr. med. O. Laakmann (Mainz) Dr. med. A.C. Lambrecht (Coesfeld) Dr. med. M. Lange (Osnabrück) Dr. med. J. Leidel (Köln) Prof. Dr. med. Dr. rer. nat. A. Lechleuthner (Köln) Dr. med. G. Lennartz (Recklinghausen) 6 Dr. med. J. Letzel (Niesky) Drs. med. H.-J. Lindner (Euskirchen) Prof. Dr. med. R. Loddenkemper (Berlin) Dr. med. M. Ludwig (Bonn) Jan Dirks Lünemann (Berlin) Dr. med. Th. Lüthy (Berlin) Prof. Dr. med. L.S. Maier (Göttingen) Dr. med. J. Maiß (Erlangen) Nadja Makansi (Berlin) Gerrit Matthes (Bochum) Jan Matthes (Köln) Dr. med. M.E. Meis (Vietnam) Dr. med. D. Menche (Bremen) Dr. med. U.J. Mey (Bonn) Dr. med. F. Michold (Erlangen) Dr. med. W. Mönch (Recklinghausen) Dr. med. S. Moll (Chapel Hill, North Carolina) Jens Mommsen (Bonn) Dr. med. H. Montag (Wittlich) Dr. med. F. Moos (Herdecke) Dr. med. F. Moosig (Kiel) Prof. Dr. V. Mühlberger (Innsbruck) Dr. med. F. Müller (Stralsund) L. Müller-Lobeck (Niedernhausen) Dr. med. B. Mues (Köln) Dr. med. A. Nacke (Wolfenbüttel) Dr. med. Ch. Ndawula (Köln) Dr. med. M. Neugebauer (Krefeld) Dr. med. J. Neuss (Basel) Dr. med. M. A. Neusser (Nürnberg) Christian Nickel (Freiburg) Thorsten Nickel (Kiel) Dr. med. A. Nieder-Vahrenholz (Meerbusch) Dr. med. M. Opel (USA) PD Dr. med. B. Otto (München) Dr. med. V. Pabst (Aachen) Dr. med. M. Parpart (Nigeria) Dr. med. A. Graf von Perponcher (Tegernsee) Dr. med. Th. Pfab (Berlin) PD Dr. med. U. Platzbecker (Dresden) Dr. med. Th. Poehlke (Münster) Dr. med. J. Rachl (Graz) Dr. med. J. Radke (Dresden) Till Reckert (Tübingen) Prof. Dr. med M. Reincke (München) Dr. med. S. Reiter (Bonn) Ltd. RMD Dr. med. H.-D. Reitz (Köln) Andreas Reuland (Dossenheim) Dr. med. S. Reuter (Ulm) Dr. med. A. Ricke (Köln) Dr. med. F. Rieder (Regensburg) Dr. med. E. Ritter (Nürnberg) Prof. Dr. med. I. Rockstroh (Bonn) Lars Rommel (Eschweg) Dr. med. M. Schaal (Kaarst) Dr. med. A Scheding (Köln) Dr. med. M. Schiffer (Hannover) Dr. med. R. Schimpf (Mannheim) Caroline Schirpenbach (Freiburg) Dr. med. A. Schlesinger (München) Dr. med. C. Schlüter (Nürnberg) Remerciements PD Dr.med.A.Schmidt-Matthiesen (Frankfurt a.M.) Dr. med. M. Schneider (Ingelheim a.R.) Dr. med. A. Schönian (Hage) Dr. med. M. Schopen (Köln) Dr. med. R. Schorn (Zug / Schweiz) Martin Schünemann (Nörten-Hardenberg) Dr. med. E. Schumacher (Köln) Dr. med. J. M. Schwab (Tübingen) Dr. med. S. Schwartz (Berlin) Dr. med. W. Sicken (Mülheim a.d. Ruhr) Christiane Siefker (Würzburg) Dr. med. B. Siegmund (München) Dr. med. A. Skarlos (Mannheim) Dr. med. B. M. Stadler (Stuttgart) Daniela Stennke (Berlin) Dr. med. C. Sticherling (Berlin) Dr. med. B. Stoschus (Bonn) Dr. med. R. Switkowski (Berlin) Dr. med. D. Tamm (Koblenz) Andreas Theilig (Aachen) Thore Thiesler (Gießen) Prof. Dr. med. G. Trabert (Nürnberg) Dr. med. F. Treusch (Villingen) PD Dr. med. J. Truckenbrodt (Zeitz) Gert Tuinmann (Göttingen) Dr. med. M. Uffelmann (Gemünden) Roland Ullrich (Köln) Christian Vatter (Essen) Prof. Dr. med. F. Vogel (Hofheim) Dr. med. M. Vogel (Bonn) Prof. Dr. med. A. Vogt (Köln) Annett Wagner (Oerlinghausen) PD Dr. med. A. A. Weber (Düsseldorf) Dr. med. C. Weber (Berlin) Hermann Weber (Fürstenfeldbruck) Dr. med. Maria Weber (Bad Soden) Dr. med. M. Weidenhiller (Erlangen) Andreas Weimann (Erftstadt) Gerrit Weimann (Linden) Dr. med. D. Werner (Erlangen) Dr. med. D. Werner-Füchtenbusch (Regensburg) Dr. med. E. Wessinghage (Fulda) Dr. med. T. Wetzel (Witten) Dr. med. J. Wiechelt (Mainz) Dr. med. H.-C. Wilken-Tergau (Celle) Prof. Dr. med. U. J. Winter (Essen) Dr. med. A. Wolff (Nürnberg) Dr. med. T. Wollersheim (Köln) Dr. med. S. Wüsten (Düsseldorf) Özgür Yaldizli (Düsseldorf) Dr. med. Ö. Yildiz (Uelzen) Dr. med. G. Zachow (Berlin) PD Dr. med. R. Zankovich (Köln) Dr. med. L. Zell (Homburg/Saar) Dr. med. R. Zell (München) Dr. med. D. Zielske (Kiel) Dr. med. M. Zimmermann (Philippsburg) Merci à Mme Silja Schwencke du centre médical pour la qualité dans la médecine à Berlin et Mme Dr. med. Monika Lelgemann (Bremen) pour l’actualisation des adresses internet pour les directives dans les différents chapitres. Merci au Dr. med. Björn Gemein, Siegen pour la réalisation du site internet. Merci au PD Dr. med. Oliver Adolph pour la nouvelle réalisation des graphiques et le design de la couverture. Merci aux Prof. Dr. med. Daniel Walcher (Ulm), Dr. med. Guido Kürziger (Ulm) et Dr. med. Alexander Röth (Essen) pour les photos de couverture. Merci à Mme Dr. med. Angelika Demel (Günzburg) pour ses propositions de corrections. Merci à Mme Dr. med. Angelika Karger, Cologne, pour le travail de secrétariat. Un tout grand merci enfin au Dr. med. Heinz Beckers pour son accompagnement fidèle à la rédaction de cet ouvrage et du programme informatique. Toutes corrections de remarques sont les bienvenues, ainsi que des propositions éventuelles de traduction. Merci à Monsieur Prof. Dr. HP. Brezinschek (Clinique médicale universitaire de Gaz) pour sa collaboration au chapitre de l’arthrose. Gerd Herold Nous tenons quant à nous, à remercier le Professeur Bernard Goichot, Hôpital de Hautepierre, Strasbourg, France, pour ses remarques pertinentes. Pour cette 4e édition, nous saluons nos grands enfants, Stéphanie et Arnaud, qui poursuivent leurs études en polytechnique. Dr F. Marenne Interniste, cardiologue à l’hôpital St Nikolaus à Eupen, Belgique Dr. A Marenne-Loiseau Docteur en sciences, professeur à l’Institut Robert Schuman à Eupen, Belgique. 7 Abréviations couramment utilisées a. a.p. AAS Ac Ag AIT = artère = antéropostérieure = acide acétylsalicylique = anticorps = antigène = accident ischémique transitoire = antistreptolysine O ASLO ATCD = antécédents Auscul. = auscultation AVC = accident vasculaire cérébral = lavage broncho- BAL alvéolaire BAV = bloc A/V C.O.M. = claquement d’ouverture mitrale Cfr infra = voir ci-dessous Cfr supra = voir ci-dessus = chapitre Ch = chronique chron CI = contre-indication(s) = clinique Clin Co Fo = complet formule sanguine Co = comprimé Compl = complication(s) Contag = contagiosité CTP = cholangiographie transhépatique percutanée = capacité vitale CV CVT = colonne vertébrale thoracique = débit cardiaque DC DCM = débit cardiaque minute Déf = définition Diag Diff = diagnostic différentiel = diagnostic Diag = dosage Dos dr. = droit e.a. = entre autres = électrocardiogramme ECG aires Effets II = effets secondaires EIC = espace intercostal ELISA = enzyme – linked immunosorbent assay en gén. = en général en part. = en particulier env. = environ Épid = épidémiologie ERCP = cholangiopancréatico- = patient = pathogénie = particulièrement = pathologie = poids corporel = réaction de chaîne polymérase Physiol = physiologie Physiopath= physiopathologie Prépar = préparation(s) = primaire prim. Pron = pronostic Prophyl = prophylaxie = pression veineuse PVC centrale Rem = remarque RFC = réaction de fixation du complément = radioimmunoassay RIA ROT = réflexe ostéo-tendineux Rx = radiographie = sous-cutané s.c. SC = surface corporelle sec = seconde(s) sem. = semaine(s) SNC = système nerveux central = scanner à émission SPECT de photons uniques SRE = système réticulo- endothélial = système réticulo- SRH histocytaire St = stade Sympt = symptomatologie Syn = synonyme T1/2 = temps de demi-vie T50 = temps de demi-vie TDM = tomodensitométrie Tt = traitement Ui = unité(s) internationale(s) µg = microgramme µm = micromètre v. = veine(s) VD = ventricule droit VEF = volume expiratoire forcé VG = ventricule gauche = vitamine(s) Vit VS = vitesse de sédimentation Pat. Pathog Partic. Pathol PC PCR p. ex. P.M. graphie endoscopique rétrograde = extrasystole = extrasystole ventriculaire = étiologie = écho transœsophagien = éventuellement = expectoration(s) = femme : homme = facteur = facteur rhumatoïde = fréquence = ganglion(s) = globules rouges = heure(s) = hémoglobine = hématocrite = histologie = intra-artériel = (injection) intramusculaire = dans le sérum = intraveineux = immunoglobuline = incubation = indications = infection = injection = introduction = Imagerie par Résonance Magnétique = jour(s) = kilogramme = laboratoire = localisation = lymphocyte = maladie = maximum = milligramme = minute(s) = millilitre = nombre = normal = transit œsophage- estomac-duodénum = oral glucose tolerance test = organisation mondiale de la santé = par exemple = poids moléculaire ε ↑ ↓ γ † °C > ⊣ = epsilon = augmenté = diminué = gamma = décédé = degré Celsius = plus grand = blocage obstacle κ < λ µ ⇑ ⇓ ≈ ← ES ESV Ét ETO év. Expecto f : h F FR Fréq ggl GR h Hb Hc Histo i.a. i.m. i.s. i.v. Ig incub. Indic inf. inj. Intro IRM j. kg Labo Local l¢ M. max mg min. ml nb nl œdt OGTT OMS Sigles particuliers α β → = alpha = bêta = survient en conséquence de = delta = différence = diamètre = marque déposée δ ∆ ∅ ® 8 = kappa = plus petit = lambda = micro = fortement augmenté = fortement diminué = environ = cause, provoque Tabl e d e s m a t i è r e s La médecine basée sur les preuves (evidence based medicine) = EBM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 I. Hématologie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Cytokines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Maladies des globules rouges. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 Érythropoïèse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 Anémie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 Métabolisme du fer. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 Carence en fer et anémie par carence martiale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 Anémies mégaloblastiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 Anémies hémolytiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 Anémies hémolytiques (intra)corpusculaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 1. Défaut congénital de la membrane des érythrocytes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 2. Anomalies enzymatiques congénitales des érythrocytes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 3. Hémoglobinopathies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 4. Défaut membranaire congénital. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42 Anémies hémolytiques extracorpusculaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 Anémie hémolytique à anticorps . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 Test antiglobuline (test de Coombs). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 Hémolyses par ALLO-AC (= ISO-AC) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 Réactions hémolytiques transfusionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 Maladie hémolytique du nouveau-né. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 Anémies hémolytiques auto-immunes (AHAI). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47 Anémies aplasiques (AA). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 Maladies des globules blancs et des organes hématopoïétiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 Le système du complément. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 SRE / SRH / SMP / SMM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 Granulopoïèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 Syndrome de myélopoïèse extramédullaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 Modifications réactionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 Granulocytopénie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 Agranulocytose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 Troubles de la fonction des granulocytes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 Lymphocytes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Déficit immunitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61 Lymphocytose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64 Lymphocytopénie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 Lymphomes malins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 Lymphome hodgkinien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 Lymphome non hodgkinien (LNH). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 LNH à cellules B. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71 Lymphome folliculaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71 Lymphome de la zone marginale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Lymphome à cellules du manteau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Lymphome B diffus à grandes cellules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 Lymphome B médiastinal à grandes cellules. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 Lymphome de Burkitt et lymphome B lymphoblastique à lymphocytes précurseurs. . . . . . . . . . . . . . . . 73 Lymphome associé au VIH . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 Lymphome primitif du système nerveux central (LPSNC) (primary central nervous system lymphoma (PCNSL). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 Myélome multiple (MM) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 Immunocytome (Maladie de Waldenström). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78 Leucémie à tricholeucocytes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79 Leucémie lymphoïde chronique (LLC). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79 Lymphome primitif extra-ganglionnaire du tractus intestinal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82 LNH à cellules T. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83 Lymphome cutané à cellules T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83 Mycosis fungoïde (MF). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 Syndrome de Sézary. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 Lymphome périphérique à cellules T (pas de spécification supplémentaire). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 Lymphome angio-immunoblastique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 Lymphome extra-ganglionnaire à cellules NK/T du type nasal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 Lymphome anaplasique à grandes cellules (Type T ou nul). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 Lymphome lymphoblastique à précurseurs des lymphocytes T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 Leucémies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86 Leucémie aiguë . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86 Leucémie myéloïde chronique (LMC). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 9 Table des matières Maladies myéloprolifératives chroniques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95 Polyglobulie primitive. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95 Thrombocytémie essentielle (TE). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97 Ostéomyélofibrose (OMF) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98 Syndromes myélodysplasiques (SMD). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99 Traitement antitumoral général. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 Traitement hormonal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 106 Chimiothérapie avec cytostatiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 106 Targeted therapies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109 Vaccination tumorale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110 Hyperthermie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110 Méthodes thérapeutiques complémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111 Traitement de support . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111 Médecine palliative et traitement de la douleur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112 Amylose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115 Thésaurismoses lysosomiales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118 Maladie de Gaucher. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118 Maladie de Fabry. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119 Rate . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120 Hypersplénisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121 Asplénie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121 Rupture splénique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122 Diathèses hémorragiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122 Physiopathologie de l’hémostase sanguine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123 Activateurs du système de coagulation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124 Inhibiteurs du système de coagulation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124 Activateurs du système de la fibrinolyse (Fibrinolytiques). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125 Inhibiteurs du système fibrinolytique (Antifibrinolytiques) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 Classification des coagulopathies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 Hémophilie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127 Syndrome de von Willebrand-Jürgens (S. vW.). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 129 Coagulation intravasculaire disséminée = CIVD et coagulopathie de consommation. . . . . . . . . . . . . . . . 130 Thrombocytopénies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133 Microangiopathie thrombotique (MAT). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136 Purpura thrombocytopénique idiopathique - PTI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137 Troubles de la fonction des thrombocytes (thrombocytopathies). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138 Diathèses hémorragiques vasculaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139 II.CARDIOLOGIE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 Maladies de l’endocarde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144 Endocardite infectieuse (bactérienne) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144 Endocardite non infectieuse (abactérienne). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149 Rhumatisme articulaire aigu (RAA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150 Anomalies valvulaires acquises. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153 Le patient valvulaire opéré. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154 Sténose valvulaire mitrale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156 Insuffisance valvulaire mitrale (IM). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159 Prolapsus valvulaire mitral (PVM) et syndrome du prolapsus valvulaire mitral . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162 Sténose aortique (SA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164 Insuffisance valvulaire aortique (IAO). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167 Anomalies cardiaques congénitales chez les patients adultes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 170 Sténose pulmonaire à l’âge adulte - obstruction de la chambre de chasse du ventricule droit. . . . . . . . . 171 Sténose de l’isthme aortique (coarctation aortique) à l’adolescence et l’âge adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . 173 Anomalies cardiaques congénitales avec shunt gauche → droit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176 Communication interauriculaire (CIA) à l’âge adulte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176 Communication interventriculaire (CIV) à l’âge adulte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178 Canal atrioventriculaire (CAV) à l’âge adulte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181 Canal artériel persistant (de Botal) à l’âge adulte (CA). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 183 Anomalies cardiaques congénitales avec shunt droit → gauche. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185 Anomalie d’Ebstein . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186 Tétralogie de Fallot à l’âge adulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187 Transposition complète des gros vaisseaux à l’âge adulte (TGV). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191 Transposition congénitale corrigée des gros vaisseaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194 Le patient adulte avec un syndrome d’Eisenmenger. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196 Opération de Fontan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 197 Syndrome de Marfan. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 199 Insuffisance cardiaque (IC) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 201 Traitement de l’insuffisance cardiaque par action sur la pré- et la post-charge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209 1. Inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209 2. A ntagonistes des récepteurs de l’angiotensine II bloquants des AT-II = sartans = antagonistes AT1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ����������������� 210 3. Dérivés nitrés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210 10 Table des matières 4. Diurétiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210 Bêtabloquants. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213 Glycosides cardiotoniques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213 Effets secondaires et intoxication digitalique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215 Autres substances inotropes positives. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216 Mesures thérapeutiques qui permettent d’attendre la transplantation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 216 Transplantation cardiaque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217 Cardiomyopathies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218 Les 5 formes principales de cardiomyopathie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220 1. Cardiomyopathies dilatées (CMD). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220 2. Cardiomyopathie hypertrophique (CMH). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221 3. Cardiomyopathie restrictive (oblitérante). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223 4. Cardiomyopathie arythmogène du ventricule droit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 224 5. Cardiomyopathies non classées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225 Myocardites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225 Péricardites et périmyocardites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228 Péricardites aiguës. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228 Péricardite chronique constrictive. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230 Maladie coronarienne. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 231 Syndrome coronarien aigu. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243 Infarctus myocardique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 244 Tumeurs cardiaques primitives. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 255 Plaintes cardiaques fonctionnelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 255 Troubles du rythme (TR) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 257 Antiarythmiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259 Digitaliques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259 Parasympathicolytiques (Vagolytiques). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259 Sympathomimétiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259 Antiarythmiques au sens strict. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 259 Électrothérapie des troubles du rythme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 263 Traitement par stimulateur cardiaque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 263 Cardioversion externe et défibrillation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 266 Ablation à haute fréquence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 266 Traitement chirurgical. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 267 Classification des troubles du rythme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 268 I. Troubles de l’excitabilité cardiaque ou de la stimulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 269 Rythme jonctionnel accéléré (nœud A/V) ou rythme idioventriculaire accéléré. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 270 Extrasystoles (ES) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 270 Extrasystoles supraventriculaires (ESSV). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 270 Extrasystoles ventriculaires (ESV). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 271 II. Troubles de la conduction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 273 III. Formes particulières. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 276 IV. Tachycardie par réentrée A/V avec ou sans préexcitation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 277 V. Arrêt cardio-circulatoire et réanimation cardiopulmonaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 289 Hypertension artérielle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 293 Crise hypertensive et urgence hypertensive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 305 Hypertension rénovasculaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 306 Phéochromocytome. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 307 Hypotension artérielle chronique et hypotension orthostatique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 309 Syncopes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 311 Choc. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 312 III.PNEUMOLOGIE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 318 Troubles de la fonction respiratoire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319 Troubles de la ventilation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 319 Épreuves fonctionnelles respiratoires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320 Méthodes de mesure et paramètres fournis par les épreuves pulmonaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 321 Troubles de diffusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 324 Troubles de perfusion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325 Troubles de répartition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325 Analyses des gaz sanguins (AGS). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 325 Capnométrie de 24 h . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326 Mesure du CO dans l’air expiré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326 Insuffisance respiratoire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 326 Syndrome (aigu) de détresse respiratoire de l’adulte (SDRA) = défaillance pulmonaire de l’adulte. . . . . 329 Syndrome d’apnée du sommeil (SAS). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 331 Syndrome de résistance des voies aériennes supérieures = Upper airway resistance syndrom (UARS). . . 334 Syndrome d’hyperventilation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335 Hémorragies pulmonaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 335 Bronchiectasies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 336 Atélectasies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337 Bronchite aiguë. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337 11 Table des matières Maladies pulmonaires chroniques obstructives (BPCO) et bronchite chronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 339 Emphysème pulmonaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 344 Asthme bronchique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 348 Pneumonies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 361 Traitement des pneumonies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 365 Germes spécifiques de la pneumonie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 368 Pneumonie à pneumocoques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 368 Infection à hémophilus influenza . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 369 Infection à mycoplasme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 369 Légionellose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 369 Infection à chlamydia pneumoniae. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 371 Ornithose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 371 Fièvre Q. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372 Pneumonie charbonneuse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 372 Infection à adénovirus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373 Syndrome pulmonaire à hantavirus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373 Pneumonie à influenza et grippe aviaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373 Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 373 Pneumonies chez les immunodéprimés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 374 Pneumonie à pneumocystis (PPC) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 374 Fausse-route du suc gastrique = syndrome de Mendelson. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 375 Pneumonie lipoïde. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 375 Infections mycotiques systémiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 375 Candidose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 375 Aspergillose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 376 Cryptococcose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 376 Traitement des mycoses systémiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 377 Maladies pulmonaires interstitielles et fibroses pulmonaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 378 Histiocytose pulmonaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 379 Pneumoconioses (Maladies d’inhalation de poussières). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 380 Silicose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 380 Pleuropneumopathies causées par l’asbeste (amiante). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 381 Alvéolite allergique exogène. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 383 Carcinome pulmonaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 386 Cup-syndrom = cancer of unknown primary site syndrome . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 391 Autres tumeurs épithéliales pulmonaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 391 Tumeurs pulmonaires mésenchymales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 392 Tumeurs pulmonaires métastasées (secondaires) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 392 Troubles circulatoires pulmonaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 392 Œdème pulmonaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 392 Cœur pulmonaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394 Hypertension pulmonaire (HTP) et cœur pulmonaire chronique CPC. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 394 Tuberculose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 398 Tuberculose latente et tuberculose primaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 399 1. Tbc hilaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 400 2. Pleurésie tuberculeuse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 400 3. Miliaire tuberculeuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 401 Tuberculose post-primaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 401 Infiltrat précoce et tuberculose pulmonaire caverneuse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 401 Tuberculome. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402 Particularités cliniques chez les patients souffrant du SIDA avec Tbc. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402 Diag Diff de la tuberculose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402 Diagnostic de la Tbc. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 402 Traitement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 405 Mycobactériose non tuberculeuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 407 Sarcoïdose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 410 Maladies pleurales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413 Pneumothorax . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 413 Tumeurs pleurales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414 Pleurésie et épanchement pleural . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414 Pleurésie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414 Épanchement pleural. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 414 IV.GASTRO-ENTÉROLOGIE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 417 Mauvaise haleine et halitose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 417 Œsophage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 418 Symptômes principaux des maladies de l’œsophage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 418 Vomissements. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 419 Achalasie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 420 Reflux gastro-œsophagien pathologique et œsophagite de reflux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 421 Hernie hiatale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 426 Diverticule. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 426 12 Table des matières Diverticules de l’œsophage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 427 Œsophagite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 427 Cancer de l’œsophage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 428 Diagnostic différentiel des douleurs localisées au niveau de l’abdomen supérieur . . . . . . . . . . . . . . . . . . 430 Estomac. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 430 Gastrites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 431 Gastrite aiguë. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 431 Gastrite chronique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 431 Gastrite lymphocytaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 434 Ulcère gastro-duodénal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 434 Cancer de l’estomac. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 438 Autres tumeurs de l’estomac . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 441 Intestin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 442 Diverticule du duodénum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 442 Diverticule de Meckel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 442 Hémorragie gastro-intestinale (GI). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 442 Diarrhée. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 447 Constipation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 450 Plaintes liées aux gaz gastro-intestinaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 453 Syndromes de maldigestion et malabsorption. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 455 Allergies alimentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 457 Maladie coeliaque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 460 Sprue tropicale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461 Diarrhées du SIDA. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 461 Maladie de Whipple. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 462 Intolérance au lactose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 462 Syndrome de malabsorption des sels biliaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 463 Entéropathie exsudative. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 464 Tumeur de l’intestin grêle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 465 Lymphome malin de l’intestin grêle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 465 Tumeurs stromales gastro-intestinales (TSGI) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 465 Transplantation de l’intestin grêle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 466 Maladie inflammatoire chronique de l’intestin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 467 Entérocolite régionale ou maladie de Crohn . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 467 Recto-colite ulcéro-hémorragique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 470 Colite microscopique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 474 Syndrome du côlon irritable. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 475 Diverticulose et diverticulite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 476 Polypes du côlon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 478 Cancer colorectal (CCR) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 480 Cancer du canal anal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 486 Pancréas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487 Pancréatite aiguë. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 487 Pancréatite chronique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 492 Mucoviscidose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 495 Carcinome pancréatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 496 Carcinome papillaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 498 Tumeurs neuroendocrines (TNE) du système gastro-entéro-pancréatique (GEP) . . . . . . . . . . . . . . . . 498 TNE de l’estomac. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 498 TNE du duodénum et du jéjunum proximal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 498 TNE de l’iléum et de l’appendice. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 499 TNE du côlon / rectum. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 500 TNE du pancréas. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 500 Insulinome . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 500 Gastrinome. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 501 Syndrome de Verner-Morrison. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 501 Glucagonome. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 502 Néoplasies endocriniennes multiples (MEN). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 502 Foie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 503 Ictère – Jaunisse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 505 Affections hépatiques durant la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 508 Hépatites virales (partie générale). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 509 Hépatites virales (partie spéciale) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 514 Hépatite B (HB) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 514 Hépatite D (HD). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 518 Hépatite C . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 519 Hépatite A (HA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 522 Hépatite E . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 523 L’hépatite chronique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 523 Hépatite auto-immune. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 524 Cirrhose biliaire primitive (CBP). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 525 Cholangite sclérosante primitive (CSP). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 526 13 Table des matières Dégénérescence graisseuse du foie non alccolique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 527 Maladies alcooliques du foie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 528 Syndrome de Reye. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 529 Atteintes hépatiques médicamenteuses et toxiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 529 Maladies héréditaires du métabolisme hépatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 531 1. Sidéroses (maladies par accumulation de fer). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 531 2. Maladie de Wilson. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 533 3. Déficit en alpha 1 antitrypsine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 534 4. Mucoviscidose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 534 Cirrhose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 535 Hypertension portale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 537 Encéphalopathie hépatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 543 Défaillance hépatique aiguë. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 546 Tumeurs hépatiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 548 Affections de la vésicule biliaire et des voies biliaires (cholépathies). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552 Affections congénitales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552 Atrésie des voies biliaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552 Kystes cholédociens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552 Affections acquises. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552 Lithiases vésiculaires (choléthiase). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 552 Syndrome « postcholécystectomie ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557 Hémobilie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557 Tumeurs de la vésicule biliaire et des voies biliaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557 A) Tumeurs bénignes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557 B) Tumeurs malignes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 557 V.ÉQUILIBRE HYDRO-ÉLECTRIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 559 Régulation de l’équilibre hydrosodé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561 Perturbations de l’équilibre hydrosodé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 561 Déshydratation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562 Hyperhydratation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 564 Œdèmes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 566 Angio-œdème. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 566 Chlore. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 569 Potassium. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 569 Magnésium. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572 Calcium. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 574 Troubles de l’équilibre acide-base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576 Acidose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 577 Acidose métabolique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 577 Acidose respiratoire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 578 Alcalose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 578 Alcalose métabolique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 578 Alcalose respiratoire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 579 Traitement des troubles de l’équilibre acide-base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 579 Alimentation entérale (AE). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 580 Alimentation parentérale (AP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 582 VI.NÉPHROLOGIE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 584 Glomérulonéphrites (GN) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 590 Néphropathie à IgA (Maladie de Berger) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 591 Syndrome de la membrane basale fine (hématurie bénigne) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 592 Syndrome d’Alport (néphrite héréditaire). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 592 Glomérulonéphrite aiguë post-infectieuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 593 Glomérulonéphrite rapidement progressive (GNRP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 594 Syndrome néphrotique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 595 Glomérulonéphrite chronique évolutive . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 599 Infections urinaires et pyelonephrite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 599 Urétrite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 604 Infections à virus de Hantaan. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 605 Maladies rénales tubulo-interstitielles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 606 Néphropathie aux analgésiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 607 Néphropathies à l’acide aristolochique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 608 Néphropathies de la grossesse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 608 Maladies rénales avec paraprotéinémie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 609 Altérations partielles de la fonction tubulaire rénale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 610 Syndrome de Bartter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 611 Syndrome de Gitelmann . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 611 Pseudosyndrome de Bartter. