- 2 -
Pr P. SADOUL, (Président)
Titulaire de la chaire de physio-pathologie respiratoire,
Faculté de médecine de Nancy,
20,
rue des Lionnois,
NANCY (France)
Dr O.A. SANDER,
Professeur de médecine et d'hygiène du travail,
Marquette University School of Médecine,
712,
North Plankinton Avenue,
MILWAUKEE. Wisconsin (Etats-Unis)
Dr E. SARTORELLI,
Chef du laboratoire de physio-pathologie respiratoire,
Clinica del Lavoro,
Via San Barnaba 8,
MILAN (Italie)
Dr H. SASAMOTO,
Professeur de médecine interne,
Département de médecine interne,
Ecole de médecine de l'Université de Keio,
TOKYO (Japon)
Conseiller technique :
Dr HIROMICHÏ UMEDA, M.D.,
Chargé de conférences de
l'Ecole
de médecine dentaire,
TOKYO (Japon)
Représentants de l'Organisation mondiale de la Santé :
Dr.S.
FORSSMAN, chef du Service d'hygiène sociale et de médecine du travail;
itr Z. FEJFAR, chef de la Section des maladies cardio-vasculaires.
Représentant de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de
l'acier
:
Dr P. HENTZ, Direction générale, problèmes du travail, assainissement et
reconversion.
Observateurs, de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et
de
l'acier
:
Dr L. BRASSEUR, chargé de cours à l'Université de Louvain, attaché à
l'Institut d'hygiène des
mines,'
Hasselt (,Belgique);
Dr A.V.M. MEY, ancien directeur médical, Président des Charbonnages des
Pays-Bas
;
Dr W.T. ULMER, Directeur de l'Institut de recherche sur la fonction
respiratoire, Université de Munster (République fédérale d'Allemagne).
M. H.A. Majid, Sous-directeur général du Bureau international du Travail,
•é la Réunion ouverte. Il a rappelé l'oeuvre importante déjà accomplie
4.
a déclaré
par le Bureau en vue de faire progresser
l'étude
des maladies professionnelles
dues à l'inhalation des poussières et d'encourager la mise en oeuvre de mesures
préventives,
tant sur le plan technique que sur le plan médical.
La question proposée pour étude à la Réunion présente pour le Bureau
international du Travail un intérêt spécial. Les tests de fonction respiratoire
ont été utilisés tant dans la prévention qu'à des fins cliniques, ainsi que pour
la détermination du degré d'incapacité lorsqu'il y a lieu à réparation. Le moment
est venu de faire le bilan de l'expérience acquise dans ce domaine. L'on attache-
rait du prix à ce que la Réunion se mette d'accord sur la valeur de quelques-uns