de Tite-Live (1513-1519)
- De Principatibus, Le Prince (1513, publié en 1532)
- Dell’arte della guerra, L’Art de la guerre (1519-1520)
- Discorso sopra il riformare lo stato di Firenze (1520)
- Sommario delle cose della città di Lucca (1520)
D - Ses ouvrages d’histoire
- Vita di Castruccio Castracani da Lucca, La vie de Castruccio Castracani
da Lucca (1520)
- Istorie fiorentine, Histoire de Florence (1525)
- Frammenti storici (1525)
E - Ses comédies
- Andria, une comédie traduite de Térence (1513?)
- Della lingua (1514)
- Clizia (1515?)
- Belfagor arcidiavolo (1515)
- Mandradola, la Mandragore (1518)
4 - Son œuvre principale : De Principatibus, ou Le prince (1513)
5 - Un effort pour mettre de la raison dans la politique
IV PRINCIPALES THÈSES DE LA PENSÉE DE MACHIAVEL
A - PRINCIPALES THÈSES POLITIQUES DE MACHIAVEL
1 - Des positions politiques, qui ne sont nullement du machiavélisme
2 - Politiquement, un républicain !
3 - Un promoteur de l’unité italienne
4 - La recherche d’une solution nouvelle face aux guerres internes sans fin de l’Italie de son temps
5 - Repenser le “comment” du politique pour assurer la bonne finalité politique
B - PRINCIPALES THÈSES SUR LE POLITIQUE DE MACHIAVEL
1 - Une théorisation du politique, et non une théorie politique ou de la justification du pouvoir
2 - La distinction entre le fonctionnement politique et l’idéalisme politique, le primat du pouvoir
effectif
3 - Une perspective politique entièrement temporalisée, terrestralisée et humanisée
4 - Le cours de l’histoire n’a pas de sens, elle n’est que contingence événementielle
5 - La politique est action humaine, plus précisément la politique n’est qu’action politique
6 - Une redéfinition de la politique : l’art de bien gérer la cité et de la conservation du pouvoir
7 - Les deux notions essentielles de fortuna et de virtù
8 - L’exercice du pouvoir politique se confronte à la Fortuna
9 - La qualité du prince est la Virtù, l’art politique est l’adaptation au réel
10 - Les rapports Fortuna / Virtù
11 - La politique ne se réduit donc pas qu’à la volonté du prince ou à sa moralité
12 - Pour le Prince, l’impératif d’objectivité, de lucidité, de réalisme et de compréhension
13 - Une conduite politique situationnelle et pragmatique, proche du kaïros
14 - Le dévoilement de l’effectivité du pouvoir et de son contrôle, le stade “zéro” de la politique
15 - La dissolution des “légitimités naturelles” du pouvoir, le pouvoir est sa propre légitimité
16 - Le pouvoir ne connaît pas de règles morales naturelles puisqu’il n’y a pas d’ordre politique
naturel
17 - L’invalidation de l’aristocratisme, autre élément du scandale machiavélien
18 - Les moyens de la conservation du pouvoir ou de sa conquête
19 - L’homme n’est pas maître du jeu, mais de son jeu - la responsabilité de l’homme
20 - La virtù peut s’apprendre et s’enseigner, la politique peut ainsi devenir science
V CONCLUSION
1 - Un penseur qui sera enfermé dans Le Prince et le machiavélisme
2 - Mais qui ne laissera jamais indifférent, qu’on l’aime ou qu’on le déteste
Association ALDÉRAN © - cycle de cours “La philosophie de la Renaissance” - Code 4310 - 10/01/2011 - page 106