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 612 Néphropathie aux produits de contraste. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 612 Insuffisance rénale aiguë (IRA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 612 Insuffisance rénale chronique et urémie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 617 Ostéopathie rénale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 626 Calciphylaxie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 628 14 Table des matières Annexe : Syndrome cardio-rénal (SCR). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 629 Tumeurs rénales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 629 Carcinome rénal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 629 Néphroblastome. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 631 Kystes rénaux et reins kystiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 631 Kystes rénaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 631 Maladies polykystiques rénales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 632 Urolithiases. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 633 VII.RHUMATOLOGIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 636 Polyarthrite rhumatoïde (PR) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 636 Maladie de still de l’adulte, syndrome de Still. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 644 Spondylarthrite séronégative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 645 Spondylarthrite ankylosante. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 646 Arthrite réactionnelle et syndrome de Reiter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 647 Rhumatisme psoriasique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 648 Arthrite entéropathique (sacro-iliite). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 650 Collagénoses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 650 Lupus érythémateux disséminé (LED) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 650 La néphrite lupique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 653 Polymyosite et dermatomyosite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 655 Sclérodermie systémique progressive (SSP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 656 Syndrome de Sjögren (SS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 658 Syndrome de Sharp. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 659 Vascularites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 660 I. Vascularites des petits vaisseaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 660 Vascularites des petits vaisseaux associées aux ANCA. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 660 Granulomatose de Wegener . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 660 Syndrome de Churg et Strauss. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 662 Polyangéite microscopique (PAM) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 662 Vascularites des petits vaisseaux non associées aux ANCA. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 663 Maladie de Behcet. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 664 II. Vascularites des vaisseaux de moyen calibre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 664 Panartérite noueuse classique (cPan) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 664 Syndrome de Kawasaki. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 665 III. Vascularites des gros vaisseaux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 665 Artérite à cellules géantes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 665 Polymyalgia rheumatica (pseudopolyarthrite rhizomélique) et artérite temporale de Horton (arteriitis cranialis) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 665 Artérite de Takayasu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667 Appendice. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667 Syndrome fibromyalgique = SFM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 667 Fibrose rétropéritonéale (FRP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 669 Syndrome de fatigue chronique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 669 Maladie dégénérative des articulations (arthrose) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 670 VIII.MALADIES DU MÉTABOLISME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 673 Porphyries. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 673 Hyperuricémie et goutte (Arthritis Urica). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 677 Troubles du métabolisme lipidique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 681 IX.ENDOCRINOLOGIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 695 Diabète. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 695 Insuline. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 709 Coma diabétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 718 Hypoglycémie et choc hypoglycémique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 722 Thyroïde. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 724 Méthodes diagnostiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 725 Méthodes diagnostiques in vitro. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 725 Méthodes de diagnostic in vivo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 726 Goitre euthyroïdien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 728 Hypothyroïdie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 730 Hyperthyroïdie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 732 Orbitopathie endocrinienne (OE) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 736 Thyroïdites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 738 Thyroïdite aiguë (purulente). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 738 Thyroïdite radique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 738 Thyroïdite granulomateuse subaiguë de Quervain. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 738 Thyroïdite chronique lymphocytaire (Hashimoto) = Thyroïdite auto-immune. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 738 Variantes des thyroïdites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 739 Néoplasmes thyroïdiens. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 739 Parathyroïde, métabolisme de la vitamine d et métabolisme phospho-calcique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 742 Calcium. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 742 Phosphate . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 742 15 Table des matières Parathormone (PTH) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 742 Calcitonine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743 Métabolisme de la vitamine D et fonction parathyroïdienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743 Régulation de la calcémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 744 Hyperparathyroïdie primaire (HPTP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 744 Hyperparathyroïdie secondaire (HPTs) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 746 Hyperparathyroïdie tertiaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 747 Hypoparathyroïdie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 747 Ostéomalacie et rachitisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 748 Ostéoporose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 749 Maladie de Paget. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 753 Glandes surrénales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 754 Système rénine-angiotensine- aldostérone (SRAA). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 755 Syndrome de Conn = hyperaldostéronisme primaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 755 Hypoaldostéronisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 757 Glucocorticostéroïdes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 758 Hypercortisolisme = syndrome de Cushing. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 761 Incidentalome des surrénales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 763 Carcinome surrénalien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 763 Hypocortisolisme = insuffisance surrénalienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 764 Annexe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 765 Syndrome auto-immun polyendocrinien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 765 Syndrome adrénogénital (SAG) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 766 Hirsutisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 767 Gynécomastie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 768 Hypothalamus et hypophyse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 769 Tumeurs hypophysaires (TH) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 769 Tumeurs hypophysaires endocriniennes inactives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 770 Prolactinome . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 770 Acromégalie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 771 Insuffisance antéhypophysaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 772 Diabète insipide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 774 Syndrome de Schwartz-Bartter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 776 X.ANGIOLOGIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 777 Artériopathie périphérique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 777 Thromboangéite oblitérante. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 781 Artériopathie des vaisseaux à destination cérébrale et accident vasculaire cérébral. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 781 Artériopathie des vaisseaux viscéraux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 787 Anévrisme de l’aorte abdominale (AAA) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 788 Anévrisme de l’aorte thoracique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 789 Dissection aortique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 789 Syndrome de Raynaud. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 790 Maladies des veines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 791 Maladie variqueuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 791 Insuffisance veineuse chronique (IVC) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 794 Thrombophlébites. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 795 Thromboses veineuses profondes (TVP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 796 Formes particulières de thromboses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 802 Syndrome de Paget-von Schroetter. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 802 Phlegmasia coerulea dolens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 802 Syndrome antiphospholipide(SAP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 802 Prophylaxie des thromboembolies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 803 Embolies. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 809 Embolies de cholestérol. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 809 Occlusion artérielle aiguë aux extrémités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 810 Embolies pulmonaires [EP] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 811 Maladies des vaisseaux lymphatiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 816 Lymphangite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 816 Érysipèle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 816 Lymphœdème . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 817 Tumeurs des vaisseaux lymphatiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 817 XI. PRINCIPALES MALADIES INFECTIEUSES. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 818 Maladies infectieuses exanthématiques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 818 Scarlatine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 818 Rubéole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 819 Infection par le parvovirus B19. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 820 Rougeole . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 821 Virus du groupe Herpès. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 822 Infection par le virus varicelle - zoster . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 823 Infection par herpès humain de type 6 (HHV-6). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 825 Infection par herpès simplex. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 825 Infection par virus Ebstein Barr (EBV) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 827 16 Table des matières Infection par cytomégalovirus. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 828 Diarrhées infectieuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 830 Infection par EHEC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 832 Salmonellose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 833 Typhus abdominal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 833 Gastro-entérite à salmonelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 835 Entérite à campylobacter. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 836 Toxiinfections alimentaires par Bactéries productrices d’entérotoxines. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 836 Infection par le norovirus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 837 Shigellose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 837 Dysenterie amibienne et abcès amibien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 838 Choléra. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 839 Yersiniose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 840 Cryptosporidiose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 841 Botulisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 841 Infections par clostridium difficile. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 842 Parasites intestinaux en Europe centrale. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 844 Autres maladies infectieuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 846 Influenza (grippe épidémique) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 846 Coqueluche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 848 Infection à virus coxsackie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 849 Parotidite épidémique (oreillons) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 850 Diphtérie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 851 Leptospirose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 852 Brucellose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 853 Toxoplasmose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 854 Listériose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 856 Maladies transmises par les tiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 857 Ehrlichiose granulocytaire humaine (EGH) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 857 Méningite bactérienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 859 Maladies sexuellement transmissibles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 862 Syphilis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 862 Gonorrhée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 863 Infection par VIH et SIDA – Syndrome d’immunodéficience acquise. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 864 Principales maladies tropicales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 874 Fièvre jaune. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 874 Dengue. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 875 Malaria (paludisme) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 876 Bilharziose (schistosomiase) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 882 Leishmaniose. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 882 XII. ANNEXE au chapitre des maladies infectieuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 884 Diag Diff : La fièvre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 884 Sepsis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 886 Syndrome de fièvre héréditaire (Autoinflammatory disorders, heriditary periodic fever syndromes). . . . . 888 Aperçus des vaccins les plus importants à l’âge adulte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 892 XIII.TROUBLES SOMATOFORMES, TROUBLE SOMATISATION, DYSFONCTIONNEMENT NEUROVÉGÉTATIF SOMATOFORME. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 894 XIV.Mobbing ou harcèlement psychologique sur le lieu de travail et maladie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 895 XV. tabagisme – Risques pour la santé et aides au sevrage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 896 XVI.MALADIE ALCOOLIQUE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 897 XVII. Activité physique et santé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 902 XVIII. PAUVRETÉ ET MALADIE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 903 XIX.Hémaphérèse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 904 XX.Gériatrie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 905 XXI.Rééducation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 913 XXII.Intoxications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 915 Urgences liées à la prise de drogues. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 917 XXIII. VALEURS DE RÉFÉRENCE EN BIOLOGIE CLINIQUE ET HÉMATOLOGIE. . . . . . . . . . . . . . 919 Vitesse de sédimentation des globules rouges (VS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 929 Protéine C réactive (CRP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 929 Index des diagnostics différentiels. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 930 Index ������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������� 932 17 La médecine basée sur les preuves (evidence based medicine) = EBM Utilisation de la littérature pour le traitement des patients La « médecine basée sur les preuves » implique la prise en compte des connaissances scientifiques les plus récentes dans les décisions thérapeutiques. Le but de l’EBM est d’offrir les meilleurs soins aux patients par : •• L’utilisation des données de la littérature scientifique la meilleures (évidence externe). •• Mise en relation de ces données avec l’expérience du praticien (expertise) et sa connaissance du patient (évidence interne). •• Une demande explicite au patient de participer au processus décisionnel par ses attentes, ses désirs et selon ses valeurs (évidence interne). La technique de l’EBM comprend : La formulation du problème par un questionnaire adapté. •• La recherche systématique de références solides dans la littérature médicale (dans les études cliniques, articles de fond ou lignes de conduite émanant d’organismes reconnus). •• Un jugement critique de la validité et de la pertinence de l’évidence (fiabilité des résultats d’étude et des lignes de conduite, adaptation à la pratique courante et pour chaque cas individuel). •• Application de ces principes au patient concret, en fonction de l’expertise du médecin et des désirs du patient. •• Évaluation du succès des mesures prises. La référence à l’évidence externe la meilleure implique l’utilisation des résultats des meilleures études dans l’établissement d’un questionnaire clinique clair. Dans un deuxième temps, les différentes études sont comparées et groupées en méta-analyse par méthode statistique. Ceci permet d’éviter de se baser sur une seule étude clinique qui serait contredite par d’autres études. Comme cette méthode de travail est très exigeante, les médecins utilisent en pratique de plus en plus de références déjà existantes (revues publiées par des groupes d’experts, p. ex. la revue Cochrane) ou des lignes de conduite basées sur les preuves, c’est-à-dire les recommandations des sociétés médicales concernées. La qualité des études scientifiques est évaluée par différents systèmes de classification. Une des classifications les plus intéressantes est celle proposée par le groupement international GRADE (voir tab. 1). GRADE définit la qualité de l’évidence comme une échelle de confiance qu’apporte une étude pour soutenir une recommandation thérapeutique, une intervention ou prévoir un résultat. Tab. 1 : Interprétation des différents niveaux de qualité de l’évidence (selon GRADE www.gradeworkinggoup.org) Valeur de l’évidence Classe de l’évidence Définition Haute qualité I Il est peu probable que d’autres études changeront les données observées. Qualité modérée II D’autres études pourront probablement modifier la confiance dans les résultats du traitement. Qualité faible III D’autres études modifieront très probablement notre confiance dans les résultats du traitement. Qualité très faible IV L’effet thérapeutique observé est très incertain. On peut, de cette façon, classer des recommandations thérapeutiques en recommandation forte ou faible pour une mesure. Cette classification se base sur les données de groupes d’experts pour définir la valeur de la recommandation thérapeutique, de la sécurité, que les effets recherchés d’un traitement en dépassent les effets indésirables. Les interventions qui sont recommandées le sont parce que la balance utilité/complication plaide en leur faveur, selon la meilleure évidence disponible actuellement. La valeur et la force de la recommandation, caractérisée par un symbole ou une lettre résulte principalement de la balance positive entre utilité et effets secondaires, évaluée par les résultats sur des patients. La survie d’une telle recommandation dépend fortement de la qualité des données disponibles (évidence). Les préférences des patients, l’applicabilité des résultats d’études (directness), la consistance des résultats, la précision des effets et des arguments pour, des biais dans les publications sont d’autres éléments 18 La médecine basée sur les preuves qui influencent la formulation des recommandations. Une caractéristique des recommandations est leur expression par un groupe d’auteurs faisant autorité, si possible avec la participation de patients. Facteurs influençant la classification de l’évidence et la gradation de la recommandation –– La valeur des résultats d’études –– La signification des résultats publiés, la précision des effets. –– La relation bénéfice/toxicité –– Les préférences des patients –– Les obligations éthiques –– L’applicabilité –– Éventuellement, l’utilisation des ressources L’utilité et l’efficacité des recommandations médicales dépendent de leur qualité et de leur applicabilité. Les recommandations les plus importantes sont traduites en critères internationaux. En Allemagne, ces critères sont formulés dans une liste commentée, appelée DELBI (www.delbi.de). DELBI peut être utilisée pour juger de la qualité et du choix des recommandations thérapeutiques. Trois éléments importants doivent être rappelés pour évaluer la qualité : •• Sélection de groupes d’experts représentatifs •• Pour établir l’évidence : recherche systématique, choix et valeur de la littérature •• Méthode de développement : référence systématique à l’évidence et au consensus L’évidence clinique est surtout importante pour la légitimité scientifique d’une recommandation. La participation des praticiens, ainsi que des consensus structurés sont, quant à eux, importants pour l’acceptation et l’application pratique. On distingue 4 classes de recommandations qui permettent à l’utilisateur de s’orienter (voir tab. 2). Tab. 2 : Classification par niveaux et recommandations de la communauté de travail des facultés de sciences médicales (AWMF) Dénomination Niveau 1 : Recommandations d’experts Niveau 2c : Recommandations basées sur un consensus Niveau 2e : Recommandations basées sur la preuve par les faits (évidence) Niveau 3 : Recommandations basées sur les faits et un consensus Caractéristiques Groupes d’experts sélectionnés Pas d’évidence systématique Pas de consensus structuré Groupes d’experts représentatifs Pas d’évidence systématique Consensus structuré Groupes d’experts sélectionnés Basé systématiquement sur la preuve par les faits Pas de consensus structuré Groupes d’experts représentatifs Basé systématiquement sur la preuve par les faits Consensus structuré Légitimité scientifique de la méthode Légitimité de son application Faible Faible Faible Haut Haute Faible Haute Haute Infos sur Internet : EBM : www..g-i-n.net 19 I. H é m a t olog i e Introduction Les différentes proportions des éléments figurés du sang sont le résultat de la balance entre leur production et leur destruction. Le volume sanguin normal représente environ 70 ml/kg (ou à peu près 1/14 du poids corporel). PRODUCTION → Sang circulant → DESTRUCTION / PERTE | | Blocage Accélération Problème aplasique Adéquation insuffisante Une diminution des éléments figurés du sang peut être ainsi essentiellement provoquée par a)Diminution de production b)Augmentation de la destruction ou des pertes c)Combinaison de a) et b) L’hématocrite est la quantité du volume sanguin occupée par les éléments cellulaires circulants, exprimée en pourcentage. Comme la population des érythrocytes représente 96 % du volume cellulaire chez les personnes en bonne santé, l’hématocrite reflète essentielllement la proportion des érythrocytes dans le sang. Théorie des Pools : Il existe des compartiments déterminés dans lesquels les éléments figurés du sang se répartissent. 1.Pool de cellules souches : réserve de cellules médullaires indifférenciées de rang 1 desquelles dérivent les cellules souches de la myélo-, érythro-, et thrombopoïèse (cellules souches de rang 2). Celle-ci produisent les cellules mères des autres pools soit les : 2.Pool de prolifération et de maturation : ils seront activés si une demande croissante émane de la périphérie. 3.Pool de réserve : quantité de cellules 20 fois plus importante que le pool fonctionnel. 4.Pool fonctionnel : dans les conditions normales, ce sont les cellules matures de la moelle qui sont délivrées dans le sang circulant, p. ex. les érythocytes « matures » anuclées. Répartition de la formation sanguine Leucocytopoïèse Thrombocytopoïèse Érythocytopoïèse Leucocytopoïèse Myélopoïèse Système réticulo-histiocytaire (SRH) Lymphocytopoïèse Système lymphoréticulaire Cytokines Les cytokines sont des protéines et des glycoprotéines à fonction régulatrice sur le contrôle de la croissance et de la différenciation, en particulier des cellules hématopoïetiques (formation du sang, fonction de défense e.a.) 1.Interféron (INF) INF α : produit par les monocytes ; préparation : IFNα-2a, IFNα-2b ainsi que l’interféron — consensus (INFC) IFN alfacon 1. Les interférons pégylés (PEG-INF α-2a et PEG-INF α-2b) ne doivent être administrés qu’une fois par semaine, en raison de leur temps de demi-vie très long. INF β : interféron-fibroblaste (produit par les fibroblastes) ; préparations : IFNβ-1a, IFNβ-1b INF γ : produit par les lymphocytes T ; préparation : IFNγ-1b. Rôles : •• Activité immunomodulatrice par activation des cellules tueuses naturelles : activation des macrophages, des cellules tueuses naturelles (Natural Killer NK), des cellules T cytotoxiques e.a. •• Activité antivirale par inhibition du cycle de réplication virale : p. ex. traitement des hépatites virales C aiguës et chroniques, ainsi que le traitement des hépatites B chroniques. •• Activité antitumorale (antiproliférative, action cytotoxique et induisant la différenciation) : p. ex. traitement de la leucémie à tricoleucocytes, des lymphomes T cellulaires cutanés, des maladies myéloprolifératives, du syndrome de Kaposi e.a. 20 Hématologie Effets IIaires du traitement par interféron : –– Réactions locales à l’endroit de l’injection –– Les symptômes grippaux (p. ex. fièvre, myalgies et céphalées) apparaissent chez tous les patients en fonction de la dose (→ év. administration de paracétamol ou d’ibuprofène) –– Effets gastro-intestinaux indésirables (15 %) –– Thrombo- et leucocytopénie (limitant la dose) Effets IIaires neurotoxiques : troubles de la concentration et de la mémoire (40 %), dépressions (20 %), perversion du goût, confusion, vertiges, polyneuropathie périphérique, rétinopathie –– Exacerbation de maladie auto-immune sous-jacente et induction d’auto-anticorps (> 20 %) –– Troubles de la fonction thyroïdienne –– Réaction hépatotoxique avec élévation des γ GT et de la bilirubine CI pour un traitement par INF –– Hépatite auto-immune et autres maladies auto-immunes actives –– Cirrhose hépatique décompensée (Child C) –– Après transplantation d’organe et sous immunosuppression –– Psychose, dépression nécessitant un traitement, épilepsie cérébrale. –– Grossesse –– Thrombopénie (< 50 000 él/µl) –– Leucopénie (< 20 000 él/µl) –– Syndrome de dépendance non traité ou traité sans résultat (alcool, drogue) –– Absence de compliance 2.Interleukine (IL) Protéines régulatrices (IL 1-35), qui assurent la communication entre lymphocytes, granulocytes et macrophages (activation, prolifération, différentiation des lymphocytes, activation des granulocytes et des macrophages e.a.). IL 2 agit sur la différenciation des lymphocytes du sang périphérique en cellules tueuses activées par les lymphokines (cellules L.A.T.), qui peuvent lyser spécifiquement le tissu tumoral. Lors du traitement par lymphocytes infiltrants la tumeur (LIT), on isole des lymphocytes du patient à partir du matériel tumoral, on les active par IL 2 et les réinjecte par après. Effets IIaires de traitement par IL 2 : à peu près comme le traitement par interféron, de plus : « Syndrome de fuite capillaire (avec œdème, ascite, choc → Tt : inhibiteur de C1). IL-11 = facteur stimulant les colonies de mégacaryocytes. 3.Facteurs de croissance hématopoïétiques : G-CSF : Facteur stimulant les colonies de granulocytes : Lenograstime, filgrastime, pegfilgrastime. Effets : multiplication des précurseurs myéloïdes et raccourcissement de la maturation post-mitotique des granulocytes de 8 jours à 1 jour → diminution de 30 % de la période de neutropénie après chimiothérapie intensive, et ainsi diminution possible des infections liées à la neutropénie. aires : Douleurs osseuses et musculaires (20 %), maux de tête, fatigue, augmentation tempoEffets II raire d’acide urique, LDH, PA sériques, démangeaisons, syndrome de Sweet (dermatose aiguë fébrile à neutrophiles) Indic : • Prophylaxie primaire de la neutropénie fébrile après chimiothérapie si la probabilité d’une infection est > 20 %. •• Prophylaxie secondaire après apparition d’une neutropénie fébrile. •• Neutropénie congénitale ou cyclique. •• Mobilisation de cellules souches (p. ex. avant une transplantation de cellules souches). •• Neutropénie permanente dans l’infection par VIH avancée. EPO (Érythropoïétine) et substances stimulant l’érythropoïèse (ESA): époïétine alpha, époïétine bêta ; autres substances : voir chap. anémie rénale. Effets IIaires : Év. hypertension artérielle, complications thromboemboliques, rare formations d’Ac neutralisants avec « pure red cell aplasia », secondaire, év. stimulation de la croissance tumorale e.a. Indic : • Anémie rénale (voir ce chapitre) •• Avant auto-transfusion •• Patients tumoraux sous chimiothérapie avec anémie symptomatique (Hb ≤ 10 g/dl). Exclure d’abord d’autres causes de l’anémie (hémorragies, carence martiale, carence en vit. B12 ou en acide folique) et un taux endogène élevé d’EPO. But pour l’Hb : jusqu’à 11,5 g/dl (la mortalité augmente pour des valeurs plus élevées d’Hb). Alternative : administration de concentrés érythrocytaires. Médicaments stimulant la thrombopoïèse : Romiplostim, eltrombopag (voir chap PTI) 4.Facteurs de nécrose tumorale (TNF = tumor necrosis factor) –– Le TNF-α est formé par les macrophages/monocytes –– Le TNF-β est formé par les lymphocytes. Les TNF peuvent provoquer une nécrose tumorale hémorragique. 21 Chapitre I Inhibiteurs des TNF : –– Étanercept : molécule de fusion du récepteur du TNF et de l’IgG1 humaine. –– Anticorps alpha-TNF monoclonal : infliximab, adalimumab. Indic : Maladies auto-immunes, p. ex. : la polyarthrite rhumatoïde (effets IIaires voir ce chap.). 5.Chimiokines Ce sont des protéines chimiotactiques, qui sont formées à partir des leucocytes, cellules endothéliales et kératinocytes lors d’une infection aiguë. Elles jouent un rôle dans la migration des leucocytes, dans la régulation de l’hématopoïèse, l’activation des cellules T et la dégranulation des leucocytes. Deux groupes principaux (CXC, CC) et un groupe secondaire (C, lymphotactine) de chimiokines sont connus. Les chimiokines α ou CXC agissent surtout sur les neutrophiles tandis que les chimiokines β ou CC agissent de façon générale sur les monocytes, lymphocytes, basophiles et éosinophiles. Les récepteurs CXCR1-4 sont les récepteurs pour l’α-chimiokine. Pour la β-chimiokine, les récepteurs CCR1-5 sont identifiés. CXCR4, CCR5, CCR3 sont corécepteurs pour HIV-1. MALADIES DES GLOBULES ROUGES Érythropoïèse L’érythropoïèse dans la moelle et le sang circulant crée une unité, l’érythron. Selon la grosseur de leur noyau, on classe les globules rouges de la façon suivante dans la moelle. –– Proérythroblaste (E1) –– Érythroblaste basophile (E2) –– Macroblaste polychromatique (E3) –– Normoblaste polychromatique (E4) –– Normoblaste oxyphile (E5) –– E5 éjecte son noyau et devient réticulocyte (Proérythrocyte). Relation normale entre érythropoïèse et granulocytopoïèse = 1 : 3. 1 érythroblaste (E1) génère 16 érythrocytes. La durée normale du développement de E1 à l’érythrocyte : 5 jours ; la stimulation par érythropoïètine (EPO) peut raccourcir ce processus à 2 jours Durée de vie moyenne d’un érythrocyte : 120 jours Une petite partie des érythrocytes dégénère déjà dans la médullaire osseuse (= érythropoïèse inefficace). Cette érythropoïèse inefficace physiologique est augmentée dans les anémies mégaloblastiques (carence en vitamine B12 ou acide folique). Catabolisme des érythrocytes (dans le SRH) : Le catabolisme des érythrocytes a lieu principalement dans le système monocytes-macrophages de la rate. Ce catabolisme est augmenté en cas de splénomégalie suite à la séquestration des globules rouges. Érythrocytes Résidu cellulaire Hémoglobine (fixée à l’haptoglobine dans le sang) Globine Hème Fer Bilirubine (fixée à l’albumine dans le sang = bilirubine indirecte) Glucuronidation dans la foie (bilirubine directe) Éléments nécessaires pour l’érythropoïèse : Parmi les substances nécessaires, deux sont particulièrement importantes, à tel point qu’elles représentent des facteurs limitants de l’érythropoïèse et que leur carence aboutit très vite à des troubles de celle-ci. 1.Fer (il y a une carence en fer dans 80 % de toutes les anémies) 2.Vitamine B12 et acide folique (anémie mégaloblastique) L’érythropoïèse est régulée par l’érythropoïétine (EPO), facteur de croissance dépendant d’O2. L’érythropoïétine est fabriquée après la naissance à raison de 90 % par les reins (le foie est le lieu de production le plus important pendant la période fœtale). 22 Hématologie Le manque en O2 stimule la production d’érythropoïétine par les cellules rénales paratubulaires. La liaison de l’EPO aux récepteurs de surface des cellules érythropoïétiques active la différenciation des cellules souches d’ordre 1 en érythroblastes (= normoblastes) ainsi que la différenciation ultérieure en réticulocytes et érythrocytes. Une apoptose précoce est ainsi évitée. Concentration normale d’érythropoïètine dans le plasma : 10 - 25 Ui/l. Causes d’élévation du taux d’érythropoïétine : –– Déficit systémique en O2 (anémie, insuffisance cardiaque ou pulmonaire → polyglobulie secondaire !) –– Déficit localisé en O2 (reins polykystiques, hydronéphrose) –– Production paranéoplasique d’érythropoïétine dans les tumeurs solides comme le carcinome rénal, la tumeur de Wilms, le carcinome hépatocellulaire, le fibromyome utérin, l’hémangioblastome. –– Maladies myélodysplasiques comme mécanisme compensateur dans l’érythropoïèse inefficace. –– Carcinome médullaire avec étouffement de l’érythropoïèse par les cellules malignes. –– Presque toutes les formes d’anémie (carence martiale, anémie mégaloblastique, hémolytique, sur hémorragie, infections chroniques, tumeurs solides et hématologiques). –– Physiologique pendant la grossesse. –– Exogène en cas de dopage avec EPO (sport de compétition). Causes de diminution du taux d’érythropoïétine : –– Polycythemia vera (polyglobulie primitive) (prolifération néoplasique de l’érythropoïèse) –– Insuffisance rénale (anémie rénale). Le taux d’EPO peut être élevé (anémie normocytaire) ou abaissé (anémie macrocytaire) dans l’infection à VIH sous traitement par zidovudine. Les érythrocytes jeunes contiennent encore de l’acide ribonucléique sous forme de filaments ou de fragments (coloration supravitale). Ces réticulocytes sont âgés de 2 jours au maximum. Leur quantité représente normalement 0,5 - 2,5 % des érythrocytes (50 000 – 100 000 / µl) dans le sang périphérique. En cas d’anémie, le nombre de réticulocytes sanguins, l’index de production des réticulocytes (IPR)* et le nombre d’érythroblastes médullaires permettent de caractériser la fonction de la moelle osseuse. a)Anémie hyperrégénératrice : réticulocytes et érythroblastes ↑ : IPR > 3. b)Anémie hypo- ou arégénératrice : réticulocytes et érythroblastes ↓ : IPR < 2. Dans le cas a), il existe une anémie avec une consommation excessive des cellules circulantes ; l’anémie résulte du fait que la production augmentée ne peut pas suivre le rythme de la consommation périphérique (« anémie décompensée ») : au stade précoce de nombreuses anémies il y a encore une compensation partielle avec des taux normaux ou normaux bas d’hémoglobine, dans ces cas le diagnostic doit être prouvé avec d’autres tests (taux de B12, paramètre de l’hémolyse e.a.). Dans le cas b) il s’agit d’une anémie dans laquelle la production médullaire est diminuée malgré le besoin normal ou augmenté. L’index de production des réticulocytes (IPR) tient compte, outre la valeur des réticulocytes, de 2 autres aspects : 1.Une correction du pourcentage des réticulocytes pour un hématocrite normal (45 %) est nécessaire si le nombre de réticulocytes est élevé ou si le nombre d’érythrocytes est bas. 2.Le temps de maturation des réticulocytes médullaires dépend de la chute de l’hématocrite dans le sang périphérique, c.-à-d. une baisse importante de l’hématocrite entraîne un passage précoce des réticulocytes dans le sang périphérique (shift) et leur persistance. Le temps de maturation des réticulocytes est, en fonction du shift : - de 1 jour si l’Hc est de 45 % ; 1,5 jour si l’Hc est de 35 % ; 2 jours pour un Hc de 25 % La formule suivante permet de calculer l’IPR : IPR = Réticulocytes (%) Hc (%) IPR > 3 dans l’anémie signifie une érythropoïèse non perturbée × IPR < 1 signifie une insuffisance érythropoïétique relative Shift (jours) 45 Nomenclature de la morphologie des globules rouges : –– Acanthocytes Érythrocytes ratatinés en forme de pomme piquée p. ex. en cas de carence en pyruvate kinase. (Diag Diff : échinocyte = artéfact in vitro : aspect de pomme piquée des érythrocytes par séchage du frottis). –– Anisocytose Érythrocytes de taille irrégulière sans changement de forme (dans chaque anémie) –– Anulocytes Érythrocytes de forme annulaires avec diminution du TCMH (avec des érythrocytes fortement hypochromes) –– Ponctuation basophile des globules rouges survient en cas d’érythropoïèse augmentée ou perturbée (p. ex. intoxication au Pb ou thalassémie) –– Dacryocytose Érythrocytes en forme de larme (« tear drop » poïkilocytose), p. ex. dans l’ostéomyélofibrose 23 Chapitre I –– Élliptocytes Érythrocytes ovales (pas de signification clinique dans l’élliptose héréditaire, cause : différentes mutations dans le gène de la spectrine ou de la protéine 4.1) –– Fragmentocytes [R71] (Schizocytes) Érythrocytes fragmentés (p. ex. dans le syndrome hémolytique et urémique, syndrome de Moschkowitz, valves cardiaques artificielles) –– Corpuscules de Heinz Hémoglobine dénaturée, précipitée (p. ex. en cas de déficit en G-6-PD ou méthémoglobine) –– Corpuscules de Howell-Jolly Restes de noyau dans les érythrocytes (en cas d’absence de rate) –– Macrocytes Érythrocytes de forme normale mais de diamètre augmenté (> 8,5 µm) et augmentation du volume corpusculaire moyen (VGM), souvent hyperchrome (p. ex. dans l’alcoolisme, la carence en acide folique ou en vitamine B12) –– Mégalocytes Érythrocytes de taille augmentée, hyperchromes et légèrement ovales (carence en vitamine B12 ou acide folique) –– Microcytes Érythrocytes de forme normale, mais de diamètre réduit (< 6,8 µm) souvent hypochromes (p. ex. anémie par carence martiale) –– Normocytes Érythrocytes de taille normale (6,8 - 7,3 µm) avec centre clair –– Poïkilocytose Modifications importantes de forme des érythrocytes (dans toutes les anémies sévères) –– Schizocytes Fragmentocytes = érythrocytes brisés (p. ex. après remplacement valvulaire cardiaque) –– Cellules falciformes Par leur hémoglobine anormale (HbS), les érythrocytes en manque d’oxygène deviennent falciformes (anémie à cellules falciformes) –– Sphérocytes Petits globules épais sans centre clair (sphérocytose) –– Cellules-cible Érythrocytes hypochromes avec épaississement central (thalassémie) Anémie [D64.9] Déf. :Chute de la concentration en hémoglobine, de l’hématocrite ou du nombre d’érythrocytes sous les normes : Hémoglobine (Hb) : < 13,0 g/dl (< 8,06 mmol/l) (h) Hématocrite (Hc) : < 42 % (h) < 12 g/dl (< 7,44 mmol/l)(f) < 38 % (f) Explication : Les valeurs d’Hb et Hc sont corrélées et sont déterminantes pour le diagnostic d’une anémie. Le nombre d’érythrocytes n’est pas toujours corrélé avec l’Hb et n’est donc pas un paramètre sensible pour la détection d’une anémie (p. ex. anémie par carence martiale avec une Hb diminuée, mais év. un nombre d’érythrocytes normal ou même augmenté). 24 Hématologie Classification des anémies : Mécanisme I.Anémie par défaut de production Étiologie Type d’anémie 1) trouble des cellules souches érythropoïètiques 2) trouble de formation de l’ADN Anémie aplasique Syndrome myélodysplasique Anémie mégaloblastique par carence en vit B12 ou acide folique Anémie sur carence en fer Anémie rénale Anémie dans les maladies chroniques (tumeurs, maladies rhumatismales, infections, inflammations e.a.) 3) trouble dans la formation de l’hémoglobine 4) carence en érythropoïétine 5) multifactorielle II.Anémie par destruction augmentée des érythrocytes 1) défaut des érythrocytes 2) facteurs extraérythrocytaires Anémies hémolytiques intracorpusculaires – Défaut de membrane – Défaut enzymatique – Défaut de l’hémoglobine Anémies hémolytiques extracorpusculaires sur : – Iso -/ autoanticorps – Médicaments – Maladies infectieuses – Toxiques physiques/chimiques – Trouble du métabolisme – Causes rares III.Anémies par pertes de globules rouges saignements Anémie par hémorragie IV.Anémies par troubles de répartition séquestration des cellules sanguines dans une rate augmentée de volume Hypersplénisme Classification des anémies selon le VCM (= volume corpusculaire moyen) et le TCMH (= taux corpusculaire moyen en Hb) qui sont corrélés : Anémie hypochrome microcytaire Anémie normochrome normocytaire Anémie hyperchrome macrocytaire (VCM + TCMH ↓) (VCM + TCMH normal) (VCM + TCMH ↑) Fer ↑ : Thalassémie Réticulocytes ↑ : Anémie hémolytique Anémie hémorragique Réticulocytes normaux : Anémie mégaloblastique (carence vit B12 ou acide folique) Fer et ferritine ↓ : Carence martiale Réticulocytes ↓ : Anémie aplasique Anémie rénale Réticulocytes ↓ : SMD * Médicamenteuse-toxique Fer ↓, ferritine ↑ : Anémie inflammatoire, infectieuse ou tumorale = anemia of chronic disease = ACD * L’anémie dans les syndromes myélodysplasiques (SMD) est le plus souvent hyperchrome macrocytaire, parfois normochrome, rarement hypochrome. Les modifications de l’érythropoïèse dans la moelle osseuse sont mégaloblastiques dans l’anémie hyperchrome/macrocytaire liée à la SDM. Métabolisme du fer Perte quotidienne en fer : hommes : 1 mg - femmes non ménopausées : 2 mg - femmes enceintes : 3 mg Un homme de 70 kg possède à peu près 3,5 g de fer (50 mg/kg de poids corporel). Une femme de 60 kg possède à peu près 2,1 g de fer (35 mg/kg de poids corporel). La répartition du fer dans l’organisme est la suivante : –– Le fer lié à l’hème (70 %) –– Les dépôts de fer (18 %) : réserve intracellulaire sous forme de ferritine et d’hémosidérine –– Le fer fonctionnel (12 %) : myoglobine et enzymes contenant du fer –– Le fer transporté (0,1 %) : fer lié à la transferrine 25 Chapitre I Répartition corporelle du fer : SRH Érythrocytes 2 500 mg Formation des érythrocytes 30 - 40 mg/jour Dégradation des érythrocytes 30 - 40 mg/jour Absorption 1 - 2 mg/jour Réserve de fer 1 000 mg Moelle osseuse Plasma 4 mg Perte 1 - 2 mg/jour Myoglobine + enzymes respiratoires 300 mg Hémoglobine : La plus grande partie du fer est lié à l’hémoglobine. 