NANOPHYSIQUE INTRODUCTION PHYSIQUE AUX NANOSCIENCES 4. NANOTUBES DE CARBONE (partie 2) James Lutsko 2016­2017 Nanotubes de carbone • Introduction – Histoire – Carbone – Hybridization • Tight­binding calculations – Principe – Example: trans – Graphene liens – Graphene liens • • • • • Structure de carbone nanotubes Structure Electronique Synthesis Transport Multi­walled nanotubes Histoire de synthesis • La découverte de nanotubes de carbone – Nanotubes Multifeuillets (Iijima, Nature, 1991) – Nanotubes Monofeuillets (Iijima & Ichihashi Nature 1993, Bethune et al Nature 1993) • La découverte de méthodes efficaces de production des nanotubes monofeuillets (quantité de 1 gramme). – Laser vaporisation (Thess et al, Science, 1996). – Carbon arc method (Journet et al, Nature 1997). Je présente seulement deux méthodes ­ il ya beaucoup d'autres. Laser vaporisation Cible: graphite + catalyseur métallique à base de Ni, Co et Fe (pour produit des nanotubes monofeuillets). R. Saito, G. Dresselhaus & M. S. Dresselhaus, Physical Properties of Carbon Nanotubes (Imperial College Press, London, 1998) Température élevée empêche crystallziation Le gaz inerte agit pour transporter les tubes au collecteur. Propriétés très spécifiques: par exemple, presque seulement les nanotubes (10,10), (9,9) et (12,8) Arc vaporisation Le graphite se sublime à 3200C Arc electrique: ~30V, 50­120A avec deux electrode de graphite (plus catalyseur pour faire les nanotubes monofeuillet). R. Saito, G. Dresselhaus & M. S. Dresselhaus, Physical Properties of Carbon Nanotubes (Imperial College Press, London, 1998) L'anode se consume pour former un plasma. Le plasma se condense sur la cathode. Le gaz inerte fonction seulement pour contrôle la température. Un method qui n'est pas cher, qui est flexible, et qui produit le grand quantitie. Nanotubes de carbone • Introduction – Histoire – Carbone – Hybridization • Tight­binding calculations – Principe – Example: trans – Graphene liens – Graphene liens • • • • • Structure de carbone nanotubes Structure Electronique Synthesis Transport Multi­walled nanotubes Transport: les échelles • La moyenne parcours libre: Lm – La distance moyenne un électron se déplace avant qu'il répand à partir d'un centre de diffusion. • La longueur d'onde Fermi: λ F =2 π/ k F – La longueur d'onde de de Broglie pour les électrons à le niveau Fermi. • La longueur de relaxation de phase: Lϕ – La distance dans laquelle la phase d'un électron est préservée. Les collisions élastiques ne change pas le phase: seules les collisions qui changent l'énergie de l'électron. Donc, c'est la longueur moyenne entre des collisions inélastiques. Pour transport, c'est seul les électrons près de l'énergie Fermi qui participes. Donc, on introduit les éschelles de temps L m=v F t m , L ϕ =v F t ϕ Le temps de relaxation de la quantité de mouvement et le temps de relaxation de phase: ce sont les ℏkF temps pour un changement cumulatif de la quantité de mouvement de et de phase de Vitesse dans l'etats