1g d’hémoglobine (Hb) contient 3,4 mg de fer → pour un homme de 70 kg avec 15 g Hb/100 ml et un volume sanguin de 5 000 ml cela représente : 3, 4 mg 15 g Hb ⋅ ⋅ 5 000 ml = 2, 55 g de fer lié à l’hémoglobine. 1 ml de sang contient 0,5 mg de fer. 1 gHb 100 ml L’homéostase martiale de l’organisme est assurée par deux mécanismes : –– Récupération du fer libéré par l’hémoglobine et le fer fonctionnel par les macrophages du SRH (système réticulo-histiocytaire). Il peut ensuite être directement mis en réserve sous forme de ferritine ou d’hémosidérine ou être immédiatement transmis à la transferrine du sang –– Résorption intestinale du fer –– Le système de captation dans la cellule épithéliale est formé d’un transporteur métallique bivalent (DMT1) qui capte le Fe2+ dans les entérocytes (duodénaux) après que celui-ci ait été réduit par le cytochrome b, enzyme duodénal de la bordure en brosse (Dcytb = ferriréductax membranaire permanente). Transfert du fer des entérocytes dans le sang portal par la ferroportine 1. Nouveau changement préalable de valence en fer 3 par l’héphaestine. La captation du fer est régulée par une hormone formée dans le foie, l’hepcidine ; celle-ci inhibe également la résorption du fer dans l’intestin grêle. En cas d’hémochromatose, le foie produit trop peu d’hepcidine. Régulation perturbée de la captation du fer dans l’hémochromatose ↑, l’anémie ↓, les maladies rénales chroniques ↓, les maladies hépatiques ↓. La régulation de la quantité de fer dans l’organisme est assurée par les capacités de résorption de l’intestin grêle proximal, où essentiellement le Fe++ est résorbé. La bio-disponibilité du fer alimentaire est < à 10 % en cas de bilan équilibré et peut atteindre au maximum 25 % en cas de carence. Transport du fer dans le sang : Dans le sang, le fer bivalent est lié à la protéine de transport, la transferrine, qui est responsable de l’échange de fer entre les entérocytes de l’intestin, les réserves et les érythroblastes. Normalement 15 45 % de la transferrine sérique sont saturés par le fer. Une saturation de la transferrine < à 15 % signe une érythropoïèse carencée en fer tant qu’il n’y a pas de réaction de phase aiguë (qui supprime la synthèse de la transferrine). Le fer sérique lié à la transferrine est capté par le récepteur de la transferrine via la membrane cellulaire dans les érythroblastes de la moelle osseuse et les réticulocytes. En cas de carence martiale fonctionnelle, et donc de disponibilité insuffisante du fer, le nombre de récepteurs augmentera. Comme le récepteur soluble de la transferrine (sTfR = soluble transferrin receptor) peut être dosé dans le sérum, la concentration sérique du sTfR sert d’indicateur pour la disponibilité du fer pour l’érythropoïèse. La concentration sérique du sTfR n’est pas, comme la ferritine ou la transferinne, influencée par des états inflammatoires. La concentration des sTfR est élevée en cas de carence martiale et en cas d’érythropoïèse augmentée comme p. ex. en cas d’anémie, thalassémie et polycythémie. La concentration des sTfR est par contre diminuée dans l’anémie aplasique et autres maladies de l’érythropoïèse comme l’anémie rénale. Le quotient du sTfR et du logarithme des valeurs de ferritine est appelé index TfR-F. Celui-ci est augmenté dans la carence martiale. Les réserves de fer : La ferritine (soluble) et l’hémosidérine (insoluble) sont intra-cellulaires (SRH + parenchyme) dans le foie (1/3) dans la moelle osseuse (1/3) et pour le reste dans la rate et les autres tissus (p. ex. les muscles). 26 Hématologie a)La ferritine (hydrosoluble) est une protéine de phase aiguë et est constituée d’une coque protéique (apoferritine) et d’un centre de micelles de ferrihydroxyphosphates. La ferritine contient du fer sous forme biologique et protège la cellule contre les effets toxiques du fer ionisé. Mise en évidence de la ferritine : –– Par méthode radio-immunologique dans le sérum –– Par coloration, p. ex. dans une biopsie médullaire (réaction de Berliner Blau) –– Par électromicroscopie (particule de 6 - 7 mm) Le taux circulant de ferritine est en corrélation avec les réserves en fer de l’organisme. En cas de carence en fer, la ferritine sérique ↓, en cas d’anémie sur tumeur, infection ou inflammation, la ferritine ↑ (à l’inverse des taux de transferrine). En cas de carence martiale + inflammation / tumeur concomitantes, le taux de ferritine peut parfois être normal malgré une carence en fer. Des taux abaissés de ferritine prouvent une carence en fer. Remarque : Une carence débutante en fer peut être reconnue à une chute de la ferritine et à une augmentation des sTfR bien avant l’épuisement des réserves en fer (donc avec taux de fer et de transferrine encore normaux) ! Pendant une réaction de phase aiguë (inflammation, traumatisme, tumeurs !), on assiste à une nouvelle répartition du fer dans les macrophages, sans qu’il y ait apparition d’une carence martiale. Dans ce cas la ferritine est augmentée, tandis que la transferinne est diminuée, les sTfR ne sont par contre pas influencés par une réaction de phase aigüe. b)(Hémo) sidérine (insoluble dans l’eau) : apparaît comme des granules jaune-bruns en microscopie (apparaît en bleu après la réaction de Berliner Blau). En microscopie électronique on voit les sidéromes (lysosomes) qui apparaissent par autophagie cellulaire de particules dénaturées de ferritine. En cas de surcharge martiale, des granules de sidérine apparaissent dans les macrophages et les cellules parenchymateuses (p. ex. hépatiques). Afin de coordonner entre elles l’assimilation, la mise en réserve et la consommation du fer, chaque cellule dispose d’un système qui régule la répartition du fer intracellulaire en fonction du besoin. Cette régulation se fait grâce à l’interaction de protéines cytoplasmiques spéciales, les « iron regulatory proteins » (IRP-1 et IRP-2), avec des structures spéciales de l’ARN, les « iron responsive elements » (IRE). Carence en fer et anémie par carence martiale [D50.9] Syn: Iron deficiency anemia (IDA) Fréq :En Europe, env. 10 %, dans les pays en voie de développement > 50 % des femmes en âge de se reproduire. Environ 25 % de la population mondiale souffre d’une carence martiale ! C’est l’anémie la plus fréquente : 80 % de toutes les anémies ! 80 % de celles-ci frappent les femmes (besoins augmentés par les menstruations, les grossesses et la lactation). Ét : 1.Apport insuffisant de fer (nourrisson, enfant, végétarien) Un apport quotidien en fer est recommandé : 12 mg pour les hommes, et 15 mg pour les femmes non ménopausées, 30 mg pour les femmes enceintes. 2.Résorption insuffisante de fer après gastrectomie, syndrome de malabsorption, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin, maladie coeliaque / sprue e.a. 3.Besoins augmentés (croissance, grossesse, allaitement, sport) - également lors du traitement par acide folique ou vit. B12 ! 4.Pertes de fer (80 % des cas). –– Saignements génitaux chez la femme : ménorrhagie (cause la plus fréquente) –– Saignement dans le tractus digestif : ulcères, gastrite érosive, saignements sur varices œsophagiennes, carcinome, diverticulose colique, hémorroïdes, infection par vers intestinaux e.a. (voir chapitre des hémorragies gastro-intestinales). –– Autres pertes de sang (tractus urinaires, oropharynx, gencive, nez, poumons) –– Pertes de sang peropératoires ou post-traumatiques –– Pertes de sang en hémodialyse (env. 2,5 l/an) ou après dons ou prises de sang répétées –– Pertes de sang dans les diathèses hémorragiques (également par AAS, anticoagulants) –– Donneurs de sang dont on ne substitue pas le fer pendant des années. –– Rarement par auto-mutilation (Diag Diff : Syndrome de Münchhausen [F68.1] : troubles de la personnalité au cours desquels les patients s’occasionnent eux mêmes des pathologies). –– Une gastrite positive à HP ou un lymphome gastrique peuvent également être la cause d’une carence martiale. 27 Chapitre I Clin :Si les symptômes de carence martiale apparaissent avant l’anémie, on parle de sidéropénie [E61.1] ou de carence martiale latente. 1.Symptômes cutanés et muqueux –– Ongles concaves (koïlonychie [L60-3]), fragilité des ongles, perte diffuse de cheveux, aphtes chroniques récidivantes de la muqueuse buccale, peau sèche, prurit. –– Syndrome de Plummer-Vinson [D50.1] : atrophie muqueuse sidéropénique de la langue, de l’oropharynx et de l’œsophage avec brûlures de la langue et dysphagie douloureuse. –– Rhagades aux commissures labiales [K13.0] Diag Diff des rhagades aux commissures labiales (Syn : perlèche [K13.0], chéilite angulaire) : Chez les enfants : infection streptococcique ou eczéma atopique, salivage plus abondant. Chez les personnes âgées : fréquentes infections à candida dans les plis, diabète e.a. 2.Éventuellement troubles psychiques ou neurologiques non-spécifiques : maux de tête, perte de concentration, irritabilité augmentée, év. « rest less legs », Pica [F50.8] = tendance à manger des aliments non comestibles, p. ex. calcaire ou terre (Diag Diff : Grossesse). 3.Symptômes généraux de l’anémie –– Pâleur de la peau (inconstante) et des muqueuses (plus fiable). Attention : Cela peut être très dangereux de se fier à la pâleur de la peau pour poser le diagnostic d’anémie. Il existe des gens naturellement pâles par vaisseaux cutanés profonds ou par vasoconstriction. À l’inverse, une anémie existante peut être cachée par un teint foncé, une pigmentation de la peau et des téléangiectasies. –– Faiblesse, éventuellement dyspnée d’effort (diminution des transporteurs en O2). –– Piège : insuffisance cardiaque. –– Souffle systolique cardiaque év. (sans substrat organique, mais par turbulence car la viscosité est diminuée et le débit cardiaque augmenté). –– Diag Diff : Endocardite à bas bruit avec insuffisance valvulaire et anémie toxi-infectieuse. –– Tachycardie (augmentation de la fréquence cardiaque en compensation au déficit en oxygène ; si l’anémie n’est pas connue et en cas d’effort physique important par le sport ou le travail, une cardiomyopathie irréversible induite par la tachycardie peut éventuellement se développer). –– Troubles de concentration, céphalées. Labo : Stades de la carence martiale : •• Carence martiale prélatente (carence en réserve martiale) : –– Ferritine sérique et taux médullaire en fer ↓ (pas d’anémie, VCM et TCMH normaux) –– Récepteur soluble de la transferrine (sTfR) ↑ •• Carence martiale fonctionnelle (IDE = iron deficient erythropoiesis = érythropoïèse déficitaire) –– Saturation de la transferrine < 16 %, transferrine ↑, pourcentage d’érythrocytes hypochromes > 10 %, (voir ci-dessous) –– Sidéroblastes médullaires < 15 % –– Fer sérique ↓ (Rem : La seule détermination du fer sérique est insuffisante pour le diagnostic de l’anémie.) –– Hémoglobine réticulocytaire (C.Hr) < 26 pg. •• Carence franche = anémie carentielle –– En plus, hémoglobine, hématocrite, érythrocytes ↓ Rem : La production d’hémoglobine est, en cas de carence martiale, plus précocement et plus fortement perturbée que celle des érythrocytes. Dès lors, en cas de diminution déjà importante de l’Hb, le nombre de globules rouges peut encore être, au départ, à la limite (inférieure) de la normale. –– Morphologie : Poïkilocytose [R71] : érythrocytes de forme irrégulière. Anisocytose : érythrocytes de tailles différentes. Érythrocytes microcytaires : VCM = volume corpusculaire moyen < 80 µ. Érythrocytes pâles et hypochromes : TCMH (HbE) = taux corpusculaire moyen en hémoglobine < 28 pg. TCMH = Hb en g / dl × 10 [pg] GR en millions / µl VCM = Hc ( % ) × 10 [µ ] GR en millions / µl –– Le pourcentage d’érythrocytes hypochromes = % HYPO (cytométrie de flux) > 10 % est l’expression d’une érythropoïèse déficitaire en fer. –– On observe souvent une thrombocytose réactive (par cytostimulation) en cas d’anémie prolongée par carence martiale. –– Protoporphyrine zinc (PPZ) : il existe une voie métabolique alternative en cas de carence en fer : le zinc est incorporé à la place du fer et il y a formation de protoporphyrine zinc à la place de l’hème. La concentration de PPZ augmente avec l’apparition de l’érythropoïèse déficitaire 28 Hématologie en fer. Ce phénomène apparaît également dans les troubles d’assimilation du fer, le syndrome myélodysplasique ou l’intoxication au plomb. La PPZ peut donc être utilisée comme paramètre de dépistage mais pas pour le Diag Diff des anémies. Diag Diff : 1.Anémie hypochrome [D50.9] Fer sérique Transférrine Ferritine sérique sTfR Biopsie médullaire Particularités Anémie sur inflammation, infection ou anémie tumorale Anémie par carence martiale Syndrome myélodysplasique ↓ ↓ ↑ ↓ ↑ ↓ ↑ N Dépôts de fer dans les macrophages Maladie causale ! CRP ↑ β thalassémie nl−↑ nl−↓ nl−↑ ↓ ↑ ↑ ↓ ↑ Stock de fer ↑, sidéroblastes en anneaux Dyshématopoïèse Stock de fer suffisant Stock de fer déficitaire Signes cliniques de carence martiale, pertes occultes fréquentes Cellules cibles dans le sang, signes d’hémolyse, HbA2 élevée Rem : Les anémies sur inflammation ou infection ou anémie tumorale [D48.9 + D63.0*] (= anemia chronic disease = ACD) sont dans 75 % des cas normochromes, dans 25 % des cas légèrement hypochromes. Une augmentation du sTfR dans une ACD indique une carence martiale supplémentaire. L’anémie dans les syndromes myélodysplasiques est souvent hyperchrome/macrocytaire, mais peut également être normochrome et rarement hypochrome. Causes rares d’anémie hypochrome : intoxication au plomb, carence en vit. B 6, carence en cuivre → Diag : dosage des substances concernées dans le sang. 2.Anémie de la grossesse : anémie de dilution par rétention hydrique pendant la grossesse → mois 1 - 3 : chute de l’Hb jusqu’à 11g/dl et Hc jusqu’à 38 %, mois 3 - 9 : chute de l’Hb jusqu’à 10g/dl et Hc jusqu’à 35 %. 3.Anémie du coureur : anémie de dilution par augmentation du volume plasmatique + hémolyse mécanique lors d’une course intense, d’un jogging etc. Diag : 1.De la carence martiale : Anamnèse / Clinique. Labo (Hb, CHr, érythrocytes avec morphologie, zone de distribution des érythrocytes (RDW = red cell distribution width) ↑, thrombocytes ↑, fer, ferritine ↓, transferrine ↑ ou sTfR, saturation de la transférine ↓. Rem : Le RDW est augmenté dans l’anisocytose avec des érythrocytes de taille très variable 2.Bilan étiologique : En cas de carence martiale (anémie) se pose toujours la question de l’étiologie : le plus souvent un saignement ! Il faut dès lors exclure des sources possibles de saignement. •• Cause gastro-intestinale : analyse du sang dans les selles (p. ex. Test hémoccult), examens gastro-intestinaux. •• Exclure une origine urogénitale (examen urologique, gynécologique → ménorrhagie ?). •• Penser à d’autres causes plus rares, p. ex. hémorragies gingivales ou nasales, larges hématomes. •• Év. exclure un trouble de résorption du fer par le test de résorption du fer : mesure du fer sérique avant et 2 h après administration de 100 mg de fer (II) : une valeur normale est une valeur double de concentration du départ. Maladie coeliaque / sprue ? Tt : A)Étiologique B)Symptomatique : substitution martiale Indic : en cas de carence martiale vraie. Le principe est de fournir du Fe++ per os. Une substitution martiale parentérale doit rester exceptionnelle. –– Dans les inflammations gastro-intestinales –– Dans les syndromes de malabsorption –– Si des effets secondaires sérieux / en cas d’incompatibilité surviennent lors de la thérapie orale (p. ex. ulcérations gastriques). –– Dans l’anémie rénale sous traitement par rhEPO C.I. : Anémie sur inflammation, sur infection ou tumorale avec taux normal de ferritine. Hémosidérose ou hémochromatose avec taux élevé pathologique en ferritine. Effets IIaires : 1. Du traitement martial oral : Plaintes gastro-intestinales → prendre le fer pendant ou après les repas pour les patients sensibles de l’estomac (bien que le fer soit mieux résorbé à jeun). 29 Chapitre I Les tablettes de fer sont radio-opaques dans le tractus digestif (à ne pas confondre avec lithiase rénale ou vésiculaire), elles peuvent aussi colorer les selles en noir (ne pas confondre avec méléna). La langue peut se colorer en noir si les capsules se dissolvent dans la bouche. Risque de surdosage : en part. chez les enfants et adolescents ainsi que lors d’une absorption accidentelle ou suicidaire de doses élevées. Un risque plus élevé de surcharge ferrique existe, lors d’une prise chronique de fer à des doses thérapeutiques, dans les maladies hépatiques chroniques, l’alcoolisme et l’hémochromatose. 2. Du traitement parentéral : –– Le fer ionisé est mal toléré par voie veineuse : Céphalée, chaleur, nausée, vomissement, goût métallique, douleurs cardiaques, év. collapsus - choc anaphylactique (en part. avec les dextrans fériques) (pas de substitution parentérale chez des patients allergiques connus !). –– Danger de thrombophlébite ! –– Danger de surdosage (respecter les indications pour le dosage) Interactions : Le fer ne peut être donné en même temps que les tétracyclines, les antiacides et la colestyramine (troubles de résorption réciproques). Dos : 1. Traitement oral (p. ex. co de fer) : 100 - 200 mg Fe++ répartis en 2 doses journalières : Rem : Seul le Fe++ est résorbé de façon satisfaisante par l’intestin (10 - 20 %) et est dès lors substitué oralement. •• La durée d’un traitement martial est de 3 - 6 mois pour restaurer le stock ! •• Si le traitement est suffisant, les réticulocytes et l’Hb devraient réaugmenter après 1 semaine (crise réticulocytaire). Causes d’un retard de la crise réticulocytaire : substitution insuffisante (p. ex. prise irrégulière ou insuffisante de fer), troubles de la résorption, diagnostic erroné (anémie d’autre origine !), hémorragie (méconnue) persistante. Hb et la ferritine doivent se normaliser. •• Chez les enfants, l’ingestion accidentelle de comprimés de fer peut entraîner des intoxications dangereuses (dose létale env. 3 g Fe++). Il faut dès lors conserver les comprimés hors de la portée des enfants. Antidote : déferoxamine, de plus administration de Na2CO3 (forme du FeCO3 peu soluble). 2. Traitement martial parentéral –– Le fer parentéral n’existe que sous forme de Fe+++. –– Pas de mélange ! en particulier avec des liaisons réductrices (p. ex. Vit C) Dos : p. ex. carboxymaltose ferrique : dose unique maximale jusqu’à 200 mg, en infusion jusqu’à 1 000 mg (1 x /sem) : attention aux données du fabricant ! Gluconate de fer (III) : dose maximale unique 62,5 mg. Complexe hydroxyde ferrique – saccharose : dose unique maximale 200 mg. Il est recommandé de tester la tolérance avec une petite dose. Très lente injection i.v. (20 min.), de préférence en infusion brève dans 100 – 250 ml NaCl 0,9 %. Besoin maximal en fer en mg (formule de Ganzoni) = Carence en Hb en g/dl x poids (kg) x 3. Le meilleur marqueur d’une substitution suffisante est une normalisation de l’hémoglobine et de la ferritine sérique ! Prophyl :Administration prophylactique chez la femme enceinte, chez les prématurés et les nouveau-nés avec un poids à la naissance < 2 500 g. Anémies mégaloblastiques [D53.1] Déf :Carence en Vit B12 (= cobalamine) et/ou acide folique avec trouble de la synthèse de l’ADN et trouble de maturation du noyau dans la myélopoïèse avec production de mégaloblastes. Symptomatologie : anémie mégaloblastique : Symptômes neurologiques et gastro-intestinaux surajoutés dans l’anémie par carence en Vit B12. Épid : L’anémie mégaloblastique la plus fréquente est celle de la carence en Vit B12. Incidence : 9 cas/100 000 habitants/an. En augmentation avec l’âge. Physiopath : L’acide folique et la vitamine B12 jouent un rôle important dans la formation des précurseurs pour la synthèse de l’ADN. La cobalamine catalyse 3 types de réactions : 1. réarrangements intramoléculaires, 2. méthylation, 3. réduction des ribonucléotides en désoxyribonucléotides. L’acide folique est réduit en tétra- ou dihydrofolate et agit sous cette forme comme coenzyme lors du transfert des fragments C1. 30 Hématologie Reductase (bloquée par méthotrexate) Tétrahydrofolate Sérine, Formiminoglutamate Dihydrofolate Purine, Méthionine Synthèse d’ADN d. TMP (Désoxythymidinemonophosphate) Pool de donneurs de C1 d. UMP (Désoxyuridine-monophosphate) La vitamine B12 est un coenzyme contenant du cobalt formant une liaison circulaire ressemblant à la porphyrine. Elle est essentielle pour la synthèse de l’ADN. La vitamine B12, synthétisée dans le côlon humain par des micro-organismes, ne peut être résorbée. De ce fait, l’apport en Vit B12 dépend chez l’homme d’apports animaux (foie, viande, lait, œufs). La Vit B12 se rencontre sous deux formes actives dans l’organisme : La 5-désoxyadénosylcobalamine est indispensable pour la transformation de méthylmalonyl-CoA en succinyl CoA. Si l’adénosylcobalamine vient à manquer, il se produit une accumulation de précurseurs et la formation d’acides gras non physiologiques (dont la présence dans les lipides neuronaux serait responsable des troubles du SNC). La méthylcobalamine est indispensable pour la transformation d’homocystéine en méthionine. Si la méthylcobalamine est déficitaire, le métabolisme de l’acide folique en est perturbé (avec trouble de la synthèse d’ADN et effet sur l’hématopoïèse). Homocystéine Méthionine 5-Méthyl-THF THF Méthionine synthétase Méthylcobalamine Cobalamine 5-Adénosylcobalamine L-Méthylmalonyl-CoA Méthylmalonyl-CoAmutase Succinyl-CoA Réactions enzymatiques dépendant de la cobalamine Métabolisme de la vitamine B12 La vitamine B12 est libérée des protéines alimentaires dans l’estomac sous l’action d’acides gastriques et est principalement liée à l’haptocorrine. Le complexe haptocorrine – B12 (holohaptocorrine) est dégradé dans la partie supérieure de l’intestin grêle par les enzymes pancréatiques et un pH basique. Ce mécanisme lie la vit. B12 au facteur intrinsèque qui est formé par les cellules pariétales de la muqueuse gastrique. Le complexe facteur intrinsèque-B12 est capté dans la partie inférieure de l’iléus par les cellules grâce à un récepteur de surface membranaire des entérocytes. Dans les entérocytes, le complexe facteur-intrinsèque-B12 est décomposé et la vitamine B12 est transférée sur une troisième protéine, la transcobalamine (TC). Le complexe transcobalamine-B12 est appelé holotranscobalamine (holoTC) (temps de ½ vie biologique 1,5 h). Ce complexe atteint la circulation sanguine par la veine porte et peut pénétrer les cellules portant à leur surface le récepteur TC. Le complexe holoTC est hydrolysé par les lysosomes et la vit. B12 est libérée. Sous forme de méthyl-B12 ou adénosyl-B12 elle activera par catalyse les enzymes correspondants. La vitamine B12 circule dans le sang liée à 20 % env. à la TC (holoTC, forme métaboliquement active) et à 80 % à l’haptocarrine (= holohaptocarrine). Dans les conditions normales, env. 2 mg de Vit B12 sont stockés dans le foie, deux autres mg sont stockés en dehors du foie. Une interruption des apports en Vit B12 ne se remarquera qu’après 3 ans, la demi-vie biologique peut atteindre 2 ans. Besoin quotidien : env. 5 µg. Taux normal de Vit B12 dans le plasma : 150 - 800 pmol/l. Métabolisme de l’acide folique : L’acide folique se trouve dans l’alimentation sous forme de polyglutamate (foie, légumes). Il est déconjugué dans l’intestin grêle en monoglutamate. La déconjuguaison peut être perturbée par la contraception 31 Chapitre I orale ou d’autres médicaments (p. ex. diphénylhydantoïne). La résorption de l’acide folique a lieu dans le jéjunum. Les réserves hépatiques en acide folique (env. 5 mg) suffisent pour 3 mois. Apport quotidien préconisé : 400 µg de folate. Taux normal d’acide folique dans le plasma : 7 - 36 nmol/l. Classification des anémies mégaloblastiques : 1.Carence en vit B12 : a)Apport insuffisant chez les végétariens stricts (rare). b)Carence en facteur intrinsèque –– Après gastrectomie –– Anémie pernicieuse (maladie de Biermer [D51.0]) : la cause est la production d’auto-Ac contre les cellules pariétales et le facteur intrinsèque avec gastrite atrophique auto-immune de type A et achlorhydrie. Surtout chez les personnes âgées : f > h. c)Maladies intestinales avec syndrome de malabsorption (voir ce chap). d)Consommation augmentée par la présence de parasites (Diphyllobothrium latum [B70.0]) e)Prolifération bactérienne (p. ex. le syndrome de l’anse borgne). 2.Carence en acide folique : a)Apport alimentaire insuffisant (alcoolique ou personnes âgées avec alimentation peu variée). b)Besoin augmenté (hémolyse, grossesse). Diag Diff : Causes d’anémie pendant la grossesse [O99.0] : –– Anémie physiologique de la grossesse (par dilution sur rétention hydrique !) –– Carence en fer –– Carence en acide folique c)Maladies générales avec syndrome de malabsorption. d)Troubles de la déconjuguaison par certains médicaments (diphénylhydantoïne = phénytoïne). e)Traitement par antagonistes de l’acide folique (méthotrexate, pyriméthamine, triméthoprime), antagonistes de la synthèse des purines (azathioprine), triamterène. Clin :Triade dans la carence sévère en Vit B12 : troubles hématologiques + neurologiques + gastro-intestinaux. 1.Syndrome hématologique : Symptômes généraux de l’anémie : Fatigue, performance diminuée, pâleur. Dans les cas de carence prononcée en vit B12, la peau est café au lait par la pâleur et le léger ictère (Ét : érythropoïèse inefficace avec hémolyse intramédullaire des cellules érythropoïétiques) → piège diagnostique : maladie hépatique. 2.Syndrome gastro-intestinal : •• Gastrite auto-immune (= gastrite chronique de type A) avec achlorhydrie et anémie pernicieuse. •• Modifications des muqueuses, glossite atrophique (Hunter [K14.0]) avec langue lisse et rouge et brûlure de la langue. 3.Syndrome neurologique-psychiatrique : Sclérose combinée de la moelle [E53.8] (myélose funiculaire) : Avec dégénérescence médullaire des –– Cordons postérieurs : trouble de la démarche (ataxie spinale) –– Des voies pyramidales : parésies, signes pyramidaux. Symptômes de polyneuropathie avec paresthésies douloureuses des mains et des pieds (picotements, sensation de marcher sur de la fourrure). Év. aréflexie des membres inférieurs ou troubles psychotiques. Le syndrome sensitif précoce est un trouble de la sensibilité profonde ainsi que de la perception des vibrations (à rechercher avec le diapason). Rem : Il existe des carences en vitamine B12 avec symptômes neurologiques mais sans anémie comme il existe une sidéropénie avec symptômes cutanés ou muqueux sans anémie : dès lors, il faut toujours penser à la possibilité de carence en Vit B12 en cas de symptômes neurologiques mal définis. Clinique de la carence en acide folique : •• Apparition d’anémie mégaloblastique (mais pas de myélose funiculaire). •• La carence en acide folique augmente le risque de malformation du tube neural [Q05.9] embryonnaire chez la femme enceinte ! (Epid. : 1 : 1 000). En conséquence : supplément d’acide folique chez toutes les femmes désirant être enceinte. → Diminution du risque de malformation du tube neural de 70 %. 32 Hématologie 4 stades de la carence en vitamine B12 : Holo TC (pg/ml) HoloTC (pg/ml) Homocystéine* AMM Hypersegmentation Érythrocytes VCM Hémoglobine Atteinte myélinique Normal I. Balance négative initiale en B12 II. Épuisement des réserves en vit. B12 III. Carence en B12 de l’érythropoïèse IV. Anémie sur carence en vit. B12 > 50 > 180 Nl Nl non Nl Nl Nl non < 40 > 180 Nl Nl Non Nl Nl Nl non < 40 < 150 Nl Nl Non Nl Nl Nl non < 40 < 100 < 40 < 100 ↑ ↑ ↑ ↑ oui Nl Nl Nl (oui) Oui Mégalocytes ↑ ↓ oui HoloHC = halohaptocorrine, HoloTC = holotranscobalamine, AMM = acide méthylmalonique Nl = normal *Rem : l’homocystéine est également augmentée dans les carences en acide folique et vit. B6. Labo : • Frottis sanguin périphérique : Anémie mégalocytaire : Les mégalocytes ont un volume corpusculaire augmenté (VCM > 98 µ) et sont hyperchromes (TCMH > 34 pg). La concentration en hémoglobine n’est pas augmentée en absolu (CCMH normale) ; leucopénie et thrombopénie fréquentes (pancytopénie), granulocytes hypersegmentés. Réticulocytes avant traitement par vit. B12 : normal / ↓, après administration de vit. B12 : ↑. •• Moelle osseuse : Troubles de la maturation et de l’expression des 3 lignées sanguines : érythro-, granulo- et thrombopoïèse inefficaces (les cellules souches sont normales). Hyperplasie érythropoïétique : Dans la moelle osseuse normale, la relation granulopoïèse érythropoïèse est à peu près de 3 cellules pour 1. Cet index G-E se modifie au profit de l’érythropoïèse (p. ex. 1:1). Des mégaloblastes seront produits à la place de normoblastes, c’est-à-dire des cellules à cytoplasme large, gros noyaux avec structure chromatine déliée et éclatement du noyau comme expression du trouble de maturation de celle-ci. Trouble de la granulopoïèse avec batônnets géants et formes jeunes géantes (métamyélocytes géants). •• Signes d’érythropoïèse inefficace avec hémolyse –– Taux de fer ↑ (chute après traitement par vit B12 avec év. carence en fer → substitution en fer !) –– LDH ↑ –– Bilirubine indirecte ↑ •• Détermination d’une carence en vit B12 ou acide folique par dosage plasmatique. •• Mise en évidence d’un éventuel trouble de résorption de la vit B12. Test de Schilling = test de résorption de la vit B12. Deux méthodes : avec 1 ou 2 substances-test radioactives. (*) Après prise orale de la substance, son activité est déterminée dans les urines. Condition normale Trouble de résorption dans l’iléon Gastrite chronique atrophique type A avec carence en FI *Co-B12 sans FI *Co-B12 avec FI normal normal ↓ ↓ ↓ normal Diag Diff : Modification mégaloblastique dans le syndrome myélodysplasique et autres maladies de la moelle osseuse, médicamenteuses-toxiques (alcool, hydroxy-urée, MTX, zidovudine e.a.). Diag : • Anamnèse / Clinique •• Biologie : formule sanguine complète Dosage de vit B12, Holo TC et acide méthylmalonique (AMM), de plus acide folique (à faire avant tout traitement par vit B12 ou acide folique ! !) •• Analyse de la moelle osseuse Diagnostic d’une anémie pernicieuse : •• Test de Schilling pathologique : Résorption de vit B12 sans FI diminuée, normale avec FI •• Présence d’auto-anticorps : > 90 % ont des anticorps contre les cellules pariétales (parfois aussi chez sujets sains) 33 Chapitre I env. 70 % ont des anticorps contre FI env. 40 % ont de plus des anticorps dirigés contre les antigènes thyroïdiens (év. avec hypothyroïdie). •• Diagnostic gastrique : Analyse du suc gastrique (achlorhydrie réfractaire à la pentagastrine) + gastroscopie/ biopsie (gastrite chronique atrophique type A). Diagnostic d’une carence en acide folique : 1.Taux abaissé d’acide folique dans le sang. 2.Test de Shilling normal. 3.Test de Figlu : Dans les carences en acide folique, le formininoglutamate est éliminé en quantité augmentée dans les urines après prise d’histidine car une étape du métabolisme est bloquée. Tt : A)Carence en vit B12 : 1.Traitement étiologique : p. ex. traitement itératif par doxycycline en cas de syndrome de l’anse borgne, év. transformation chirurgicale d’un Billroth II en Billroth I. Traitement d’un ver solitaire etc. 2.Traitement substitutif de vit B12 : L’hydroxocobalamine est préférée à la cyanocobalamine car elle est éliminée plus lentement (fixation plus forte avec l’albumine dans le sérum). Administration parentérale car seul 1 % est résorbé par administration orale. Dos : p. ex. au départ 1 000 µg/sem jusqu’à normalisation de la formule sanguine, ensuite dose d’entretien à vie de 1 000 µg tous les 3 - 6 mois i.m. Dès le deuxième jour du traitement, les mégaloblastes médullaires disparaissent, signant son efficacité. De nombreux normoblastes apparaissent. Au 4e - 5e jour, survient une élévation explosive des réticulocytes sanguins et le taux d’érythrocytes augmente également. Attention : Substituer fer et potassium en fonction des valeurs pendant cette phase (besoin augmenté par érythropoïèse accélérée). En l’absence de substitution il peut y avoir une hypokaliémie avec des troubles du rythme potentiellement dangereux. Surveillance des patients à risque (maladies coronariennes, troubles du rythme), év. en milieu hospitalier. De façon passagère les thrombocytes peuvent augmenter et augmenter le risque de thromboembolie. En cas de maladie spinale funiculaire, on administre des fortes doses de vit. B12. Traiter la carence en vit B12 par de l’acide folique est une erreur. En effet, l’anémie sera peut être améliorée mais la myélose funiculaire non influencée voire aggravée. Rem : L’hydroxocobalamine à hautes doses agit également comme antidote en cas d’intoxication au cyanure. 3.Dans les gastrites chroniques atrophiques de type A : gastroscopie de contrôle (risque augmenté de néoplasie gastrique). B)Carence en acide folique : 1.Traitement étiologique (p. ex. abstinence d’alcool, correction d’une alimentation inadéquate). 2.Substitution en acide folique (5 mg/j per os). Pron :Les symptômes neurologiques par carence en vit. B12 sont réversibles dans le stade précoce, mais pas au stade de dégénérescence axonale. Rem :L’anémie par carence en vit B6 (pyridoxine) [D64.3] est très rare et est hypochrome. Preuve par le test de surcharge en tryptophane (catabolisme du tryptophane perturbé : augmentation de l’élimination urinaire d’acide xanthique). Anémies hémolytiques [D58.9] Déf :Hémolyse : Raccourcissement de la durée de vie des érythrocytes (nl 120 j). La méthode de détermination de la durée de vie des érythrocytes en médecine nucléaire par érythrocytes marqués au 51Cr ou 111In n’est pas une méthode de routine. On différencie les hémolyses intravasculaires ou extravasculaires. Si le taux sanguin en hémoglobine reste normal grâce à une érythropoièse augmentée, on parle d’hémolyse compensée, dans le cas contraire d’anémie hémolytique. Ét :Classification des anémies hémolytiques : I. Anémie hémolytique intracorpusculaire 1.Déficit congénital de la membrane des érythrocytes : P. ex. sphérocytose et élliptocytose. 2.Déficit congénital enzymatique des érythrocytes : (anémie hémolytique enzymopénique) –– Déficit dans le cycle hexose-monophosphate : p. ex. déficit en G-6-PD. –– Déficit de la glycolyse : p. ex. carence en pyruvate kinase. 34 Hématologie 3.Troubles congénitaux dans la synthèse de l’Hb (hémoglobinopathie) : –– Hémoglobine anormale (variante avec structure anormale de Hb) –– Thalassémie (variante avec production diminuée des chaînes polypeptidiques normales de l’Hb). 4.Déficit héréditaire des membranes : hémoglobinurie paroxystique nocturne. II.Anémie hémolytique extracorpusculaire 1.Anémie iso-immune par isoanticorps (= alloanticorps) –– Incompatibilité Rh du nouveau-né –– Réactions de transfusion médiées par des anticorps. 2.Anémie hémolytique auto-immune (AHAI) –– AHAI à anticorps chauds : •• Type phénacétine (le médicament agit comme haptène) •• Type pénicilline (le médicament se lie à la membrane érythrocytaire) •• Type α-méthyldopa (induction d’auto-anticorps par le médicament). –– AHAI induites par anticorps froids –– AHAI du type Donath-Landsteiner (hémoglobinurie paroxystique froide). 3.Hémolyse infectieuse (p. ex. malaria) 4.Anémie hémolytique par toxiques chimiques ou physiques –– Hémolyse mécanique avec fragmentocytes (valves cardiaques artificielles, anémie du coureur) –– Destruction thermique des érythrocytes (brûlures) –– Toxines chimiques (p. ex. venin de serpent, arsenic, plomb, cuivre (maladie de Wilson)). 5.Anémie hémolytique par trouble métabolique : Syndrome de Zieve (atteinte alcoolique toxique du foie, anémie hémolytique, hyperlipémie) 6.Anémie hémolytique microangiopathique (AHM) [D59.4] –– Syndrome hémolytique et urémique = SHU = Syndrome de Gasser –– Purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) = Syndrome de Moschkowitz –– AHM médicamenteuse (p. ex. par mitomycine C) –– AHM dans les carcinomes métastasés. Physiopath : •• Anémies avec dégradation intravasculaire des érythrocytes : syndrome de fragmentation des érythrocytes (p. ex. dans les valves cardiaques artificielles, SHU et PTT, hémoglobinurie nocturne paroxystique e.a.). •• Anémies avec dégradation extravasculaire des érythrocytes : anémies hémolytiques auto-immunes e.a. Les érythrocytes âgés sont éliminés du sang après env. 120 jours. 85 % de cette hémolyse physiologique a lieu dans le SRH, en particulier dans la rate. Si l’hémolyse augmente, elle se déroule également dans le foie et la moelle osseuse. Si les capacités du SRH s’épuisent ou que l’hémolyse s’accélère trop, on assiste à une hémolyse intravasculaire. L’hémoglobine est alors liée à l’haptoglobine. Lorsque les capacités de fixation de l’haptoglobine sont dépassées, de l’hémoglobine libre apparaît dans le plasma et est transformée en dérivés d’hématine. Ceux-ci sont transportés au SRH par l’hémopexine. L’haptoglobine et l’hémopexine agissent en chaîne ! La diminution de l’haptoglobine est un paramètre sensible d’hémolyse intravasculaire. L’haptoglobine qui est une protéine de la phase inflammatoire aiguë, peut être augmentée dans les infections, les inflammations et les tumeurs. L’haptoglobine est rarement diminuée dans l’hypo- ou ahaptoglobulinémie congénitale (2 ‰ de la population d’Europe centrale). Par le dosage de l’hémopexine, on peut évaluer l’intensité de l’hémolyse intravasculaire. Ce n’est que lorsque le taux d’haptoglobine est effondré dans le plasma que le taux d’hémopexine diminue à son tour. Rem : L’haptoglobine est diminuée dans l’hémolyse intravasculaire. L’hémolyse extravasculaire ne provoque une diminution de l’haptoglobine que si les capacités du SRH sont épuisées lors d’une crise hémolytique. Le sérum devient jaunâtre à partir d’un taux d’Hb libre de 500 mg/l. Si la capacité de résorption tubulaire est dépassée dans une hémolyse massive, l’hémoglobinurie [R82.3] apparaît. Toute hémolyse chronique stimule l’érythropoïèse (manque d’O2 → érythropoïétine) Caractéristiques : a)Dans la moelle osseuse : Augmentation des érythrocytes en maturation. Le rapport précurseur rouge/blanc se déplace en faveur des rouges. b)Dans le sang : réticulocytose (tant que la moelle est intacte ; index de production des érythrocytes = IPR > 3). 35 Chapitre I Hb Haptoglobine-Hb Hématine-Hémopexine SRH PLASMA REIN Bilirubine* (fixée à l’albumine) FOIE INTESTIN Bilirubineglucuronoconjuguée** urobilinogène*** Schéma de l’hémolyse intravasculaire Explications des astérisques : Bilirubine liée à l’albumine (non conjuguée ou réagissant de façon indirecte à la coloration de van den * = Berg-Diazo, qui ne se retrouve pas dans les urines). Dès que le taux de bilirubine indirecte triple (hémolyse), les capacités du foie (lors de la gluconisation) sont dépassées et la bilirubine sérique augmente. Dans des circonstances normales, 85 % de la bilirubine provient de la destruction de globules rouges âgés, les autres 15 % viennent du catabolisme de protéines contenant l’hème (myoglobine, cytochrome, catalase) et des cellules érythropoïétiques en maturation dans la moelle (érythropoïèse inefficace physiologique). ** = Bilirubine glucuronoconjuguée (réagissant directement dans la réaction de coloration van den BergDiazo ; éliminée par les urines). *** = Urobilinogène : La résorption intestinale d’urobilinogène est normalement si faible qu’elle n’apparaît pas dans les urines. Dans les anémies hémolytiques, l’urobilinogène est produit en quantité telle qu’elle apparaît dans les urines. Hémolyse intravasculaire Labo : – Hb libre dans le sérum – Haptoglobine – Hémoglobinurie – Hémosidérinurie ↑ sérum rougeâtre ↓ + urines brunâtres + Hémolyse extravasculaire } normales – – Exception : crises hémolytiques (voir infra) On ne constate une diminution de l’hémopexine que lorsque l’haptoglobine chute sous la limite mesurable dans les hémolyses intravasculaires très sévères. Rem : En cas d’hémolyse lors de prise de sang, par erreur technique (sous-pression trop élevée → hémolyse dans l’échantillon prélevé), le taux d’haptoglobine est normal. L’Hb libre dans le sang lie le NO et entraîne ainsi des perturbations de la musculature lisse avec dysphagie, plaintes abdominales, problèmes érectiles, vasoconstriction, hypertension pulmonaire et tendance aux thromboses par activation / agrégation des trhombocytes. Signes généraux d’hémolyse –– LDH et α-HBDH (iso LDH1) et fer sérique ↑ –– Bilirubine indirecte ↑ et urobilinogénurie –– Réticulocytes ↑ ( et ainsi VCM ↑) –– Demi-vie des érythrocytes ↓ –– Hb, érythrocytes et Hc ↓ dans les anémies hémolytiques. 36 Hématologie Morphologie des érythrocytes dans les anémies hémolytiques : •• Sphérocytes Érythrocytes bombés (normalement biconcaves) par diminution de la résistance osmotique sur déficit membranaire. Microscopie : Petits amas épais sans centre clair. Épid : Ils se rencontrent p. ex. dans la sphérocytose héréditaire. •• Cellules-cible (Target Cells) Érythrocytes hypochromes avec épaississement central. Épid : P. ex. thalassémie. •• Cellules falciformes Par leur hémoglobine anormale (HbS), les érythrocytes prennent une forme de croissant dans des conditions de manque d’air (maladie à cellules falciformes). •• Fragmentocytes (= schizocytes) Épid : Dans l’anémie hémolytique microangiopathique, la destruction mécanique des érythrocytes (valves cardiaques artificielles). •• Agglutination des érythrocytes P. ex. anémie hémolytique auto-immune. •• Corpuscules de Heinz Précipités d’hémoglobine dans les érythrocytes, p. ex. dans la carence en G-6-PD ou des anomalies de Hb, met-Hb. •• Parasites intraérythrocytaires : malaria. Évolution : 1.Hémolyse chronique : –– Hémolyse compensée : La diminution de demi-vie des érythrocytes est compensée par une augmentation de l’érythropoïèse (jusqu’à dix fois la normale) → signes d’hémolyse sans anémie. –– Anémie hémolytique : L’intensité de l’hémolyse dépasse les mécanismes de compensation de la moelle : hémolyse avec anémie. –– Les infections par parvovirus B19 peuvent conduire à des crises aplasiques passagères. –– Symptômes d’hémolyse chronique : symptômes généraux d’anémie (fatigue, performances diminuées, dyspnée d’effort, vertiges, e.a.), év. ictère, splénomégalie, lithiase vésiculaire pigmentée en cas d’évolution prolongée. 2.Crise hémolytique (urgence !) –– Spontanée : p. ex. accident transfusionnel –– Exacerbation d’une hémolyse chronique. Symptômes de la crise hémolytique aiguë : –– Fièvre, frisson, év. collapsus –– Chute rapide de l’hémoglobine, ictère, hyperbilirubinémie [R79-8] (fièvre + ictère → diag. erroné de maladie vésiculaire) –– Céphalées, douleurs abdominales et dorsales –– Hémoglobinurie avec urine brun foncé (compl : insuffisance rénale aiguë). Diag Diff : Anémie avec fer sérique élevé : •• Anémie hémolytique, y compris la thalassémie Rapport LDH / GOT (AST) •• Anémie mégaloblastique > 12 : hémolyse •• Syndrome myélodyplasique < 12 : maladie hépatique / des voies biliaires •• Anémie aplasique La LDH est également augmentée en cas d’érythropoïèse inefficace (p. ex. dans les anémies mégaloblastiques). Diag Diff des ictères Sérum Bilirubine indirecte Bilirubine directe Urines Bilirubine Urobilinogène Coloration des selles Hémolyse Ictère obstructif Ictère parenchymateux ++ – (+) ++ + + – ++ foncées ++ – décolorées + + Normales à claires En cas d’hémolyse pure, la bilirubine totale n’excède pas 5x le taux limite normal supérieur (sauf chez les nouveau-nés). 37 Chapitre I Anémies hémolytiques (intra)corpusculaires [D58.9] 1. Défaut congénital de la membrane des érythrocytes Sphérocytose [D58.0] Épid : Anémie hémolytique congénitale la plus fréquente en Europe du Nord (1 : 5 000). Ét : –– Carence en ancyrine (Ankyrim-In, ANK-1) dans la forme dominante autosomique (env. 65 %) –– Carence en spectrine α/β (SPTA1, SPTB) dans la forme récessive autosomique (env. 20 %) –– Échangeur d’anions 1 (SLC4A1, Band 3 Protein) –– Protéine 4.2 (EPB 42) Pathog : Déficit membranaire des érythrocytes → Perturbation de la perméabilité aux ions avec entrée de sodium et d’eau dans les érythrocytes → érythrocytes bombés = sphérocytes → phagocytose de ceux-ci dans la rate avec demi-vie abaissée des GR. Clin : •• Anémie et/ou ictère dans l’enfance •• Anamnèse familiale positive dans 95 % des cas (nouvelle mutation dans 5 % des cas) •• Év. crise hémolytique avec ictère, fièvre et douleurs abdominales hautes •• Splénomégalie, calculs biliaires de bilirubine. Compl : –– Crises aplastiques possiblement mortelles (p. ex. provoquées par une infection à parvovirus B 19). –– Fréquentes lithiases vésiculaires. Labo : •• Anémie monochrome avec signes d’hémolyse : réticulocytose, bilirubine indirecte ↑, LDH ↑, haptoglobine ↓ •• Cellules sphériques au diamètre abaissé (sans éclaircissement central) et diminution de la résistance osmotique. Rem : L’hémolyse commence à une dilution d’une solution de Na Cl < 0,46 % pour les érythrocytes normaux. Si elle débute déjà avec une solution de NaCl > 0,46 %, la résistance osmotique est diminuée. •• Test à l’éosine-5-maléimide (EMA) : cytométrie de flux qui analyse la liaison d’EMA à la protéine bande 3 de la membrane érythrocytaire. Diminuée jusqu’à 30 % en cas de sphérocytose (sensibilité et spécificité élevées). Tt : Év. splénectomie Indic. : crises hémolytiques récidivantes. Par la splénectomie, on enlève le filtre qui élimine précocement les sphérocytes déformés du sang. Après splénectomie, la demi-vie des érythrocytes se normalise mais l’anomalie membranaire et la forme sphérique des érythrocytes persistent. Dans la mesure du possible, il faut retarder la splénectomie après l’âge de 5 ans (risque de sepsis ; pneumocoque, haemophilus). Forme la plus grave : infection fulgurante postsplénectomie (syndrome OPSI : overwhelming postsplenectomy infection en anglais). Une scintigraphie de la rate préopératoire est utile pour mettre en évidence des rates ectopiques. Si elles sont négligées, l’anémie hémolytique peut récidiver ou persister après la splénectomie ; on ne retrouve plus les corpuscules de Howell-Jolly (= reste de chromatine) qui se retrouvent à vie après splénectomie. Vaccin contre pneumocoque, méningocoques et haemophilus influenzae avant splénectomie ! Prophylaxie antithrombotique postopératoire pcq. thrombocytose passagère. Besoin accru en acide folique par érythropoïèse augmentée après splénectomie (et tout traitement réussi d’une hémolyse sévère) → contrôle et év. substitution (1 mg/j.) ! 2. Anomalies enzymatiques congénitales des érythrocytes Caractérisitques des anémies hémolytiques enzymopéniques [D55.9] : –– Hémolyse congénitale –– Év. anamnèse familiale positive –– Morphologie érythrocytaire normale (à quelques détails près) –– Test de Coombs négatif –– Résistance osmotique normale –– Hémoglobine normale –– Penser à un déficit en G-6-PD en cas d’évolution par crises. 38 Hématologie Déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase (G-6-PD) [D55.0] Syn : Favisme. Épid :Maladie héréditaire la plus fréquente après le diabète. Le plus souvent en Afrique, Asie et sur le pourtour méditerranéen (en Israël, jusque 60 %). •• Variante A (Afrique de l’Ouest, gens de couleur au Etats-Unis) : activité résiduelle de la G-6-PD 5 à 15 % de la normale. •• Variante méditerranéenne avec une activité résiduelle < 1 % de la normale (chez les hétéro- et homozygotes) Hérédité : Récessif, lié au chromosome X (comme l’hémophilie). Les hommes et les femmes homozygotes sont toujours atteints. Les femmes hétérozygotes ont deux populations d’érythrocytes (une avec carence en G-6-PD et une sans), elles peuvent être atteintes ou indemnes. Rem : Les porteurs hétérozygotes sont plus résistants au plasmodium de la malaria que la population normale (comme dans la drépanocytose). Physiopath : La carence en G-6-PD provoque une diminution de la formation de glutathion réduit qui protège les érythrocytes de l’oxydation. Clin :Survenue de crises hémolytiques lors d’infection, après ingestion de fèves et de certains médicaments (la quinine, la primaquine et la chloroquine ; le sulfonamide, l’acide acétylsalicylique e.a.). Après contact avec ces agents, les peroxides produits, qui ne peuvent être détoxifiés par le G-6-PD, endommagent les érythrocytes. Les corpuscules de Heinz sont retrouvés typiquement (= produits dénaturés de l’Hb). Entre les crises hémolytiques, on ne retrouve pas de corpuscules de Heinz dans les érythrocytes. Diag Diff : –– Sphérocytose (résistance osmotique ↓) –– Anomalies de Hb (électrophorèse de l’Hb) –– Hémoglobinurie paroxystique nocturne (cytométrie de flux) –– Anémie hémolytique auto-immune (test de Coombs positif). Diag : –– Anamnèse/clinique (crises hémolytiques après prises de médicaments) –– Mise en évidence d’une activité G-6-PD diminuée dans les érythrocytes Tt : Pas de traitement spécifique. Prophyl : Éviter les facteurs déclenchants → passeport pour le patient et explications ! Carence en pyruvate kinase (PK) [D55.2] Épid : Anomalie héréditaire de la glycolyse la plus fréquente. Hérédité : Récessive autosomique. Pathog : L’érythrocyte mature n’a pas de mitochondrie. Sa source d’énergie est la glycolyse. Le gradient Na+/K+ transmembranaire est maintenu par l’ATP. Une anomalie enzymatique touchant la glycolyse peut provoquer une anémie hémolytique. Clin : Anémie hémolytique chez les homozygotes uniquement, souvent splénomégalie, acanthocytes au frottis sanguin (érythrocytes ratatinés et spiculés : érythrocytes en forme de « pomme piquée »). Diag Diff : Autres causes d’anémie hémolytique (cfr. supra). Diag : Anamnèse / Clinique. Mise en évidence d’activité réduite de PK dans les érythrocytes. Tt : En cas d’hémolyse importante et persistante (→ scintigraphie) év. splénectomie. 3. Hémoglobinopathies [D58.2] Hémoglobine anormale La majorité des hémoglobines anormales (plus de 300 connues) se différencie de l’hémoglobine normale par l’échange de quelques acides aminés. Leur dénomination s’effectuait d’abord par une lettre majuscule, ensuite selon le lieu de leur découverte ou le lieu de naissance du premier patient. Les hémoglobines anormales S, C, D et E sont fréquentes dans certains peuples africains et asiatiques, les autres variantes sont très rares. En Europe, c’est autour de la Méditerranée que se retrouvent le plus fréquemment les Hb anormales. Les patients HbC et HbS sont rarement atteints de malaria (protection relative). 39 Chapitre I Drépanocytose (anémie falciforme) [D57.1] Épid :L’hémoglobinopathie la plus fréquente : 20 à 40 % de la population d’Afrique tropicale et 5 à 10 % de la population noire américaine sont porteurs hétérozygotes. Ét :Maladie héréditaire autosomique codominante avec modifications qualitatives de l’hémoglobine. Les patients du pourtour de la Méditerranée sont le plus souvent homozygotes pour l’haplotype Bénin, ceux d’Afrique centrale ont le plus souvent l’haplotype Bantou. Une mutation ponctuelle du locus β-globine du chromosome 11 aboutit à la production d’une hémoglobine anormale nommée HbS. La valine remplace l’acide glutamique en position 6 de la chaîne β dans l’HbS. Pathog : Chez un porteur HbS homozygote, 80 % de l’Hb est HbS et 20 % HbF. HbS précipite lorsqu’elle est privée d’oxygène. Les érythrocytes se transforment en cellules falciformes, perdent leur souplesse, obstruent la microcirculation et provoquent des infarcissement de différents organes. Les cellules falciformes sont hémolysées dans les capillaires. Clin :Le porteur hétérozygote est le plus souvent asymptomatique. Par contre le nourrisson homozygote est déjà symptomatique : anémie hémolytique et crises vaso-occlusives douloureuses avec infarcissement, (p. ex. splénique, rénal, cérébral, pulmonaire, osseux p. ex. les os du métacarpe et du métatarse → gonflement douloureux de la main/du pied, év. douleurs thoraciques ou abdominales), hépatosplénomégalie. Attention : Des douleurs abdominales peuvent donner le change pour un abdomen aigu ! Compl : Tendance accrue aux infections bactériennes (suite à une atrophie de la rate (« autosplénectomie ») après infarctus récidivant) : p. ex. infections pulmonaires à pneumocoques et haemophilus influenzae, salmonelloses, ostéomyélite, septicémie ; complications liées aux infarcissements, crises aplasiques lors d’infection par parvovirus B 19 ; troubles squelettiques (ostéonécrose aseptique, ostéoporose, trouble de la croissance) ; complications rénales (hématurie, troubles de la fonction tubulaire, glomérulopathie, insuffisance rénale). Diag : –– Microscopique : test de falciformation : 1 goutte de sang EDTA sur une lame porte-objet et recouvrement hermétique par une lamelle → après 24 h forme typique en faucille des érythrocytes. –– Électrophorèse de l’Hb. Tt : 1.Étiologique : Transplantation médullaire de cellules souches chez les patients homozygotes. 2.Symptomatique : Éviter des épisodes de désaturation en oxygène (également à partir de 2 000 m d’altitude et vols en avion) ainsi que de déshydratation, se prémunir contre les infections (prophylaxie par pénicilline à partir du 3e mois jusqu’à l’âge de 5 ans minimum). Les crises vaso-occlusives douloureuses sont traitées par hydratation intraveineuse et antalgie (souvent douleurs extrêmes → opiacés nécessaires !). Transfusion sanguine uniquement dans les cas sévères (p. ex. crise aplasique), exsanguinotransfusion dans les défaillances systémiques. Le traitement par hydroxyurée pour les crises douloureuses et fréquentes peut diminuer le risque de mortalité de 40 %. Immunisation active contre le pneumocoque et l’haemophilus influenzae. Contrôler le taux d’acide folique et év. substituer. 3.Plus de détails à propos du traitement → voir internet. Pron :La plupart des hétérozygotes sont asymptomatiques. L’évolution est variable chez les homozygotes, une partie décède tôt, d’autres atteignent l’âge adulte. Signes de mauvais pronostic, apparaissant chez le petit enfant : •• Crises douloureuses des extrémités (douleurs et faiblesses des mains et des pieds) •• Taux d’Hb < 7 g/dl ; leucocytose sans infection Rem : Les porteurs HbS hétérozygotes sont plus résistants au plasmodium de la malaria que le reste de la population (comme dans la carence en G-6-PD). Thalassémie [D56.9] Anomalie quantitative et non qualitative de la synthèse Hb : mauvaise régulation de la synthèse des chaînes de globines d’origine génétique. Dans la thalassémie β, la synthèse des chaînes β est diminuée, dans la thalassémie α, plus rare, la synthèse des chaînes α est réduite. « Thalassémie » vient du grec « thalassa » : la mer, à cause de sa prévalence dans le bassin méditerrannéen. Les thalassémiques (comme les HbS et carence en G-6-PD) présentent une résistance partielle contre la malaria ce qui les avantage dans les régions endémiques. 40 Hématologie + Répartition de l’hémoglobine dans les érythrocytes normaux : Nouveau-nés HbA (αα/ββ) : env. 20 % HbA2 (αα/δδ) : env. 0,25 % HbF (αα/γγ) : env. 80 % Adultes HbA (αα/ββ) : 97 % HbA2 (αα/δδ) : 2,5 % HbF (αα/γγ) : trace (< 0,5 %) Hb A1 F S A2 – Électrophorèse de l’hémoglobine Rem : Répression de l’expression du gène de l’hémoglobine F par le gène BCL11A. La suppression de ce dernier conduit à une nouvelle augmentation de l’HbF (possible cible thérapeutique). Thalassémie a [D56.0] Épid :Asie du Sud-Est, Sud de la Chine, Moyen-Orient, bassin méditerranéen, également de plus en plus en Amérique du Nord (test de dépistage chez les nouveau-nés en Californie). Pathog : Diminution de la production des chaînes α par mutation déficitaire des gènes de la globine α. Les globines α sont codées par 2 loci, il y a donc 4 copies des gènes en tout. Clin : •• 3 copies intactes (α-thalassaemia minima) : pas de signes cliniques et hématologiques. •• 2 copies intactes (α-thalassaemia minor) : pas de signes cliniques, éventuellement légère anémie et microcytose. •• 1 copie intacte (maladie HbH) : formation essentiellement d’hémoglobine H(ββ/ββ) : anémie hémolytique avec splénomégalie de gravité variable, cellules HbH à la coloration supravitale. •• Toutes les copies défectueuses : le fœtus forme des Hb Bart’s (γγ/γγ) ; non viable ; hydrops fetalis. Diag : Électrophorèse de l’Hb. Formes minimes et souvent aussi mineures mises en évidence par la génétique. Tt : Dépend de la gravité (voir Thalassémie β). Thalassémie b [D56.1] Épid : La plus fréquente thalassémie. Chez les hommes de la Méditerranée, la thalassémie et la carence en fer sont les causes les plus fréquentes d’anémie hypochrome. Pathog : Mutation du gène de la globine → diminution de la production des chaînes β → augmentation compensatoire des chaînes γ ou δ. Érythropoïèse inefficace avec hémolyse intra- et extramédullaire. Clin : •• Chez les hétérozygotes : forme mineure avec symptômes peu invalidants : Év. légère splénomégalie + recherche du pays d’origine (Méditerranée). Anémie hypochrome, microcytaire, ferritine sérique normale ou augmentée (par opposition à l’anémie par carence martiale), cellules-cible, pigmentation basophile des érythrocytes, signes d’hémolyse. –– Résistance osmotique renforcée (diminuée dans la sphérocytose) –– HbF : légèrement augmentée dans 50 % des cas –– HbA2 : toujours augmentée. •• Chez les homozygotes : forme majeure (anémie de Cooley) : –– Hépatosplénomégalie déjà à l’âge de 3 mois –– Anémie hémolytique sévère (hypochrome, microcytaire ; aniso–/poïkilocytose) → besoin de transfusion → Compl : hémochromatose secondaire. –– Troubles de la croissance, modifications squelettiques par hyperplasie de la moelle osseuse (p. ex. crâne en brosse [G75.8] à la radiographie), dégâts organiques causés par l’hémosidérose (voir ce chap.) –– HbF : toujours fortement augmentée –– HbA2 : variable •• Thalassémie intermédiaire = forme moyennement grave de la thalassémie qui peut être hétérozygote ou homozygote. Diag : Interrogatoire sur le pays d’origine, clinique, index de Mentzer (VCM : nb de GR) < 13 : électrophorèse de Hb. Tt : Thalassémie mineure : pas de traitement Thalasémie majeure : •• Étiologique : Traitement curatif par transplantation de moelle osseuse ou de cellules souches allogènes s’il existe un donneur apparenté HLA-identique (thérapie génique à l’essai). •• Symptomatique : Transfusion régulière de globules rouges concentrés toutes les 3 sem. (garder Hb > 10 g/dl), traitement de la surcharge en fer à partir de l’âge de 3 ans par chélateurs de fer : 41 Chapitre I déferoxamine (injection sous-cutanée nocturne), déférasirox. Défériprone oral en cas d’intolérance aux deux substances. Pron : Forme mineure : favorable Forme majeure : Guérison (90 %) avec transplantation de moelle ; sans transplantation de moelle mais avec un traitement symptomatique optimal > 40 ans ; décès plus tôt sans traitement adéquat à la suite de complications (cardiomyopathie par surcharge en fer, cachexie, infection). 4. Défaut membranaire congénital Hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) [D59.5] Syn : Anémie de Marchiafava, syndrome de Strübing-Marchiafava-Micheli Déf : Maladie clonale acquise des cellules souches hématopoïétiques pluripotentes (les trois lignées sont touchées) avec trouble de la protéine d’ancrage phosphatidyl inositolglycan (protéine d’ancrage GPI) = protéine d’ancrage glycosylphosphatidyl inositol. Seule anémie hémolytique corpusculaire acquise. •• HPN hémolytique classique (hémolyse sans signe d’autres atteintes médullaires). •• HPN associée à d’autres maladies de la moelle osseuse (p. ex. anémie aplasique, syndrome myélodysplasique, système monocytes phagocytes (SMP)) •• HPN subclinique (très petites populations mais significatives, déficientes en GPI, sans autres symptômes d’une hémolyse) Épid : Incidence < 1 : 100 000/an ; pic de fréquence : 25 à 45 ans, h : f = 1 : 1, pas d’incidence familiale. Ét : Mutation acquise du gène A-GPI sur le chromosome X des cellules souches hématopoïétiques, qui contrôle la biosynthèse de la protéine d’ancrage GPI. Pathog :Les protéines régulatrices du complément (DAF = decay accelerating factor [CD55], MIRL = membrane inhibitor of reactive hemolysis e.a.) qui inhibent la formation d’un complexe d’ancrage membranaire terminal C5b-C9, font partie des protéines d’ancrage GPI. Si ces protéines manquent, la membrane érythrocytaire n’est pas suffisament protégée. L’activation du complément (p. ex. par infection) ou également la chute du pH sanguin (renforcée la nuit → d’où son nom), conduit à une lyse plus importante des érythrocytes. Le test d’hémolyse à l’acide et le test de Ham permettent le diagnostic. La lyse des érythrocytes entraîne une libération d’hémoglobine libre qui lie le NO. La disponibilité sanguine de NO diminue, il y n’a plus de contractions de la musculature lisse. De plus, la diminution du NO entraîne l’activation et l’agrégation des thrombocytes. Les thrombocytes sont activés par le contact avec la membrane interne des érythrocytes. Ceci entraîne un risque plus élevé d’évènements thromboemboliques (cause la plus fréquente de décès). Clin : –– Triade clinique : hémolyse, thromboses et cytopénie dans un tableau clinique par ailleurs très variable. –– Hémolyse chronique avec symptomatologie d’anémie (fatigue, faiblesse, dyspnée), fréquemment combinée à une carence martiale (perte de fer chronique par l’hémoglobinurie), év. splénomégalie. –– Parfois crises hémolytiques (dans les infections, le stress, l’effort physique soutenu, chirurgie e.a.) avec urines du matin de couleur coca (hémoglobinurie), danger d’une défaillance rénale aiguë. –– Symptômes liés à la vasoconstriction : céphalées, dysphagie, douleurs abdominales, hypertension pulmonaire, problèmes érectiles, symptômes neurologiques. –– Évènements thromboemboliques, fréquemment avec une localisation inhabituelle (thromboses de la veine porte, des veines hépatiques (syndrome de Budd-Chiari), des veines spléniques, des veines cutanées), également thromboses artérielles (infarctus myocardique). –– Sensibilité aux infections en cas de neutropénie et/ou tendance hémorragique en cas de thrombocytopénie. –– Possible développement à partir d’une anémie aplasique après traitement immuno­suppresseur. Labo : Signes d’hémolyse, hémoglobinurie, hémosidérinurie, anémie, év. pancytopénie, test de Coombs négatif, év. fer / ferritine ↓ Ponction médullaire : Aspécifique, en général hyperplasie de l’érythropoïèse, dans le cas d’une HPN dans le cadre d’autres maladies médullaires : signes d’aplasie ou de dysplasie. Compl : –– Évolution en une SMD ou une LMA –– Insuffisance rénale chronique –– Hypertension pulmonaire 42 Hématologie Diag : –– Anamnèse + clinique –– Formule sanguine différentielle (anémie, év. thrombocytopénie et/ou leucopénie) –– Paramètres d’hémolyse (LDH et bilirubine libre ↑, haptoglobine ↓, test de Coombs –– Examen cytométrique de flux des antigènes membranaires d’ancrage GPI (p. ex. CD16, 55, 58,59) ou pour la mise en évidence directe des protéines d’ancrage GPI (FLAER = fluorescent aerolysin) sur les érythrocytes, granulocytes, monocytes, lymphocytes, év. réticulocytes (expression normale = cellules de type I, expression diminuée = cellules de type II, pas d’expression = cellules de type III). Critères minimaux pour le diagnostic : populations déficientes en GPI pour au moins 2 protéines d’ancrage GPI sur 2 lignées cellulaires différentes. –– Ponction médullaire avec cytologie, cytogénétique (Diag Diff : syndrome myélodysplasique e.a.) et histologie. –– Mise en évidence par génétique moléculaire d’une mutation du gène A-GIP (n’est pas un test de routine). Diag Diff : –– Autres anémies hémolytiques Coombs négatives (attention : PTT = urgence hématologique → schistocytes dans le frottis sanguin ?) –– Anémie aplasique, syndrome myélodysplasique, syndrome myéloprolifératif. Tt : •• Seule possibilité thérapeutique curative chez les jeunes patients : transplantation allogène de cellules souches. Uniquement en cas d’aplasie sévère, crises hémolytiques sévères non contrôlées par le traitement ou évènements thromboemboliques récidivants à cause d’une mortalité élevée liée au traitement. •• Seul traitement spécifique disponible de l’HPN : anti-C5-mAb : éculizumab : blocage de la fraction terminale par des anticorps dirigés contre C5. Réduction de l’activité hémolytique avec réduction du besoin transfusionnel, de la fatigue, de l’hypertension pulmonaire, des crises de douleurs abdominales et du risque thrombotique, ainsi qu’une amélioration de la fonction rénale en cas d’insuffisance rénale chronique. Mais risque plus élevé d’infection par neisseria meningtides. Vaccin contre les méningocoques avant de démarrer le traitement, avec un vaccin tétravalent (rappel tous les 2 - 3 ans). Augmentation de la réserve en fer par le contrôle de l’hémoglobinurie et de l’hémolyse résiduelle devenue extravasculaire. •• Si l’aplasie domine le tableau, traitement immunosupresseur. •• Mesures symptomatiques / de support : –– Transfusion de concentrés érythrocytaires pauvres en leucocytes et/ou concentrés thrombocytaires selon le besoin clinique. –– Substitution d’acide folique (5 mg/dl), vit. B12 et fer en fonction du taux sanguin. –– Traitement précoce par antibiotiques des infections afin d’éviter les poussées hémolytiques. –– En cas de crise hémolytique : hydratation, traitement des infections le cas échéant, transfusion, éculizumab, essai de corticostéroïdes en cas de crises hémolytiques aiguës (efficacité non prouvée). Les corticostéroïdes ne devraient pas être utilisés pour un traitement à long terme. Il n’y a pas d’études convaincantes pour les androgènes / danazol. –– Une anticoagulation est recommandée, sans limitation de durée, après un évènement thromboembolique. Anticoagulation prophylactique pour ≥ 50 % de granulocytes déficients en GPI et un nombre de thrombocytes > 100 G/l sans traitement par éculizumab. L’héparine peut également être administrée en prophylaxie des thromboses. –– Facteurs de croissance hématopoïétiques (év. EPO,G-CSF) en fonction de la situation individuelle du patient. Pron : Évolution très variable. Espérance de vie moyenne : 15 - 22 ans. Les thromboses sont des causes fréquentes de décès ; quelques patients développent une anémie aplasique, une SMD ou LMA. Évolution au delà de 10 ans avec espérance de vie presque normale et rémission spontanée possible. Anémies hémolytiques extracorpusculaires Anémie hémolytique à anticorps [D55.9] Rappel des différents types de relations immunitaires : 1.Entre différentes espèces (p. ex. hommes - porc) = système xénogène avec hétéro-antigène et production d’hétéro-anticorps. 2.Au sein d’une même espèce avec différences génétiques (p. ex. entre différents hommes) = système allogène avec allo-ou iso-antigènes et production d’allo-ou iso-anticorps. 3.Au sein d’une même espèce chez les individus génétiquement semblables (vrais jumeaux) = système isogène (ou syngène). 4.Chez un seul individu = système autologue avec auto-antigène et év. production d’auto-anticorps. 43 Chapitre I Les antigènes ne sont pas uniquement des protéines complexes ou des polysaccharides ; des substances plus élémentaires peuvent également devenir antigéniques par leur liaison avec une protéine propre. Ces substances s’appellent haptènes (haptène + protéine propre = antigène). Une réaction Ac - haptène peut par contre également survenir sans la présence d’une protéine propre. Selon le type de réaction Ag-Ac, on reconnaît deux types principaux d’anticorps dans la sérologie des groupes sanguins. 1.Hémolysine (lyse cellulaire) 2.Agglutinine (agglutination cellulaire) Les érythrocytes endommagés seront phagocytés dans la rate et le foie. Les anticorps anti-érythrocytes : 1.Les anticorps IgM (pentamère, poids moléculaire env. 900 000) peuvent, par leur grande taille, se fixer à deux érythrocytes → de là l’expression Ac complets, ils réagissent à froid. Épid : a) isoagglutinine ABO – b) agglutinine froide. 2.Ac IgG (poids moléculaire env. 150 000), ne peuvent pas se fixer à deux érythrocytes distincts = Ac incomplets. Épid : a) Isoagglutinine Rhésus – b) auto-Ac chaud. Les anticorps incomplets (IgG) contre les érythrocytes sont mis en évidence par le test de Coombs avec du sérum de lapin qui a été sensibilisé par des globulines humaines (= sérum de Coombs). A)Test de Coombs direct : mise en évidence d’Ac incomplets qui adhèrent aux érythrocytes. B)Test de Coombs indirect : mise en évidence d’Ac incomplets qui sont encore libres dans le sérum à étudier (p. ex. important pour la mise en évidence des Ac incomplets dans le sérum de la mère dans l’incompatibilité Rhésus). Test antiglobuline (test de Coombs) Test de Coombs direct (TCD) Ac IgG Érythrocytes avec Ac lgG incomplets adhérents (lavés) Serum de Coombs = Ac contre les globulines humaines (antigammaglobulines) Agglutination = peuve de la présence d’Ac lgG incomplets liés aux érythrocytes Test de Coombs indirect (TCI) 1ère étape 2ème étape Serum à étudier avec Ac lgG incomplets Adjonction de serum de Coombs Érythrocytes-test connus Adhésion des Ac lgG aux érythrocytes-test mais pas d’agglutination 44 Agglutination = preuve de la présence d’Ac lgG incomplets dans le sérum Hématologie Hémolyses par ALLO-AC (= ISO-AC) Réactions hémolytiques transfusionnelles [T80.3] Épid : La présence des réactions transfusionnelles sur poches de sang est de 0,1 %. 1.Les réactions hémolytiques immédiates sont le plus souvent causées par des erreurs transfuÉt : sionnelles dans le système ABO par confusion des poches de sang et des receveurs. Ceci est du à la présence d’Ac anti-érythrocytes préformés, qui peuvent être mis en évidence au moment de la transfusion par le test de recherche d’Ac (test de Coombs indirect = TCI). C’est pourquoi les tests de recherche d’Ac est prescrit dans le cadre de la détermination des groupes sanguins et doit être répété à intervalles réguliers lorsqu’une transfusion est nécessaire. Dans les réactions transfusionnelles immédiates, ce sont souvent les Ac dirigés contre les antigènes ABO (isoagglutinine) qui jouent un rôle, le plus souvent par incompatibilité mais également les Ac irréguliers dirigés contre d’autres systèmes de groupe sanguin (en particulier Rhésus et Kidd, de plus Duffy et Kell). Une réaction immédiate apparaît pendant, ou peu de temps après la transfusion. 2.Les réactions hémolytiques transfusionnelles retardées : au moment de la transfusion, les Ac ne sont pas détectables par le test de recherche d’Ac, la plupart du temps parce que l’immunisation remonte à quelque temps et que le titre d’Ac est tombé sous la limite détectable. Le spectre des Ac pouvant déclencher une réaction hémolytique est grand, en principe chaque Ac peut provoquer une réaction hémolytique transfusionnelle retardée. On trouve le plus souvent des Ac irréguliers dirigés contre les Ag Kidd, Kell et Duffy. La réaction hémolytique transfusionnelle retardée apparaît une à plusieurs semaines après la transfusion. Clin : 1.Réactions hémolytiques immédiates : Des évolutions sévères sont possibles. Plus de 90 % des décès sur réactions hémolytiques sont dus aux réactions immédiates, dont 70 % par des incompatibilités ABO. La probabilité de réactions sévères est particulièrement grande si plus de 200 ml de sang incompatible sont transfusés, cependant des réactions peuvent apparaître après une transfusion de 5 ml. •• Sudation, fièvre, frisson •• Dyspnée, tachypnée, chute de tension •• Prurit, urticaire, flush •• Maux de dos et céphalées •• Nausées, vomissements •• Hémoglobinurie avec urines rouge-brun •• Ictère Compl : Choc, insuffisance rénale aiguë ; CIVD. 2.Réactions hémolytiques transfusionnelles retardées : •• Fièvre •• Chute de l’Hb •• Ictère léger Labo : •• Hémoglobine libre dans les urines et le plasma (coloration rouge !) •• Haptoglobine ↓, év. hémopexine ↓ (quand l’haptoglobine n’est plus mesurable), LDH et bilirubine indirecte ↑. •• Hb, érythrocytes, Hc: élévation insuffisante ou chute après transfusion. Diag Diff : Réactions transfusionnelles non hémolytiques : •• Réactions transfusionnelles allergiques par Ac contre les antigènes HLA des leucocytes ou d’autres composants du plasma •• Réactions septiques par contamination bactérienne des concentrés sanguins •• Réaction fébrile sur pyrogènes contenus dans les concentrés sanguins. •• Insuffisance respiratoire aigüe post-transfusionelle (TRALI) : dyspnée aigüe et œdème pulmonaire dans les 6 h après le début de la transfusion. Il faut exclure un œdème pulmonaire par hypervolémie. Diag : Anamnèse + clinique + diagnostic sérologique. Tt : •• Interrompre aussitôt la transfusion, maintenir la voie d’entrée veineuse Fermer stérilement le flacon de sang et l’envoyer pour diagnostic sérologique en même temps qu’un échantillon de sang du patient (EDTA- et sang frais) (avec protocole de la réaction transfusionnelle). •• Prévenir et traiter les complications (substitution volémique et perfusion de solution de bicarbonate de sodium pour prévenir l’insuffisance rénale aiguë, traitement antiallergique, dialyse en cas d’insuffisance rénale aiguë e.a.) •• Les réactions transfusionnelles hémolytiques et non-hémolytiques sont oligo- ou asymptomatiques sous anesthésie, poursuivre donc l’anesthésie jusqu’à ce que la situation soit maîtrisée. 45 Chapitre I Prophyl : •• Détermination correcte des groupes sanguins (ABO, Ag Rhésus, antigène Kell) + rechercher les anticorps (en cas de test de recherche d’Ac positif, spécification de cet anticorps). •• Ne fournir un flacon de sang qu’après un test croisé négatif = test de compatibilité : le test majeur est obligatoire (compatibilité entre le sérum du receveur et le donneur de GR) ! Le test mineur est facultatif (compatibilité entre le sérum du donneur et les GR du receveur). Tenir compte de la validité, délimitée dans le temps, des tests croisés (Allemagne : 3 jours). •• Concordance des données de la carte de groupe sanguin du receveur avec celles du flacon de GR (également lors d’une auto-transfusion). Attention aux dates de péremption. •• Test de détermination ABO à faire juste avant la transfusion par le médecin responsable ou sous son contrôle ! Le groupe sanguin ABO est déterminé grâce aux anticorps anti-A et anti-B. Le test au lit du patient, avec le sang du receveur et la poche de sang, est également prescrit pour une auto-transfusion. •• Ne rien injecter en même temps que la transfusion (à part une solution salée isotonique). •• S’assurer d’un système de transfusion en ordre ainsi que de la conservation correcte des flacons de sang. •• Établir un protocole de transfusion. •• Réduire la transfusion de sang étranger par : –– Prédonation et auto-transfusion pour les opérations programmées –– Auto-transfusion du sang opératoire recyclé. •• La prévention d’une réaction hémolytique transfusionnelle retardée est difficile. Il est important de connaître tous les Ac (passeport d’urgence !) et de tenir compte de toutes les informations recueillies à l’anamnèse. Maladie hémolytique du nouveau-né [P55.9] 1. Érythroblastose-Rh [P55.0] Contexte : Femme Rh négative, fœtus Rh positif (10 % des grossesses) : par les transfusions fœtomaternelles de globules rouges lors de grossesses antérieures, lors d’un avortement ou d’une intervention prénatale, la mère se sensibilise avec formation d’Ac anti-D = IgG (dans la plupart des cas). Ces anticorps peuvent passer la barrière placentaire. En l’absence d’une sensibilisation préalable de la mère, le premier enfant reste en bonne santé. Si la femme attend un nouvel enfant (d’un homme Rh positif) et que le fœtus est Rh positif, le contact antigénique cause une anémie hémolytique du fœtus par réactivation. Dans les cas graves survient l’ictère nucléaire (hydrops congenitus universalis [P83.2]) et la mort du fœtus. Des Ac érythrocytaires contre d’autres Ag Rh (c, C, e, E) ou contre l’Ag de Kell sont rarement responsables de la maladie hémolytique du nouveau-né. Diag : –– Fœtus : réticulocytes, érythroblastes, bilirubine non conjuguée ↑, test de Coombs direct positif, anémie –– Mère : test de Coombs indirect positif. Tt : –– Exsanguino-transfusion chez l’enfant (si nécessaire transfusion intra-utérine) → élimination des anticorps circulants, des érythrocytes endommagés et de la bilirubine –– Accouchement prématuré après la 33e semaine de grossesse d’un enfant menacé d’hydrops. Prophyl : Prévention d’une sensibilisation de la mère Rh-négative par injection de sérum anti-D directement après l’accouchement d’un enfant Rh positif (également après avortement et amniocentèse). Cette prophylaxie anti-D a permis de réduire la fréquence de l’érythroblastose-Rh de 0,6 à 0,07 % des naissances. 2. Érythroblastose-ABO [P55.1] Si elle est porteuse d’un enfant A ou B, une mère O produira les alloanticorps IgM qui ne passent pas la barrière placentaire mais aussi des anticorps IgG qui passent la barrière placentaire et qui provoquent une hémolyse légère intra-utérine sans conséquence pour l’enfant. Tt : Il est très rare qu’il faille traiter une érythroblastose ABO. Une exsanguino-transfusion est le plus souvent évitée par photothérapie. La lumière bleue transforme la bilirubine non conjuguée cutanée en substances non toxiques qui sont éliminées par la vésicule et les urines. 46 Hématologie Anémies hémolytiques auto-immunes (AHAI) 1. AHAI par anticorps chauds incomplets de type IgG [D59.1] [D59.1] Épid : 70 % des patients souffrant d’AHAI ont des anticorps chauds. Ét : a)Idiopathique (45 %) b)Secondaire (55 %) •• Lymphome non Hodgkinien (y compris leucémie lymphocytaire chronique, = LLC), maladie de Hodgkin •• Lupus érythémateux disséminé (LED) et collagénoses •• AHAI médicamenteuse : –– AINS, antibiotique e.a. –– Type α-méthyldopa –– Type pénicilline (haptène stable) –– Type quinidine (haptène instable) •• Infection virale (en particulier chez les enfants). Pathog :Les anticorps chauds de type IgG se lient aux érythrocytes à la température corporelle sans provoquer d’hémolyse. Les érythrocytes chargés d’Ac sont détruits par phagocytose dans la rate et le foie : hémolyse extravasculaire. Dans les cas sévères, la demi-vie des érythrocytes n’est plus que de quelques jours. L’anémie ne survient que lorsque l’érythropoïèse ne peut plus compenser l’hémolyse (malgré sa capacité d’augmenter d’un facteur de 10). Clin : •• Anémie hémolytique •• Év. crises hémolytiques Preuve indirecte : VS fortement accélérée liée au dépôt plus difficile des érythrocytes dans les tubes utilisés, difficulté à déterminer le groupe sanguin et à lire un test de compatibilité croisé. Diag : 1.En cas de chute inexpliquée de l’Hb et s’il existe des signes indirects de présence d’anticorps chauds (cfr supra) penser à un diagnostic d’AHAI. 2.Signes d’anémie hémolytique (cfr supra) 3.Test de Coombs direct positif Si le taux d’Ac est très élevé, quand tous les érythrocytes sont couverts d’Ac, le test de Coombs indirect est également positif. Env. 10% ne peuvent pas être détectés par le test de Coobs, diagnostic plus sensible possible par la cytométrie de flux. 4.Exclure une AHAI secondaire –– Anamnèse médicamenteuse, diminution de l’hémolyse après arrêt du médicament soupçonné –– Diagnostic de LED ou de lymphome non hodgkinien. Attention : Une AHAI secondaire peut précéder la maladie causale de longtemps, dès lors le diagnostic d’AHAI idiopathique devrait être contrôlé de temps en temps. 2. AHAI par agglutinines froides de type IgM [D59.1] Épid : 15 % des patients souffrant d’AHAI ont des agglutinines froides. Physiopath : Les agglutinines froides sont des auto-Ac s’agglutinant fortement à 0 - 5°C et qui activent le complément. Un titre faible en agglutinines est normal, l’importance clinique des Ac ne dépend pas principalement du titre mais de la capacité de liaison (ou amplitude thermique) des Ac à env. 30°C (température des extrémités, avec une température extérieure normale) et de l’intensité de l’activation du complément qui a été provoquée. Une pseudo-agglutination lors de la détermination des groupes sanguins (après dépôt de l’échantillon sanguin à 4°C) disparaît après réchauffement et peut être évité par l’utilisation du sang-EDTA. Ét/Évolution : •• Syndrome aigu des agglutinines froides : –– Passagère, le plus souvent 2 - 3 sem. après une infection (mycoplasmes, parfois virus d’Epstein-Barr, rougeole). –– Guérison le plus souvent spontanée dans les 3 - 4 sem. –– Anémie, hémolyse intravasculaire, acrocyanose possible au froid. –– Le plus souvent augmentation des IgM polyclonaux. –– Le test de Coombs direct montre une charge en complément (C3d, C3c). –– Diag Diff. : AHAI de type chaud, Ac de Donath – Landsteiner, AHAI induite par les médicaments, SHU. 47 Chapitre I •• Syndrome chronique des agglutinines froides : 1.Idiopathiques : âge > 50 ans (très rare). 2.Secondaire : le plus souvent lymphome à cellules B. –– Symptôme principal : acrocyanose à l’exposition au froid — réversible après réchauffement (Diag Diff : syndrome de Raynaud (phénomène tricolore, voir ce chap.). –– Anémie, hémolyse aiguë par poussées après exposition au froid. –– Hémolyse intravasculaire avec hémoglobinurie. –– Formule sanguine : polychromasie, sphérocytes. –– Auto-agglutination du sang à température ambiante. –– Titre élevé en Ac IgM monoclonaux (le plus souvent dirigés contre le complexe antigénique I/i) –– Le test de Coombs direct montre une charge élevée en complément (C3d, C3c). Diag : •• Preuve indirecte : difficulté lors de la prise de sang (agglutination des érythrocytes dans l’aiguille de ponction), difficultés dans le comptage des érythrocytes, dans l’étalement du frottis sanguin, lors du test de compatibilité. •• VS très accélérée à la température de pièce, à 37°C (incubateur) VS normale ! •• Détermination du titre des agglutinines froides à 4°C et l’avidité / l’amplitude thermique : •• Important pour le labo : séparer le sérum du sang à chaud (le sérum peut ensuite refroidir) ou envoyer le sang chaud au labo. Un titre d’Ac de > 1 : 1 000 et des Ac à haute avidité sont les éléents les plus importants cliniquement (une réaction à une température proche de celle du corps est plus significative). •• Les agglutinines froides de type anti-l sont présentes dans les infections à mycoplasmes et dans la gammapathie monoclonale bénigne. •• Les agglutinines froides de type anti-i sont présentes dans la mononucléose et dans le lymphome malin. Rem : Déterminer les agglutinines froides en hypothermie avant chirurgie. 3. AHAI par hémolysine bithermique (AHAI de type Donath-Landsteiner) [D59.6] •• En général aigu après infection virale pendant l’enfance (AHAI la plus fréquente pendant l’enfance). •• Hémolyse intravasculaire évoluant rapidement, Hb souvent < 5 g/dl, hémoglobinurie, douleurs abdominales e.a. •• Passagère, en général rémission spontanée après disparition de l’infection sans complication. •• Forme chronique dans la syphilis, très rare de nos jours. •• Test de Coombs direct toujours positif avec anti-C3 d. •• Souvent Ac IgG polyclonaux activant le complément. Diag : Test de Donath-Landsteiner : les hémolysines bithermiques se fixent aux érythrocytes via le complément à froid (frigo). Lors du réchauffement, ils s’hémolysent (à 37 °C). Mise en évidence des Ac Donath-Landsteiner. Traitement des AHAI : A)Étiologique : p. ex. –– Arrêt du médicament incriminé si on suspecte qu’il soit le facteur déclenchant une AHIA ! –– Traitement de la maladie sous-jacente. B)Symptomatique : ►Acide ► folique en supplément (5 mg/j.) év. vitamine B12 pour soutenir l’érythropoïèse augmentée. ►AHAI ► par anticorps chauds 1.Corticostéroïdes : ils permettent une rémission temporaire durant le traitement chez 50 % des patients avec forme secondaire et 75 % avec forme idiopathique à partir du 3e jour de traitement. 2.Év. infusion de hautes doses d’immunoglobulines en cas de crise hémolytique. Également chez les enfants avec AHAI associée aux infections. 3.Splénectomie en cas d’hémolyse linéaire et évolution chronique (bilan par test aux érythrocytes marqués 51Cr). Taux de réussite : 50 - 75 %. 4.Immunosuppression (azathioprine, cyclophosphamide, rituximab, mycophénolate mofétil ou ciclosporine A). En cas d’effet insuffisant des corticoïdes, en cas de récidives ou effets IIaires. ►AHAI ► dans le syndrome chronique des agglutinines froides 1.Éviter le froid est la mesure la plus importante et suffisante dans les cas légers. 2.Immunosuppression comme essai thérapeutique dans les anémies hémolytiques importantes : p. ex. cyclophosphamide, rituximab. Rem : Les corticostéroïdes et la splénectomie sont inefficaces (hémolyse intravasculaire). 3.Év. plasmaphérèse dans les évolutions péjoratives en combinaison avec l’immunosuppression (pour éliminer les auto-Ac). 4.Éculizumab pour le blocage des extrémités terminales du complément (dans le cadre d’études). 48 Hématologie ►Éviter ► dans la mesure du possible les transfusions sanguines (au plus tôt à partir d’une Hb < 7 g/dl) et à réaliser avec des concentrés érythrocytaires rhésus identiques déleucocytés. ►S’il ► y a aussi un taux élevé d’auto-Ac chauds dans le sérum du patient, on a essentiellement le problème que les allo-Ac év. présents pourraient être masqués (Ces allo-Ac peuvent aussi être dirigés contre les Ag des érythrocytes du groupe O négatif). Pour une partie de ces cas il est possible d’exclure un allo-Ac par des examens immunologiques spéciaux. L’exclusion absolue d’un allo-Ac est fréquemment impossible. Si le patient doit absolument être transfusé, le risque transfusionnel sera légèrement plus élevé. Le patient devra être étroitement contrôlé pendant la transfusion. Dans les agglutinations froides, réchauffer les concentrés érythrocytaires à température corporelle et maintenir le patient au chaud. ►Prophylaxie ► thromboembolique (low-dose-heparin) en cas d’hémolyse aiguë marquée. Indications d’utilisation des concentrés érythocytaires lavés : •• Signes d’incompatibilité malgré l’administration de concentrés érythrocytaires pauvres en leucocytes. •• Mise en évidence d’Ac contre les IgA ou d’autres protéines plasmatiques. Anémie dans les maladies chroniques [NOO.O + DOO.O*] Syn : Anglais : anemia of chronic disease (ACD) ; anémie inflammatoire et anémie tumorale. Épid : Deuxième forme la plus fréquente d’anémie après l’anémie par carence martiale. Déf : Anémie hyporegénérative normochrome normocytaire dans le décours d’une maladie chronique Ét : (infections, maladies auto-immunes, diabète, tumeurs malignes solides, leucémies et lymphomes). L’ACD peut aussi se développer de façon subaigüe dans le cadre d’une infection aigüe sévère. Diagnostic d’exclusion par l’absence d’une mise en évidence d’une autre forme d’anémie connue. Mais une combinaison d’une ACD avec d’autres formes d’anémie n’est pas rare, en particulier anémie par carence martiale, ce qui rend le diagnostic plus difficile. Pathog : Troubles de l’érythropoïèse par cytokines inflammatoires (TNF-alpha, interleukine 1-alpha, interleukine 1-bêta, interleukine 6, interféron-gamma e.a.) qui sont produits en plus grande quantité dans les maladies citées ci-dessus. L’homéostase du métabolisme du fer et la prolifération des cellules souches rouges sont perturbées par les cytokines ; de plus une synthèse suffisante d’EPO est empêchée et la durée de vie des érythrocytes raccourcie. L’hepcidine, une protéine de phase aigüe de type II joue un rôle clé dans le déclenchement de ces effets. Clin :Les symptômes de la maladie sous-jacente (voir ci-dessus) se trouvent le plus souvent au premier plan, accentués par les symptômes généraux d’anémie ; les symptômes d’anémie peuvent être év. cachés par les plaintes importantes de la maladie sous-jacente. Labo :Le plus souvent érythrocytes normochromes et normocytaires (TCMH et VCM normaux) ; une formule hypochrome et microcytaire est cependant possible (TCMH et VCM le plus souvent légèrement diminués). Morphologie des érythrocytes : anisocytose, poïkilocytose, nombre de réticulocytes normal ou diminué ; augmentation de : VS, fibrinogène, CRP, haptoglobine, ferritine, capacité de liaison de la transferrine libre, hepcidine. Les mesures du taux d’EPO peuvent être encore dans les limites de la normale, mais il n’y a pas une augmentation de la production d’EPO proportionnelle à l’anémie. Diag Diff : Toutes les autres anémies normochromes et normocytaires et microcytaires hypochromes. Diag : Anamnèse (maladie sous-jacente !) + labo (exclusion des autres formes d’anémie). Tt : A)Causal : Le traitement efficace de la maladie sous-jacente est le meilleur traitement d’une ACD. Si la maladie sous-jacente n’est pas guérissable, le traitement de l’ACD devient surtout palliatif. B)Symptomatique : •• Transfusion de concentrés érythrocytaires en cas de besoin aigu et/ou espérance de vie limitée (pas le temps d’attendre l’apparition des effets de l’EPO). •• Administration intraveineuse de préparations de fer en cas de carence martiale (voir ce chap.) : l’administration orale de fer est souvent inefficace. •• Substances stimulant l’érythropoïèse (voir anémie rénale) en cas de taux d’EPO relativement 49 Chapitre I faible et d’Hb sous 11 g/dl et absence de contre-indications (antécédents de thromboembolie, hypertension mal contrôlée, insuffisance cardiaque NYHA III/IV, phase terminale d’une maladie tumorale). Attention : Hb ne peut dépasser 11,5 g/dl car elle peut entraîner une mortalité plus élevée chez les patients avec une tumeur solide sous traitement par EPO. Pron : Dépend de la maladie sous-jacente. Anémie rénale [N18.9 + D63.8*] Déf : Anémie hyporégénératrice normochrome normocytaire qui se développe au cours d’une insuffisance rénale chronique (créatinine sérique supérieure à 3,5 mg/dl soit une clearance de la créatinine < 30 ml/min). L’anémie rénale augmente la mortalité des patients rénaux et diminue leur qualité de vie. Ét : –– Cause principale : déficit en érythropoïétine par suite de l’insuffisance rénale. –– Év. facteurs associés : durée de vie raccourcie des érythrocytes, carence martiale, dialyse inadéquate, surcharge en aluminium, fibrose médullaire sur hyperparathyroïdisme e.a. Clin : Aspect café au lait de la peau (pâleur anémique + dépôt de pigments urémiques). Symptômes généraux de l’anémie clinique d’une insufissance rénale chronique. Labo : Érythrocytes le plus souvent normochromes (TCMH normal), diminution des réticulocytes. Les mesures du taux d’érythropoïétine (qui ne sont pas indispensables) peuvent montrer des valeurs normales, mais il manque l’augmentation, typique pour les anémies, de la production d’EPO. Diag Diff : – Anémie par carence martiale : survient fréquemment chez les insuffisants rénaux, causée par leurs diverses pertes de sang (prises de sang, hémodialyse, saignements gastro-intestinaux). Diag : Fer + ferritine ↓. Diag : Anamnèse (insuffisance rénale) + clinique (anémie normochrome, réticulocytes ↓). Tt : ■■ Exclure en premier lieu une carence martiale et traiter selon les besoins. Augmenter la ferritine sérique > 200 juqu’à max 500 µg/l et la saturation en transferrine à 30 - 50 %. Si la substitution orale de fer n’est pas bien supportée ou mal résorbée : administration parentérale de fer, p. ex. 500 - 1 000 mg de carboxymaltose ferrique en infusion brève (voir chap. anémie par carence martiale). Rem : Les patients dialysés perdent env. 2,5 l de sang/an (ce qui correspond à env. 1 000 mg de fer pour une Hb de 12 g/dl) ; év. pertes de sang supplémentaires à cause d’une tendance au saignement urémique. ■■ Substances stimulant l’érythropoïèse : •• Époïétine alpha •• Époïétine bêta •• Époïétine theta •• Méthoxy-PEG-époïétine bêta = activateur continu du récepteur de l’érythropoïétine (CERA = continuous erythropoietin receptor activator). Le CERA peut être donné 1 x toutes les 4 sem. pendant le traitement d’entretien. •• Darbepoïétine alpha •• Les biosimilaires sont des substances produites par biotechnologie, qui ressemblent aux préparations originales. Ils ont la même séquence en acides aminés que l’érythropoëtine humaine. •• Biosimilaires pour l’époïétine alpha : binocrit, époïétine alpha hexal, époïétine zêta Indic : Patients en dialyse ou en pré-dialyse avec anémie rénale symptomatique. Effets IIaires : Symptômes grippaux rares, éruption cutanée, thrombocytose transitoire (danger de thrombose) développement ou aggravation d’une hypertension artérielle préexistante (30 %), en particulier avec des dosages élevés → bon contrôle tensionnel nécessaire avant début du traitement ! Une « pure red cell aplasia » (PRCA) peut, dans des cas rares, apparaître s’il y a formation d’Ac anti-EPO neutralisants → traitement : hématide (stimulation de l’érythropoïèse par activation des récepteurs de l’EPO). Dos : Voir données du fabricant. But : Hb jusqu’à 11,5 g/j (les risques cardiovasculaire et de mortalité peuvent augmenter avec des valeurs plus élevées). Ensuite dose d’entretien adaptée, en général nettement diminuée. Un traitement de l’anémie rénale par l’EPO améliore la qualité de vie et l’état immunitaire du patient. ■■ Transplantation rénale (production d’érythropoïétine restaurée). ■■ Vaccin de l’hépatite B à faire à temps 50 Hématologie ANÉMIES APLASIQUES (AA) [D61.9] Internet : www.ebmt.org ; www.asbmt.org Déf : Insuffisance médullaire avec aplasie / hypoplasie du système produisant le sang et pancytopénie (maladie des cellules souches). 2 des 3 critères doivent être satisfaits. 3 degrés de gravité AA non sévère (nSAA) AA sévère (SAA) AA très sévère (vSAA) Granulocytes < 1 500 µl < 500/µl < 200/µl Thrombocytes Réticulocytes < 50 000/µl < 20 000/µl < 20 000/µl < 60 000 /µl < 20 000/µl < 20 000/µl Épid : Rare ; incidence en Europe, 0,2 cas/100 000 habitants et par an (en Chine, 2 cas/100 000 habitants par an) ; survient plus souvent pendant les périodes de modifications hormonales (adolescence, début de la vieillesse, grossesse), en partie association avec certains antigènes HLA (DR2, DPw3). Ét : A)Anémie aplasique congénitale : Rare, p. ex. l’anémie de Fanconi [D61.0] ou syndrome de Blackfan-Diamond [D61.0], dyskératose congénitale [Q82.2] (déficience en télomérase avec mise en évidence diagnostique de télomères courts). B)Anémie aplasique acquise : La plupart des cas. 1.Anémie aplasique idiopathique : Cause inconnue (> 70 %). 2.Anémie aplasique secondaire : –– Médicamenteuse (env. 10 %) : Chloramphénicol, phénylbutazone et autres AINS, sels d’or, colchicine, D pénicillamine, allopurinol, phénytoïne, sulfamidés, antithyroïdiens, e.a. Rem : Le chloramphénicol peut provoquer des dégâts médullaires réversibles qui sont dose dépendants. Dans de rares cas génétiquement prédisposés (1:60 000), on observe une réaction d’idiosyncrasie indépendante de la dose avec anémie aplasique sévère ! –– Substances toxiques : benzol : au moins 10 % des anémies aplasiques sont liées à des expositions professionnelles. Une exposition professionnelle de 50 ppm/an (durée x intensité de l’exposition) comporte un risque de maladie de 5 %, une exposition de 100 ppm/an comporte un risque de 10 % (estimation OMS). –– Radiations ionisantes. –– Infections virales (env. 5 % des cas) : p. ex. hépatites, virus d’Epstein-Barr, virus herpès, parvovirus B19. Pathog : Une substance toxique exogène (p. ex. un virus ou un médicament) provoque une réaction auto-immunitaire contre le tissu hématopoïétique chez des sujets avec une disposition génétique. Chez une partie des patients, on trouve des lymphocytes T autoréactifs dirigés contre les cellules souches hématopoïétiques. Clin : La clinique est liée à la carence en éléments sanguins. Dans certains cas, on constate une monoou bicytopénie avant la pancytopénie (15 %). Anémie ↓ Pâleur Dyspnée Fatigue – Confusion avec insuffisance cardiaque Granulocytopénie ↓ Infection, fièvre, nécrose, mycoses (portes d’entrée muqueuses ou cutanées !) Thrombocytopénie ↓ Pétéchies, saignements des gencives, épistaxis, e.a. saignements La VS est élevée suite à l’anémie. Diag Diff : 1.Pancytopénie avec moelle normo- ou hypercellulaire. –– Syndrome myélodysplasique –– Hypersplénisme –– Carence en vitamine B12 ou acide folique (anémie mégaloblastique avec aspect typique de la moelle, taux de vit B12 et d’acide folique ↓). 2.Hémoglobinurie paroxystique nocturne (cytométrie de flux avec mise en évidence de clones HPN jusque dans 70 % de toutes les AA, indiquant une immunosuppression). 3.Lupus érythémateux disséminé (anticorps antinucléaires). 4.Infiltration médullaire par leucémie, lymphome, carcinome. 5.Ostéomyélosclérose (biopsie médullaire). 6.Aplasie après chimiothérapie, radiothérapie ou exposition toxique aux rayonnements. 51 Chapitre I Diag : •• Formule sanguine + cytologie / histologie médullaire. Pancytopénie + moelle aplasique dont les éléments sont remplacés par du tissu graisseux et hyperplasie lymphoplasmocytaire (ne pas confondre avec un plasmocytome pauvre en cellules). •• Examens pour exclure un autre diagnostic (voir plus haut). Tt : Transfert du patient dans un centre hématologique ! A)Traitement symptomatique : –– Substitution d’érythrocytes et de thrombocytes. Les membres d’une même famille sont interdits comme donneurs de sang tant qu’une transplantation médullaire est envisagée. Pour éviter une sensibilisation aux antigènes HLA, on administrera des préparations déleucocytées. Tant qu’il n’y a pas d’immunisation, on peut transfuser des thrombocytes d’origine diverses. Si une sensibilisation contre les marqueurs I de classe HLA a été démontrée, des thrombocytes HLA-compatibles seront utilisés. Les hémorragies par thrombopénie ne peuvent être traitées que par transfusions plaquettaires (durée de vie des thrombocytes de 8 - 10 jours). L’idéal est une transfusion de plaquettes de donneurs HLA compatibles au moyen de séparateurs de cellules sanguines connectés au donneur. –– Prévention / traitement des infections en cas de neutropénie sévère : chambres stériles, soins buccaux, antibiotiques, antimycotiques, e.a. B)Traitement étiologique dans les anémies aplasiques sévères : 1.Transplantation allogène de cellules souches hématopoïétiques (TCSH) : transplantation de moelle (TMO, préférée dans les AA, cellules souches sanguines périphériques = (PBSCT)) ou cellules souches du sang du cordon ombilical (cord blood = CB) d’un donneur histocompatible de la famille (parent au 1er degré) = matched related donor (MRD), sauf dans le cas de sang du cordon ombilical. Le donneur de la famille doit être HLA identique et les cultures de lymphocytes mélangées (CLM) du donneur et du receveur ne peuvent pas se stimuler (négativité CLM). La transplantation de cellules souches du donneur a lieu comme une transfusion normale après une chimiothérapie intensive (= conditionnement à l’immunosuppression chez le receveur). Le sang HLA identique du cordon ombilical riche en cellules souches peut aussi être transfusé aux enfants. Indic : SAA ou vSAA chez des patients de < 50 ans. Compl :1. Effets secondaires toxiques du traitement de conditionnement. 2. Infections. 3. Maladie du greffon contre l’hôte = graft versus hort disease = GvHD (aiguë-chronique) Voir chapitre des leucémies aigües 4. Rejet du greffon → causes : •• Sensibilisation du receveur par transfusion sanguine avant TCSH → conséquence: prévoir la TCSH à temps. Politique restrictive de la transfusion, utiliser des filtres à leucocytes : les membres de la famille sont exclus des transfusions si on envisage une TCSH. •• Immunosuppression insuffisante (conditionnement) •• Nombre insuffisant de cellules souches dans le greffon. 2.Traitement immunosuppresseur : Indic : 1. nSAA. 2. Absence de donneur apparenté histocompatible dans les SAA et vSAA. 3. Év. également SAA chez des patients > 25 ans (s’il existe d’autres arguments contre une TCSH). On administre une combinaison de globulines antilymphocytaires / antithymocytaires (ALG/ ATG) et ciclosporine A (CSA) ; les stéroïdes permettent de contrôler les effets IIaires, à répéter en cas d’absence de résultats après 4 mois. Complication précoce la plus fréquente : septicémie. Le risque d’une récidive de AA est d’environ 35 %. Complications tardives : Survenue d’affections médullaires clonales secondaires (jusqu’à 20 % dans les 10 ans) : hémoglobinurie paroxystique nocturne, syndrome myélodysplasique et leucémie aiguë. 3.Autres mesures thérapeutiques : –– Pour les origines virales (p. ex. parvovirus B19) : essai thérapeutique par immunoglobulines polyvalentes 7S. –– Cytokines (GM-CSF, G-CSF, M-GDF, thrombopoïétine), uniquement dans les études cliniques. Pron : Mortalité de 70 % chez l’adulte non traité. Le nombre de granulocytes est le facteur pronostique le plus important au moment du diagnostic. Après TCSH de donneurs apparentés, jusqu’à 80 % des patients sont en bonne santé après 10 ans. Les résultats après TMO seraient meilleurs qu’après PBSCT. Les résultats après TCSH de donneur non apparenté sont semblables à ceux avec donneur apparenté, cette option 52 Hématologie thérapeutique doit donc être prise en compte de façon précoce. 50 % des patients survivent après 10 ans d’immunosuppression, ils montrent cependant des récidives hématologiques partielles et des complications tardives, sous la forme d’un SMD (env. 1 %/an). Rem : La pancytopénie représente l’atteinte médullaire la plus sévère. Il peut y avoir des atteintes isolées de certaines lignées : ►Aplasie ► isolée de granulocytes (« pure white cell aplasia »). ►Aplasie ► isolée de la thrombocytopoïèse (thrombocytopénie amégacaryocytaire). ►Aplasie ► isolée de l’érythropoïèse (« pure red cell aplasia » = PRCA [D60.9]) (rare) a)Congénitale (syndrome de Blakfan Diamond [D61.0]). b)Acquise. Ét : 1.Facteurs génétiques (idiopathique). 2.Association avec des thymomes (parfois guérie après thymectomie). 3.Infection à parvovirus B19 (Diag : virologie (PCR), érythroblastes géants dans la moelle). 4.Autres causes : néoplasmes, médicaments (p. ex. érythropoïétine), post-partum e.a. Évol : a) aiguë (réversible dans le mois ; souvent chez les enfants). b) chronique (fréquent chez les adultes). Tt : 1.Étiologique. 2.Symptomatique : traitement de support, immunosuppresseurs, immunoglobulines. Annexe L’antigène HLA : Les antigènes HLA (« human leucocyte antigens ») sont comparables aux antigènes des groupes sanguins ABO. Il s’agit de caractères génétiquement déterminés qui se trouvent à la surface des cellules nucléées humaines et qui permettent la distinction entre le tissu propre et étranger. Des anticorps contre les antigènes HLA peuvent être produits après transfusion sanguine, après transplantation ou pendant la grossesse (dans l’organisme de la mère, contre d’éventuels antigènes HLA du père). L’information génétique pour la formation de l’antigène HLA se trouve sur le chromosome Nr 6 au niveau du MHC (major histocompatibility complex). Trois classes de gènes avec différents loci et de nombreux allèles codent la formation de l’antigène HLA. DP DQ DR Classe II C2 Bf C4A Classe III C4B B C A Classe I Chromosome n° 6 avec carte génétique du système HLA (MHC) Les antigènes HLA de la classe I se retrouvent sur toutes les cellules nucléées, les antigènes HLA de la classe II se trouvent surtout sur les lymphocytes B et les macrophages. Les gènes de la classe III codent la formation des facteurs du complément C2, C4 et des proactivateurs C3 (Bf). Quand on cherche un donneur de moelle [Z52.3], on distingue 3 groupes : –– Recherche de donneur dans la fratrie = Core family donor search (CFDS) : succès recherché est de 25 %. –– Recherche de donneur chez des parents plus lointains = extended family donor search (EFDS) : succès recherché env. 5 %. –– Recherche de donneur chez des sujets non apparentés = unrelated marrow donor search (UMDS) : le succès recherché est d’env. 90 % car il y a > 14 millions de donneurs répertoriés dans le monde. Les transplantations de moelle de donneurs apparentés HLA compatibles ont un pronostic nettement meilleur que les transplantations de sujets non-apparentés. 4 caractères HLA jouent un rôle dans les transplantations : A - B - DR - DQ. Comme chaque sujet reçoit un caractère HLA paternel et maternel, il faut vérifier 8 caractères HLA chez un donneur potentiel. Les tests sérologiques (par antisérum spécifique) et les tests moléculaires (p. ex. PCR) sont utilisés pour la mise en évidence des caractères HLA. On peut reconnaître les différences entre receveur et donneur pour la classe II d’antigène HLA par une culture mélangée de lymphocytes (= test MLC). Ces différences provoquent une prolifération des cellules T. Données à propos du don de moelle : Environ 14.106 donneurs sont enregistrés et typés à ce jour. Néanmoins il n’est pas possible de trouver un donneur compatible pour un patient leucémique sur 10. 53 Chapitre I Télomère et télomérases : Les télomères forment la partie terminale des chromosomes et sont importants pour la stabilité des chromosomes (tels des embouts de lacets de chaussure). Ils empêchent la fusion, la dégradation, la recombinaison des chromosomes et aident pendant la mitose. Chez l’homme, ils sont formés d’unités répétitives de la séquence T2AG3, différentes protéines avec une longueur d’env. 3 – 15 kilobases. Ils se raccourcissent à chaque division cellulaire et limitent la croissance cellulaire en atteignant une longueur critique (Hayflick-limit) c’est leur rôle de suppresseur de tumeurs. Le complexe enzymatique télomérase peut agir contre ce raccourcissement en synthétisant des nouveaux télomères dans les cellules germinales, les cellules souches et cellules précurseurs, mais aussi dans les cellules B et T. En outre, on trouve une activité de la télomérase jusque dans 90 % des cellules tumorales permettant une croissance cellulaire illimitée (essai thérapeutique avec des inhibiteurs de la télomérase). MALADIES DES GLOBULES BLANCS ET DES ORGANES HÉMATOPOÏÉTIQUES Organisation du système immunitaire Antigène spécifique Humoral Cellulaire Antigène non-spécifique Anticorps Système du complément Lymphocytes T et B Macrophages/ Granulocytes Le système du complément Le système du complément fait partie du système de défense humorale et est constitué de plusieurs facteurs (C1-9) qui peuvent être activés de trois façons : 1.La voie classique du complément : Activée par des complexes immuns : une molécule IgM ou 2 molécules IgG peuvent fixer C1 par leur fragment Fc après contact antigénique. Ceci provoque une activation en cascade des autres facteurs du complément (dans l’ordre : C1 → 4 → 2 → 3 → 5 jusque 9). 2.La voie alterne du complément : Indépendamment d’une réaction Ag-Ac, des Ag bactériens, par exemple, peuvent activer directement C3, suivi par la cascade d’activation de C5-9. 3.La voie de la lectine : Réaction indépendante des anticorps. La liaison d’hydrates de carbone bactériens par la lectine liant le mannose (MBL), la CRP et l’amyloïde sérique A peuvent également activer le système du complément. Des inhibiteurs inhibent une activation spontanée ou exagérée du système du complément (l’inhibiteur C1 manque, par exemple, dans l’œdème angioneurotique héréditaire). Cascade du complément : Voie classique Complexe anticorps/antigènes Voie des lectines Voie alternative Membrane microbienne Lipopolysaccharide bactérien Complexes immuns Membrane cellulaire C1 C4 C4 C2 C3 C2 Convertase C3 C3b C3a C5 Convertase C5 C5b C6-9 C5a Complexe d’attaque de la membrane (MAC) Lupe cellulaire 54 Hématologie Rôle du système du complément : •• Défense contre les micro-organismes : –– Initiation de la phagocytose par C3b (= opsonine) –– Cytolyse des cellules cibles, recouvertes d’Ac, par le produit final de la chaîne d’activation du complément (MAC = membran attacking complex = complexe C5b-C9). Les patients qui souffrent de troubles du système du complément présentent une sensibilité accrue aux infections bactériennes. •• Participation à la réaction inflammatoire : Au cours de la cascade d’activation du complément apparaissent des produits dérivés qui agissent comme médiateurs inflammatoires : p. ex. C3a agit sur la libération de l’histamine des mastocytes et attire les granulocytes (chémotaxie). •• Causes d’un déficit acquis en complément : 1.Diminution de synthèse (cirrhose hépatique, malnutrition). 2.Consommation augmentée dans les maladies auto-immunes avec complexes immuns circulants. 3.Dans certaines infections. SRE / SRH / SMP / SMM Différents macrophages mononucléés appartenant à un même système cellulaire fonctionnel, qui assurent la fonction de défense de l’organisme. Aschoff et Landau ont nommé ce système réticulo-endothelial (SRE). Plus tard on l’a appelé réticulohistiocytaire (SRH), on l’appelle aujourd’hui le système monocytes phagocytes (SMP) ou système monocytes macrophages (SMM). Les phagocytes mononucléaires (macrophages) sont les monocytes dans le sang et les histiocytes dans les tissus solides. Dans la rate, les ganglions et la moelle osseuse, ils se présentent comme cellules phagocytaires du réticulum et ils y nettoient les sinusoïdes. Granulopoïèse Moelle osseuse Sang Cellules souches multipotentes Pool de prolifération Myéloblases Promyélocytes Myelocytes Cellules souches à devenir granulopoïétique Pool de maturation à partir du métamyélocyte Pool de cellules souches Pool de réserve 20 fois plus de cellules que dans le pool fonctionnel Pool fonctionnel 1. pool circulant 2. pool prêt à servir durée de séjour des granulocytes dans le sang : 6 - 10 h dans les tissus : 3 - 5 j. 7 - 10 jours Colony Stimulating factors (CSF) GM-CSF : CSF des granulocytes et macrophages G-CSF : CSF des granulocytes Régulation selon besoin 55 Chapitre I Granulocytes neutrophiles et précurseurs : répartition dans le sang et la moelle osseuse Valeurs de référence dans le sang 0-1 % Cytoplasme basophile 30-80 % Métachromasie Myéloblastes Promyélo- Myélocytes cytes Nucléole 0-5 % Métamyélocytes Progranules grossiers Hiatus leucaemicus 0-1 % Cytoplasme oxyphile Neutrophile à noyau en bâtonnet Neutrophile à noyau segmenté Neutrophile à noyau hypersegmenté leucémie aiguë déviation gauche leucémie myéloïde chronique (LMC) Les granulocytes assurent une défense cellulaire aspécifique en particulier contre les bactéries et les levures (chémotaxie, phagocytose, destruction des microbes). Dans les conditions normales 90 % des granulocytes sont dans la moelle osseuse, seulement 2 à 3 % dans le sang circulant et le reste dans les tissus. Des signaux humoraux (p. ex. l’interleukine, le facteur 3 du complément) provoquent une libération des granulocytes de la moelle osseuse dans le sang. Dans le sang, les granulocytes se répartissent à moitié en un pool marginal collé aux parois vasculaires, l’autre moitié est le pool circulant dans le sang. Le séjour des granulocytes dans le sang est bref (T50 env. 7 h). Grâce à leurs mouvements amibiens, les granulocytes peuvent quitter les capillaires, traverser les muqueuses ou pénétrer les tissus. Leur catabolisme a lieu dans le SRH. Les éléments de la granulopoïèse capables de se multiplier sont les myéloblastes, promyélocytes et myélocytes (partie proliférante) ; à partir des métamyélocytes, il n’y a plus de multiplication cellulaire. Le temps de maturation du myéloblaste jusqu’au granulocyte segmenté est d’env. 10 jours, sa durée de vie est de 4 - 5 jours. Les réserves médullaires en cellules granulopoïétiques suffisent pendant 8 - 10 jours en cas d’arrêt brutal de la prolifération (correspondant au temps de maturation des myélocytes en granulocytes). Une granulocytopénie grave survient dès lors env. après 1 sem. (p. ex. après chimiothérapie). Si la moelle osseuse est déjà préalablement endommagée avec réserve diminuée en granulocytes, la granulocytopénie survient éventuellement plus tôt (p. ex. après traitement par cytostatiques sur une moelle infiltrée par une leucémie). On trouve dans la moelle osseuse surtout des myélocytes à moitié mûrs, dans le sang surtout des granulocytes segmentés. Il existe deux exceptions : 1.Stimulation de la moelle osseuse (p. ex. dans l’inflammation) : la répartition des granulocytes se déplace vers la gauche dans le sang sous forme de cellules plus jeunes (consommation augmentée de cellules matures). Elle se déplace vers la droite dans la moelle vers les éléments en maturation (augmentation de la prolifération et maturation accélérée). Les myéloblastes n’apparaissent dans le sang que dans les cas très rares d’une déviation gauche extrême et alors uniquement dans max 1 - 2 % des cas (« réactions leucémoïde ») 2.Sidération de la moelle osseuse (p. ex. par cytostatique) : par défaillance de la maturation, on voit des précurseurs plus jeunes en plus grand nombre dans la moelle (déviation gauche). Dans le sang, le renouvellement ne se produisant plus, on constate une augmentation des cellules vieilles (absence de réticulocyte, augmentation des neutrophiles hypersegmentés) = déviation droite dans le sang. Syndrome de myélopoïèse extramédullaire [D75.8] Dans les conditions physiologiques, les éléments cellulaires du sang ne peuvent quitter la moelle osseuse qu’à partir d’un niveau de maturation déterminé (« obstacle à la migration ») : –– Granulopoïèse : à partir des formes jeunes (= métamyélocytes). –– Érythropoïèse : à partir des réticulocytes. Ce mécanisme sélectif devrait empêcher l’apparition en périphérie de cellules sanguines immatures, non fonctionnelles. Cette sélection ne fonctionne que dans la moelle osseuse mais pas dans les autres organes hématopoïétiques. 56 I n d e x d e s d i ag n o s t i c s d i ff é r e n t i e l s A D Abdomen aigu [R10.0], 490 Accident vasculaire cérébral, 784 Accident vasculaire ischémique, 784 Achalasie, 421 Acidose métabolique [E87.2], 577 Adénopathie, 66, 120 Adrénogénital (syndrome) [E25.9], 767 Alcalose métabolique [E87.3], 578 Alcalose respiratoire [E87.3], 579 Allergies alimentaires [T78.1], 458 Alvéolite allergique exogène [J67.9], 384 Amylase (élévation), 489 Anémie, 25 Anémie aplasique, 51 Anémie avec fer sérique élevé, 37 Anémies hémolytiques, 35 Anémie hypochrome, 29 Anémie mégaloblastique, 33 Anémie pendant la grossesse, 32 Anémie rénale, 50 Anévrisme disséquant, 790 Angine aiguë, 851 Angio-œdème, 567 Angor mésentérique, 787 Anomalies cardiaques congénitales, 170 Anorexie, 694 Antéhypophysaire (insuffisance), 772 Apnée du sommeil (syndrome d’), 333 Artériopathie des vaisseaux viscéraux, 787 Artérite à cellules géantes, 666 Arthrose, 670 Ascite [R18], 538 Asthme (crise asthmatique), 341, 351, 384 AVC, 784 Déficit en G-6-PD, 39 Dengue, 875 Dermatomyosite, 655 Détresse respiratoire de l’adulte (syndrome de), 330 Diabète insipide, 775 Diarrhée infectieuse (bactérienne ou virale), 830 Diarrhée, 447-449, 831 Diffusion pulmonaire (trouble de la), 324 Dilatation cardiaque, 229 Diminution du taux de fer, 29 Diphtérie, 851 Dissection aortique, 790 Divergence tensionnelle, 297 Diverticulose et diverticulite, 477 Douleur abdominale supérieure [R10.1], 430 Douleurs au membres inférieurs au repos, 778 Douleur thoracique, 234, 249 Dysenterie, 839 Dysphagie [R13], 418 Dyspnée, 319 B Borréliose, 859 Botulisme, 842 Boulimie, 694 BPCO, 341 Bronchite, 341 Brucellose, 853 C Canal carpien, 639 Cancer de l’estomac, 440, 441 Cancer du canal anal, 486 Carcinome renal, 631 Carcinome surrénalien, 763 Cardiomyopathie, 219 Cardiomyopathie arythmogène du ventricule droit, 225 Cardiomyopathie hypertrophique, 223 Cardiomyopathie restrictive, 224 Causes d’élévation ou de dimunution du taux d’érythropïétine, 23 Céphalées, 114 Choc hémodynamique, 312, 313 Chlangite primaire sclérosante, 526 Cholestase, 508 Cirrhose hépatique, 536 CK (élévation des), 245 Claudication intermittente, 778 Coagulopathies, 126 Coagulation intravasculaire disséminée, 132 Colique néphrétique, 633 Colite infectieuse et non infectieuse, 471 Côlon irritable, 475 Coma diabétique, 719 Communication interauriculaire, 176 Congénitales cyanogènes (anomalies), 170 Conn, 756 Conscience (perte de), 719 Constipation, 451 Crise de goutte, 678 Crohn (maladie), 472 Cryoglobulinémie, 664 Cushing, 761 Cyanose, 185 Cystite, 601 Cytopénie, 79 930 E Ebstein Barr (infection par le virus), 828 Élévation des CK, 245 Embolie pulmonaire, 813 Entéropathie exsudative, 464 Éosinophilie, 57 Épanchement pleural, 416 Érysipèle, 816 Érythrocytose, 96 Érythropoïétine (causes d’élévation ou de diminution du taux d’), 23 Estomac (cancer de l’), 440, 441 Exsudat, 539 Hyperprolactinémie, 770 Hypertension de la grossesse, 294 Hyperthyroïdie, 734 Hypertrophie ganglionnaire, 66 Hyperuricémie, 678 Hyperventilation (syndrome d’), 335 Hypoaldostéronisme, 757 Hypocalcémie [E83.5], 574, 747 Hypochondre gauche (tumeurs dans l’), 120 Hypocortisolisme, 765 Hypoglycémie, 722 Hypokaliémie [E87.6], 570 Hypomagnésémie [E83.4], 573 Hyponatrémie [E87.1], 213, 567, 776 Hypoparathyroïdie, 747 Hypothyroïdie, 730 I Ictère, 24, 507 Infarctus myocardique, 249 Infiltrat pulmonaire, 364 Insectes (maladies transmises par les), 858 Insuffisance antéhypophysaire, 772 Insuffisance cardiaque, 207 Insuffisance rénale, 615 Insuffisance respiratoire, 327 Insuffisance surrénalienne, 765 Insuffisance veineuse chronique, 794 Intolérances alimentaires, 459 Intolérance au lactose, 462 J Jaunisse, 507 K Kyste rénal, 632 Kystique hépatique (formation), 551 F L Fabry (maladie de), 119 Fatigue chronique, 669 Fer (diminution du taux de), 29 Fibromyalgie, 668 Fibrose pulmonaire, 378 Fièvre [R50.9], 884, 888 Fièvre jaune, 874 Fistule digestive, 468 Formation kystique hépatique, 551 Foyer annulaire pulmonaire, 401 Foyer pulmonaire isolé, 389 Lactose (intolérance), 462 Leishmaniose, 883 Leptospirose, 852 Lésions rénales d’origine médicamenteuse, 606 Leucémie aiguë, 89 Leucémie lymphoïde chronique, 81 Leucémie myéloïde chronique, 93 Lithiase vesiculaire (colique hépatique), 554 Lupus érythémateux disséminé, 653 Lymphocytose, 64 Lymphome non-hodgkinien, 64 G Gammapathie monoclonale, 77 Glomérulonéphrite rapidement progressive, 594 Goitre, 728 Goutte (crise de), 678 Granulocytopénie, 58 Granulomatose de Wegener, 661 Grippe épidémique, 847 Gynécomastie, 768 H Hémodynamique (choc), 312, 313 Hémoglobinurie paroxystique nocturne, 43 Hémolytique transfusionnelle (réaction), 45 Hémoptysie, 335 Hémorragie digestive haute [K92.2], 444 Hépatite alcoolique, 529 Hépatite chronique, 524 Hépatite virale, 511 Hépatopathie pendant une grossesse, 509 Herpes simplex, 826 Hirsutisme, 769 Hyperaldostéronisme, 756 Hypercalcémie [E83.5], 574, 747 Hypercortisolisme (Cushing), 761 Hypergastrinémie, 501 Hyperglycémie, 712 Hyperhidrose, 734 Hyperkaliémie [E87.5], 570 Hypernatrémie [E87.0], 568 M Malabsorption [K90.9], 455 Maladie avec souffle systolo-diastolique de machine, 142 Maladie de Crohn, 468, 472 Maladie de Fabry, 119 Maladie de Paget, 753 Maladie de Wipple [K90.8], 462 Maladies inflammatoires du myocarde, 227 Maladies sexuellement transmissibles, 863 Maladies thyroïdiennes auto-immunes, 739 Maladies transmises par les insectes, 858 Maldigestion [K30], 455 Malaria, 877 Membres inférieurs au repos (douleurs aux), 778 Méningite bactérienne, 860 Méningoencéphalite transmise par les tiques, 858 Météorisme, 454 Migraine, 114 Mononucléose infectieuse, 828 Mycobactériose non tuberculose, 407 Myélodysplasique (syndrome), 100 Myélofibrose, 98 Myélome multiple, 76 N Néoplasme associé au SIDA, 868 Néphropathie de la grossesse, 608 Index des diagnostics différentiels Néphropathie tubulo interstitielle, 607 Néphrotique (syndrome), 596 Rubéole, 820 Rugeole, 820 O S Œdème pulmonaire, 393 Œdème, 566 Oligo-anurie, 615 Onde T négative terminale, 246 Orbitopathie endocrinienne, 737 Oreillons, 850 Ostéoporose, 751 Saignements, 128, 144 Sarcoïdose, 411 Sarcome de Kaposi, 869 Scarlatine, 820 Sclérodermie, 657 SDRA (syndrome de détresse respiratoire de l’adulte), 330 Selle vide (syndrome), 770 SIDA, 869 Sidérose, 532 Somnolence, 333 Somnolence diurne, 333 Souffle diastolique, 142 Souffle systolique, 142, 181 Souffle systolodiastolique, 142, 184 Splénomégalie, 120 Spondylarthrite ankylosante, 647 Stéatose, 529 Sténose valvulaire, 172 Syncope [R55], 311 Syndrome adrénogénital, 767 Syndrome d’apnée du sommeil, 333 Syndrome de Conn, 756 Syndrome de Cushing, 761 Syndrome de fatigue chronique, 669 Syndrome de fièvre héréditaire, 888 Syndrome d’hyperventilation, 335 Syndrome de Kawasaki, 665 Syndrome de la selle vide, 770 Syndrome de Raynaud, 790 Syndrome de Verner Morrison, 501 Syndrome du côlon irritable, 475 Syndrome fibromyalgique, 668 Syndrome myélodysplasique, 100 Syndrome néphrotique, 596 Syndrome respiratoire aigu sévère, 374 Syphilis, 863 P Paget (maladie de), 753 Pâleur des doigts, 48 Panartérite noueuse, 664 Pancréatite aiguë, 490 Pancréatite chronique, 493 Pararythmies, 292 Parasites intestinaux en Europe centrale, 844 Parotidite épidémique (oreillons), 850 Péricardite aiguë, 228 Perte de conscience, 719 Perte de poids, 694 Phéochromocytome, 307 Pneumonie, 364, 378 Pneumothorax, 413 Polyangéite microscopique (mPan), 663 Polyarthrite rhumatoïde, 638 Polyglobulie, 96 Polymyosite, 656 Porphyrie aiguë intermittente, 675 Protéinurie, 585 Prurit généralisé, 81, 508 Pseudothrombocytopénie, 134 Purpura, 137 R Réaction hémolytique transfusionnelle, 45 Recto-colite ulcéro-hémorragique, 471 Reflux gastro-œsophagien, 422 Rhagades aux commissures labiales, 28 T Tachycardie, 277, 286 Tamponnade péricardique, 229 Thoracique (douleur), 243, 249 Thrombocytémie, 97 Thrombocytopénie, 134 Thrombocytopénie (sur héparine), 804 Thrombophilie (causes héréditaires de), 797 Thrombose veineuse profonde, 798 TNE de l’iléum et de l’appendice, 499 Toxiinfection alimentaire, 837 Transudat, 539 Troubles de l’appétit (boulimie et anorexie), 694 Troubles de la diffusion pulmonaire, 324 Tuberculose hilaire, 401 Tumeur de l’estomac, 440, 441 Tumeurs cardiaques, 255 Tumeurs dans l’hypochondre gauche, 120 Tumeurs hépatiques, 640 Tumeurs hypophysaires, 770 TVP, 796 Typhus abdominal, 834 U Ulcère gastro-duodénal, 434 Urétrite, 605 Urine rouge, 586 Urolithiases, 633 V Varicelle, 824 Vasculaire ischémique (accident), 784 Verner Morrison (syndrome de), 501 Vomissement [R11], 419 W Whipple (maladie de) [K90.8], 462 X Xérostomie, 659 Xérophtalmie, 659 Z Zona, 824 931 Index [ ] = code ICD Le code ICD utilisé ici se réfère à la version 1.3. Il peut donc y avoir des divergences quant à la numérotation avec la version 2.0 utilisée à l’hôpital. Rem : lorsque deux codes ICD différents sont four nis, le premier chiffre correspond à l’étiologie de la maladie, le second chiffre (signalé par un astérisque) est le code facultatif de l’organe atteint. DRGs : Diagnosis related groups : Le principe des DRG est, que tous les patients ayant la même maladie, soient dans un groupe. L’hôpital reçoit, pour chaque patient groupé dans un certain DRG, le même montant. Chaque DRG se rapporte à un système ou un organe. La première lettre du DRG représente le système ou l’organe concer né. Les deux lettres qui suivent donnent soit le type du traitement, soit le type de maladie. La der nière lettre détermine le degré de gravité ou de l’intervention. A a1 antitrypsine dans les selles, 464 a1IP, 344 AAA, 788 AAE, 383 AAI, 264 AAM, 526 AAN, 525 AAS, 808 Abacavir, 871 Abatacept, 642 ABC, 871 abcès amibien [A06.4], 551, 838 abcès des cryptes, 470 Abcès hépatique, 551 Abcès microscopiques de Pautrier, 83 Abcès paranéphritique [N15.11], 602 abcès pyogénique [K75.0], 551 abciximab, 808 Abdomen aigu [R10.0], 490 Ablation à haute fréquence, 266 Ablation du nœud A/V, 266 Ablation percutanée transluminale septale myocardique, 223 ablation transcoronaire de l’hypertrophie septale, 223 ABPA, 376 abus de laxatifs [F55.1], 570 abus de réglisse [T48.4], 570 abus d’une combinaison d’analgésiques, 607 acamprosate, 901 acanthocytes [R71], 23, 39 Ac anti-ADN natif, 651 Ac anti-GAD, 696 Ac anti-IA-2, 696 Ac anti-TNF, 469 acarbose, 706 Accident ischémique transitoire, 783 accident vasculaire cérébral = AVC [I64], 781, 782 accident vasculaire cérébral hémorragique [I61.9], 781 Ac complets, 44 ACD, 29 Acébutolol, 262 acétate de calcium, 627 acétate de cyprotérone, 106 acétylcystéine, 589, 614 Achalasie [K22.0], 420 Ac h-LAMP-2, 594 Aciclovir, 824, 827 acide 5-aminosalicylique, 473 Acide 5 hydroxyindole acétique, 499 Acide acétylsalicylique (AAS), 808 acide alendronique, 752 acide a-lipoïque, 715 acide aristolochique, 608 acide clavulanique, 890 Acide d aminovulinique (ALA), 673 Acide étacrynique, 211 acide folinique, 107 acide folique, 30 acide ibandronique, 111, 752 acide méthylmalonique, 33 Acide nicotinique, 688 acide pamidronique, 111 acide p-aminométhylbenzoïque, 126 acide paraaminohippurique, 588 acide rétinoïque all-trans, 91 acide risédronique, 752 acides gras oméga 3, 686 acide tranéxamique, 126 acide urique, 677 acide ursodéoxycholique, 556 932 acide zolédronique, 111, 752 Acidocétose, 577 acidocétose diabétique, 718 acidose [E87.2], 577 Acidose de rétention [E87.2], 577 Acidose de soustraction [E87.2], 578 Acidose lactique [E87.2], 577 Acidose métabolique [E87.2], 577 Acidose respiratoire [E87.2], 578 Acidose tubulaire rénale [N25.8], 610 acidurie paradoxale, 578 Ac incomplets, 44 Ac irréguliers, 45 aclarubicine, 107 Ac-MCV, 639 Acrodermatite chronique atrophiante [L90.4], 858 acroléine, 111 acromégalie [E22.0], 771 acro-ostéolyses [M89.59], 658 acropachie [M85.89], 733, 736, 737 acroparesthésies, 119 AcRT, 732, 734 AcT, 726 ACTH, 758 Actinomycine D, 107 Activateurs du système de coagulation, 124 activité sympathomimétique intrinsèque (ASI), 261 Acute Lung Injury (ALI), 329 Acute-Phase-Protein, 929 Acute Respiratory Distress Syndrome, 329 ADA, 62 Adalimumab, 22, 642 Adam Stokes, 273 ADAMTS 13, 136 Adénocarcinome bronchoalvéolaire [C34.9], 387, 388 Adénome, 478 adénome autonome [E05.1], 732 Adénome biliaire [D13.5], 548 Adénome bronchique [D38.1], 391 adénome colique [D12.6], 478 Adénome hépatocellulaire [D13.4], 548 adénome hypophysaire [D35.2], 772 adénomes hypophysaires [D44.3], 769 Adénome séssile dentelé, 478 adénome somatotrope de l’antéhypophyse [D35.2], 771 adénome surrénalien, 761 adénopathie, 120 adénopathie de Virchow, 439 Adénopathie généralisée persistante (AGP), 866 Adénosine, 263, 278 adénosine déaminase, 62 Adénovirus, 373, 847 ADH, 561, 774 ADO, 705 ADPKD [Q61.1], 632 Adrénaline, 290, 316 adrénergiques bêta 2, 356 adriamycine, 107 aedes aegypti, 874 aérobilie [R93.2], 554 aérophagie [F45.31], 453 Affection respiratoire aiguë (ARA), 847 affections atopiques, 349 Affections hépatiques durant la grossesse, 508 aflatoxine B1, 549 AFLD, 528 Agalsidase alpha, 119 Agalsidase bêta, 119 Agammaglobulinémie [D80.1], 61 Agammaglobulinémie de Bruton [D80.0], 61 AGAST, 905 agent formant la méthémoglobine, 915 Agglutinine, 44 agglutinines dépendant de l’EDTA, 134 agglutinines froides, 48 Ag HBc, 514 Ag HBe, 514 Ag HBs, 514 Ag HD, 518 Agonistes (des récepteurs) alpha 2, 303 Agonistes des récepteurs bêta, 216 agonistes dopaminergiques, 771 agonistes LH-RH, 106 Agranulocytose [D70.3], 59 AHAI, 47 AHAI de type Donath-Landsteiner, 48 AHAI par agglutinines froides de type IgM [D59.1], 47 AHAI par hémolysine bithermique [D59.6], 48 Ail, 417 AINS, 643 AIP, 378 AIRE, 765 air-trapping, 322, 346 AIT [G45.99], 783 Ajmaline, 260, 278 ALA, 675 alanine aminotransférase (ALT), 503 Albendazole, 845 alcalose, 578 Alcalose métabolique [E87.3], 578 Alcalose respiratoire [E87.3], 579 Alcoolisme, 897 aldostérone, 754, 755 Alentuzumab, 110 α-galactosidase A, 119 alimentation dissociée, 692 Alimentation entérale (AE), 580 alimentation méditéranéenne, 239, 299 Alimentation parentérale (AP), 582 Alimentation par sonde, 581 aliskiren, 304 Alkylants, 106 allergie aux pollens, 458 allergie croisée, 458 Allergies alimentaires [T78.1], 457 allongement du QT [R94.3], 574, 747 Allopurinol, 679 almotriptan, 115 alpha-1-antitrypsine (a1IP), 344, 534 alphacalcidol, 627 Alpha fœto protéine (a FP), 549 alprostadil, 779, 781 ALT, 504 Altéplase, 125, 251 Altérations partielles de la fonction tubulaire rénale, 610 alternance électrique, 229 alternance respiratoire, 350 alvéolite à l’isocyanate [J68.3], 383 Alvéolite allergique exogène [J67.9], 383 Alzheimer, 908 Amaigrissement, 693 amanite phalloïde, 546 amaurose fugace [G45.39], 666 amaurose transitoire [G45.39], 783 amblyopie due au tabac et à l’alcool [H53.8], 900 ambrisentan, 397 Amiante, 381, 386 Amibiase [A06.0], 838, 845 amibicide de contact, 839 amibome [A06.3], 838 Amikacine, 891 Amiloride, 211 Index aminoglutéthimide, 762 aminoglycosides, 891 Aminopénicilline, 889 Amiodarone, 262 AML, 525 Amlodipine, 303 AMM, 33 ammoniac, 504, 544 Amoxicilline, 890 Amphotéricine B, 377 Ampicilline, 890 Amyloïde sérique A, 116 Amylose [E85.9], 115 amylose AL [E85.9], 116, 609 Amylose associée à des immunoglobulines, 116 Amylose associée à la transthyrétine (TTR), 117 Amylose associée à la β2 microglobuline [E85.3], 117 anagrélide, 98 anakinra, 642 Analgésiques non-opiacés, 113 Analogue des purines, 107 analogues de la somatostatine, 772 Analyse des urines, 584 Analyses des gaz sanguins (AGS), 325 anastomose de Riolan, 787 anastrozole, 106 Anatomie coronarienne, 247 androïde, 691 anemia of chronic disease (ACD), 49 Anémie [D64.9], 24 Anémie avec fer sérique élevé, 37 Anémie dans les maladies chroniques [NOO.O + DOO.O*], 49 anémie de Cooley, 41 anémie de Fanconi [D61.0], 51 Anémie de Marchiafava, 42 Anémie du coureur, 29 anémie falciforme [D57.1], 40 Anémie hémolytique à anticorps [D55.9], 43 Anémie hémolytique auto-immune, 35 anémie hémolytique enzymopénique, 34 Anémie hémolytique extracorpusculaire, 35 Anémie hémolytique intracorpusculaire, 34 Anémie hémolytique microangiopathique (AHM) [D59.4], 35 Anémie hémolytique par toxiques chimiques ou physiques, 35 Anémie hémolytique par trouble métabolique, 35 Anémie hyperchrome macrocytaire, 25 Anémie hypochrome [D50.9], 29 Anémie hypochrome microcytaire, 25 anémie inflammatoire, 49 Anémie iso-immune par isoanticorps, 35 Anémie normochrome normocytaire, 25 anémie par carence en vit B6 (pyridoxine) [D64.3], 34 anémie par carence martiale [D50.9], 27 anémie pendant la grossesse [O99.0], 32 Anémie pernicieuse, 32 Anémie rénale [N18.9 + D63.8*], 50 Anémies aplasiques (AA) [D61.9], 51 Anémies hémolytiques auto-immunes (AHAI) [D59.1], 47 Anémies hémolytiques [D58.9], 34 anémies hémolytiques enzymopéniques [D55.9], 38 Anémies hémolytiques extracorpusculaires, 43 Anémies hémolytiques (intra) corpusculaires [D58.9], 38 Anémies mégaloblastiques [D53.1], 30 anémie sur hémorragie [D50.0], 443 anémie tumorale [D48.9 + D63.0*], 29, 49, 111 Anévrismectomie ventriculaire, 216 Anévrisme de l’aorte abdominale (AAA) [I71.4], 788 Anévrisme de l’aorte thoracique [I71.2], 789 Anévrisme de paroi [I25.3], 249 Anévrisme disséquant [I71.00], 789 Anévrismes de l’aorte, 199 Anévrismes des vaisseaux coronaires [I25.4], 665 Angéite cutanée leucocytoclastique (AGL) [M31.8], 663 angine aiguë, 851 angine amygdalienne, 150 Angine à streptocoques [J03.0], 851 Angine de Plaut Vincent [A69.1], 851 angine de poitrine [I20.9], 231, 233, 234 angine spécifique, 851 angiodysplasies, 443 angiokeratoma corporis diffusum, 119 Angiokératome, 119 angiologie, 777 Angiomatose bacillaire [A44.9], 869 angiome stellaire [I78.1], 524, 535 Angio-œdème [T78.3], 566 Angio-œdème idiopathique [R60.9], 566 angiopathie de Moya-Moya [I67.5], 782 angiopathie en pelures d’oignon, 656 Angioplastie coronarienne percutanée transluminale, 240 Angioplastie immédiate, 250 angiosarcome [C49.9], 550 Angor abdominal [K55.1], 787 angor crescendo, 233 Angor de Prinzmetal [I20.1], 233 Angor instable, 233 Angor nocturne, 234 anguillulose, 844 anhydrase carbonique, 576 Anidulafungine, 377 Anisocytose, 23 ankle-brachial index, 778 ankylostome, 844 Ankylostomiase [B76.9], 844 anneau cornéen de Kayser Fleischer, 533 anneau de Schatzki, 418 années / particules, 380 Anomalie d’Ebstein [Q22.5], 186 anomalies cardiaques congénitales, 170 anomalies valvulaires acquises, 153 anophèles, 876 anorexie mentale [F50.0], 693 ANP, 204, 561 anréotide, 499 antagonisme de l’acide folique, 107 Antagonistes calciques, 240 Antagonistes de l’aldostérone, 211 Antagonistes de l’angiotensine II, 302 Antagonistes de la sérotonine, 420 antagonistes de la vitamine K, 125, 806 antagonistes des leucotriènes, 358 Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II bloquants des AT-II, 210 Antagonistes des récepteurs de la sérotonine 5 HT3, 111 antagonistes des récepteurs de la vasopressine, 776 antagonistes des récepteurs GH, 772 Antagonistes H1, 316 Anthracycline, 107 Anti-acides, 425 antiagrégants plaquettaires, 808 antiandrogène, 106 Antiarythmiques, 259 antibiotiques, 890 anticalciques, 303 anticholinergiques, 357 Anticoagulant du lupus, 652 anticoagulants, 803 Anticorps alpha-TNF monoclonal, 22 Anticorps anti-cardiolipine, 651 Anticorps anti-cellules endothéliales = AECA (anti-endothelial cell antibodies), 665 anticorps anti-centromère (ACA), 657 anticorps anti-collagène, 657 anticorps anti-érythrocytes, 44 Anticorps anti-HC, 520 anticorps anti-mitochondriaux (AAM), 526 anticorps anti-myéloperoxydase (ANCA-MPO), 594 Anticorps anti-nucléaires, 651 Anticorps anti-phospholipide (APA), 651 Anticorps anti-PM-SCL, 657 anticorps anti-protéinase 3 (PR3-ANCA), 661 anticorps anti-SS-A, 659 Anticorps anti-SS-B, 659 anticorps anti-surrénaliens, 765 anticorps anti-thyréoglobuline, 726 anticorps chauds, 47 anticorps contre la peroxydase thyroïdienne (Ac anti-TPO), 726 anticorps cytoplasmiques anti-neutrophiles avec pattern périnucléaire en immunofluorescence (pANCA), 594 anticorps des récepteurs IL-2, 625 anticorps incomplets (IgG) contre les érythrocytes, 44 anticorps microsomiaux, 726 Anti-désoxyribonucléotidase B (anti-DNAse), 151 antidiabétique oral, 705 antidote, 917 anti-EBNA-1 (EBV nuclear antigen), 828 Antiémétiques, 108, 111, 420 Antifibrinolytiques, 126 antigendrift, 846 antigène carcino-embryonnaire, 483 antigène cible de la myéloperoxidase, 594 Antigène de l’enveloppe, 514 antigène ESAT-6, 404 antigène HLA, 53 antigène plaquettaire, 134 antigènes superficiels, 60 antigenshift, 846 Anti-H2, 424 anti-HA, 522 anti-HE, 523 anti-histones, 652 Antihypertenseurs, 301 Anti-inflammatoires non stéroïdiens, 643 Antileucotriènes, 358 antimétabolites, 107 Anti-MBG, 590 anti-obésité, 692 antiœstrogène, 106 Anti-Ro, 651 anti-SCL 70, 657 Anti-Sm, 651 Anti-streptolysine O, 151, 818 Antithrombine, 124 antithyroïdiens de synthèse, 735 anti-topoisomérase 1, 657 Antitoxine digitalique, 216 antitussifs, 338 anti-U1RNP, 659 Anti-VCA (viral capsid-antigen), 828 Anulocytes, 23 Anurie [R34], 584, 612 aortite syphilitique [A52.0], 862 APC, 797 Aphagie, 418 aphérèse, 904 Aphérèse des cellules souches, 904 aphérèse des LDL, 688 aphtes, 664 apical ballooning syndrome [I42.88], 219 Aplasie isolée de l’érythropoïèse, 53 Apnées du sommeil, 331 apolipoprotéine B100, 683 aPOLT, 547 Appendicite aiguë [K37], 490 appendicite à localisation gauche, 477 Apport de bicarbonates, 579 Apprentissage de la respiration, 358 aprépitant, 111 APSAC, 125 APTC, 129 aPTT, 123 apudome [D44.9], 498 arachnodactylie, 199 Arbovirus, 511, 875 arbutamine, 237 Arc cornéen, 684 ARDS, 329 AREB I, 99 AREB II, 99 arenavirus, 511 argatroban, 805, 806 ARLT, 354 ARN du virus HE, 523 ARPKD [Q61.1], 632 Arrêt cardio-circulatoire [I46.9], 289 Arrêt sinusal, 276 ARSA, 99 ARSA-T, 99 Artéméther, 879, 881 artémisinine, 879 artère cérébrale antérieure, 783 artère cérébrale moyenne, 783 artère cérébrale moyenne (ACM), 781 artère cérébrale postérieure, 783 artères cérébrales, 782 Artères en fils de cuivre, 295 Artériopathie des vaisseaux à destination cérébrale [I67.2], 781 Artériopathie des vaisseaux viscéraux [K55.1], 787 933 Index Artériopathie périphérique [I73.9], 777 artériosclérose (=athérosclérose), 231 Artérite à cellules géantes [M31.6], 665 artérite de Takayasu [M31.4], 297, 667 artérite temporale de Horton [M31.6] (arteriitis cranialis), 665 Arthrite de Lyme [A69.2 + M01.29], 858 arthrite entéropathique, 650 Arthrite idiopathique juvénile (AIJ) [M08.99], 637 arthrite réactionnelle [M02.99], 647 arthritis Urica [M10.09], 677 arthropathie amyloïde [E85.9 + M14.4*], 623 arthropathie de Jaccoud [M12.09], 650 Arthropathie de l’oxalose, 678 arthrose, 670 Arthrose active [M19.89], 670 arthrose de Heberden [M15.1], 670 articulations interphalangiennes distales, 670 arythmie de reperfusion, 251 Arythmie sinusale [I49.8], 269 arythmie ventriculaire absolue, 282 5-ASA, 473 ASAT, 504 asbeste (amiante), 381, 386 Asbestose [J61], 382 ASCA, 468 Ascariase [B77.9], 844 Ascite [R18], 539 ASI, 261 ASL, 151, 818 ASO, 151, 818 Asparaginase, 107 aspartate aminotransférase (AST), 503 aspect écorce d’arbre, 427 aspect en D, 395 aspect en dôme des cuspides, 165 Aspergillome, 376 Aspergillose [B44.9], 376 aspergillus fumigatus, 376 Asplénie [Q89.0], 121 assistance cardio-pulmonaire (ACP) chez les adultes, 290 AST, 504 asterixis, 544 AST=GOT, 246 asthénurie [N28.8], 775 Asthme allergique (asthme extrinsèque) [J45.0], 349 Asthme bronchique [J45.9], 348 Asthme cardiaque [I50.19], 351 asthme d’effort [J45.1], 350 asthme du mineur, 381 asthme intrinsèque [J45.1], 349 Asthme lié aux analgésiques [J45.1], 349 asthme « perennial » [J45.9], 350 asthme pseudo-allergique, 808 asthme saisonnier [J45.9], 350 astrovirus e.a., 830 asystolie, 289 Ataxie télangiectasie [G11.3], 63 Atélectasie de compression, 337 Atélectasies [J98.1], 337 Atélectasies secondaires, 337 Aténolol, 262 ATG 16L1, 467 AT III, 124 Atorvastatine, 687 Atovaquone, 881 ATRA, 91 atrésie biliaire [G44.2], 506 Atrésie des voies biliaires [Q44.2], 552 Atrial fibrillation = AF, 282 Atrioseptostomie selon Rashkind et Miller, 191 Atrophie blanche [L95.0], 794 atropine, 259, 276 Atteintes hépatiques médicamenteuses et toxiques [K71.9], 529 ATTR, 116 Auscultation cardiaque, 140 Auscultation dynamique, 163 auto-anticorps anti-récepteur à la TSH (AcRT), 726 Autoinflammatory disorders, 888 autonomie disséminée [E05.0], 732 autonomie multifocale [E05.2], 732 autonomie thyroïdienne, 732 934 autonomie unifocale, 732 autorégulation de la perfusion cérébrale, 309 Autres arthrites induites par des cristaux, 678 Autres tumeurs de l’estomac, 441 Auxilliary partial orthotopic liver transplantation (APOLT), 547 AVC, 782 AVI, 348 Azathioprine, 107, 469 Azithromycine, 891 Azlocilline, 890 AZT, 871 B bacilles de la tuberculose, 398 Bacillus anthracis, 373 bacillus cereus, 836 Bactériémie [A49.9], 314 Bactériurie [N39.0], 587, 602 Baffle, 192 balanite circinée [N48.1], 648 Ballon de contrepulsion, 253 ballooning, 219 ballottement du mollet, 798 BALT, 72 banding de l’artère pulmonaire, 182 Banff, 625 bare metal stents, 241 Barrett, 421 bartonella, 551 Bartonella henselae, 869 BASDAI, 646 Bas de contention, 793, 799 base/bolus, 712 Base excess, 577 Basedow, Graves disease [E05.0], 732 BASFI, 646 basiliximab, 545 bas voltage, 230 bathmotrope, 214, 261 bâtonnets d’Auer, 87 batônnets géants, 33 Bayou, 605 BCME, 386 Béclométasone, 355 Benazépril, 302 bendamustin, 81 Benzbromarone, 680 benznidazole, 228 benzol, 51, 87 benzopyrènes, 386 benzothiazépine, 263, 303 Benzylpénicilline, 890 besoin quotidien en iode, 724 bêtabloquants, 213, 261 béta-défensine 2, 467 bétaméthasone, 759 Betaxolol, 262 bévacizumab, 110, 391, 485 Bézafibrate, 688 biculatamide, 106 bigéminisme, 271 biguanides, 706 Bilan hydrique, 560 Bilan liquidien, 560 bilharziose intestinale [B65.1], 882 Bilharziose intestinale et hépatique, 882 bilharziose (schistosomiase) [B65.9], 882 bilharziose vésicale [B65.0 + N33.8*], 882 Bilharziose vésicale ou uro-génitale, 882 Bilirubine, 37 Billroth II, 436 binge eater, 690 binge eating disorder, 693 Biologicals, 642 Biopsie de l’intestin grêle, 461 biosimilaires, 50 biovar El Tor, 839 biphosphonates, 752 Bisacodyl, 453 Bisoprolol, 262 bitartrate de prajmaline, 260 bivalirudine, 125, 806 BK, 398 Black Creek canal, 605 Bléomycine, 107 blocage néphrotique séquentiel, 620 Bloc atrioventiculaire (A/V) [I44.3], 273 Bloc de branche, 275 Bloc de branche droit complet [I45.1], 275 Bloc de branche gauche complet [I44.7], 275 Bloc de branche gauche incomplet [I44.6], 276 bloc fasciculaire, 275 Bloc infrahissien [I44.3], 275 Bloc intraventriculaire [I45.4], 275 Bloc sinoatrial (S/A) [I45.5], 273 bloc suprahissien [I44.3], 275 bloquants des canaux ioniques, 240 bloquants des canaux potassiques, 262 bloquants des canaux sodiques, 260 Bloquants (des récepteurs) alpha 1, 303 bloquants des récepteurs AT1, 302 Bloquants des récepteurs de l’angiotensine (BRA), 300, 302 blue bloater [J43.9], 345 blue diaper syndrome, 610 blue-toe syndrome, 809 BMI, 690 BMS, 241 BMT, 64 BNP, 204, 561 Body Mass Index = BMI, 690, 704 borborygmes, 436, 454 Borrelia burgdorferi, 858 Borréliose [A69.2], 857, 858 Bortézomib, 77 bosentan, 397 Botal, 183 botulisme [A05.1], 841 botulisme alimentaire, 842 botulisme des nourrissons, 842 botulisme des plaies, 842 bouche en tabatière, 657 boulimie nerveuse [F50.2], 693 bouton de fièvre [B00.1], 826 bouton d’Orient, 883 BPCO, 339 BPI-ANCA (bactericidal / permeability increasing protein), 472 BRA, 300 bradyarythmie absolue [I48.19], 282 Bradycardie sinusale [R00.1], 269 brain natriuretic peptid, 561 breakbone fever, 875 Breakpoint cluster region, 92 bridging, 806 bridging leaflet, 181 Broca, 704 broken-heart » syndrome [I42.88], 219 bromocriptine, 771, 772 bromure d’ipratropium, 259, 357 Bronchiectasies [J47], 336 bronchiolite oblitérante [J219], 329, 338 Bronchite à éosninophiles, 352 Bronchite aiguë [J20.9], 337 bronchite de reflux [K21.9/J41.0], 422 Bronchodilatateurs, 356 bronchogramme, 364 Bronchophonie positive, 364 bronchopneumopathie chronique obstructive, 339 Brucella abortus, 853 Brucella melitensis, 853 Brucellose [A23.9], 853 brugia malayi, 816 Bruit d’ouverture de la mitrale, 157 bruits cardiaques, 140 bruits de Korotkoff, 296 bruits de « machine », 142 Bruits d’ouverture des valves, 141 Bruton tyrosine kinase, 61 Budésonide, 355, 469, 473 Buerger’s disease, 781 buffy coat, 86 Bumétanide, 211 bunazosine, 303 bupropion, 896 buried bumper, 581 burkholderia cepacia, 495 buséréline, 106 Busulfan, 106 Buts recherchés par la chimiothérapie, 102 Buveur alpha, 897 Buveur bêta, 897 Buveur delta, 897 Buveur epsilon, 897 Buveur gamma, 897 buveur occasionnel, 897 Index C CA, 183 CA 19-9, 497 CA 50, 497 CA 72-4, 440 CABG, 241 CADASIL, 782 CAGE, 901 Caillot en toile d’araignée, 860 calcifédiol, 743, 748 calcifications pancréatiques [K86.8], 494 Calcimimétiques, 628 calcinose sous-cutanée [L 94.2], 657 calcinosis cutis, 658 Calciphylaxie [E83.50], 628 calcitonine, 740, 743 calcitriol, 627, 743 calcium, 574, 742 Calcul de risque CARRISMA, 231 Calculs de cholestérol, 552 Calculs de cystine [E72.0], 633 calculs de phosphate, 635 Calculs intracanalaires, 494 Calculs (pigmentés) de bilirubine [K80.20], 552 calculs urinaires, 633 calprotectine, 475 Campylobacter jejuni, 836 Canakinumab, 888 Canal artériel persistant (de Botal) [Q25.0], 183 Canal atrioventriculaire [Q21.2], 181 Canal carpien, 639 cancer à cals [C34.9], 386 Cancer avec cellules en bague à chaton, 439 Cancer colorectal (CCR) [C19], 480 cancer de Barrett, 421 Cancer de l’estomac [C16.9], 438 Cancer de l’œsophage [C15.9], 428 cancer d’intervalle, 478 Cancer du canal anal [C21.0], 486 cancer du côlon, 480 Cancer du moignon gastrique [C16.9], 437 cancer du rectum, 480 cancer pulmonaire causé par BCME [C34.9], 386 cancer pulmonaire causé par l’arsenic [C34.9], 386 cancer pulmonaire causé par l’asbeste [C34.9], 386 cancer pulmonaire causé par le gaz moutarde [C34.9], 386 cancer pulmonaire causé par le nickel [C34.9], 386 cancer pulmonaire causé par les chromates [C34.9], 386 cancer pulmonaire causé par les HAP [I27.28], 386 cancer pulmonaire de Schneeberger [C34.9], 386 Cancers de l’anus, 486 Candésartan, 210, 302 Candida albicans, 375 Candidose [B37.9], 375 Candidose buccale, 376 Candidose chronique mucocutanée [B37.9], 63 Candidose mucocutanée, 376 CAP, 361 capacité de diffusion, 324 capacité vitale (CV), 321 Capécitabine, 107 capillaires géants, 791 Capillaromicroscopie, 791 Capillaroscopie, 658 Capnométrie, 326 Captopril, 302 caractéristiques du pouls, 140 carbapénèmes, 891 carbergoline, 771 carbimazol, 735 carbohydrate deficient transferrin, 900 carbonate de calcium, 627 carboplatine, 106 Carcinomatoses pleurales [C49.9], 414 carcinome alvéolaire, 386 carcinome anaplasique, 740 Carcinome bronchique, 386 Carcinome cholangiocellulaire (CCC), 558 carcinome de la marge anale [C44.5], 486 Carcinome des voies biliaires [C24.0], 558 Carcinome épidermoïde, 387 carcinome hépatocellulaire, 549 carcinome médullaire thyroïdien, 740 Carcinome pancréatique [C25.9], 496 Carcinome papillaire [C24.1], 498 Carcinome pulmonaire à petites cellules, 387 Carcinome pulmonaire [C34.9], 386 Carcinome rénal [C64], 629 carcinomes nasopharyngiens [C11.9], 828 carcinomes thyroïdiens différenciés, 739 carcinome surrénalien, 763 Carcinome vésiculaire [C23], 557 Cardiographie de l’impédance, 143 Cardiologie, 140 cardiomyopathie arythmogène du ventricule droit [I42.80], 224 Cardiomyopathie de stress [I42.88], 219 Cardiomyopathie de Tako-Tsubo, 219 cardiomyopathie diabétique [I42.88], 702 cardiomyopathie familiale [I42.9], 116 Cardiomyopathie hypertensive [I11.90], 295 Cardiomyopathie hypertrophique (CMH) [I42.2], 221 cardiomyopathie induite par la tachycardie, 280 Cardiomyopathie « non-compaction » isolée du ventricule gauche, 225 Cardiomyopathie restrictive [I42.5] (oblitérante), 223 cardiomyopathies, 218 Cardiomyopathies dilatées (CMD) [I42.0], 220 Cardioversion externe, 266 CARE, 254 carence en a1IP, 344 Carence en adénosine désaminase [D81.3], 62 carence en ADH, 774 carence en C1-inhibiteur de l’estérase (C1-INH) [D84.1], 567 Carence en fer, 27 carence en iode, 728 Carence en pyruvate kinase (PK) [D55.2], 39 carence en vitamine D [E55.9], 748 Carence en Vit B12, 30 Carence en vit C [E54], 139 carence martiale, 27 carfilzomib, 77 carminatifs, 455 Carmustine, 106 carotide interne (CI), 781 carrefour aortique occlus [I74.0], 778 Cartéolol, 262 Carvédilol, 262 caséification, 398 Caspofungine, 377 cast nephropathy, 609 Catabolisme des érythrocytes, 22 Catalepsie [G47.4], 333 Cathétérisme droit, 143 Cathétérisme gauche, 144 CAV, 181 caverne précoce [A.16.2], 401 caverne primaire [A16.2], 400 caverne sous tension, 401 Caverne tuberculeuse, 401 CAVH, 622 CBG = cortison binding globulin, 754 CBP, 525 CCR5, 865 CD, 232, 247 CDAD, 448 CDT, 900 CDT (Carbohydrate deficient transferrin), 528 Céfaclor, 890 Céfadroxil, 890 Céfalexine, 890 Céfazoline, 890 Céfépime, 890 Céfixime, 890 Céfotaxime, 890 Ceftazidime, 890 Ceftibuten, 890 Ceftriaxone, 890 Céfuroxime, 890 célécoxib, 643 Céliprolol, 262 Cellules à cheveux, 79 cellules à fagots, 87 Cellules-cible (Target Cells), 24, 37 cellules d’Anitschkow, 151, 226 Cellules de Decoy, 625 cellules de Gaucher, 118 cellules de Hodgkin - Reed - Sternberg, 65 Cellules de Lutzner, 83 cellules de Pfeiffer, 828 cellules de Sézary, 83 cellules du mycosis fungoïde, 84 cellules en œil de hibou, 829 cellules étoilées de Kupffer, 118, 512 Cellules falciformes, 24, 37 cellules géantes d’Aschoff, 226 cellules géantes de Hecht, 821 cellules géantes de Langhans, 399, 410 Cellules mycosiques, 83 Cellules sphériques, 38 centralisation, 312 Céphalées [R51], 114 céphalosporines, 890 Certolizumab, 642 Certoparine, 800, 805 cétuximab, 110, 485 CFS (chronic fatigue syndrome) [G93.3], 669 CFTR, 495 chagome, 228 champs avasculaires, 791 chapelet rachitique, 748 Charbon cutané [A22.0], 373 Charbon intestinal [A22.2], 373 Charbon pulmonaire [A22.1], 373 chéilite angulaire, 28 chélateurs de fer, 41 cherry red spots, 446 Chimiokines, 22 Chimiothérapie avec cytostatiques, 106 chiragre [M10.99], 678 chirurgie bariatrique, 692 Chirurgie de l’obésité, 692 Chirurgie de réduction du volume pulmonaire, 348 Chirurgie de revascularisation coronarienne, 241 chitotriosidase, 118 Chlamydia trachomatis, 604 chlamydophila pneumoniae, 371 Chlamydophila psittaci, 371 Chlorambucil, 81, 106 Chloramphénicol, 51 chlore, 569 Chloroquine, 879, 880 chlortalidone, 211, 301 chlorure d’arginine, 579 Chlorure de potassium, 570 chlorure de vinyl, 550 Chl. pneumoniae, 371 Chl. psittaci, 371 Chl. trachomatis, 371 Choc [R57.9], 312 Choc anaphylactique [T78.2], 312, 314, 316 Choc cardiogénique [R57.0], 248, 312, 313, 317 choc hypoglycémique, 722 choc hypovolémique [R57.1], 312, 313 Choc septique [A41.9], 312, 314 cholangiocarcinome [C22.1], 558 cholangite, 553 Cholangite biliaire primitive, 525 Cholangite ischémique [K83.0], 506 Cholangite sclérosante primitive (CSP) [K83.0], 526 Cholécystectomie, 556 cholécystite aiguë [K81.9], 553 Cholédocholithiase [K80.5], 554 Cholépathies, 552 Choléra [A00.9], 839 cholérine, 840 Cholestase idiopathique fonctionnelle, 506 Cholestase idiopathique récidivante (Summerskill-Tygstrup) [K83.1], 507 Cholestase intra-hépatique [K71.0], 506 cholestase [K83.1], 505 Cholestyramine, 687 cholinestérase, 504 Chondrocalcinose [M11.29], 678 Chorée mineure (de Sydenham) [I02.9], 151 C.Hr, 28 chromates, 386 935 Index chromosome de Philadelphie Ph, 92 chronic kidney disease-mineral and bone disorder, 626 chronic obstructive pulmonary disease, 339 chronotrope, 214, 261 Chylomicrons, 681 chylothorax [I89.9], 415 chymotrypsine dans les selles, 494 Ciclésonide, 355 cidofovir, 830 cigarettes, 339 Cilastatine, 891 Cilazapril, 302 Cilostazol, 780 cinacalcet, 628 Ciprofloxacine, 603, 889, 891 circuit de recirculation, 792 Cirrhose [K74.6], 535 Cirrhose biliaire primitive (CBP) [K74.3], 525 Cirrhose hépatique, 535 Cisplatine, 106 CIV, 178 CIVD, 130 CK-BB, 245 CKD-MBD, 626 CK-MB, 245 CK-MiMi, 245 CK-MM, 245 cladribine, 79, 107 Clarithromycin, 366, 891 Classification ABC des gastrites chroniques, 431 Classification CCS de l’angine de poitrine, 233 Classification CHADS, 283 Classification de Ann-Arbor, 66, 70 Classification de Fredrickson, 682 Classification de Lown, 272 Classification des anémies, 25 Classification des œsophagites de reflux selon Savary-Miller, 423 classification de Stanford, 789 Classification des varices selon Marshall, 793 Classification de Sydney des gastrites chroniques (1990), 432 Classification endoscopique du degré d’activité de l’hémorragie selon Forrest (F) et risque de récidive (%), 445 Classification FAB des LAM, 87 Classification ILAR, 637 Classification ISFC, 226 classification Killip, 254 Classification MEST (Oxford), 591 Classification MUSE, 423 classification RAI, 81 Classification selon Lauren, 438 Classification selon Runyon, 407 Classification selon Vaughan Williams, 259 Classification TNM, 387 claudication intermittente [I73.9], 777 Clearance, 588 Clearance de la créatinine, 588 Clearance de l’inuline, 588 clémastine, 316 Clichés cardiaques, 143 Click éjectionnel, 141 Click télésystolique, 141 clips de la valve mitrale, 162 CLM, 52 clonidine, 303 Clopidogrel, 808 cloprédnol, 759 clostridium botulinum, 841 Clostridium difficile, 830 clostridium perfringens, 836 CMHNO [I42.2], 221 CMHO [I42.1], 221 CM hypertensive, 219 CM inflammatoire [I42.0], 219 CM ischémique, 219 CM métabolique, 219 CM péripartale = CM post-partum, 219 CMT, 740 CM toxiques, 219 CMV, 828 CM valvulaire, 219 CNP, 204, 561 CO, 326 CoA, 173 936 Coagulation intravasculaire disséminée = CIVD, 130 coagulation sanguine, 123 coagulopathie de consommation [D65.1], 130 coagulopathies, 126 co-alcooliques, 901 coal worker’s pneumoconiosis (CWP), 380 coarctation aortique, 173 cobalamine, 30 cobble-stone-pattern, 468 Cockcroft, 589 codéine, 338 Coefficient de transfert, 324 cœliaque, 460 cœruloplasmine, 533 cœur myxœdémateux [E03.9 + I43.8*], 731 Cœur pulmonaire [I27.9], 394 Cœur pulmonaire aigu [I26.0], 394 cœur pulmonaire chronique CPC [I27.9], 394 colchicine, 679 colécalciférol, 627 Colésévélam, 688 colestipol, 687 coliques biliaires, 553 Colique urétérale [N23], 633 Colite amibienne [A06.0], 838 colite collagène, 474 Colite de diversion, 471 colite indéterminée, 472 Colite ischémique, 471 colite lymphocytaire, 474 Colite microscopique [K52.8], 471, 474 colite pseudomembraneuse [A04.7], 830, 843 colite pseudomembraneuse (PMC) à clostridium difficile, 448 Colite radique, 471 Colite segmentaire-hémorragique [A04.7], 448 Colites infectieuses, 471 colite sur ergotamine [K52.1], 471 collagénoses, 650 collatérales en tire-bouchon, 781 côlon irritable, 476 côlon spastique, 475 Colony Stimulating factors (CSF), 55 coma acidocétosique, 718 coma cétoacidosique, 719 coma diabétique, 718, 720 coma hépatique, 544 coma hyperosmolaire, 718, 719 coma hypoglycémique, 720 coma hypophysaire, 773 coma myxœdémateux [E03.5], 731 coma par acidose lactique, 706, 720 Common-channel-syndrom, 552 common cold [JOO], 337, 847 Communication interauriculaire (CIA) à l’âge adulte [Q21.1], 176 Communication interventriculaire (CIV) [Q21.0], 178 community-acquired pneumonias, 361 complexe de capture, 286 complexe facteur plaquettaire 4/ héparine, 804 complexe primaire, 399 complexe prothrombine, 125 complexe symptomatologique de l’estomac et du cardia [F45.37], 454 compliance dynamique, 324 compliance statique, 323 complications allergiques streptococciques, 818 Concentrés érythrocytaires, 316 Condensation annulaire, 401 conditions BTPS, 321 conduction ventriculaire aberrante, 270 conduit, 148 condylomes [A51.3], 862 Configuration aortique, 168 Configuration mitrale, 158 congenital rubella syndrome, 819 conjonctivite à inclusions [A74.0], 371 conjonctivite hémorragique [B30.3+H13.1], 849 Consommation nocive d’alcool [F10.1], 897 Constipation [K59.0], 450 Contre-indications pour l’administration de produit de contraste iodé, 589 conversion tubeculinique, 403 COPD, 339 coprolithes, 451 Coproporphyrie [E82.2], 674 Coqueluche, 848 cord blood (CB), 52 Cornée d’aspect verticillé [H18.5], 119 Corona phlebectatica [I83.9], 794 Coronarographie, 248 coronavirus, 847 corps astéroïdes, 410 corps cétoniques, 710 corps de Mallory, 528 corps de Schaumann, 410 corpuscules de Councilman, 512 Corpuscules de Heinz, 24, 37, 39 Corpuscules de Howell-Jolly, 24, 38, 121 Corrigan, 167 cortisol, 754, 758 Corynebacterium diphteria, 851 Côte cervicale [Q76.5], 802 co-transporteur sodium-iode, 724 co-trimoxazole, 832, 891 couches adjacentes du cœur, 229 coumariniques, 125 Couplets [I49.3], 272 courbe de saturation en O2, 325 COX 1 et 2, 808 coxibe, 643 Coxiella burnetii, 372 coxsackie, 225 Coxsackie A [B08.5], 849 Coxsackie B, 849 CP 20, 352 CPAP, 333 Crachats hémoptoïques, 335 crampes aux mollets [R25.2], 793 crâne en brosse [G75.8], 41 craniopharyngiomes [D44.4], 769, 772 craquements, 364 CRB-65, 367 CRDM, 99 CRDU, 99 Créatine-kinase, 245 Créatinine, 587 crépitants, 363 crétinisme [E00.9], 730 crise addisonienne [E27.2], 764 Crise blastique, 92 crise / coma hyperthyroïdiens [E05.5], 733 crise hémolytique, 38 crise hypercalcémique [E83.58], 745 Crise hypertensive et urgence hypertensive [I10.91], 305 Crise hypoxémique, 188 Crises épileptiques, 915 crises vaso-occlusives, 40 Critères CASPAR, 649 critères CRAB, 77 Critères d’Amsterdam II, 480 Critères de Bethesda, 481 Critères de Child-Pugh, 536 Critères de Dallas, 226 Critères de Duke, 146 Critères de Jones, 151 critères de Marsch, 461 critères de Milan, 550 critères de ROM III, 475 critères diagnostiques de Rotterdam, 768 Critères ESPGAN, 461 critères RIFLE, 614 Crohn, 467 croissance tumorale, 105 Crossectomie, 794 crosse de la saphène, 792 croup [A36.2], 851 CRP, 929 CRS, 819 Cryoglobulines, 664 Cryptococcose [B45.9], 376 Cryptococcus neoformans, 376 Cryptosporidiose [A07.2], 841 Cryptosporidium parvum, 841 CSP, 526 cuivre, 533 culotte de cheval, 691 culture mélangée de lymphocytes (= test MLC), 53 CUP = carcinoma of unknow primary [C80], 389 CUP-syndrom [C80], 389, 391 Cushing, 761 Index cutis gyrata [Q82.9], 771 CV = Capacité vitale, 321 CVS, 419 CVVH, 622 CX, 232, 247 Cyanose [R23.0], 185 Cyanose cardiaque, 186 Cyanose centrale, 185 Cyanose liée à l’hémoglobine, 185 Cyanose périphérique, 186 Cyanose pulmonaire, 186 Cycle cellulaire, 104 cyclic vomiting syndrome, 419 cyclooxygénase, 808 cyclophosphamide, 106 Cylindres épithéliaux, 587 Cylindres érythrocytaires, 587 Cylindres hyalins, 587 Cylindres leucocytaires, 587 Cylindrome, 391 Cystadénome biliaire intrahépatique [D13.4], 548 cystatine C, 588, 925 cystic fibrosis transmembranous regulation, 495 Cystinurie [E72.0], 610, 633 Cystite aiguë [N30.9], 601 cystite hémorragique [N30.9], 108, 601 Cystite interstitielle chronique [N30.1], 605 cytaphérèse, 904 Cytokines, 20 Cytokin – release syndrome, 109 cytomégalovirus, 828 Cytosine arabinoside, 107 cytostatiques, 106 D dALA, 675 Dabigatran, 805 Dacarbazine, 107 daclizumab, 625 Dacryocytose, 23 dactylite, 649 DAF = decay accelerating factor [CD55], 42 Dalfopristine, 367 DALI, 689 Daltéparine, 805 Danaparoïde, 800, 805 Darbepoïétine alpha, 50 DAS 28, 644 Dasatinib, 110 daunorubicine, 107 DAVD, 224 Dawn, 712 DCCT, 713 DCI, 287 DCP, 265 Dcytb, 26 DDAVP, 128 DDD, 264 D-dimère, 799, 812 ddl, 871 débit cardiaque, 144 Décollement rétinien, 199 Décompensation à bas débit [I50.9], 201 Décompensation à haut débit [I50.9], 201 Décompensation en amont, 203 Décompensation en aval [I50.9], 203 Dédoublement fixe du B2, 141, 177 Dédoublement paradoxal du B2, 141 Défaillance hépatique aiguë [K72.0], 546 défaillance pulmonaire de l’adulte [J80], 329 Défaut congénital de la membrane des érythrocytes, 38 Défaut membranaire congénital, 42 Défaut mimant l’aspirine, 138 déférasirox, 42, 532 Défériprone, 42, 532 Déferoxamine, 532 Défibrillateur cardiaque implantable (DCI), 265 défibrillateur implantable, 287 défibrillateurs automatiques, 266 défibrillateurs automatiques externes, 291 défibrillation, 266 Déficience congénitale en inhibiteur de protéase a1 [E 88.0], 344 déficience en anticorps [D80.9], 61 Déficience en sous-classes d’IgG [D80.3], 62 Déficit combiné en cellules T et B, 62 Déficit d’adhésion des leucocytes, 59 déficit du pouls, 282 déficit en 11b-hydroxylase [E25.09], 766 déficit en 21a-hydroxylase, 766 Déficit en alpha 1 antitrypsine [E88.0], 534 Déficit en antithrombine [D68.4], 797 Déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase (G-6-PD) [D55.0], 39 Déficit en IgM [D80.4], 61 Déficit en JAK 3 [D81.2], 62 Déficit en myélo-péroxidase, 60 Déficit en phagocytes, 63 Déficit en PNP [D81.5], 62 Déficit en protéine C, 797 Déficit en protéine S, 797 déficit en TAP, 63 Déficit en ZAP70 [D81.8], 63 Déficit familial en apolipoprotéine B 100, 683 Déficit immunitaire, 61 Déficit immunitaire sévère, 62 Déficit sélectif en IgA [D80.2], 62 Déficit spécifique en anticorps avec taux d’immunoglobulines normal [D80.9], 62 Déformation en col de cygne [M20.0] (goose neck deformity), 182, 638 dégâts musculaires sous-endocardiques [I24.1], 227 Dégénérescence graisseuse du foie non alccolique [K76.0], 527 Dégénérescence hépatolenticulaire, 533 déhydroépiandrostérone, 754, 768 Délire [F05.9], 910 délirium tremens [F10.4], 898 d AAL, 675 démangeaisons [L29.9], 525 démarche dandinée, 748 Démence à corpuscules de Levy (DCL), 910 Démence du type Alzheimer [G30.9] (DTA), 908 Démence vasculaire [F01.9], 909 Dengue [A90], 875 dengue avec syndrome de choc [A91], 875 dengue hémorragique [A91J], 875 Dénomination des stimulateurs cardiaques, 263 dénosumab, 752 densité osseuse, 752 dépendance à l’alcool [F10.2], 897 dépistage de l’hypothyroïdie du nouveau-né, 730 dépôts de fer, 25 De Ritis, 504 dérivés coumariniques, 806 Dérivés d’acide arylacétique, 643 Dérivés d’acide propionique, 643 dérivés d’arsenic, 386 Dérivés nitrés, 210, 239 dermatite bénigne du baigneur [B65.3] (swimmers itch), 882 dermatite des cercaires [B65.3], 882 Dermatite herpétiforme de Duhring [L13.0], 461 dermatomyosite [M33.1], 655 Dermatosclérose [M34.9], 794 Dermatose de Reiter [M02.39], 648 dermopathie néphrogénique fibrosante (DNF), 616 DES = Drug elucting stents, 240 désensibilisation, 360 Déshydratation [E86], 562 Déshydratation hypertonique, 563 Déshydratation hypotonique, 563 Déshydratation isotonique, 563 désirudine, 125, 805, 806 Desmopressine = (DDAVP), 128 détémir, 711 Détermination de la coagulation, 122 détermination de la glycémie, 702 détermination de l’aPTT, 122 déviation cubitale, 638 déviation droite dans le sang, 56 Déviation gauche, 57 dexaméthasone, 759, 762 dexpanthénol, 737 dexrazoxan, 108 DHEAS, 768 diabésité, 691 diabète [E14.90], 695 diabète de grossesse [O24.4], 697 diabète et intervention chirurgicale, 716 diabète gestationnel, 715 diabète insipide [E23.2], 774 diabète insipide néphrogénique [N25.1], 775 diabète phosphaté [E83.30], 610, 748 Diabetes mellitus, 695 Diagnostic d’une thrombophilie, 799 diagramme flux-volume, 322 diagramme résistance aérienne-volume, 323 Dialyse, 917 dialyse péritonéale (DP), 621 diapason, 700 Diarrhée [K52.9], 447 Diarrhée associée à clostridium difficile, 448 diarrhée cholérétique, 463 Diarrhée couleur gelée de framboise, 838 diarrhée du voyageur, 830 Diarrhée idiopathique dans le SIDA, 831 diarrhée induite par la chimiothérapie, 111 diarrhée « purée de poix », 834 Diarrhées du SIDA [B23.8], 461 Diarrhées dysentériques [A09], 831 Diarrhées explosives [K52.9], 835 diarrhées infectieuses [A09], 830 Diarrhées paradoxales, 447, 451 diarrhées sur VIH, 449 Diathèses hémorragiques [D69.9], 122 Diathèses hémorragiques vasculaires, 139 diazoxide, 500 Diclofénac, 643 Dicloxacilline, 890 Diéthylcarbamazine, 816 différence artérioveineuse en O2, 201 différence tensionnelle, 297 Digitaliques, 259 digitoxine, 214 digoxine, 214 Dihydralazine, 304 dihydropyridine, 303 dilatation de la valve mitrale par ballon, 159 Dilatation par ballon, 240 Diltiazem, 263 dimenhydrinate, 420, 431 diméticone, 455 diminution de la taille, 750 diminution de la variabilité de la fréquence cardiaque, 700 DIOS [E84.1], 495 DIP, 378 dipeptidyl-peptidase 4 (DPP4), 708 Diphtérie [A36.9], 851 Diphyllobothrium latum [B68.9], 844 Diphyllobothrium latum [B70.0], 32 dipyridamole, 236 discordance ventriculo-artérielle, 191 disparition de l’onde R, 246 Dissection aortique [I71.00], 789 Dissociation A/V dépendant de la fréquence [I45.8], 292 Dissociation A/V [I45.8], 285 dissociation électromécanique, 289 Distance menton-sternum, 646 Distance occiput-mur, 646 Diurèse forcée, 917 diurétiques, 210, 301 Diurétiques de l’anse de Henlé, 211 Diurétiques d’épargne potassique, 211 Diverticule, 426 Diverticule de Meckel [Q43.0], 442 Diverticule du caecum [K57.30], 476 Diverticule du duodénum [K57.1], 442 Diverticule du sigmoïde [K57.30], 476 Diverticule épiphrénique (de pulsion) [K22.5], 427 Diverticules de l’œsophage [Q39.6], 427 diverticules de Zenker [K22.5], 427 diverticulite [K57.90], 476 Diverticulose, 476 DMARD, 641 DMT1, 26 DNF, 616 Dobrava, 605 dobutamine, 216, 237 docétaxel, 107 doigts en bâtons de tambour [R68.3], 185, 328 doigts « télescope », 649 dolasétron, 111 937 Index donneur de moelle [Z52.3], 53 donor lymphocyte infusion (DLI), 91 doppler tissulaire, 224 Dor, 216 Doripénem, 891 Dosage des acides gras fécaux, 456 dos voûté [M40.29], 750 DOT = direct observed treatment, 406 Douleur au niveau du cul de sac de Douglas, 490 douleur de compression thoracique, 838 Douleur de Rosving, 490 douleur rétrosternale, 233 douleurs aiguës, 113 douleurs localisées au niveau de l’abdomen supérieur [R10.1], 430 Douleurs thoraciques [R07.4], 234 Doxazosine, 303 doxercalciférol, 627 Doxorubicine, 107 Doxycycline, 881, 891 Doxycycline/tétracycline, 367 DP20, 352 DPA, 622 D-pénicillamine, 533 Drainage lymphatique, 817 Drainage pleural, 413 Drépanocytose, 40 Drogues, 918 dromotrope, 214, 261 Dronédarone, 262 drotécogine alpha, 317 drug fever, 884 DRV, 871, 872 dry eye, dry mouth, 658 D-Shape, 395 Duffy, 45 Dukes, 483 DXA = Dual-X-Ray-Absorptiometrie, 750 Dysbêtalipoprotéinémie familiale [E78.2], 683 dyscrinie [E34.9], 349 Dysenterie amibienne [A06.0], 838 Dysenterie shigellienne [A03.9], 837 Dysérythropoïèse, 100 dysfonctionnement neurovégétatif somatoforme [F45.9], 894 Dysgranulopoïèse, 100 Dyshématopoïèse, 100 dyskératose congénitale [Q82.2], 51 Dyskinésie du sphincter d’Oddi, 554 dyslipidémie, 681 Dysmégacaryopoïèse, 100 dysosmie, 417 dyspepsie non ulcéreuse [K30], 435 Dysphagie, 418 dysphagia lusoria [Q27.8], 418 dysplasie arythmogène du ventricule droit, 224 Dyspnée [R06.0], 319 dystélectasies, 341 Dysurie [R30.0], 584 E E. abactérienne, 144 EAEC, 830 Early onset sarcoidosis (EOS), 410 eau d’oxydation, 616 EBM, 18 Ebstein Barr, 827 EBV, 70, 827 EC entérohémorragique (EHEC), 830 ECF, 559 ECG, 142, 235, 246 ECG à l’effort (ergométrie), 235 échelle de coma de Glasgo, 719 Échinocandine, 376 Échinococcose alvéolaire [B67.5], 551, 845 Échinococcose kystique [B67.9], 551 Echinococcus granulosus (vers de chiens) [B67.4], 845 Echinococcus multilocularis (vers de renards) [B67.7], 845 échinocyte, 23 Écho avec compression, 799 Échocardiographie, 143 Échocardiographie à l’effort, 236 échocardiographie de stress, 236 Échographie endobronchique (EEB), 318 échographie fonctionnelle, 555 Échographie intracoronarienne (IVUS), 238 938 échographie intra-ductale, 557 Échographie transoesophagienne (ETO), 143 Échographie transthoracique (ETT), 318 échymoses, 122 ECLA, 331 Éclampsie [O15.9], 294, 305 ECP (eosinophilic cationic protein), 350 ectasie de la racine de l’aorte, 199 ectasies vasculaires antrales gastriques, 443 éculizumab, 43 Eczéma herpétique [B00.0], 824, 826 édulcorants, 705 effet Bayliss, 309 effet « blouse blanche », 294 Effet d’espace mort, 325 effet Goldblatt, 306 effets extra-osseux de la vit. D, 743 Effet shunt, 325 Effets secondaires de la radiothérapie [T66], 67 Effets secondaires des cytostatiques, 108 EGF-R, 110 Ehrlichiose granulocytaire humaine (EGH) [A79.8], 857 EIEC, 830 E. infectieux, 144 Eisenmenger, 179, 196 élastase 1, 493 élastase pancréatique, 487, 493 élastases, 489 Électrocardiographie, 142 Électrolytes, 559 Électrothérapie des troubles du rythme, 263 Éléphantiasis [I89.0], 817 éleptriptan, 115 élévation de la Lp (a) [E78.4], 683 élévation du segment ST, 246 Élimination des LDL, 689 Élimination primaire du poison, 916 Élimination secondaire du poison, 917 Élliptocytes, 24 El Tor, 839 eltrombopag, 137 EMB, 405 emboles de cholestérol, 809 embolie artério-artérielle, 810 embolies [I74.9], 809 embolies artérielles paradoxales, 809 embolies paradoxales, 782 Embolies pulmonaires [EP] [I26.9], 811 embryo-fœtopathie diabétique [P70.1], 697 Embryopathie rubéoleuse [P35.0], 819 emesis gravidarum [O 21.9], 419 éminase, 125 Emphysème pulmonaire [J43.9], 344 Emphysème sous-cutané [T79.7], 413 empyème pleural, 416 Émulsions lipidiques, 583 Enalapril, 302 Encéphalite aiguë postinfectieuse [B05.0], 822 Encéphalite herpétique [B004 + G05.1*], 826 Encéphalite rougéoleuse, 822 encéphalomalacie [G93.88], 782 Encéphalopathie associée au VIH [B22.0], 867 Encéphalopathie hépatique [K72.9], 543 Encéphalopathie hypertensive aiguë [I67.4], 296 Encéphalopathie portosystémique (EPS), 543 Encéphalopathie urémique, 618 endocardite à streptococcus bovis [I33.0], 145 endocardite bactérienne, 144 Endocardite de la prothèse, 155 Endocardite de Libman-Sacks [M32.1], 149, 651 endocardite de Löffler [I42.3], 144, 224 Endocardite infectieuse (bactérienne) [I33.0], 144 endocardite pariétale fibroplastique [I42.3], 144 endocardite rhumatismale [I09.1], 151 Endocardite rhumatismale (verruqueuse), 149 endocrinologie, 695 Endocrinopathie paranéoplasique, 388 endométriose, 465 endoscopic-retrograd-cholangiopancreaticography, 555 Énoxaparine, 800, 805 Enregistreur d’évènements, 142 Entamoeba histolytica, 838 Entécavir, 518 Entérite à campylobacter [A04.5], 836 entérites typhiques ou paratyphiques, 833 Entéroclyse, 468 Entérocolite régionale, 467 Entéropathie au gluten, 460 Entéropathie aux AINS [K63.9], 643 Entéropathie exsudative [K90.4], 464 enthésopathies [M77.9], 646, 648 enzymes pancréatiques, 494 Éosinophilie [D72.1], 57 EP, 811 Épaississement pleural [J94.1], 416 épanchement péricardique, 229 Épanchement pleural [J90], 414 Épanchement pleural parapneumonique, 363 épanchements pleuraux parapneumoniques, 416 EPEC, 830 éperon veineux, 796 épinéphrine, 290 épirubicine, 107 éplérénone, 211 EPO, 21, 22, 108 époïétine, 108 époïétine alpha, 21, 50 époïétine bêta, 21, 50 Époïétine theta, 50 épreuve d’effort, 235 épreuve de la soif, 775 Épreuves fonctionnelles respiratoires, 320 Éprosartan, 302 eptacog alpha, 129 eptifibatide, 808 équilibre de Gibbs-Donnan, 559 Équilibre hydro-électrique, 559 équilibre hydrosodé, 561 éradication de l’HP, 433 ERCP, 555 ERD, 421 Ergospirométrie, 324 Ergothérapie, 779 erlotinib, 110, 391 erosive reflux disease [K21.0], 421 erreurs transfusionnelles, 45 Ertapénem, 891 Éructation [R14], 422, 453 Éryhtrocytose de stress, 96 Érysipèle [A46], 150, 816 Érythème annulaire rhumatoïde [L53.1], 151 Érythème en ailes de papillon, 650 érythème infectieux, 820 érythème migrant [A26.0], 638, 858 Érythème nécrotique migrateur, 502 Érythème noueux [L52], 411 Érythème palmaire et plantaire [L53.8], 524, 535 Érythocytopoïèse, 20 Érythroblastose-ABO [P55.1], 46 Érythroblastose-Rh [P55.0], 46 Érythrocytes ratatinés en forme de pomme piquée, 23 érythrocytoses [D75.1], 95, 96 Érythromycine, 366, 891 érythron, 22 Érythrophérèse, 904 érythropoïèse, 22, 26 érythropoïèse inefficace, 22 Érythropoïétine, 21, 22, 311 Ery-Vita, 121 ESBL, 362 Escherichia coli, 830 ES du faisceau commun, 271 ES monomorphes, 271 ES polymorphes, 271 ésoméprazole, 424, 426 espace QTc, 258 ES polymorphes, 271 Essen Stroke Risk Score, 786 ESSV, 270 ESSV bloquée [I49.9], 271 Estomac, 430 estomac en pastèque, 443, 657 estomac en sablier [K31.2], 435 Index estomac thoracique, 426 estramustine, 106 ESV, 271 ESV complexes, 272 Étanercept, 22, 642 État de mal asthmatique [J46], 351 ETEC, 830 Éthambutol (EMB), 405 éthers halogénés, 386 Étoposide, 107 étoricoxib, 643 étude ATLAS, 210 étude CAST, 258, 260 étude DIG, 209 étude ELITE, 210 étude ISIS-2, 250 étude Lyon, 239 étude MIRACL, 250 étude RADIANCE, 209 étude SOLVD, 210 étude SWORD, 258 études CONSENSUS, 209 études UKPD, 706 ETV, 871 Euler-Liljestrand, 325 Eurotransplant, 624 évérolimus, 110, 631 Evidence based medicine, 18 exanthema subit, 825 exanthème, 818 Excrétion fractionnelle de Na, 615 exémestane, 106 exénatide, 709 exophtalmie [H05.2], 736 Expectorants, 338 expectoration, 336 Expectoration en vomique, 336 Exsudat, 539 extracorporal lung assist, 331 extrasystole A/V nodale, 271 Extrasystole interpolée, 271 Extrasystoles (ES) [I49.4], 270 Extrasystoles auriculaires [I49.1], 270 Extrasystoles jonctionnelles (du nœud A/V) [I49.2], 270 Extrasystoles supraventriculaires (ESSV) [I49.4], 270 Extrasystoles ventriculaires (ESV) [I49.3], 271 F facies mitral, 157 facteur de croissance hépatocytaire, 547 facteur de transfert des poumons, 324 facteur intrinsèque, 31 facteurs de coagulation dépendants de la vitamine K, 126 Facteurs de croissance hématopoïétiques, 21 Facteurs de nécrose tumorale, 21 Facteurs de risque cardiovasculaire pour une artériosclérose prématurée, 231 facteurs rhumatoïdes (FR), 636, 639 facteurs VIII, 123 Faisceau accessoire caché, 280 faisceau de Kent, 279 Fallot, 187 Fallot rose, 188 Famciclovir, 827 FAN (facteurs anti-nucléaires), 651 FAO, 74 FAP, 282 Fascéite à éosinophiles [M35.4], 657 fascéite nécrosante [M72.69], 150, 315 Fasciculation musculaire, 619 fast-loser patient, 749 Fat overloading syndrom, 506, 583 Fatigue chronique, 669 Fault, 589 Fausse-route de suc gastrique [T17.9] = Syndrome de Mendelson [J95.4], 375 fausses diarrhées, 447 Favisme, 39 FCR, 81 Fébuxostat, 680 Félodipine, 303 FEM 25 - 50 - 75, 322 Fenofibrate, 688 Fénotérol, 356 fer, 25 ferritine, 25 fétuine-A, 628 fever of unknown origin, 885 FFP, 132 FHHNC, 573 fibrates, 688 Fibres de Mahain, 279 Fibrillation auriculaire [I48.19] (Atrial fibrillation = AF), 282 fibrillation ventriculaire [I49.0], 287, 290 fibrilline, 199 fibrine, 446 fibrinolyse, 123, 814 Fibrinolytiques, 125, 801 Fibromyalgique, 669 « Fibrose en treillis », 528 fibrose endocardique [I38], 499 Fibrose endomyocardique africaine [I42.3], 224 Fibrose kystique (FK), 495 Fibrose pleurale diffuse [J94.1], 382 Fibrose rétropéritonéale (FRP) [N13.5], 669 Fibroses endocardiques-myocardiques, 144 fibrose systémique néphrogène (FSN), 616 Fibrose systémique néphrogénique (FSN), 657 fièvre à urines noires [B50.8], 881 fièvre chez le sujet neutropénique, 885 Fièvre de Malte [A23.0], 853 fièvre de Pel-Ebstein [C81.9], 66 Fièvre de Pontiac [A48.2], 370 fièvre des champs, 852 fièvre d’origine indéterminée [R50.80], 885 fièvre ganglionnaire de Pfeiffer, 827 Fièvre hémorragique avec syndrome rénal (FHSR) [A98.5 + N08.0*], 605 Fièvre jaune [A95.9], 874, 893 fièvre médicamenteuse [R50.2], 57, 884 Fièvre méditerranéenne familiale [E85.0] (FMF), 116, 888 fièvre périodique, 116 Fièvre pharyngo-conjonctivale, 373 Fièvre post-opératoire, 884 Fièvre Q [A78], 372 Fièvre quarte, 877 fièvre [R50.9], 884 Fièvre rhumatismale, 150 Fièvre tierce, 877 filariose [B74.9], 816 filgrastime, 21 finger printing, 403 fistule anale [K60.3], 468 Fistules [L.98.8], 468 Flapping tremor [R25.1], 544 Flatulence [R14], 453 flavivirus, 875 flavovirus, 874 Flécaïnide, 260 Fluconazole, 377, 428 Flucloxacilline, 890 Flucytosine, 377 Fludarabine, 107 Fludrocortisone, 310, 757 fluid lung [J81], 392, 614, 619 flunisolide, 355 fluocortolone, 759 fluoroquinolones, 366, 603, 891 5 Fluorouracil, 107 Flush [R23.2], 499 flutamide, 106 fluticasone, 355 Flutter auriculaire [I48], 281 Flutter ventriculaire, 287, 290 Fluvastatine, 687 fœtor hepaticus [R19.6], 544, 546 Foetor urémique, 619 Foie, 503 Foie de stase, 205 foie lardonné, 115 fomivirsen, 830 fondaparinux, 805 Fontan, 197 FOP, 176 foramen ovale ouvert persistant [Q21.1] (FOP), 176, 782 formation diffuse de croissants, 594 formations kystiques hépatiques, 551 Formations polypoïdes de l’estomac, 441 Formes circonscrites de sclérodermie/ morphaea, 657 formes grandes, 838 formes petites, 838 formotérol, 356 formule sanguine leuco/ érythroblastique, 57 fosaprépitant, 111 foscarnet, 830 Fosinopril, 302 foyer de Ghon [A16.7], 399 Foyer de stimulation baladeur [I49.8], 269 Foyer de stimulation secondaire, 269 foyer pulmonaire isolé [R91], 389 foyers apicaux de Simon, 400 Foyers tertiaires ventriculaires, 269 FPV, 872 FR, 639 fraction d’éjection, 203 fraction de raccourcissement, 206 fraction de régurgitation, 161 fractures spontanées [M84.49], 75, 750 fractures vertébrales, 751 Fragmentocytes [R71], 24, 37 Frailty, 911 frein par les lèvres, 358 fresh frozen plasma, 132 Frottement pleural, 229 frovatriptan, 115 FSN, 616 FTA, 863 FTC, 872 Fuites paravalvulaires, 155 fulvestrant, 106 fundoplicature selon Nissen, 425 FUO, 885 Furosémide, 211 F. vW = facteur de von Willebrand, 127, 129 G GADA, 696 gadolinium, 616 Gallopamil, 263 Gamma glutamyl transferase (g Gt), 503 Gammapathie monoclonale, 77 ganciclovir, 829 Ganzoni, 30 Gastrinome [D37.7], 501 Gastrite à éosinophiles [K52.8], 432 Gastrite à gros plis, 432 Gastrite aiguë [K29.1], 431 gastrite à l’helicobacter heilmannii, 431 gastrite antrale, 431 gastrite bactérienne, 431 Gastrite chronique [K29.5], 431 Gastrite de stase, 205 gastrite du corps, 431 gastrite érosive, 431 Gastrite lymphocytaire [K29.6], 432, 434 Gastrites [K29.7], 431 gastro-duodénostomie (Billroth I), 436 Gastro-entérite à salmonelles [A02.0], 835 gastro-entérites [K52.89], 830 Gastro-entérologie, 417 gastro-entéropathie urémique, 618 gastroparésie [K31.88], 701, 715 gastropexie, 426 gastrostomie, 430 gâteau de miel, 378 gaz gastro-intestinaux [R14], 453 gaz irritants, 338 gaz moutarde [C34.9], 386 Gb3, 119 G-CSF, 21, 111 Géfitinib, 110 Gemcitabine, 107 Genant, 751 gène bcr, 92 gène Btk, 61 gène CASR, 573 gène de fusion bcr-abl, 92 gène de paracelline 1 (PCLN1), 573 gène FTO, 690 gène FXYD2, 573 gène HFE, 531 gène MDR-1, 105 gène Menin, 502 gène NOD2, 467 gènes oncosupresseurs APC, 478 Gentamycine, 891 GEP, 581 GERD, 421 Gériatrie, 905 939 Index Germe de l’entérite, 833 Germe du paratyphus, 833 Germes du typhus, 833 GHRH, 771 Giarda lamblia, 845 gibbosité [M40.19], 750 gigantisme [E22.0], 771 Gingivostomatite herpétique [B00.2], 826 GIST, 110 glandes surrénales, 754 glargine, 711 GLDH, 504 gliadine, 460 glibenclamide, 707 glimépiride, 707 glinides, 708 gliptines, 709 glitazone, 706 globotriaosylcéramide (GB3), 119 globuline antihémophilie, 127 globus hystericus [F45.8], 418 glomérulonéphrite à anticorps antimembrane basale glomérulaire (anti-MBG), 590 glomérulonéphrite à complexes immuns, 590 Glomérulonéphrite aiguë post-infectieuse [N00.9], 593 Glomérulonéphrite chronique évolutive [N03.9], 599 Glomérulonéphrite rapidement progressive (GNRP) [N01.9], 594 glomérulonéphrites (GN) [N05.9], 590 Glomérulopathie immunotactoïde fibrillaire [N03.6], 610 Glomérulosclérose segmentaire focale = GSSF [N05.1], 595 glossite atrophique (Hunter) [K14.0], 32 GLP-1 (glucagon like peptide), 706, 708 glucagon, 723 Glucagonome [D13.7], 502 glucocéréboside, 118 glucocérébrosidase, 118 glucocorticoïdes en inhalation, 355 glucocorticostéroïdes, 758 gluconate de calcium, 574 Gluconate de fer (III), 30 Glutamate déshydrogénase (GLDH), 503 Glutamate-oxalacétate-transaminase (GOT), 503 Glutamate-pyruvate-transaminase (GPT), 503 gluten, 460 glycémie, 702 glycémie à jeun, 703 glycopeptides, 891 Glycosides cardiotoniques, 213 glycosurie [R81], 585, 703 GMSI [D47.2], 77 GN à lésions minimes = minimal changeGN [N04.0], 595, 598 GN membraneuse [N05.2], 596 GN membrano-proliférative = GNMP [N05.5], 596, 598 GN mésangiocapillaire [N05.5], 598 GNRP à complexes immuns [N01.9], 594 GNRP par anticorps anti-membrane basale, 594 goitre, 728 goitre de Riedel [E06.5], 739 goitre euthyroïdien [E04.9], 728 Golimumab, 642 gommes osseuses [A52.7], 862 gonagre [M10.97], 678 Gonorrhée, 863 goséréline, 106 GOT, 504 goutte [M10.99], 677 goutte de pyrophosphate [M11.29], 678 gouttelettes-bonjour, 605 gouttes épaisses de sang, 878 GPT, 504 Gradient maximal instantané, 166 Gradient pic à pic, 165 granisétron, 111, 420 granulocytes, 56 Granulocytopénie [D70.7], 58 Granulocytose [D72.8] (neutrophilie), 57 granulomatose chronique (CGD), 59 Granulomatose de Wegener [M31.3], 660 Granulomatose septique progressive, 59 granulomatosis infantiseptica [P37.2], 857 940 granulome des piscines [A31.1], 408 Granulophérèse, 904 Granulopoïèse, 55 Grey-Turner, 488 grippe aviaire, 846 Grippe d’été [B33.8], 849 grippe porcine, 846 GRIPS, 254 Groupe Boyd, 792 groupe CATCH 22, 63 Groupe Cockett, 792 Groupe Dodd, 792 Growth Hormone (GH), 771 Gymnastique respiratoire, 347 gynécoïde, 691 gynécomastie [N62], 768 H HAART, 870 HACEK, 144 HAI, 755 hairy cells, 79 Halitose [R19.6], 417 Hampton’s hump, 812 hand-foot-syndrome, 109 Hantaan, 605 HAP, 361 HAPE [T70.2], 392 haptène, 44 haptocorrine, 31 haptoglobine, 35 HAQ, 644 harcèlement psychologique, 895 Hb, 24 HbA1c, 704, 713 HBPM, 800 HbS, 40 Hc, 24 HCAP, 361 HDL, 681 Health care associated pneumonia, 361 heart-burn, 422 heart fatty acid binding protein, 246 hélicobacter pylori, 433 hémagogus, 874 Hémangiome hépatique [D18.0], 548 Hémaphérèse, 904 Hématémèse [K92.0], 444 hématide, 50 hématocrite, 20, 24 Hématologie, 20 Hématome [K76.8], 551 Hématome sous-dural [I62.09], 784 Hématomes paroxystiques des mains et des pieds [I87.8], 139 hématophagocytose, 827 hématurie familiale bénigne [N02.9], 586 Hématurie macroscopique [R31], 586 Hématurie microscopique [R31], 586 hème-arginate, 675 hémianopsie bitemporale [H53.4], 772 Hémibloc antérieur gauche [I44.4], 275 Hémibloc postérieur gauche [I44.5], 275 Hémobilie [K83.8], 443, 557 Hémochromatose, 531 Hémodiafiltration, 622 hémodialyse (HD), 621 Hémodilution, 779 Hémofiltration, 622 Hémoglobine, 24 Hémoglobine réticulocytaire, 28 Hémoglobinopathies [D58.2], 39 Hémoglobinurie [R82.3], 37, 586 Hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) [D59.5], 42 Hémolyse, 34 Hémolyse artificielle, 919 Hémolyse infectieuse, 35 Hémolyse mécanique, 155 Hémolysine, 44 hémopexine, 35 Hémophilie [D66], 127 Hémophilie A [D66], 127 Hémophilie B [D67], 127 hémophilie résistante [D68.8], 129 hemophilus H. influenzae, 369 Hémophilus influenza, 341 Hémoptysie, 335 hémorragie, 443 hémorragie digestive, 444 Hémorragie gastro-intestinale (GI) [K92.2], 442 Hémorragies de varices œsophagiennes [I85.0] ou du cardia [I86.4], 419 Hémorragies intracérébrales spontanées [I61.9], 782 Hémorragies pulmonaires [R04.8], 335 hémorragies sous-ungéales, 145 Hémorragies subarachnoïdiennes [I60.9], 782 hémorragie sur varices, 538 Hémo sidérine, 27 hémostase sanguine, 123 Henderson-Hasselbalch, 576 Héparine, 125, 800, 803 Hépatite A (HA) [B15.9], 522 Hépatite auto-immune [K.75.4], 524 Hépatite B aiguë, 516 Hépatite C [B17.1], 519 hépatite chronique [K73.9], 523 hépatite cryptogène, 546 Hépatite D (HD) [B18.0], 518 Hépatite E [B17.2], 523 Hépatite fulminante [B19.9], 510 hépatite stéatosique non alcoolique (HSNA), 527, 529 Hépatites virales, 509, 514 hépatoblastome embryonnaire [B22.2], 550 hépatocarcinome [C22.0], 549 Hépatocytes ballonnés, 512 hépatocytes en « verre de lait », 517, 523 hépatopathie toxique, 915 hépatotoxique, 528 hepcidine, 26 héphaestine, 26 Hernie hiatale axiale [K40.9], 426 Hernie para-œsophagienne [K44.9], 426 herpangina Zahorsky [B08.5], 826, 849 herpès génital [A60.0], 826 herpès labial [B00.1], 826 herpès zoster, 823 Hétérotopie active, 268, 270 Hétérotopie passive [I49.8], 268, 269 h-FABP, 246 HFNEF, 201 HFREF, 201 HGF, 547 HGPO : hyperglycémie par voie orale, 703 HHV-6, 825 hiatus leucémique, 87 high altitude pulmonary edema, 392 hile amputé, 395 hile en coquille d’œuf, 381 HIPA, 804 hirsutisme [L68.0], 767 hirsutisme diabétique, 768 Hirudine, 125, 806 Histiocytose pulmonaire à cellules de Langerhans, 379 Histiocytose pulmonaire [D76.8], 379 histréline, 106 HIV-entry, 865 HLA, 53 HLA-B27 positif, 646 HNPCC, 480 Holiday-heart-syndrome [I48.10], 282, 899 holohaptocorrine, 31 holoTC, 31 holotranscobalamine, 31 Honeymoon-cystitis, 601 horloge glycémique de Ulmer, 713 hormone antidiurétique, 775 hormone de croissance, 771 hormones thyroïdiennes, 724 hospital-acquired pneumonias, 361 HPN, 42 HPS, 606 HPTEC, 812 HPTp, 744 HSV-1, 825 HSV-2, 825 HTAP, 394 HTAPI, 394 HTLV, 87 HTP, 394 HTPTEC, 396 HTX, 217 Hydrochlorothiazide, 211 Hydro-IRM, 468 hydronéphrose [N13.3], 602 hydrops congenitus universalis [P83.2], 46 Hydroxurée, 107 Index 25-hydroxy-vitamine D, 627 Hydroxychloroquine, 642 Hydroxyde d’aluminium, 425 Hydroxyde de magnésium, 425 hydroxyéthyl d’amidon, 315 hyperaldostéronisme primaire, 755 hyperalimentation [R63.2], 583 hyperbilirubinémie [R79-8], 37 Hypercalcémie [E83.58], 574 Hypercalcémie hypocalciurique familiale [E83.58], 575 Hypercalcémie induite par une tumeur [E83.58], 574 Hypercalcémie ostéolytique, 574 Hypercalcémie paranéoplasique, 574 hypercalciurie [E83.58], 633, 635 Hypercholestérolémie [E78.0], 681 Hypercholestérolémie et maladie coronarienne, 684 Hypercholestérolémies familiales [E78.0], 682 Hypercontractilité œsophagienne (nutscracker œsophagus [K22.4]), 423 hypercortisolisme, 761 hyperemesis gravidarum [O21.0], 419 hyperéosinophilies idiopathiques [D72.1], 149 hypergastrinémie, 501 hyperglycémies matinales, 712 hyperhidrose [R61.9], 734 Hyperhydratation [E87.7], 564 hyperinsulinisme [E16.1], 696 Hyperkaliémie [E87.5], 571 Hyperlaxité ligamentaire, 199 Hyperlipémie familiale combinée [E78.2], 683 Hyperlipoprotéinémie (HLP), 681 Hypermagnésémie [E83.4], 573 Hypernatrémie [E87.0], 568 hypernéphrome [C64], 629 Hyperostose, 647 Hyperoxalurie [E74.8], 633 « Hyperparathyreote osteopathie » [E21.1], 626 hyperparathyroïdie primaire (HPTP) [E21.0], 744 hyperparathyroïdie secondaire (HPTs) [E21.1], 746 hyperparathyroïdie tertiaire [E21.2], 747 Hyperphosphaturie [E83.38], 633 hyperpituitarisme [E22.9], 771 Hyperplasie fovéolaire focale, 441 Hyperplasie nodulaire focale (HNF) [K76.8], 548 Hyperréactivité bronchique, 349 Hypersalivation, 915 Hypersplénisme [D73.1], 121 Hypertension artérielle [I10.90], 293 Hypertension artérielle pulmonaire (HTAP), 394 Hypertension de la grossesse [O13], 294 hypertension essentielle avec rénine basse, 756 hypertension intracrânienne, 785 hypertension maligne [I10-10], 296 Hypertension portale [K76.6], 537 Hypertension portopulmonaire, 540 Hypertension pulmonaire (HTP) [I27.28], 394 Hypertension pulmonaire thromboembolique chronique, 812 Hypertension rénovasculaire [I15.00], 306 Hyperthermie, 110 hyperthyroïdie auto-immune [E05.0], 732 hyperthyroïdie [E05.9], 732 hyperthyroïdie factice [E05.4], 732 hyperthyroïdie fruste, 732 hyperthyroïdie induite par l’amiodarone, 732 hyperthyroïdies isolées à T3 [E05.9], 734 hypertrichose [L68.9], 767 Hypertriglycéridémie [E78.1], 681 Hypertriglycéridémie familiale [E78.1], 683 hypertrophie cardiaque, 205 hypertrophie concentrique, 207 Hypertrophie congénitale de l’épithélium pigmentaire de la rétine [H35.8], 479 hypertrophie excentrique, 207 hypertrophie ventriculaire droite, 158 hyperuricémie [E79.0], 677 Hyperuricosurie [E82.9], 633 Hyperventilation, 335 Hypervolémie [E87.7], 562 hypoaldostéronisme [E27.4], 757 Hypoalphalipoprotéinémie familiale [E78.6], 684 Hypocalcémie [E83.58], 574 hypochondre gauche, 120 Hypocitraturie [E82.9], 633 hypocortisolisme, 764 Hypogammaglobulinémie transitoire du nourrisson [D80.7], 61 hypoglycémie, 722 hypoglycémie factice [E16.0], 500, 722 hypogonadisme hypogonadotrope idiopathique (HHI), 773 Hypokaliémie [E87.6], 570 Hypomagnésémie [E83.4], 573 Hypomagnésiurie [E82.9], 633 Hyponatrémie dans l’insuffisance cardiaque, 213 Hyponatrémie de dilution, 213 Hyponatrémie [E87.1], 567 Hyponatrémie par perte de Na+, 213 hypoparathyroïdie [E20.9], 747 hypophosphatémie [E83.30], 583 hypophyse, 769 hypophysite auto-immune [E23.0], 773 hypopituitarisme, 772 Hypoplasie ductale idiopathique, 506 Hypopnée, 331 Hyposensibilisation, 360 Hypotension artérielle, 309 Hypotension artérielle chronique [I95.9], 309 Hypotension orthostatique [I95.1], 309 hypothalamus, 758, 769 Hypothermie, 915 Hypothèse de la mort cellulaire selon Skipper, 105 hypothyroïdie [E03.9], 730 hypoventilation alvéolaire, 327 Hypovolémie [E86], 561 hypoxémie, 327 Hystérésis, 264 I IAA, 696 IABP, 253 IAH, 331 IAO, 167 IAS, 331 Ibritumomab-Tiuxétan, 110 ICF, 559 ICN, 545 ICP, 240 ictère [R17], 505 Ictère cholestatique (occlusif), 506 Ictère dans l’hyperemesis gravidarum [O21.1], 508 Ictère dans l’hypertension de la grossesse et la (pré)-éclampsie, 508 Ictère gravidique idiopathique [O26.6], 508 Ictère idiopathique post-opératoire, 506 Ictère juvénile intermittent, 506 idarubicine, 107 IDE = iron deficient erythropoiesis, 28 IDL, 681 IDO, 331 IEC (inhibiteurs de l’enzyme de conversion), 208, 301 ifosfamide, 106 IgA, 61 IgA anti-endomysium (EMA), 461 IgA anti-gliadine (AGA), 461 IgA anti-tranglutaminase (anti-TG), 461 IgE, 61 IGF-1, 771 IgG, 61 IgM, 61 IGT, 702 iléus biliaire [K56.3], 554 Iléus méconial, 495 iloprost, 397, 779 îlots de Langerhans, 709 ILP = isolate limb perfusion, 110 IM, 159 imatinib, 94, 110 Imidapril, 302 imiglucérase, 118 Imipénem/cilastatine, 891 immun escape, 514 Immunocytome (Maladie de Waldenström [C88.00]), 78 Immunodéficience, 61 Immunodéficience commune ( (IDCV) [D83.9]), 62 immunoglobuline monoclonale, 74 immunoglobulines, 60 immunoproliferative small intestinal disease, 82 immunothérapie adoptive, 91 Immunothérapie spécifique, 360 impaired fasting glucose, 702 impétigo contagieux [L01.0], 150 Implantation de stent, 240 incidentalome des surrénales, 763 Inclusion body myositis, 655 incrétines, 708 indacatérol, 342 index bras-cheville, 778 index d’apnée du sommeil (IAS), 331 index de désaturation en oxygène (IDO), 331 Index de Karnofsky, 112 Index de masse corporelle (BMI), 690, 704 index de précocité, 272 Index de production des réticulocytes (IPR), 23 Index de Schober, 646 index de Sokolow-Lyon pour hypertrophie droite, 158 index de Sokolow pour l’hypertrophie gauche, 165 index de Tiffeneau, 321 Index d’Ott, 646 index G/E, 93 index hallux-bras, 778 index pronostique international (IPI), 71 index TfR-F, 26 INF, 20 infarcissement pulmonaire [I26.9], 811 infarctus cérébral ischémique [I63.9], 781 Infarctus des zones frontières, 783 Infarctus en bout de flux, 783 Infarctus lacunaires, 783 infarctus mésentérique, 787 Infarctus myocardique [I21.9], 244 infarctus myocardique transmural étendu [I30.8], 228 infarctus non systématisé, 783 infarctus rénal [N28.0], 634, 809 infarctus silencieux, 244 infarctus splénique [D73.5], 809 infarctus systématisé, 783 infarctus transmural, 246 INFC, 20 Infection à adénovirus [B34.0], 373 Infection à chlamydia pneumoniae [J16.0], 371 Infection à hémophilus influenza [J14], 369 Infection à mycoplasme [A49.3], 369 Infection asymptomatique, 866 Infection à virus coxsackie, 849 infection à virus coxsackie B [B34.1], 234 Infection par cytomégalovirus [B25.9], 828 Infection par EHEC [A04.3], 832 Infection par herpès simplex [B00.9], 825 Infection par le norovirus [A08.1], 837 Infection par le parvovirus B19 [B08.3], 820 Infection par le virus varicelle, 823 infection par SARM [A49.0], 367 Infection par STEC, 832 Infection par VIH [Z21], 864 Infection par virus Ebstein Barr (EBV) [B27.0], 827 infections à méningocoques [A39.4], 131 infections à SARM, 367 Infections à virus de Hantaan [A98.5], 605 infections mycotiques systémiques [B49], 375 Infections par clostridium difficile [A O4.7], 842 Infections par virus animaliers, 824 Infections urinaires [N39.0], 599 Infections VIH chez l’enfant [Z21], 869 Infiltrat précoce, 401 infiltrat précoce d’Assmann, 401 infiltrat pulmonaire à éosinophiles de Löffler, 57 inflammation de la synoviale [M65.99], 636 Inflammatory bowel disease, 467 infliximab, 22, 470, 642 influenza aviaire = grippe aviaire A/ H5N1, 846 941 Index Influenza (grippe épidémique) [J11.1], 846 influenza like illness, 847 INH, 405 inhalation de gaz irritants, 393 inhibiteur de la protéase alpha, 534 inhibiteur de la tyrosine kinase, 94 Inhibiteur de l’intégrase, 871 Inhibiteur du CCR5, 871 inhibiteur du protéasome, 77 Inhibiteur m-TOR, 631 Inhibiteurs COX-1/2, 643 inhibiteurs CSE, 686 inhibiteurs de la cyclooxygénase, 643 Inhibiteurs de la gyrase, 603 Inhibiteurs de la motilité, 450 inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), 424, 436 inhibiteurs de la sécrétion, 450 Inhibiteurs de la synthèse du cholestérol, 686 inhibiteurs de la télomérase, 54 inhibiteurs de la topoisomérase I, 107 inhibiteurs de la topoisomérase II, 107 Inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), 209 inhibiteurs de l’HMG CoA réductase, 686 inhibiteurs des aromatases, 106 inhibiteurs des neuraminidases, 847 Inhibiteurs des récepteurs des glycoprotéines IIb/IIIa, 808 Inhibiteurs des TNF, 22 Inhibiteurs des b-lactamases, 889 Inhibiteurs directs de thrombine, 125, 805 Inhibiteurs du système de coagulation, 124 inhibiteurs mTOR, 545 Inhibiteurs sélectifs du F.Xa, 805 INNTI, 871 inotrope, 214 Inotropisme, 261 INR : International normalised ratio, 807 instabilité de microsatellites, 480 insuffisance antéhypophysaire [E23.0], 772 Insuffisance cardiaque droite [I50.01], 205 insuffisance cardiaque gauche [I50.19], 205 insuffisance cardiaque (IC) [I50.9], 201 insuffisance coronarienne [I24.8], 231 insuffisance de la crosse [I83.9], 793 Insuffisance hépatique aiguë, 546 Insuffisance pulmonaire [I37.1], 153 Insuffisance rénale aiguë (IRA) [N17.9], 612 Insuffisance rénale chronique [N18.9], 617 Insuffisance respiratoire [J96.9], 326, 345 Insuffisance respiratoire aigüe post-­ transfusionelle, 45, 316 insuffisance respiratoire partielle, 327 insuffisance surrénalienne [E27.4], 764 Insuffisance tricuspidienne [O7.1], 153 Insuffisance valvulaire aortique (IAO) [I35.1], 167 Insuffisance valvulaire mitrale (IM) [I34.0], 159 Insuffisance veineuse chronique (IVC) [I87.2], 794 Insuffisance ventriculaire gauche [I50.19], 248 insulinases, 709 insuline, 709 insuline à action prolongée, 711 insuline à brève durée d’action, 710 insuline aspart, 710 insuline glulisin, 710 insuline humaine, 710 insuline lispro, 710 insuline normale, 710 insuline NPH, 711 insulines intermédiaires, 711 Insulin like Growth Factor 1, 771 Insulinome [D13.7], 500 insulinorésistance, 696 insulite auto-immune [E10.90], 696 interféron, 20 interféron-consensus, 20 Interferon-g-Release-Assay = IGRA, 404 Interleukine, 21 Intestin, 442 INTI, 871 intolérance à la chaleur, 733 intolérance à la glutamine [T78.1], 459 intolérance à l’histamine [T78.1], 459 Intolérance au lactose [E73.9], 462 942 intolérance glucidique franche, 702 intolérances alimentaires, 458 Intoxication alcoolique aiguë (ivresse) [F51.9], 897 intoxication à l’eau [E87.7], 776 Intoxication à l’héroïne [T40.1], 329 intoxication au cyanure, 34 intoxication au paracétamol [T39.1], 546 intoxication au plomb [T56.0], 674 Intoxication aux alkylphosphates [T60.0], 329 intoxication digitalique [T46.0], 215 Intoxications, 915 inversion des oreillettes, 192 Inversion des oreillettes selon Mustard, 192 inversion négative pointue de T, 246 inverted dipper, 298 iodation, 724 iode, 724 iododoxorubicine, 107 IP, 871 IPI, 71 IPMS, 344 IPMZ, 344 IPP, 424, 640 IPR, 23 IPSID [C88.1], 82 IPSZ, 344 IRA, 612 Irbésartan, 302 IRE, 27 irinotécan, 107 iron regulatory proteins, 27 iron responsive elements, 27 IRP-1, 27 IRP-2, 27 Ischémie mésentérique [K55.0], 490 ischémie mésentérique non occlusive [K55.1], 787 ischémie mésentérique occlusive, 787 ISF, 559 Isoamylase pancréatique, 487 isocyanates, 353 isohydrie, 576 Isoniazide, 405 Isosorbide dinitrate, 240 isosthénurie [N19], 617 isotonie, 560 Isoxazolylpénicilline, 890 Isradipine, 303 ITK, 109 itraconazole, 377, 428 IVA, 232, 247 Ivabradine, 240 IVC, 794 IVF, 559 IVIG, 64 IVOX, 331 J Jaunisse [R17], 505 JEP, 581 K Kala-Azar, 883 Kaposi, 868 Kass, 602 Kausch-Whipple, 497 Kell, 45 Kératoconjonctivite herpétique [B00.5], 826 kératoconjonctivite phlycténulaire [H16.2], 400 Kératoconjonctivite sèche, 658 keratoma blenorrhagicum, 648 kétansérine, 305 Kidd, 45 Kissing disease, 827 kissing ulcers [K26.9], 435 KIT, 465 koïlonychie [L60-3], 28 Koplik, 820, 821 Korotkoff, 297 Kt/V, 622 kyste de Baker [M71.2], 637, 798 Kyste hépatique solitaire [K76.8], 551 Kystes cholédociens [G44.4], 552 kystes en éboulis, 670 Kystes multiples dysontogéniques, 551 Kystes rénaux [Q61.3], 631 L LABA, 354, 356 Lacidipine, 303 Lactitol, 545 lactoferrine, 472 lactulose, 452, 544 LAD, 247 LADA, 695 LAI [C95.00], 87 LAL [C91.00], 87 LAM à l’âge adulte [C95.0], 90 Lambliase (giardiase) [A07.1], 845 LAM [C92.00], 87 Lamivudine, 518 LAM peu différencié, 87 langue brillante, 535 langue framboise, 818 Langue rouge lisse brillante, 524 langue typhoïde, 834 Lanotéplase, 251 lanréotide, 499, 500 lansoprazole, 424, 426 LAP, 504 Lapatinib, 110 laryngite postérieure [K21.9/J37.0], 422 laryngotrachéite, 822 Lavage gastrique, 916 Laxatifs, 452 laxatifs de lest, 452 LCAS, 254 LCH, 379 LDH, 246 LDL, 681 LED, 651 Léflunomide, 641 Left ventricular assist system (LVAS), 216 Légionellose [A48.1], 369 Leishmaniose [B55.0], 882 lénalidomide, 77 Lenograstime, 21 LEOC, 556, 634 lépirudine, 125, 805, 806 leptine, 690 Leptospira interrogans, 852 Leptospirose, 852 Lercanidipine, 303 lésions BOOPoïdes, 384 Lésions de Janeway, 145 lésions minimales, 400 Lésions par vibration [T75.2], 790 Lésions rénales d’origine médicamenteuse, 606 létrozole, 106 leucémie à cellules T [C91.5], 87 Leucémie aiguë (LA) [C95.0], 86 leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) [C91.0], 86 leucémie aiguë myéloblastique (LAM) [C92.0], 86 Leucémie lymphoïde chronique (LLC) [C91.10], 79, 86 Leucémie myéloblastique chronique (LMC) [C92.10], 86 Leucémie myéloïde chronique [C92.10] (LMC), 92 leucémie plasmocytaire [C90.10], 76 Leucémies [C95.90], 86 leucémies myéloblastiques, 87 Leucine – aminopeptidase (LAP), 504 Leucocytopoïèse, 20 leucocytose du fumeur, 57 Leucocyturie [R82.8], 587 leucocyturie « aseptique », 602 leucocyturie en cas d’urines stériles [R82.8], 602 Leucoencéphalopathie multifocale progressive [G93.4] (LMP), 868 Leucophérèse, 904 Leucoplasie buccale, 866 leucoplasie chevelue orale [K13.3], 828 leuproréline, 106 Le Veen, 543 Lévofloxacine, 366, 891 lévosimendan, 216 lèvres et langue brillantes, 535 lèvres brillantes, 524 lèvres serrées, 347 LF, 71 lidocaïne, 260 LIFE = Lung Imaging Fluorescence Endoscopy, 389 Index ligands des acides biliaires, 687 ligands du phosphate, 627 ligne d’Ellis-Damoiseau, 415 linagliptine, 709 Linézolide, 367 linite plastique [C16.9], 438 Lipases, 489 LIPID, 254 lipodermatosclérose [I87.2], 794 lipodystrophie, 711 Lipœdème [R60.9], 566 lipoprotéine lipase, 683 lipoprotéines (LP), 681 lipotropine (LPH), 762 Liquide transcellulaire, 559 liraglutide, 709 Lisinopril, 302 listéria monocytogène, 856 Listériose, 856 lithiases des voies biliaires, 552 Lithiases d’oxalate, 635 Lithiases infectées, 635 lithiases rénales de cystine, 610 Lithiases urétérales [N20.1], 635 Lithiases vésiculaires (choléthiase) [K80.2], 552 litholyse systémique, 556 Lithotripsie extracorporelle par ondes de choc, 556, 634 livedo [L95.0], 651 Liver kidney microsome Ac, 525 LKM1, 525 LLC, 80 LMMC I [C92.70], 99 LMMC II, 99 LMWH, 800 LNH à cellules B, 71 LNH à cellules T [C84], 83 lomustine, 106 lone atrial fibrillation [I48.19], 282 long-QT-syndrome, 287 lopéramide, 450, 832 LORA = late onset rheumatoid arthritis, 637 Losartan, 210, 302 Lovastatine, 687 Low CD4-syndrom, 63 Lp (a), 681 LQTS, 287 LSB, 421 L-thyroxine, 724 L-triiodothyronine, 724 luméfantrine, 881 Lupusband, 651 Lupus discoïde [L93.0], 650 Lupus érythémateux cutané (LEC) [L93.0], 651 Lupus érythémateux cutané subaigu [L93.1], 652 Lupus érythémateux discoïde chronique, 651 Lupus érythémateux disséminé (LED) [M32.9], 650, 652 Lupus induit par les médicaments [M32.0], 652 Lupus pernio [D86.3], 410 LVEDP, 143 Lyme, 857 lymphadénite mésentérique [I88.0], 840 Lymphadénose chronique [C91.10], 79 lymphangiectasies [I89.0], 464 lymphangiectasies intestinales [Q89.8], 464 Lymphangiome [D18.19], 817 lymphangiosarcome [C49.9], 817 Lymphangite carcinomateuse [C49.9], 817 lymphangite carcinomateuse des plèvres [C49.9], 414 Lymphangite [I89.1], 816 Lymphaphérèse, 904 Lymphocytes, 60 lymphocytome à borrelia [A69.2], 858 Lymphocytopénie CD4 idiopathique [D84.8], 869 Lymphocytopénie [D72.8], 65 Lymphocytopoïèse, 20 Lymphocytose [D72.8], 64 Lymphœdème [I89.0], 817 lymphogranulomatose, 65 lymphogranulomatosis X, 85 lymphogranuloma venerum [A55], 371 Lymphome à cellules du manteau, 69, 72 Lymphome anaplasique à grandes cellules, 85 Lymphome angio-immunoblastique [C84.4], 85 Lymphome associé au VIH, 74 Lymphome B diffus à grandes cellules [C83.3], 73 Lymphome B médiastinal à grandes cellules, 73 Lymphome centrofolliculaire cutané, 69 Lymphome cutané à cellules T, 83 Lymphome de Burkitt [C83.7], 69, 73, 828 Lymphome de la zone marginale, 72 lymphome de MALT, 70 Lymphome extra-ganglionnaire à cellules NK/T du type nasal, 85 Lymphome folliculaire [C82], 71 Lymphome hodgkinien [C81.9], 65 Lymphome lymphoblastique à précurseurs des lymphocytes T, 85 Lymphome malin de l’intestin grêle, 465 lymphome « méditérranéen », 82 Lymphome non hodgkinien (LNH) [C85.9], 69 Lymphome périphérique à cellules T, 84 Lymphome primitif du système nerveux central (LPSNC), 74 Lymphomes malins, 65 Lymphomes non-hodgkiniens de l’estomac, 441 M Macroamylasémie, 489 Macroangiopathie [I99], 232 Macroblaste, 22 macro CK, 245 Macrocytes, 24 Macroglobulinémie [C88.0], 78 macroglossie [Q38.2], 117 macrolides, 891 maculopathie diabétique [E14.30 + H36.0*], 700 magnésium, 572 main d’accoucheur, 574, 747 mains de mécanicien, 655 Malabsorption des sels biliaires, 455 Malabsorption [K90.9], 455 Maladie aiguë par VIH, 866 maladie alcoolique, 897 Maladie coeliaque [K90.0], 460 Maladie congénitale des podocytes, 595 Maladie coronarienne [I25.9], 231 maladie d’accumulation du cuivre, 533 maladie d’Addison [E27.1], 764 Maladie d’Anderson-Fabry, 119 maladie de 1, 2 ou 3 vaisseaux, 232 maladie de Bang [A23.1], 853 maladie de Basedow, 732, 736 Maladie de Bechterew (SPA) [M45.09], 646 Maladie de Behcet [M35.2], 638, 664 maladie de Berger, 591 Maladie de Besnier - Boeck - Schaumann, 410 maladie de Biermer [D51.0], 32 maladie de Binswanger [I.67.3], 782 maladie de Bornholm [B33], 234, 849 maladie de Byler, 506 Maladie de Castleman, 411 maladie de Chagas [B57.2], 228 maladie de Crohn [K50.9], 467 Maladie de Crohn et gastrite, 431 maladie de Cushing, 761 maladie de Duncan [D82.3], 63, 828 Maladie de Fabry [E75.2], 119 maladie de Forestier [M48.19], 647 Maladie de Gaucher [E75.2], 118 maladie dégénérative des articulations, 670 maladie de Gilbert [E80.4], 506 maladie de Günther [E80.0], 674 Maladie de Kahler, 74 maladie de Kimmelstiel-Wilson [E14.2], 698 maladie de Koch, 398 maladie de la femme sans pouls, 667 maladie de Lenègre, 274, 276 maladie de Lev [I44.2], 274, 276 Maladie de l’hôte contre le greffon (GVHD = graft versus host disease [T86.09]), 91 Maladie de Lyme, 857 Maladie de Möller-Barlow [E54], 139 maladie de Mönckeberg, 297 Maladie de Mondor, 795 maladie de Paget [M88.99], 753 maladie de Rendu - Osler - Weber [I78.0], 139 maladie de Roger [Q21.0], 179 maladie des chaînes alpha [C88.30], 82 maladie de Simmonds [E23.0], 772 maladie des inclusions cytomégaliques [B25.9], 829 maladie de Still [M08.29], 637, 644 Maladie de Uhl [Q24.8], 225 maladie de Von-Hippel-Lindau [Q85.8], 629, 631 maladie de Weil [A27.0], 852 Maladie de Werlhof, 134, 137 Maladie de Whipple [K90.8], 462 Maladie de Wilson [E83.0], 533 maladie de Winiwarter-Buerger [I73.1], 795, 781 Maladie d’Ormon, 669 maladie du baiser [B27.9], 827 maladie du « lèche vitrine », 777 Maladie du légionnaire [A48.1], 370 Maladie du nœud sinusal [I49.5], 276 maladie du perroquet, 371 Maladie hémolytique du nouveau-né [P55.9], 46 Maladie inflammatoire chronique de l’intestin, 467 Maladie lymphoproliférative liée à l’X (XLP), 63 maladie oblitérative des vaisseaux pulmonaires [I27.8], 179 Maladie pulmonaire due aux systèmes de conditionnement et d’humidification de l’air, 383 Maladies alcooliques du foie [K70.0], 528 Maladies allergiques streptococciques secondaires, 150 Maladies cardiaques électriques primaires, 287 Maladies de l’endocarde, 144 maladies de l’œsophage, 418 Maladies des globules rouges, 22 Maladies des mains-pieds-bouche [B08.4], 849 maladies des vaisseaux lymphatiques, 816 maladies du métabolisme, 673 Maladies hypertensives de la grossesse, 294 maladies infectieuses, 818 maladies infectieuses exanthématiques, 818 Maladies lymphoprolifératives post transplantation, 625, 828 Maladies myéloprolifératives chroniques, 95 Maladies polykystiques rénales [Q61.9], 632 Maladies pulmonaires chroniques obstructives (BPCO) [J44.99], 339 Maladies pulmonaires interstitielles et fibroses pulmonaires [J84.9], 378 Maladies rénales avec paraprotéinémie, 609 Maladies rénales tubulo-interstitielles, 606 Maladies rénales tubulo-interstitielles aiguës [N15.9], 606 maladies sexuellement transmissibles, 862 Maladies transmises par les tiques, 857 Maladie ulcéreuse, 434 maladie variqueuse de la grande veine saphène [I83.9], 793 Maladie variqueuse [I83.9], 791 maladie veino-occlusive, 91 Malaria [B54], 876 Malaria tropicale, 877 Maldigestion [K30], 455 mal du mouvement [T75.3], 420 mal du voyage, 420 malformation du tube neural [Q05.9], 32 mal perforant [L97], 701 MALT, 72 MALTOME [C88.30], 432 Manidipine, 303 Manœuvre d’Adson, 802 manœuvre de Jendrassik, 312 manœuvre de Phalen, 637 Manœuvre de Valsalva, 278 Maraviroc, 871 marche en canard, 626 Marfan, 170, 199 MARS, 545 Marsch, 461 943 Index massage carotidien, 277 mastocytose [Q82.2], 499 MAT, 136 Mauvaise haleine [R19.6], 417 M. avium, 407 Mc Burney, 490 MCTD, 659 MCV, 900 MDR, 398, 406 Mébendazole, 844, 845 médecine basée sur les preuves, 18 Médecine palliative et traitement de la douleur, 112 médiasclérose de Mönckeberg [I70.20], 297, 778 Médicaments stimulant la thrombopoïèse, 137 Méfloquine, 880 Mégacôlon toxique [K59.3], 471 mégaloblastes, 33 Mégalocytes, 24 mégaœsophage, 421 mélamine, 608 mélanges d’insulines, 711 melanocyt stimulating hormon, 764 mélanose colique [K63.8], 452 Méléna [K92.1], 444 Melphalan, 106 membran attacking complex, 55 MEN 1, 502 MEN 2, 502 Méningisme, 859 Méningite bactérienne [G03.9], 859 Méningite leucémique [C79.3], 89 méningite tuberculeuse [A17.0 + G01], 401 Méningoencéphalite transmise par les tiques (TBE : tick born encephalitis) [A84.1], 858 Méningoencéphalite transmise par les tiques (TBE Tick born encephalitis) [A84.1], 857 Méningoradiculite lymphocytaire de Bannwarth [A69.2], 858 ménopause, 749 6-Mercaptopurine, 107 Méropénem, 891 Mérozoïtes, 876 Mésalazine, 473 mesna, 106, 108 mésothéliome [C45.9], 382 mesure de la tension artérielle, 296 Mesure du CO, 326 Mesure transcutanée de pO2, 779 metabolic bone disease, 583 métabolisme de la vitamine D et fonction parathyroïdienne, 743 Métabolisme du fer, 25 metalloprotéase, 136 métaplasie intestinale, 431 Métastases hépatiques [C78.7], 550 Météorisme [R14], 453 metformine, 706 Met-Hb, 186 Methémoglobinémie [D74.9], 186 méthionine, 604 méthode BACTEC, 403 Méthode des clearances, 588 Méthotrexate, 107, 641 methylnaltrexon, 113 méthylprednisolone, 759 méthylxanthine, 357 Métoprolol, 262 Métronidazole, 470, 845 métyrapone, 762 Meulengracht, 506 Mezlocilline, 890 MFIc, 95 MGP, 628 MHC (major histocompatibility complex), 53 123MIBG, 308 Micafungine, 377 microalbuminurie, 584 microangiopathie diabétique [E14.5], 698 Microangiopathie (small vessel disease) [I99], 232 microangiopathie spécifique du diabète, 698 Microangiopathie thrombotique (MAT) [M31.1], 136 Microcytes, 24 microstomie [Q18.5], 656 microvoltage, 229 Mictalgie [R30.0], 584 944 MIDCAB (Minimal invasive direct coronary artery bypass), 242 Midodrine, 310 miglitol, 706 Migraine [G43], 114 Miliaire tuberculeuse [A19.9], 401 mimétiques de l’incrétine, 709 minéralocorticoïdes, 310, 757 mineurs de charbon, 339 minimal change-GN, 598 minimal residual disease, 71, 90 Minoxidil, 304 MIRL = membrane inhibitor of reactive hemolysis, 42 MIRU-VNTR, 403 Miserere, 419, 490 mitomycine, 107 Mitoxantrone, 107 mixed connective tissue disease, 659 M. kansasii, 407 M. marinum, 407 MNT, 407 Mobbing [Z56], 895 Mobitz, 273 Modèle de progression tumorale, 481 Modèle en compartiments de la croissance d’une tumeur, 104 MODS = multiple organs dysfunction syndrom, 315 modulation de la fonction thyroïdienne, 724 Modulation du nœud A/V, 266 MODY [E11.90], 695 Moéxipril, 302 MOFS = multiple organs failure syndrom, 315 moisissures, 353 molecular absorbent recirculating system, 545 Molsidomine, 240 Mononitrate d’isosorbide, 240 Mononucléose infectieuse, 827 monoxyde d’azote, 350 monoxyde de carbone, 915 Montélukast, 358 morphine, 113 mort cérébrale [R99], 217 mort subite (sudden cardiac death-SCD) [I46.1], 273, 291 morula, 857 MOTT, 407 moucheron de sable, 882 Mouchetures de Schüffner, 878 Moustique de type Culex, 877 Moustique de type Anophèle, 877 Moxifloxacine, 366, 891 Moxonidine, 304 MPC, 640 MPT, 77 MPV, 77 MRSA, 362 M. scrofulaceum, 407 MST, 862 mTOR, 110 MTX, 107, 641 mucilages, 452 mucolytiques, 338 Mucoviscidose [E84.6], 495 multi drug resistance, 406 muqueuse en « papier crêpe », 427 Mustard, 192 Mutant HBe –, 514 Mutation G 20210 A, 797 mutations JAK2, 95 MVC, 871 Myasthénie [G70.0], 656 mycobactéries, 407 Mycobactériose non tuberculeuse [A31.9], 407 Mycoplasma genitalium, 604 Mycoplasma pneumoniae, 369 Mycosis fungoïde (MF) [C84.0], 84 Mydriase, 915 myélinolyse centropontine [G37.2], 776, 899 Myélofibrose idiopathique, 98 Myélome à chaîne légère, 75 myélome de Bence-Jones [C90.0], 75 Myélome multiple (MM) [C90.0], 74 myélome non-sécrétant, 75 Myélopoïèse, 20 myélopoïèse extramédullaire [D75.8], 56 Myélose chronique, 92 myélose funiculaire, 32, 34 myocarde hibernant, 237 myocardites [I51.4], 225 Myoglobinurie [R82.8], 586 Myopathie alcoolique [G72.1], 899 myopathie stéroïdienne, 655 myopathie stéroïdienne [G72.0], 760 Myosis, 915 Myosite à inclusions [G72.4], 655 myosite nécrosante, 315 Myotomie du sphincter gastro-œsophagien, 421 myxœdème [E03.9], 731 myxœdème prétibial [R60.0], 733, 737 myxome cardiaque, 255 Myxovirus influenzae, 846 N Nadroparine, 800, 805 NAFLD, 527 naftidrofuryl, 779 naloxone, 329 nanisme hypophysaire, 773 NAPAP, 607 naratriptan, 115 Narcolepsie [G47.4], 333 natéglinide, 708 nausées et vomissements chez les patients cancéreux, 108 NDA, 700 Nebivolol, 262 nécrobiose lipoïdique [L92.1], 698 Nécrose cutanée induite par la coumarine, 806 nécrose en morsure de rat, 656 Nécrose papillaire [N17.2], 607 Neisseria gonorrhoeae, 863 Neisseria meningitidis, 859 néoplasie intra-épithéliale, 471 Néoplasies endocrines multiples (MEN) [D44.8], 502, 740 Néoplasmes associés à EBV, 828 néoplasmes thyroïdiens [C73], 739 néphrite de guerre, 605 néphrite glomérulaire (Löhlein) [I33.0 + N08.0], 145 néphrite lupique [M32.1 + N08.5*], 653 néphrite tubulo-interstitielle, 606 néphroangiosclérose maligne [I12.906], 296 Néphroblastome [C64], 631 néphrolithiases, 633 néphrolithopalaxie, 634 Néphrolithotomie, 634 néphrologie, 584 Néphronophtise, 632 Néphropathie à IgA (Maladie de Berger) [N02.8], 591 Néphropathie aux analgésiques [N14], 607 Néphropathie aux produits de contraste [N14.2], 612, 614 Néphropathie avec perte de sel, 610 Néphropathie chronique sclérosante / du greffon [T86.11], 625 néphropathie diabétique (ND) [E14.20 + N08.3*], 698, 715 Néphropathie endémique des Balkans [N15.0], 608 néphropathie épidémique [A98.5 + N08.8*], 605 Néphropathie hypertensive [I12.90], 296 Néphropathie hypokaliémique, 570 Néphropathie liée aux herbes chinoises [N15.8], 608 Néphropathie pigmentaire, 614 Néphropathies de la grossesse [O26.81], 608 néphropathie sur acide urique, 111 Néphropathie tubulo-interstitielle, 609 Néphropathie uratique [M10.99 + N29.8], 678 NERD, 421 nésidioblastose, 722 neuroendocrinome [D44.9], 498 neuropathie diabétique [E14.40], 700 neuropathie diabétique autonome (NDA) [E14.40 + G99.O*], 309, 700 neurosyphilis [A52.3], 863 Neutropénie [D70.7], 58 Neutropénie cyclique [D70.5], 58, 888 Névralgies postzostériennes [B02.2], 823 Index Névrose cardiaque [F45.3], 255 New York, 605 New York Heart Association, 153 Nicardipine, 303 nickel, 386 Niclosamide, 844, 845 Nifédipine, 303 nifurtimox, 228 nilotinib, 94, 110, 465 nilutamide, 106 Nilvadipine, 303 NIPPV, 348 Nisoldipine, 303 Nitrendipine, 303 nitroglycérine, 210, 239 Nitroprussiate de sodium, 306 NK, 20 NOD2, 467 nodules chauds [R94.6], 727 nodules de Bouchard [M15.2], 639 nodules d’Heberden [M15.1], 639 Nodules d’Osler [I33.0], 145 nodules froids [R94.6], 727 nodules hyper-chauds [R94.6], 727 nodules rhumatoïdes [M06.30], 637 Nodules sous-cutanés rhumatoïdes [M06.39], 151 nodules thyroïdiens [E04.1], 726 nœud d’Aschoff [E14.9], 151 non-dipper, 298 non small cell lung cancer, 387 non-ulcer-dyspepsie, 432 Noonan, 170 norfénéfrine, 310 norfloxacine, 603, 891 Normoblaste, 22 Normocytes, 24 Norovirus, 830, 837 Norwalk-like-virus, 830, 837 n. PA = Lanotéplase, 125, 251 NSCLC [C34.9], 387 NSIP, 378 NSTEMI [I21.4], 233, 245, 246, 247 NTX, 624 nuque de bison, 761 NVD (neovascularisation disk), 700 NVE (neovascularisation elsewhere), 700 NVP, 871 Nystagmus, 915 O obésité [E66.99], 690 obésité tronculaire [E66.99], 761 Obstacle mécanique à l’écoulement de l’urine [R33], 615 Occlusion aiguë de l’artère mésentérique [K55.0], 787 Occlusion artérielle aiguë aux extrémités, 810 Occlusion du cystique [K82.0], 554 OCC VD, 187 octréotide, 499, 500, 541, 772 Odeur d’acétone, 915 odynophagie [R13.9], 418, 423 œdème angioneurotique, 566 Œdème de Quincke, 566 Œdème pulmonaire d’altitude, 392 Œdème pulmonaire [J81], 392 Œdème pulmonaire toxique, 915 Œdèmes artificiels, 566 Œdèmes cycliques, 566 Œdèmes idiopathiques, 566 Œdèmes induits par les médicaments, 566 Œdèmes [R60.9], 566 Œsophage, 418 œsophage de Barrett [K22.1], 421 Œsophagite [K20], 427 œsophagite à éosinophiles [K20], 427 œsophagite de reflux [K21.9], 421 œsophagite mycotique [B37.8], 427 œstrogènes, 753 ofatumumab, 82 ofloxacine, 603, 891 1,25- (OH)2-vitamine D, 627 Oligurie [R34], 584, 612 Oligurie fonctionnelle [R34], 615 Olmésartan, 302 olsalazine, 473 omacétaxine, 94 Omalizumab, 358 ombres nucléaires de Gumprecht, 80 Oméprazole, 424, 426 OMF, 98 ondansétron, 111, 420 Onde de fusion, 569 onde delta, 279 onde de reflux, 271 onde Epsilon, 224 onde P dextroatriale, 395 Onde P pulmonaire, 395 onde Q de Pardee, 246 Ongles blancs, 524 ongles en verre de montre, 185, 328 OPCAB, 242 open negative syndrome, 401 Opération de Fontan, 197 opération de Maze, 267, 284 opération de Pouch, 474 Opération de Rastelli, 192 Opération de Ross, 154 opération de Roux, 440 Opération de switch artériel, 192, 193 ophtalmopathie endocrinienne, 736 opiacés, 113 OPSI (Overwhelming Postsplenectomy Infection), 121 oral allergy syndrome [K52.2], 458 orbitopathie endocrinienne (OE) [E05.0 + H06.2*], 736 orciprénaline, 259 oreillons, 850 organic dust toxic syndrome (ODTS) [J67.0], 384 Orlistat, 692 Ornithose [A70], 371 orteils en caisse, 817 os chauve, 670 Oséltamivir, 847 osmolalité, 559 osmolarité, 559 ostéo-arthropathie diabétique-neuropathique (OADNP) [E14.60 + M14.6*], 701 Ostéoarthropathie hypertrophiante de Pierre-Marie-Bamberger, 197 ostéoarthropathie hypertrophiante [M89.49], 185 ostéocalcine, 751 ostéodensitométrie (mesure de la densité osseuse), 750 osteodystrophia cystica generalisata de Recklinghausen, 744 Ostéodystrophie rénale, 626 ostéomalacie [M83.9], 748 Ostéomyélofibrose [D75.8], 98 ostéomyélosclérose, 98 Ostéopathie high-turnover, 626 Ostéopathie rénale [N25.0], 626 ostéopénie [M81.99], 750 ostéoporose [M81.99], 749 Ostitis multiplex cystoides [D86.8], 411 ostititis deformans, 753 overwhelming postsplenectomy infection, 38 oxacilline, 890 oxaliplatine, 106 Oxazaphosporine, 106 Oxprénolol, 262 Oxygénateur intravasculaire, 331 Oxygénothérapie, 396 oxyure, 844 Oxyurose (entérobiase) [B80], 844 P PA, 503 Pacer Cardioverter Defibrillator, 265 paclitaxel, 107 PAF atténuée, 479 Paget, 753 PAH, 588 palonosétron, 111 Paludisme, 876 PAM, 662 pamidronate, 78, 575 Panartérite noueuse classique (cPan) [M30.0], 664 pANCA, 662 Pancréas, 487 Pancréatite aiguë [K85.90], 487 Pancréatite auto-immune (PAI), 493 Pancréatite chronique [K86.1], 492 pancytopénie, 121 Panencéphalite sclérosante subaiguë [A81.1], 822 Panitumumab, 110, 485 PAN microscopique [M30.0], 594 pannus, 636 pantoprazole, 424, 426 Panzerherz, 230 PAP, 489 Papillomatose biliaire intrahépatique [D37.6], 548 papillomatosis cutis, 817 papillomavirus humain (PVH), 486 Papillotomie, 556 PAPm, 394 papules de Gottron [L94.4], 655 Paracentèse, 543 Paradoxe français, 900 paragranulome nodulaire, 65 paralysie progressive [A52.1], 863 Paramyxovirus, 821 Paramyxovirus parotidis, 850 paraprotéines, 75 Pararythmies (rythmes doubles), 292 Parasites hépatiques, 554 Parasites intestinaux, 844 Parasympathicolytiques (Vagolytiques), 259, 357 Parasystolie [I49.8], 269, 292 parathormone (PTH), 742 parathormone recombiante, 753 parathyroïde, 742 Paratyphus [A01.4], 834 paricalcitol, 627 parosmie, 417 Parotidite épidémique, 850 particule de Dane, 514 Parvovirus B19, 820 PAS, 100 pathergie, 664 patient valvulaire opéré, 154 pause extrasystolique compensatoire, 271 pause non compensatoire, 271 pause préautomatique, 274 pauvreté, 903 PBG, 675 PBSCT, 52, 90 Pca, 125 PCA : portocaval anastomosis, 542 PCD, 265 PCNSL, 74 PCT, 676 PCWP, 143 PDGF, 110 peak bone mass, 750 Peak flow meter, 322 peau de parchemin, 760 Pectoriloquie, 364 pectus excavatum, 199 pédographie, 700 PEEP, 252, 393 PEF : Peak expiratory flow, 322 pegfilgrastime, 21 PEG-INF, 20 pegvisomant, 772 Peliosis hepatis, 551 pelvic inflammatory disease [N73.9], 605, 864 Pémétrexed, 107 Penbutolol, 262 pénicilline, 890 Pénicilline V, 152 pénombre, 784 pentamidine, 374 pentostatine, 107 peptide atrial natriurétique, 561 peptide C, 709 peptide natriurétique de type C, 561 peptides natriurétiques, 204 Péramivir, 848 percent fractional shortening, 206 Percussion cardiaque, 140 percutaneous-transhepatic-cholangiography, 555 perfusion hyperthermique isolée, 110 Péricardite chronique constrictive [I31.1], 230 péricardite urémique [N18.89 + I32.8], 619 Péricardites aiguës [I30.9], 228 Périhépatite fibrinaire, 554 périmyocardites [I31.9], 228 Périndopril, 302 periodic fever, 116 945 Index périodicité de Wenckebach [I44.1], 273 Péritonite bactérienne spontanée, 540 perlèche [K13.0], 28 perte de conscience, 719 Perte de poids, 694 Perte de sang [R.58], 443 perte de sel [E87.1], 766 Perte rénale de potassium, 610 pertes insensibles, 560, 885 pertussis, 848 Pétéchies [R23.3], 122 PFC, 132 phase de latence, 866 phase vulnérable de l’onde T, 272 phénacétine, 607 phénomène d’Argyll-Robertson, 863 phénomène d’Ashman, 282 phénomène de « check-valve », 322 phénomène de « door stop », 379 phénomène de « macaroni », 667 phénomène de pathergie, 664 Phénomène de R sur T, 272 Phénomène du diaphragme en iris, 777 phénomène du sapin, 750 phénomène généralisé de Sanarelli-Shwarztman, 131 Phénomènes pulsatoires, 167 phénomène tricolore, 790 phénoxybenzamine, 308 Phénoxyméthyl-pénicilline, 890 Phenprocoumone, 806 phénylalkylamine, 263, 303 Phéochromocytome [D35.0], 307 Phlebitis migrans [I82.1], 781 phlebitis saltans, 781 phlébœdème, 566 Phlébothrombose, 796 phlébotome, 882 Phlegmasia coerulea dolens [I80.2], 802 phobie cardiaque [F45.2], 255 Phosphatases alcalines (PA), 503 phosphatases alcalines leucocytaires, 93 phosphate, 742 Photophérèse, 84 photothérapie, 46 pH sanguin, 576 phtisie, 398 pH urinaire, 584 Pica [F50.8], 28 PICP, 751 PID [N73.9], 605, 864 pied diabétique, 701, 714 PII, 378 Pindolol, 262 pink puffer [J43.9], 345 PINP, 751 pin-point-lesions, 468 pioglitazone, 706 Pipéracilline, 890 Pirétanide, 211 Piringer-Kuchinka [B58.8], 855 Plaintes cardiaques fonctionnelles [F45.30], 255 Plaques de Hollenhorst [H34.2], 809 Plaques pleurales [J92.9], 382 plaquettes géantes, 134 Plasma frais congelé (PFC), 132, 316 plasmocytome, 74 plasmodium knowlesi, 877 plasmodiums, 876 platine, 106 pléthysmographie, 323 Pleurésie [R09.1], 414 pleurésie asbesteuse, 382 Pleurésie tuberculeuse [A16.5], 400 Pleurodèse, 416 Pleurodynie [R07.3], 234, 849 pleuropathies causées par les fibres d’asbeste, 381 Pleuropneumopathies, 381 plexus d’Auerbach, 420 P mitral, 158 Pneu, 413 pneumatose intestinale kystique [K63.8], 454 pneumoconiose des mineurs, 380 Pneumoconioses, 380 pneumocoque, 341 pneumocystis jiroveci, 374 Pneumologie, 318 Pneumonie à éosinophiles aiguë idiopathique, 364 946 Pneumonie à légionella (maladie du légionnaire) [A48.1], 370 Pneumonie à pneumocoques [J13], 368 Pneumonie à pneumocystis (PPC) [B59], 374 pneumonie caséeuse, 398 Pneumonie charbonneuse [A22.1], 372 pneumonie classique, 363 pneumonie de Hamman, 379 pneumonie d’hypersensibilité, 408 pneumonie Friedländer, 362 Pneumonie grippale, 847 Pneumonie interstitielle, 364 Pneumonie lipoïde [J69.1], 375 Pneumonie lobaire [J18.1], 362 Pneumonie lobulaire [J18.0], 363 Pneumonie lymphoïde interstitielle [B22.1], 869 Pneumonie d’inhalation [J69.0], 375 Pneumonie par pneumocystis jiroveci (PPc) [B59], 867 pneumonie radique, 378 Pneumonie rougéoleuse [B05.2], 821 Pneumonies [J18.9], 361 Pneumonies aiguës interstitielles [J84.9], 363 pneumonies atypiques, 363 Pneumonies nosocomiales, 361 Pneumopathie sur poussière de quartz [J62.8], 380 Pneumothorax [J93.9], 413 Pneu sous tension [J93.0], 413 Pneu spontané [J93.1], 413 Pneu traumatique [S27.0], 413 podagre [M10.97], 678 poids normal, 704 Poïkilocytose [R71], 24, 28 point J, 235 poison de la métaphase, 106 Pollakiurie [R35], 584 Pollen, 458 pollinoses, 353 Polyangéite microscopique (PAM) [M30.0], 662 Polyarthrite, 637 Polyarthrite aiguë migrante [M06.99], 150 Polyarthrite chronique évolutive, 636 Polyarthrite rhumatoïde du sujet âgé [M06.99], 637 Polyarthrite rhumatoïde (PR) [M06.99], 636 Polyarthrose érosive des articulations des doigts [M15.9], 639 Polycystic breakpoint gene, 632 Polycythaemia vera (PV), 95 polydipsie [R63.1], 775 Polyglobulie [D45], 96 Polyglobulie primitive [D45], 95 Polygone de Willis, 781 polymorphisme G/A-22018, 462 polymorphisme C/T-13910, 462 Polymyalgia rheumatica (pseudopolyarthrite rhizomélique) [M35.3], 665 Polymyosite [M33.2], 655 polyneuropathie, 700 polyneuropathie amyloïde familiale, PAF, [E85.1], 116, 117 Polyneuropathie diabétique, 715 polyneuropathie proximale diabétique [E14.40 + G63.2*], 700 Polypes du côlon [K63.5], 478 Polypes juvéniles familiaux [D12.6], 479 polypes vésiculaires, 557 Polypose adénomateuse familiale (PAF) [D12.6], 478 Polypose associée au MUTYH (PAM), 479 Polyurie [R35], 584, 775 Ponction pleurale, 416 Ponctuation basophile des globules rouges, 23 pontage aortocoronarien, 241 pontage coronarien, 241 pontage en Y aortobifémoral, 780 Pontage par artère mammaire, 242 Pontage par l’artère radiale, 242 Pontages veineux [Z95.1], 242 ponts myocardiques, 232 pop-corn, 65 Porphobilinogène (PBG), 673 Porphyria variegata [E80.2], 674 Porphyrie aiguë intermittente (PAI) [E80.2], 674 Porphyrie cutanée tardive [E80.1], 673, 676 porphyrie de Doss, 674 porphyries [E80.2], 673 Porphyries hépatiques aiguës (PHA) [E80.2], 674 porteurs Ag HBs, 519 posaconazole, 377 Position accroupie, 188 position de Quincke, 336 posttransplant lymphoproliferative disease, 625 potassium, 569 pouchitis, 474 pouls, 140 Pouls capillaire visible, 167 pouls en « marteau » à eau, 167 pouls paradoxal, 229, 350 pouls rapide et ample, 167 Poumon de choc [J80], 313, 614 Poumon de fermier [J.67.0], 383 Poumon de laboratoire, 383 Poumon des champignonistes [J67.5], 383 poumon de surcharge [J81], 393 Poumon du sauna, 383 Poumon du travailleur chimique, 383 poumon « hot-tube », 408 Poumons de nettoyeurs de fromage [J67.8], 383 Poumons de résine d’époxide, 383 Poumons des commerçants animaliers, 383 Poumons des oiseleurs/oiseliers [J67.2], 383 Poussière de maison, 353, 359 poussières, 380 pouvoir maximal de concentration des reins, 617 POX, 87 PPC, 374 PR3-ANCA, 662 Prasugrel, 808 Pravastatine, 687 Praziquantel, 844, 845 prazosine, 308 prednisolone, 759 prednisone, 759 prédominance droite, 232 prédominance gauche, 232 Prééclampsie [O14.9], 294, 508, 608 presbyphagie, 418 pression oncotique, 560 pression osmotique, 559 pression pulsée, 293 pression veineuse centrale, 313 Prilates, 301 primaquine, 879, 880 probénécide, 680 procalcitonine, 314, 363 PROCAM = Prospektive cardiovascular Münster Study, 684 procarbazine, 107 proctocolectomie, 474 Prodrome, 821 produit calcium – phosphate, 626 Proérythroblaste, 22 Proérythrocyte, 22 proguanil, 881 proinsuline, 709 prolactine, 770 Prolactin Inhibiting Factor (PIF), 770 prolactinome [D35.2], 770 Prolapsus valvulaire mitral [I34.1] (PVM), 162 Prometheus, 545 propafénone, 260 propeptide procollagène, 751 prophylaxie anti-D, 46 prophylaxie de l’endocardite [Z29.2], 147, 148 Prophylaxie des thromboembolies, 803 Prophylaxie des thromboembolies dans la fibrillation auriculaire, 285 propicilline, 152 Propranolol, 262 propylthiouracile, 735 prostacycline, 123, 396 Prostaglandine, 781 Prostanoïde, 396, 779 protamine, 125, 803 protéase de clivage du facteur de Von-Willebrand, 136 protection des hanches, 752 protein-losing enteropathy (PLE), 198, 464 Index protéine CFTR, 495 Protéine C réactive (CRP), 929 protéine de Tamm-Horsfall, 585 protéines C et S, 125 Protéinurie [R80], 584 protéinurie orthostatique [N39.2], 584 Prothèses valvulaires, 154 Prothèses valvulaires biologiques, 154 protocole modifié de Bonn-Malmö, 129 Protoporphyrie érythropoïétique (PPE) [E80.0], 674 prurit [L29.9], 80, 526 PSCT, 64 pseudo-cellules de Gaucher, 93 Pseudocroup [J38.5], 851 pseudo-Cushing, 762 Pseudo-Cyanose, 186 pseudodiverticules, 426 pseudogoutte [M11.29], 678 pseudogynécomastie [E65], 769 pseudohermaphrodisme féminin [Q56.2], 766 pseudohyperaldostéronisme, 570 pseudohypoaldostéronisme [N25.8], 757 pseudohyponatrémie [E87.1], 568 pseudohypoparathyroïdie [E20.1], 747 Pseudoictère, 505 pseudokyste du pancréas [K86.3], 488 pseudokystes, 494 Pseudokystes pancréatiques [K86.3], 493 Pseudo-infarctus, 222 Pseudopéritonite, 491 pseudopolyarthrite rhizomélique, 665 pseudopolyglobulie, 96 pseudopolypes, 470 pseudopuberté précoce [E25.8], 766 Pseudosyndrome de Bartter [E26.8], 612 Pseudothrombocytopénies, 134 Psittacose, 371 PTC, 555 PTCA, 240 PTH intacte, 742 PTI, 134 PTLD, 625, 828 PTT, 136 puffy hands, 656 pulmonary capillary wedge pressure, 143 pulsless disease [M31.4], 667 pulsoxymètre, 325 pure red cell aplasia = PRCA [D60.9], 53 pure white cell aplasia, 53 purines, 679 purpura [D69.2], 122 Purpura d’Henoch-Schoenlein [D69.0], 139, 663 Purpura fulminans [D65.9], 131 purpura post-transfusionnel (PPT), 134 Purpura sénile [D69.2], 139 Purpura simplex héréditaire [D69.2], 139 Purpura thrombocytopénique idiopathique chronique [D69.3], 134 Purpura thrombocytopénique idiopathique PTI [D69.3], 137 purpura thrombocytopénique thrombotique, 136 Purpura vasculaire [D69.0], 139 Puumula, 605 PV, 95 PVC, 313 PVM, 162 PVR = pulmonary vascular resistance, 394 pyélonéphrite [N12], 599, 600 pyonéphrose [N15.10], 602 Pyrantel, 844, 845 Pyrazinamide, 405 Pyrethrum pneumonitis, 383 pyridinium crosslinks, 751 Pyrosis [R12], 422 pyurie [N39.0], 587 PZA, 405 Q QAR, 756 Q pathologique, 246 QP/QS, 179 quantitative buffy coat, 878 Quartz, 386 querry fever, 372 Quick, 124, 807 quinagolide, 771 Quinapril, 302 Quincke, 167 quinidine, 260 Quinine, 879, 881 quinolones, 603 quinupristine, 367 Quotient alostérone/rénine, 756 quotient de De Ritis, 504 R RAA, 150 RABA, 354, 356 rabéprazole, 424, 426 raccourcissement du QT [R94.3], 575 racécadotril, 450 rachitisme [E55.0], 748 radioimmunothérapie, 109 radioiode, 735, 741 Radiosynoviorthèse, 644 Raideur matinale, 640 RAL, 871 Râles, 364 raloxifène, 752 Raltégravir, 871 Ramipril, 302 ranitidine, 316 Ranolazine, 240 rapport aldostérone/rénine, 756 rapport cardiothoracique (RCT), 207 Rasburicase, 109, 680 RAST, 459 Rastelli, 193 RAST = Radio-Allergo-Sorbent-Test, 353 Rate, 120 rate lardonnée, 115 Ray-Absorptiometrie, 750 Raynaud, 790 RB-ILD, 378 R-CHOP, 72 RCyC, 94 RDW, 29 réactif aldéhyde d’Ehrlich, 675 réaction d’Eisenmenger, 179 réaction de Paul-Bunnel, 828 réaction d’Herxheimer, 863 Réaction péroxydase, 87 Réaction pseudoallergique, 349 Réactions hémolytiques transfusionnelles [T80.3], 45 Réactions leucémoïdes [D72.8], 93 Réanimation cardio-pulmonaire (RCP), 290 réarrangement du gène bcr, 92 reassortiment, 846 récepteur de la transferrine, 26 récepteurs d’imidazole, 303 récepteur sensible au calcium, 628 récepteur soluble de la transferrine, 26 Reconstruction valvulaire mitrale, 161 recrutement, 105 Recto-colite ulcéro-hémorragique [K51.9], 470 Rectorragie, 444 red color sign, 446, 541 Rééducation, 913 rééducation gériatrique, 914 Réflexe alvéolocapillaire, 325 réflexe cardia-cardiaque, 422 réflexe de Euler-Liljestrand, 327 réflexe gastro-colique, 452 Réflexe Gauer-Henry, 561 Reflux gastro-œsophagien pathologique [K21.9], 421 reflux laryngo-pharyngien, 422 Reflux vésico-urétéro-rénal (RVU) [N13.7], 600 refroidissements [JOO], 337, 847 Régime à oligopeptides, 581 Régime d’astronaute, 581 Régime d’éviction, 459 Régime élémentaire, 581 régime pauvre en protéines, 620 Régime pauvre en purines, 679 Régime pauvre en sel, 299 Régime riche en fibres, 452 Régime sans gluten, 461 Régimes hypocaloriques, 691 Région veineuse, 794 régulation de la calcémie, 744 régulation osmolaire et volémique, 561 Rein de stase [N13.3], 205 Rein myélomateux (cast nephropathy), 609 Reins en éponge [Q61.5], 632 reins kystiques [Q61.9], 631 relief nodulaire de la muqueuse, 468 remodeling, 254 remplacement valvulaire [Z95.9], 154 répaglinide, 708 Répartition corporelle du fer, 26 répartition des graisses, 691 réprotérol, 356 Résection abdominopérinéale, 484 résection gastrique, 436 Réserve coronarienne, 233 Résines échangeuses d’ions, 572, 687 résistance aérienne (Résistance = R), 322 Résistance à l’AAS, 808 Résistance à l’APC, 797 Résistance à l’insuline, 711 résistance artériolaire pulmonaire, 158 Résistance aux cytostatiques, 105 résistance aux diurétiques, 211, 620 Résistance coronarienne, 232 résistance osmotique, 38 résistances aux hormones thyroïdiennes, 734 Résistance vasculaire pulmonaire, 394 résorption des glucides, 705 Respiration ample de Kussmaul [E87.2], 578 Respiration bronchique, 364, 415 respiration dans un sachet, 335, 579 Respiration de Biot, 332 respiration de Cheyne-Stokes [R06.03], 332 Respiration sous pression positive nocturne continuelle par masque nasal ou facial (nCPAP = nasale continous positive airway pressure), 333 Restriction diététique en phosphates, 627 Retéplase, 251 réticulocyte, 22 rétinopathie diabétique [E14.30 + H36.0*], 699, 715 rétinopathie hypertensive [H35.0], 295 rétinopathie non proliférative (Background retinopathy [E14.30 + H36.0*]), 699 rétinopathie proliférative [E14.4], 700 reversed dipper, 298 reverse T3, 724 Réviparine, 805 RGO, 421 Rhabdomyolyse [M62.89], 614 Rhagades aux commissures labiales [K13.0], 28 RHC, 94 Rhésus, 45 rhizarthrose [M18.9], 639 Rhumatisme articulaire aigu (RAA) [I00], 150 rhumatisme psoriasique [L40.5 + M07.39*], 648 rhumatologie, 636 rifabutine, 409, 868 Rifampicine, 405, 409 rifamycine, 409 rifaximine, 545 Ringer, 316 Riolan, 787 ristocétine, 130 RIT, 72 rituximab, 110, 137 Riva Rocci, 296 Rivaroxaban, 805 rizatriptan, 115 RMC, 94 RMP, 405 roflumilast, 342 Romiplostim, 137 Ronflement, 331 Ronfleur, 334 roséole de la peau du ventre, 834 rosiglitazone, 706 Rosuvastatine, 687 Roth’s spots, 145 Rougeole [B05.9], 821 roulement d’Austin-Flint [I35.1], 168 Roxithromycine, 366, 891 r. PA = Retéplase, 125, 251 RTV, 871 Rubéole [B06.9], 819 Runner stomach [K29.1], 431 Rupture du septum interventriculaire, 249 Rupture / nécrose des muscles papillaires [I23.5], 249 947 Index rupture œsophagienne, 234 Rupture splénique [D73.5], 122 RVEDP, 143 Rx dans le cœur pulmonaire, 346 Rydel-Seiffer, 700 rythme de galop, 205 rythme idioventriculaire accéléré [I44.3], 270 Rythme jonctionnel accéléré (nœud A/V) [I49.8], 270 S 4S, 254 SA, 164 Sacro-iliite [M46.1], 646, 650 SAE, 909 SAG, 766 Saignée, 96, 532 salbutamol, 356 salmétérol, 356 Salmonella enterica, 833 salmonella typhi, 833 Salmonelles, 835 Salmonellose [A02.9], 833 SALT, 72 Salt-Wasting, 766 salurétique, 210 SAM = systolic anterior motion, 222 sang citraté, 920 sang EDTA, 920 SAP [E31.0], 765 saphène, 792 Sarcoïdose [D86.9], 410 Sarcome de Kaposi [C46.9], 868 SARM, 362 sartans, 210, 302 SASO, 331 SASP, 473 SAVE, 210 saxagliptine, 709 Scarlatine [A38], 818 (S)CID, 62 schéma ACO, 390 schéma CEV, 390 schéma de Kauffmann-White (Le Minor), 833 schéma de Paris, 75 schéma de Winckelmann, 84 schéma FOLFIRI, 484 schéma FOLFOX, 484 schéma PE, 390 schéma XELOX, 484 Schilling, 57, 456 Schistosoma, 882 Schizogonie, 876 Schizocytes, 24, 37 SCID lié à l’X [D81.2], 62 Scintigraphie au 67Gallium, 411 Scintigraphie myocardique, 237 Scintigraphie perfusionnelle myocardique par 201Thallium, 143 scintigraphie quantitative thyroïdienne, 726 Scintigraphie rénale, 590 Scintigraphie séquentielle hépatobiliaire, 505 SCLC, 387 sclérodactylie [L 94.3], 656, 657 Sclérodermie [M 34.9], 656 Sclérodermie systémique progressive (SSP) [M34.9], 656 Sclérose combinée de la moelle [E53.8], 32 Sclérose du frein de la langue, 657 sclérose systémique, 656 sclérothérapie, 541 scorbut [E54], 139 score CRB-65, 365 score de Wells, 814 score MELD, 545 scores d’Hasford, 94 score T, 750 SCR, 629 SDR, 406 SDRA, 329 sécrétion gastrique, 430 sécrétolytiques, 338 selles eau de riz, 840 Sellink, 468 Semmes-Weinstein, 700 Senning, 192 sensation de vibration, 700 Séoul, 605 Sepsis [A41.9], 314, 886 948 Septicémie à point de départ urinaire [A41.9], 602 Septicémie fulminante à méningocoques [A39.4], 131, 859 Septicémie Landouzy [A19.9], 400 séquence adénome-cancer, 478 SERM, 752 séroconversion partielle, 517 séroconversion totale, 517 sétrons, 111 seuil rénal pour le glucose, 703 Sévélamer, 627 (severe) combined immunodeficiency, 62 Severe inflammatory response syndrome, 886 Sexually transmitted diseases, 862 Sézary, 84 shigatoxines, 832 Shigella, 837 Shigellose [A03.9], 837 short QT-Syndrom, 288 shoulder pad sign, 116 Shunt aorto-pulmonaire central, 188 Shunt de Blalock-Taussig, 188 Shunt de Pott, 189 shunt de Warren, 542 Shunt de Waterston, 188 shunt de Waterston-Cooley, 188 shunt distal splénorénal, 542 shunt droit → gauche, 185 shunt gauche → droit, 176 shunt péritonéoveineux, 543 Shunts portosystémiques, 542 SIADH = syndrome de sécrétion inappropriée d’ADH, 776 sial (o)adénite, 850 SIDA avec Tbc [B20], 402 SIDA [B24] Syndrome d’immunodéficience acquise, 864 sidéroblastes en anneau, 100 sidéropénie [E61.1], 28 Sidéroses (maladies par accumulation de fer), 531 3e signe, 174 signe d’epsilon, 174 signe de Babinski, 783 Signe de Blumberg, 490 Signe de Chvostek, 574, 747 signe de Courvoisier, 496 signe de Cullen, 488 signe de Dalrymple, 737 signe de Dupuytren, 524 signe de Gaensslen, 637 signe de Graefe, 737 signe de Homans, 798 signe de Kehr, 122 signe de Keining, 655 Signe de Kussmaul, 229 Signe de la cible dans la diverticulite, 477 signe de la grenouille, 277 signe de Lowenberg-May, 798 signe de Mennell, 646 signe de Meyer, 798 signe de Möbius, 737 Signe de Murphy, 553 signe de Musset, 167 signe de Payr, 798 Signe de Rumpel-Leede, 818 signe de Stellwag, 737 Signe de Stemmer, 817 Signe de Trousseau, 574, 747 signe de Westermark, 812 signe du croisement de Salus-Gunn, 295 signes cutanés d’origine hépatique, 535 Signes cutanés hépatiques, 524 Signes d’hypertrophie droite, 395 Signes directs d’infarctus, 246 Signes généraux d’hémolyse, 36 sildénafil, 715 silibinine, 547 Silicose [J62.8], 380 Simvastatine, 687 single drug resistance, 406 SIRS, 886 sitagliptine, 709 sitaxentan, 397 skip lesions, 468 SLA, 866 slow-loser patient, 749 SM, 405 SMA, 525 small cell lung cancer, 387 SMD, 99 SMM, 55 SMP, 95 snail trails, 468 solution de Ringer, 316 solution glucosée hypertonique, 582 somatomédine C, 771 somatostatine, 771 Somatotrop Hormone (STH), 771 SOME, 528, 899 Somnolence, 332 Somogyi, 712 son, 452 sonde de Babcock, 794 sonde de gastrostomie, 430 Sonde de Linton-Nachlas, 541 sonde de Minnesota, 541 Sonde de Sengstaken-Blakemore, 541 SOPK [E28.2], 767, 768 Sorafénib, 110, 631 Sotalol, 262 souffle de Graham-Steell, 153 Souffle fonctionnel, 142 Souffle fortuit, 142 souffles cardiaques, 141 Souffles diastoliques, 142 Souffles systoliques, 142 sous-décalage du segment ST, 235 Sous-groupe génétique, 88 Sous-type LAL, 88 SPA, 677 spasme de la glotte, 747 spasme du larynx [J38.5], 574 Spasme œsophagien, 423 Sphérocytes, 24, 37 Sphérocytose [D58.0], 38 spirale du choc, 313 Spiramycine, 856 Spirapril, 302 Spiroergométrie, 324 Spirométrie, 321 Spironolactone, 211, 542 splanchnomégalie, 771 splenic / hepatic flexure syndrome [K58.9], 454 Splénomégalie [R16.1], 120 Splénomésentéricoportographie, 505 spondylarthrite ankylosante [M45.09], 646 spondylarthrites axiales (SpA), 646 spondylarthrite séronégative, 645 Spondylarthropathie, 645 Spondylite [M46.99], 646 spondylitis hyperostica [M48.1], 647 spondylodiscite, 647 Sporozoïtes, 876 sprue nostra, 460 Sprue tropicale [K90.1], 461 SQTS, 288 SQV, 871 SRAA, 755 SRAS, 373 SRE, 55 SRH, 55 SRO, 832 SRSV, 830 SSB, 421 Stabilisateurs des mastocytes, 358 Stade primaire (syphilis primaire) [A51.0], 862 Stades ABCD de l’insuffisance cardiaque, 206 Stades de l’artériopathie périphérique (selon Fontaine-Ratschow), 778 Stade secondaire (syphilis secondaire) [A51.4], 862 Stades NYHA, 206 Stades radiologiques de la PR selon Steinbrocker, 639 Stade tertiaire (syphilis tertiaire) [A52.9], 862 Stadification selon Durie et Salmon, 76 Stadification (staging) de la maladie en fonction de l’extension de la maladie dans l’organisme, 102 Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline, 362 staphylocoque doré [A05.0], 836 STD, 862 stéatorrhée [K90.4], 456 Stéatose gravidique aiguë [O26.6], 509 steatosis hepatis [K76.0], 527, 528 Index STEMI, 233 Sténose aortique (SA) [I35.0], 164 sténose coronarienne [I25.19], 232, 233 sténose critique, 233 sténose de l’artère rénale, 306 Sténose de l’isthme aortique [Q25.1], 173 Sténose fibromusculaire, 306 Sténose pulmonaire [I37.0], 171 Sténose valvulaire mitrale [I05.0], 156 stent, 240 stents biorésorbables, 241 stents « healing », 241 stéroïdes surrénaliens, 754 sTfR = soluble transferrin receptor, 26 Stimulateur auriculaire à la demande (AAI), 264 Stimulateur cardiaque antibradycardie, 263 Stimulateurs adaptables en fréquence, 264 stimulateurs cardiaques à fréquence adaptative, 264 Stimulateur ventriculaire à la demande (VVI), 264 stimulation du centre respiratoire, 329 stomatite aphteuse, 826 Streptococcus pneumoniae, 368 streptocoque β-hémolytique, 150, 816 streptocoques, 150 Streptocoques pyogènes, 818 Streptocoques γ hémolytiques, 150 Streptokinase (SK), 125, 801 Streptomycine, 405 streptozotocine, 500 Stridor [R06.1], 319 Stries B de Kerley, 158, 207, 393 string-sign, 468 Stripping veineux, 794 Strongyloïdose = anguillulose [B78.9], 844 Strophulus infantum [L28.2], 824 struvite, 633 stunned myocardium, 237 SU, 706 Subfébrilité, 884 substances inotropes positives, 216 Substances porphyrinogènes, 675 substitut du plasma, 315 Substitution de thrombocytes, 135 substitution en lipase, 494 substitution martiale, 29 substitution nicotinique, 896 substitution par L-T4, 732 Substitution volémique, 315 Substituts colloïdaux, 315 suc gastrique, 430 Sudden cardiac death - SCD [I46.1], 291 Sujets porteurs et excréteurs permanents de salmonelles [Z22.1], 834 sulbactam, 890 Sulfasalazine, 473, 641 Sulfate de magnésium, 452 Sulfate de sodium, 452 Sulfhémoglobinémie [D74.8], 186 sulfonylurée (SU), 707 sumatriptan, 115 sunitinib, 110, 631 surface d’ouverture de la valve, 165 Sus-décalage du ST, 235 SVR, 521 S.vW, 130 Sympathicolytiques, 303 Sympathomimétiques, 216, 259, 310 Sympathomimétiques bêta 2, 356 Symptômes neuroglucopéniques, 500, 722 syncope de Morgagni-Adams-Stokes (MAS) [I45.9], 274 Syncope neurocardiogénique, 311 Syncopes [R55], 311 syncope vasovagale, 311 Syndesmophytes, 647 syndrome adrénogénital (SAG) [E25.9], 766 Syndrome (aigu) de détresse respiratoire de l’adulte (SDRA), 329 Syndrome aigu des agglutinines froides, 47 Syndrome anticholinergique, 915 Syndrome anti-Jo 1 [M33.9], 655 syndrome anti-phospholipide [D68.8], 651, 802 syndrome APECED, 765 syndrome armoise / céléri / épices [J45.0], 360 syndrome auto-immun polyendocrinien [E31.0], 765 syndrome auto-immun polyglandulaire [E31.0], 765 syndrome carcinoïde, 499 Syndrome cardiopulmonaire à Hantavirus = Hantavirus Pulmonary syndrome (HPS) [B33.4 + J17.1*], 605 Syndrome cardio-rénal (SCR), 629 syndrome céléri-armoise-épice [J45.0], 458 Syndrome cholinergique, 915 Syndrome coronarien aigu [I24.9], 233, 243, 275 Syndrome costoclaviculaire [G54.0], 802 Syndrome cutanéo-muqueux et ganglionnaire, 665 syndrome d’activation des macrophages, 638 syndrome d’Alagille [G44.7], 506 Syndrome d’Alport [Q87.8] (néphrite héréditaire), 592 syndrome d’Andersen [I45.8], 288 syndrome d’anxiété cardiaque [F45.2], 255 syndrome d’apnée du sommeil obstructif = SASO [G47.31], 332 Syndrome d’apnée du sommeil (SAS) [G47.39], 331 Syndrome d’Arias, 507 Syndrome de Barlow, 162 Syndrome de Bartter [E26.8], 611 Syndrome de Bernard-Soulier, 138 Syndrome de Birt-Hogg-Dubé (syndrome BHD), 479 syndrome de Blackfan-Diamond [D61.0], 51, 53 syndrome de Blau, 410 syndrome de Blizzard, 765 Syndrome de Boerhaave [K22.6], 419 syndrome de Bouveret, 554 syndrome de Bradbury-Egglestone, 309 syndrome de breakage de Nimègue, 63 Syndrome de Brugada [I45.8], 285, 289 Syndrome de Budd-Chiari [I82.0], 506, 538 syndrome de Buerger, 781 Syndrome de Byler [K74.5], 506 Syndrome de Canale Smith, 63 syndrome de Caplan [M05.1], 381 Syndrome de Caplan [M05.19 + J99.0*], 637 syndrome de carence, 867 Syndrome de Caroli, 552 syndrome de Carpenter [Q87.0], 766 Syndrome de Chediak-Steinbrinck-Higashi [E70.3], 59 Syndrome de Churg et Strauss [M30.1], 662 syndrome de chylomicronémie [E78.3], 683 syndrome de Conn [E26.0], 755 Syndrome de Cowden [G89.8], 479 syndrome de CREST [M34.1], 657 Syndrome de Crigler-Najjar [E80.5], 507 Syndrome de Cronkhite-Canada [D12.6], 479 syndrome de Cruveilhier-von Baumgarten [K76.6], 538 syndrome de Cushing [E24.9], 761 syndrome de Da Costa [F45.37], 234, 255 Syndrome de défaillance multisystémique, 315 Syndrome de déséquilibre, 623 Syndrome de Di George [D82.1], 63 syndrome de Down [G90.9], 170 Syndrome de Dressler [I24.1], 228, 234, 249 syndrome de DRESS [T88.7], 57 Syndrome de Dubin-Johnson [E80.6], 507 Syndrome de fatigue, 109 Syndrome de fatigue chronique [G93.3], 669 Syndrome de Felty [M05.00], 637 Syndrome de fièvre héréditaire, 888 syndrome de Fitz-Hugh-Curtis [A54.8 + K67.1], 554, 864 syndrome de fragmentation des érythrocytes, 35 syndrome de Gamstorp [G72.3], 571 syndrome de Gardner, 479 syndrome de Gasser [D59.3], 136 Syndrome de Gitelmann [E26.8], 611 syndrome de Goodpasture [M31.0], 594 syndrome de Gordon, 756 Syndrome de Gorlin [D44.8], 502, 740 syndrome de Gregg, 819 syndrome de Guillain-Barré [G61.0], 848 Syndrome de Gullo, 489 Syndrome de HELLP [O14.1], 294, 508 syndrome de Heyde, 129 Syndrome d’Ehlers-Danlos [G79.6], 139 syndrome d’Eisenmenger [Q21.0], 196 Syndrome de Jervell / Lange-Nielsen [I45.8], 287 syndrome de Jüngling [D86.8], 411 syndrome de Kallman [E23.0], 773 Syndrome de Kasabach-Meritt, 131 Syndrome de Kawasaki [M30.3], 665 Syndrome de Katayama, 882 syndrome de Kelley-Seegmiller [E79.8], 677 syndrome de la classe économique [I80.2], 797 syndrome de la crosse de l’aorte, 297 syndrome de la floppy-valve, 162 syndrome de Lambert-Eaton [C80], 388 Syndrome de la membrane basale fine (hématurie bénigne) [N02.09], 592 syndrome de l’angle hépatique/splénique = splenic / hepatic flexure syndrom [K58.9], 475 Syndrome de l’anse afférente [K91.99], 437 Syndrome de l’anse efférente [K91.88], 437 syndrome de la selle vide [E23.6], 770 syndrome de Leriche [I74.0], 778 syndrome de Lesch-Nyhan [E79.1], 677 Syndrome de l’estomac irritable [K31.88], 435 Syndrome de Lhermitte, 68 syndrome de Liddle, 756 Syndrome de Löffler (endocardite à éosinophiles [I42.3]), 149 syndrome de Löfgren [D86.8], 410 Syndrome de l’orteil bleu, 809 Syndrome de Louis Bar, 63 syndrome de Lown-Ganong-Levine (syndrome LGL), 280 syndrome de lymphadénopathie (SLA) [B23.8], 866 Syndrome de Lynch, 480 Syndrome de lyse tumorale [E88.3], 109 Syndrome de malabsorption des sels biliaires [K90.8], 463 Syndrome de Mallory Weiss [K22.6], 419 Syndrome de Marfan [G87.4], 199 syndrome de Marine-Lenhart [E05.0], 732 Syndrome de May-Hegglin, 138 syndrome de May-Thurner, 796 syndrome de Meckel, 632 Syndrome de Meigs [D27], 415 syndrome de Ménétrier [K29.6], 434 syndrome de Mendelson, 375 syndrome de Mikulicz, 80 Syndrome de Mirizzi, 554 syndrome de Moschcowitz, 136 Syndrome de Muckle-Wells, 888 syndrome de Muir-Torr [C18.9], 480 Syndrome de Münchhausen [F68.1], 27 syndrome de Nelson [E24.1], 762 Syndrome de Paget-von Schroetter [I82.8], 802 Syndrome de Pancoast [C34.1], 388 syndrome de Pendred [E07.1], 728 Syndrome de perte protéique entérale [K90.4], 198 Syndrome de Peutz-Jeghers [Q85.8], 479 syndrome de Pierre Marie-Bamberger [M89.49], 185 Syndrome de Plummer-Vinson [D50.1], 28 Syndrome de polypose héréditaire, 478 syndrome de préexcitation [I45.6], 279 syndrome de pré-infarctus [I20.0], 233 syndrome de Purtilo [D82.3], 828 syndrome de Ramsay-Hunt [G11.1], 823 Syndrome de Raynaud [I73.0], 790 syndrome de Reiter [M02.3], 647 Syndrome de résistance des voies aériennes supérieures, 334 Syndrome de Reye [G93.7], 529 Syndrome de Richter, 80 Syndrome de Roemheld [F45.37], 425, 454 Syndrome de Romano-Ward [I45.8], 287 Syndrome de Rotor [E80.6], 507 syndrome de Samter [J45.1], 350 syndrome de Schmidt [E31.0], 766 949 Index syndrome de Schwartz-Bartter [E22.2], 565, 776 Syndrome de sécrétion inappropriée d’ADH = SIADH, 565 Syndrome de sevrage alcoolique [F10.3], 898 syndrome de sevrage corticoïde [E27.3], 760 Syndrome de Sézary [C84.1], 84 Syndrome de Sharp [M35.1], 659 syndrome de Sheehan, 773 Syndrome de Shulman, 657 syndrome de Shy Drager [G.90.3], 309 Syndrome de Sipple [D44.8], 502, 740 Syndrome de Sjögren (SS) [M35.0], 658 syndrome des ovaires polykystiques, 768 syndrome des plaquettes grises, 138 syndrome de Stauffer, 630 syndrome de Stein-Leventhal [E28.2], 768 syndrome de Still [M06.10], 644 syndrome de Strübing-Marchiafava-Micheli [D59.5], 42 syndrome de Sweet, 21 syndrome de T3 ou T4 basses [R79.8], 731 syndrome de tachycardie orthostatique posturale [I95.1] = STOP, 309 Syndrome de Thibièrge-Weissenbach [M34.8], 657 Syndrome de Tietze [M94.0], 234 syndrome de Timothy [I45.8], 288 Syndrome de Toni – Debré – Fanconi [E72.0], 611 Syndrome de Tourniquet [T81.1], 810 syndrome de Turcot [C18.9], 479, 480 Syndrome d’Evans, 80, 137 Syndrome de Verner-Morrison [D37.7], 501 Syndrome de von Willebrand-Jürgens (S. vW.) [D68.0], 129 syndrome de Wallenberg [I66.3 + G46.4*], 783 syndrome de Waterhouse-Friderichsen [A39.1], 131, 764 Syndrome de Wermer [D44.8], 502 syndrome de Wernicke-Korsakoff/encéphalopathie de Wernicke (syndrome d’amnésie) [F10.6], 898 Syndrome de Wiskott Aldrich [D82.0], 63 Syndrome de WPW (Wolff-ParkinsonWhite) [I45.6], 279 Syndrome de Zellweger [Q07.8], 506 Syndrome de Zieve [K70.0], 528, 899 syndrome de Zollinger-Ellison [E16.4], 501 syndrome d’Hedinger [E34.0], 499 Syndrome d’Heerfordt [D86.8], 411 syndrome d’Hermansky-Pudlak, 138 Syndrome d’hyperabduction [G54.0], 802 Syndrome d’hyper IgD [R77.1], 888 Syndrome d’hyper IgE (syndrome de Hiob [D82.4]), 59 Syndrome d’hyper – IgM [D80.5], 62 syndrome d’hypersensibilité à l’allopurinol, 679 Syndrome d’hypersensibilité du sinus carotidien [G90.00], 277 Syndrome d’hyperventilation [F45.33], 335 syndrome d’hyperviscosité, 78, 80 Syndrome d’Omenn, 62 syndrome du bien-portant, 696 syndrome du canal carpien [G56.0], 637, 772 syndrome du clic-souffle, 162 syndrome du cœur hyperkinétique [I51.8], 269 Syndrome du côlon irritable [K58.9 et F45.3], 475 Syndrome du défilé thoracique, 802 Syndrome du grêle court, 470 Syndrome du leucocyte paresseux, 60 syndrome du lobe moyen [J98.1], 400 syndrome du lupus néonatal [D83.8], 653 Syndrome dumping précoce, 436 Syndrome dumping tardif, 436 syndrome du pied diabétique [E14.74], 701 syndrome du propofol, 577 Syndrome du QT court [I45.8], 288 Syndrome du QT long [LQTS] [I45.8], 287 syndrome du restaurant chinois [T78.1], 459 Syndrome du scalène antérieur [G54.0], 802 950 syndrome du stimulateur cardiaque, 264 syndrome du Tourniquet, 571 syndrome du vol sous-clavier [G45.89], 783 syndrome en gants et chaussettes, 820 Syndrome fibromyalgique = SFM [M79.70], 667 syndrome Frailty, 911 Syndrome hallucinogène, 915 syndrome hématophagocytique associé à l’infection [D76.2], 827 syndrome hémolytique et urémique [D59.3] SHU, 136, 833 Syndrome hépatopulmonaire (SHP), 540 Syndrome hépatorénal (SHR) [K76.7], 540 syndrome inflammatoire de reconstitution immunitaire (SIRI), 872 Syndrome Kostmann [D70.0], 58 syndrome lipodystrophique, 872 Syndrome lymphocyte de Bare de type 1 [D81.6], 62 Syndrome lymphoprolifératif auto-immun (SLPA), 63 Syndrome main-pied, 109 syndrome Meige [G82.0], 817 syndrome métabolique [E88.9], 696 syndrome mixte, 52 syndrome « Münchhausen » [F68.1], 885 Syndrome myéloprolifératif, 95 Syndrome myofascial [M79.19], 668 syndrome myxome, 255 Syndrome narcotique, 915 Syndrome néphrotique [N04.9], 595 syndrome Nonne-Milroy [G82.0], 817 Syndrome NTIU, 827 syndrome OPSI, 38 Syndrome paranéoplasique, 388 Syndrome périodique associé au récepteur du TNF (TRAPS), 888 syndrome POEMS, 76 Syndrome post-cardiotomie [I97.0], 228 Syndrome « postcholécystectomie » [K91.5], 557 Syndrome post-fundoplicature [K91.1], 425 Syndrome post-gastrectomique [K91.1], 436 Syndrome post-infarctus [I24.1], 228, 249 Syndrome post-infarctus myocardique, 234 Syndrome post-thrombotique [I87.0], 798 Syndrome post-vagotomique, 437 syndrome Purtilo, 63 Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) [U04.9], 373 syndrome retroviral aigu, 866 Syndrome RS3PE, 638 syndrome SAPHO [L40.5 + M07.39*] (Synovite – Acné – Psoriasis pustuleux – Hyperostose – Ostéite), 649 Syndromes de maldigestion et malabsorption, 455 Syndrome sec, 637, 658 Syndrome sinobronchique [J42], 341 syndromes lymphoprolifératifs héréditaires récessifs liés au chromosome X [D47.9], 828 Syndromes myélodysplasiques (SMD) [D46.9], 99 Syndrome sympathomimétique, 915 Syndrome tachycardie-bradycardie, 276 syndrome toxique de poussière organique, 384 syndrome X, 235 Synovectomie, 644 synoviocytes, 636 synovite, 636 synovite induite par les cristaux [M65.89], 677 syphilides, 862 Syphilis, 862 Système antitachycardie, 265 système bronchique hyperréactif [R94.2], 349 Système d’oxydation microsomial de l’éthanol (SOME), 528, 899 système du complément, 54 Système lymphoréticulaire, 20 système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA), 755 Système réticulo-histiocytaire (SRH), 20 Systèmes tampons, 576 système TNM, 102 Systemic Inflammatory Response Syndrome (SIRS), 314 T T3, 724 T4, 724 T-20, 871 TAA = tension artérielle ambulatoire, 297 tabagisme, 896 tabes, 863 taches « cotton-wool » [H35.0], 295 taches du diable, 139 tachyarythmie absolue [I48.19], 282 Tachycardie atriale focale, 280 Tachycardie atriale par réentrée, 281 Tachycardie atrioventriculaire par réentrée [I47.1], 278 Tachycardie A/V nodale par réentrée, 277 Tachycardie jonctionnelle ectopique, 280 Tachycardie jonctionnelle permanente par réentrée, 280 tachycardie sinusale inadéquate (inappropiate sinus tachycardia), 269 Tachycardie sinusale [R00.0], 269 tachycardie supraventriculaire paroxystique, 277 Tachycardie ventriculaire polymorphe catécholaminergique (TVPC) [I45.8], 289 Tachycardies ventriculaires (TV) [I47.2], 285 tadalafil, 397, 715 Taenia saginata [B68.9], 844 Taenia solium [B68.9], 844 tamoxifène, 106 Tamponnade péricardique [I31.9], 229 tampons, 576 TAP, 63 Targeted therapies, 103, 109 TARHA, 870, 872 taux de filtration glomérulaire (TFG), 589 taux d’O2, 326 Taxanes, 107 tazobactam, 890 Tbc, 398 Tbc hilaire [A16.3], 400 TBI, 778 TC, 247 TCD, 44 TCI, 44 TCM, 464 TCMH (= taux corpusculaire moyen en Hb), 25, 28 TCSH, 52 TcU = Technetium Thyroid Uptake, 726 TDF, 871 TDM par rayonnement d’électrons, 237 TDMCF, 237 TE, 95 Technique QBC, 878 Technique de Mustard, 192 Technique de Senning, 192 Teicoplanine, 891 Teint café-au-lait, 584 Télangiectasie hémorragique héréditaire (HHT), 139 télithromycine, 368, 891 Telmisartan, 302 télomérases, 54 Télomère, 54 Témozolomide, 106 Temps de génération, 104 temps de Quick, 807 Temps de récupération du nœud sinusal, 276 temps de thromboplastine, 807 temps d’ischémie chaude, 624 Temsirolimus, 107, 110, 631 tender points, 667 T en dôme, 246 Tenectéplase, 251 téniposide, 107 Ténofovir, 518 tension pincée, 295 TEP, 622 térazosine, 303 terbutaline, 356 tériparatide, 752 Terlipressine, 541 test à la CRH, 765 test à l’ACTH, 765 test à la GHRH, 774 test à l’ajmaline, 289 Test à la sécrétine, 501 Test à l’atropine, 276 Test au cuivre radioactif, 533 test au lit du patient, 46 Index test au pancréolauryl, 494 Test au 75SeHCAT, 463 Test costoclaviculaire selon Falconer, 802 test croisé négatif, 46 test cross-match lymphocytaire, 624 Test de Allen, 790 Test de blocage à la clonidine, 308 Test de bronchodilatation, 322 test de Carnett, 490 test de charge en sel, 756 test de Coombs, 44 Test de détermination ABO, 46 Test de Donath-Landsteiner, 48 Test de Figlu, 34 test de Ham, 42 Test de Hoesch, 675 test de Hoffman-Tinel, 637 test de Koller, 504 test de l’acide nicotinique, 507 test de la faim, 500 test de la pentagastrine, 740 Test de la sueur, 495 Test de la table basculante, 311 Test de Lewis, 185 test de libération de l’histamine, 353 test d’Ellsworth-Howard, 748 Test de provocation à la méthacoline, 352 Test de provocation au froid, 791 Test d’équilibration péritonéale, 622 Test de réabsorption de la vitamine B12, 457 test de résorption de la vit B12, 33 test de résorption du fer, 29 test de réversibilité, 350 test de Rumpel Leede positif, 139 Test de Sabin-Feldman, 855 Test de Saxon, 659 Test de Schellong, 310 Test de Schilling, 33, 457 test de Schirmer, 659 test de Schwartz Watson, 675 Test de stimulation à la sécrétine et au cérulétide, 493 test de suppression, 727 test de suppression à la fludrocortisone, 756 Test de surcharge en D-pénicillamine, 533 test de surcharge en tryptophane, 34 Test de tolérance au lactose, 462 Test de tolérance au xylose, 457 test de tolérance orale au glucose, 703 test d’hémolyse à l’acide, 42 test d’Hinton, 452 test DHR, 64 test d’hyperabduction selon Wright, 802 test d’inhibition par petites doses de dexaméthasone, 762 Test du jeûne, 507 Test du poing fermé, 790 Test expiratoire selon Tiffeneau, 321 Test Gaïac, 485 test Hémocultâ, 485 Test interféron, 404 Test intra-cutané selon Mendel-Mantoux, 403 test majeur, 46 test mineur, 46 Test non spécifique à la métacholine, 324 test par fluorescence d’absorption des anticorps du tréponème, 863 Test rapide à l’uréase-hélicobacter, 433 test respiratoire à l’acide octanique, 701 Test respiratoire à la trioléine, 456 Test respiratoire au 13C, 433 Test respiratoire au glycocholate marqué au 14C, 463 Test respiratoire de l’H2 expiré, 462 test selon Hickey-Hare, 775 Test tuberculinique, 403 tétanie d’hyperventilation [R06.4], 579 tétanie hypocalcémique [E83.58], 574, 747 tétanie normocalcémique [R29.0], 747 tête de méduse, 538 tétracyclines, 891 Tétrade de Reiter, 648 Tétralogie de Fallot [Q 21.3], 187 Tétranitrate de pentaérithrityl, 240 TFG, 589 TGV, 191 Thalassémie [D56.9], 40 Thalassémie α [D56.0], 41 Thalassémie β [D56.1], 41 Thalidomide, 77 théophylline, 357 Théorie des Pools, 20 Thérapie adjuvante, 103 Thérapie curative, 102 Thérapie de sauvetage, 103 Thérapie néoadjuvante, 103 Thérapie palliative, 103 thermosensibilité, 700 Thermothérapie induite par laser, 550 Thésaurismoses lysosomiales, 118 thiamazol, 735 Thiazides, 210 thiazolidinédiones, 706 Thiénopyridine, 808 Thioguanine, 107 Thiotépa, 106 thorotraste, 550 Thrombaphérèse, 904 Thrombasténie de Glanzmann-Naegeli, 138 Thrombendartériectomie, 780 Thromboangéite oblitérante [I73.1], 781 Thrombocytémie essentielle [D47.3] (TE), 97 Thrombocytopathies, 138 Thrombocytopénie allo-immune néonatale (TAIN), 134 Thrombocytopénie allo-immune passive, 134 thrombocytopénie auto-immune [C69.3], 80 Thrombocytopénie induite par l’héparine (TIH) [D69.58], 134, 804 Thrombocytopénie post transfusionnelle [D69.58], 134 Thrombocytopénies [D69.61], 133 Thrombocytopénies immunes [D69.58], 133 Thrombocytopoïèse, 20 Thrombocytose réactive [D75.9], 97 thrombolyse, 250, 814 thrombolyse coronarienne avec ondes de haute fréquence, 241 thrombophilie, 125, 796 Thrombophlébite saltante et migrante [I82.1], 795 Thrombophlébites [I80.9], 795 Thromboplastine tissulaire, 124 Thrombose de la veine porte [I81], 537 thrombose des veines mésentériques [K55.9], 787 Thrombose du sinus veineux [G08], 784 Thrombose par effort [I82.8], 802 Thromboses veineuses profondes (TVP) [I80.2], 796 Thrombose veineuse rénale [I82.3], 634 thromboxane A2, 123 Thrombus blanc, 796 thrombus leucémiques, 93 Thrombus mixte, 796 Thrombus plaquettaire [I82.9], 796 Thrombus rouge, 796 thymidilate synthétase, 107 thymome [D15.0], 656 thyréoglobuline, 741 thyréoglobuline sérique (Tg), 726 thyroïde, 724 thyroïde autonome [E04.9], 732 thyroïdite aiguë (purulente) [E06.0], 738 Thyroïdite auto-immune [E06.3], 738 thyroïdite auto-immune d’Hashimoto, 726 Thyroïdite chronique lymphocytaire (Hashimoto), 738 thyroïdite granulomateuse subaiguë de Quervain [E06.1], 738 thyroïdite induite par l’amiodarone [E05.8], 739 thyroïdite lymphocytaire du post-partum [O90.5], 739 Thyroïdite radique [E06.5], 738 thyroïdites, 738 thyroïdite silencieuse, 739 thyroïdostatiques, 735 Tiabendazole, 844, 845 tibia en sabre [A50.0], 753 Ticagrelor, 808 Tiffeneau, 322 TIH, 804 tilidine, 113 Tinidazole, 845 Tinzaparine, 800, 805 tiotropium, 357 TIPS, 542 tirofiban, 808 tissue factor, 124 Tissue factor pathway inhibitor (TFPI), 125 titre en anti-DNAse, 151 TMO, 52, 90 TNE, 498 TNF, 21 Tobramycine, 891 Tocilizumab, 642 Toe-Brachial-Index, 778 togavirus, 819 Toilette bronchique, 336 Tomographie à émission de positron (PET), 143, 237 Tomographie par émission d’électrons, 143 tophi, 678 topotécan, 107 Torasémide, 211 torsade de pointe [I47.2], 287 Tortiositas vasorum, 119 Toux [R05], 318 Toxémie gravidique [O14.9], 608 toxicose de la grossesse [O14.9], 508 Toxidrome, 915 Toxiinfections alimentaires par bactéries productrices d’entérotoxines [A05.9], 836 toxine botulique, 421 toxine érythrogène, 818 toxine Shiga, 832 Toxoplasma gondii, 854 Toxoplasmose, 854 Toxoplasmose ganglionnaire [B58.8], 855 t. PA, 125, 251, 801 t. PA TNC = Ténectéplase, 125, 251 TPHA, 863 Trabectédine, 107 trachéalisation, 427 trachome [A71.9], 371 Traitement au long cours par O2, 328 Traitement chirurgical des troubles du rythme, 267 traitement combiné avec iode + L-T4, 729 Traitement conservateur par activateur de la fibrinolyse, 250 traitement de consolidation, 105 Traitement de drainage physique, 817 traitement de la crise hyperthyroïdienne, 736 Traitement de l’ascite, 542 Traitement de l’hypertension de la grossesse, 304 traitement d’entretien, 105 traitement d’éradication de l’HP, 433 traitement de réinduction, 105 Traitement de remplacement de la fonction rénale, 621 Traitement de resynchronisation cardiaque, 265 Traitement des pneumonies, 365 Traitement de support, 111 traitement d’induction, 105 traitement du diabète pendant la grossesse, 715 Traitement enzymatique substitutif (TES), 118 Traitement hormonal, 106 traitement insulinique, 710 traitement insulinique conventionnel, 712 traitement insulinique intensif, 712 traitement insulinique intensif conventionnel (TIC), 712 traitement insulinique par pompe à injection, 713 Traitement par acides biliaires oraux, 556 Traitement par contention, 795 traitement par iodures, 729 traitement par radioiode, 735, 741 Traitement par stimulateur cardiaque, 263 Traitement photodynamique local, 429 Traitement PUVA, 84 traitement respiratoire, 347 TRALI, 45, 316, 330 tramadol, 113 Trandolapril, 302 Tranjugular intrahepatic portocaval stent implantation, 542 transcobalamine, 31 transcortine, 754 transferrine, 25 951 Index transfusions-related acute lung insufficiency, 330 transglutaminase, 460 Transplantation allogène de cellules souches hématopoïétiques (TCSH), 52 transplantation autologue de cellules souches, 68 Transplantation cardiaque, 217 Transplantation cœur poumon (HLTX), 329 Transplantation de l’intestin grêle, 466 Transplantation d’un poumon seul (SLTX), 329 Transplantation hépatique (LTX), 545 transplantation pancréatique, 716 Transplantation pulmonaire, 329, 348 Transplantation pulmonaire bilatérale (BLTX), 329 Transplantation rénale (NTX), 624 transplantations de moelle, 53 Transposition complète des gros vaisseaux [Q 20.3], 191 Transposition congénitale corrigée des gros vaisseaux [Q25.3], 194 transthyrétine, 724 Transudat, 539 Trastuzumab, 110 TRC, 265 tremblement fin [R25.1], 733 Tréponème pâle, 862 tréprostinil, 396 trétinoïne, 91 TRH (Thyreotropin Releasing Hormone), 724 Triade de Charcot, 553 triade de Hutchinson [A50.5], 862 triade de Merseburger, 733 Triade de Reiter, 648 triade de Virchow, 796 Triade de Volhard, 593 triade de Whipple, 500, 722 triamcinolone, 759 triamtérène, 211 triangle de Killian, 427 triangle musculoscalénique étroit, 802 Trichinellose [B75], 845 Trichomonas vaginalis, 604 tricocéphale, 844 Tricocéphalose [B79], 844 trientine, 533 trigéminisme [E49.3], 271 triglycérides à chaînes moyennes (TCM), 464, 494 triméthoprime, 832, 891 triptans, 115 triptoréline, 106 trisomie 21, 170 trofosfamide, 106 troisième secteur, 559 tronc commun, 232 tropheryma whipplei, 462 trophozoïtes, 838 tropisétron, 111, 420 trou anionique, 559, 578 trou auscultatoire, 297 Trouble de la conduction, 268 Troubles circulatoires pulmonaires, 392 Troubles de diffusion, 324 Troubles de la conduction, 268, 273 Troubles de la conscience, 915 Troubles de la fonction des granulocytes [D71], 59 Troubles de la fonction des thrombocytes [D69.1] (thrombocytopathies), 138 Troubles de la motilité œsophagienne [K22.4], 423 Troubles de la ventilation, 319 Troubles de l’excitabilité cardiaque ou de la stimulation, 269 Troubles de perfusion, 325 Troubles de répartition, 325 Troubles de stimulation, 268 troubles du métabolisme lipidique, 681 Troubles du rythme (TR) [I49.9], 257, 268 Troubles du spectre de l’alcoolisation fœtale (TSAF) [Q86.0], 900 Troubles obstructifs, 320 trouble somatisation [F45.0], 894 Troubles restrictifs de ventilation, 320 troubles somatoformes [F45.9], 894 TSGI, 465 TSH (Thyroid Stimulating Hormone), 724 TSVP, 277 952 TTIL = thermothérapie induite par laser, 485 tube feeding syndrom, 580 tubercule [A16.7], 399 Tuberculome [A16.9], 402 Tuberculose [16.9], 398 Tuberculose latente et tuberculose primaire [A16.9], 399 Tuberculose post-primaire, 399, 401 Tuberculose primaire, 399 tuberculose pulmonaire caverneuse [A16.2], 401 tuberculostatiques, 405 Tumeur de Grawitz, 629 tumeur de Klatsin [C22.1], 558 tumeur de Krukenberg [C79.6], 438 Tumeur de l’intestin grêle [D37.2], 465 Tumeur de Wilms [C64], 631 Tumeurs cardiaques primitives, 255 Tumeurs des vaisseaux lymphatiques, 817 Tumeurs hépatiques [D37.6], 548 tumeurs hypophysaires endocriniennes inactives [D44.3], 770 tumeurs hypophysaires (TH) [D44.3], 769 tumeur signal, 382 tumeurs MICE, 255 Tumeurs neuroendocrine (TNE) du système gastro-entéro-pancréatique (GEP), 498 Tumeurs pleurales, 414 Tumeurs pulmonaires mésenchymales, 392 Tumeurs pulmonaires métastasées, 392 tumeurs rénales, 629 Tumeurs stromales gastro-intestinales (TSGI), 441, 465 tumor necrosis factor, 21 Turner, 170 TURP syndrome [E87.7], 565 TV, 285 TVP, 796 tylosis palmaris et plantaris [L84], 428 Typage immunologique et cytogénétique/ génétique moléculaire des LAL, 88 Type ostium primum (CIA I), 176 Type ostium secundum (CIA [Q21.1] II), 176 Type sinus venosus [Q21.1], 176 Typhus abdominal [A01.0], 833 Typologie de l’alcoolisme selon Jellinek, 897 U UDC, 556 UDPGT, 506 UFH, 805 Ulcère de Buruli, 408 Ulcère de Dieulafoy [K25.0], 446 ulcère duodénal [K26.9], 434, 435 ulcère en collet de bouteille, 838 Ulcère et érosions aigus de stress [K25.3], 434 ulcère gastrique [K25.9], 434, 435 Ulcère gastro-duodénal [K27.9], 434 ultrafiltration, 621 unité de glucides, 705 Upper airway resistance syndrom (UARS), 334 upside-down-stomach [D44.9], 426 urapidil, 303 Ureaplasma urealyticum, 604 Urée, 588 Urémie [N19], 617 urétéroscopie, 635 Urétrite [N34.2], 604 Urétrite non gonorrhéique [N34.2], 602 Urgences douloureuses, 113 Uricostatiques, 679 Uricosuriques, 680 urine, 584 Urines diluées, 775 urines du matin de couleur coca, 42 Urobilinogène, 37 urokinase, 125 urolithiases [N20.0], 633 Urticaire chronique idiopathique [L50.1], 432 Urticaire familial au froid [L50.2], 888 usual intersititial pneumonitis, 379 Usures costales, 174 V Vaccination tumorale, 110 Vaccin contre la fièvre jaune [Z24.3], 893 Vaccin contre la polymyélite [Z24.1], 892 Vaccin contre la rubéole [Z24.5], 892 Vaccin contre le choléra [Z23.0], 892 Vaccin contre le tétanos [Z23.5], 892 Vaccin contre le thyphus [Z23.1], 893 Vaccin contre l’hépatite A [Z24.6], 893 Vaccin contre l’hépatite B [Z24.6], 893 vaccin viral OKA, 824 Vagalytiques, 259 Vagotomie proximale sélective (VPS), 436 Valaciclovir, 827 valeurs de Quick, 124 valeurs de référence en biologie clinique et hématologie, 919 valeurs théoriques dans la Communauté Européenne pour le Charbon et l’Acier, 321 valganciclovir, 829 valptans, 776 Valsartan, 210, 302 valve cardiaque artificielle, 154 valve « Melody », 190 Valves à bille, 154 Valves à disque, 154 valvuloplastie mitrale, 159 Vancomycine, 891 Vanishing bile duct syndrome, 506, 545 vardénafil, 715 varénicline, 896 Variantes de l’apolipoprotéine E, 683 varicelle [B01.9], 823 varices, 791 Varices en poils de balai, 792 Varices (œsophage/fundus), 443 varices œsophagiennes ou fundiques, 541 varices réticulaires [I83.0], 792 varices suprapubiennes [I86.8], 792 Varices vulvaires [I86.3], 792 Varicocèle [I86.1], 792 Varicose, 791 vascularisation myocardique et ses variantes, 232 Vascularite cryoglobulinémique (mixte essentielle) (VC) [D89.1], 663 vascularite leucocytoclastique [I77.6], 664 vascularites, 660 Vascularites des petits vaisseaux associées aux ANCA, 660 Vascularites des petits vaisseaux non associées aux ANCA, 663 vascularite sur allopurinol, 679 vascularite urticarienne [L.95.0], 651 vasculopathie du greffon, 218 Vasodilatateurs artériolaires, 304 VAT = Volume d’air thoracique, 324 VCM (= volume corpusculaire moyen), 25, 28 VDDR, 748 VDRL, 863 VEGF-R, 110 veines d’alarme de Pratt, 798 veines profondes, 792 VEMS1, 321 VEMS1 = Volume expiratoire maximal par seconde, 321 veno-occlusive disease, 91 Ventilation, 328 Ventilation assistée protectrice, 330 Vérapamil, 263, 278 vergetures [L90.6], 761 vertèbre cunéiforme [M48.59], 751 vertèbre de poisson [M81.8], 751 vésicule de porcelaine [K81.1], 554 Vibrio cholerae, 839 Vibrion cholérique, 839 Vidéoendoscopie par capsule, 446 VIH 1, 864 vildagliptine, 709 vinblastine, 107 vincristine, 107 vindésine, 107 vinorelbine, 107 Vipome, 501 VIP (vasoactiv intestinal polypeptid), 501 Virilisation [E25.9], 767 virocytes, 828 Virus de la méningoencéphalite transmise par les tiques, 858 Index Virus de la rubéole, 819 virus de Marburg, 511 virus d’immunodéficience humaine (VIH), 864 Virus du groupe Herpès, 822 Virus Epstein-Barr (EBV), 70 virus H5N1, 846 Virus herpès associé au sarcome de Kaposi, 822 virus herpès du sarcome de Kaposi, 868 Virus herpès simplex, 825 virus influenza A, 846 Virus polyoma-BK, 625 virus respiratoire interstitiel, 847 Virus varicelle zoster, 823 visage de pleine lune, 761 viscéromégalie, 771 vitamine D, 742 vitamine D3, 743 vitamine K, 504 Vit B12, 30 Vitesse de sédimentation des globules rouges (VS), 929 VLDL, 681 VNI, 348 VNIPP, 343, 348 VNPP, 343 Vocal cord dysfunction (VCD) [J.38.7], 352 voie dentelée, 478 volatile sulphur compounds (VSC), 417 Volumen pulmonum auctum, 350 volume sanguin, 20 Vomissements [R11], 419 vomissements de sang, 444 vomissements fécaloïdes (miserere), 419, 490 vomissements provoqués, 916 von Willebrand, 130 voriconazole, 377 vorinostat, 77 Voussure, 181 VS, 929 vue en couleur, 215 Vulvovaginite herpétique [A60.0 + N77.1*], 826 VVI, 264 VVZ, 823 W Walking through-Angina, 234 warfarine, 806 Warren, 542 Wasting-Syndrome, 867 weak action, 289 weibel-Palade-bodies, 130 whippelii, 462 Wilson, 533 Wuchereria bancrofti, 816 X xanthélasma [H02.6], 684 Xanthome des lignes de la main, 684 Xanthome [E75.5], 684 xérophtalmie [E50.7], 658 xérostomie [K11.7], 658 Xipamide, 211 Y Yersinia enterocolitica, 840 Yersiniose [A28.8], 840 Z Zahorsky, 849 Zanamivir, 847 Zidovudine, 871 Ziehl-Neelsen, 403 « Zinkfinger »-Protein, 631 zolédronate, 78, 575 zolmitriptan, 115 zona (herpès zoster) [B02.9], 823 zone hyperdense, 784 zone marginale, 69 zones de transformation de Looser, 748 zorubicine, 107 zoster, 823 953 HEROLD4_deboeck 07/06/12 15:11 Page1 G . H E R O L D Médecine interne E LE GUID DE NE L’ INTER G . H E R O L D et ouvrage de Médecine interne, pratique et concis, est particulièrement complet dans la description des pathologies, et envisage systématiquement : u l’épidémiologie, u l’étiologie, u la physiopathologie, u la clinique, u le diagnostic différentiel, u le traitement et le pronostic. C Médecine interne E LE GUID DE NE L’ INTER Traduit de l’allemand Frédéric Marenne : Diplômé de médecine, chirurgie et accouchement de l’Université catholique de Louvain et spécialisé en médecine interne. Anne Marenne-Loiseau : Docteur en sciences de l’Université catholique de Louvain. ISBN : 978-2-8041-6335-8 9782804163358 HEROLD www.deboeck.com Conception graphique : Primo&Primo Il bénéficie d’une mise à jour complète de son contenu en fonction des dernières publications et études qui font autorité dans chaque domaine spécifique de la médecine interne. La 4e édition française comporte un index des Diagnostics Différentiels, ce qui est une originalité et un plus par rapport à l’édition originale allemande, ainsi qu’un atout précieux pour les étudiants en médecine. Médecine interne intègre la classification ICD-10 (plus connue en France sous l’appellation CIM 10), très utile pour les médecins hospitaliers à l’heure où les hôpitaux tarifient à l’activité et demandent le codage des actes selon cette classification. Destiné aux étudiants ayant passé les ECN avec succès(6e année de médecine, internat), ce livre permet également aux médecins généralistes et aux spécialistes de médecine interne de disposer des données médicales les plus récentes. Médecine interne > Physiopathologie > Diagnostic > Thérapeutique E LE GUID DE E N R E T N L’ I e 4 édition G . H E R O L D Traduit de l'allemand par Frédéric Marenne et Anne Marenne-Loiseau