Bloch États de Bloch sont des états étendus et ont une vitesse typique. En effet, −1 ∂ E 〈v 〉=ℏ ∂k Preuve: L'action de la Hamiltonian sur un état de Bloch est H ψ=E ψ∧ψ(r)=e i k⋅r u(r)→ H (k) u(r )=E (k)u (r ) On demande le développement de l'énergie comme: 2 ∂E 1 ∂ E E (k+ q)=E (k)+q⋅ + qq⋅ +... ∂k 2 ∂k∂k Notez que la Hamiltonian peut être écrit comme ℏ2 1 ℏ2 2 H (k +q)= H (k)+ q⋅ ∇ + k + q m i 2m ( ) Donc, on peut developper l'effet de “q” avec la theorie de perturbation Vitesse dans l'etats Bloch Alors, il suit que 2 ( ( )) ℏ 1 2 E (k+ q)=E (k)+∫ ̄u (r) q⋅ ∇ + k u(r )d r +O (q ) m i On prende la limite de sorte que q→0 ∂ E (k +q) ∂E ℏ2 1 =lim q → 0 =∫ ̄u (r ) ∇ + k u(r ) d r ∂k ∂q m i ( ( ℏ2 1 ̄ (r ; k) =∫ ψ ∇ m i ( ( )) )) ψ(r ; k) d r 2 ℏ =〈 ψ∣ ∇ ∣ψ〉 im Mais, l'opérateur de vitesse est défini par v= Donc, on voit que dr =(1/i ℏ)[r , H ]= p / m=ℏ ∇ /mi dt ∂E =ℏ 〈v 〉 ∂k Ballistic transport L L≪ L m , L ϕ μ 2 −μ 1=eV Ballistic transport ↔ pas le diffusion des électrons; le libre mouvement des électrons. Le courant est transporté par des électrons ayant des énergies entre les deux resevoirs: μ1 > E q (k )>μ 2 Ballistic transport L L≪ L m , L ϕ μ 2 −μ 1=eV Prob. Que il y a un electron d'energie E_{q} I= ∑ μ 1 > E q (k )>μ 2 e t (q , k ) ( f ( E (k )−μ )(1− f (E (k )−μ )) −⏟ f ( E (k )−μ )(1− f (E (k )−μ )) ⏟ q 1 q 2 prob. qu'il y a un electron dans 1 et un trou dans 2 avec E q (k ) = ∑ μ 1 > E q (k )>μ 2 = q 2 prob. pour la courant inverse e ( f (E q (k )−μ1 )− f ( E q (k )−μ 2 )) L / v(q , k ) e ∑ v (q , k ) ( f (E q (k )−μ1 )− f ( E q (k )−μ 2 ) ) L μ > E (k )>μ 1 q 2 q 1 ) Ballistic transport L L≪ L m , L ϕ μ 2 −μ 1=eV e ∑ v(q , k ) ( f ( E q (k )−μ 1)− f ( E q ( k )−μ 2)) L μ > E ( k )>μ e −1 ∂ E q (k ) = ℏ ( f ( E q (k )−μ1)− f (E q (k )−μ 2 )) ∑ L μ > E ( k )>μ ∂k I= 1 1 q q 2 2 Repellez­vous que e I= × 2⏟ L dégénérescence × spin Δk= 2π L donc L −1 ∂ E q (k ) ×∑q ∫k > 0 ℏ f ( E q (k )−μ 1 )− f ( E q ( k )−μ 2 ) ) dk ( 2π ∂k = 2e ∫ ( f ( E−μ 1)− f ( E −μ 2 )) M ( E ) dE h Nombre des états (somme sur q, k) avec l'énergie E Ballistic transport L L≪ L m , L ϕ M μ 2 −μ 1=eV 2e ∫ ( f ( E−μ1)− f ( E −μ 2)) M ( E) dE h 2e ∼ M (μ 1 −μ 2 ) h 2 e2 ∼ M VC h I= h 1 1 12.9 ≡R = kΩ 0 2 M M M 2e −6 −1 G C =G 0 M = M ×77.5×10 Ω RC = “Contact resistence”: resistence sans diffuseur “Contact conductance” Classique transport L Lϕ ≪ Lm ≪ L Limite incohérentes: grande changement de phase dans le moyenne parcours libre M μ 2 −μ 1=eV Avec un seul diffuseur 2 2 2e 2e M 2 G= MT≡ ∑∣t ∣ h h ij ij R= R0 1 MT (L∼L m ) "Landauer formula" R fil =R−Rc =R 0 1−T R = R0 MT MT T =transmission probability R =1−T =reflection probability Classique transport L Lϕ ≪ Lm ≪ L M μ 2 −μ 1=eV Avec deux diffuseur ( L≫ L m) T2 T1 + T1 R R1 T2 2 + T 1T 2 1−R 1 R 2 1−T 12 1−T 1 1−T 2 = + T 12 T1 T2 T 12 = R fil =Rc 1−T T T 12 =T 1 T 2 ( 1+R 1 R 2 +(R 1 R 2 )2 +... ) T1 R 2 R1 R 2 R1 T2 Limite incohérentes: pas d'interférence donc, les probabilités somme. Classique transport L Lϕ ≪ Lm ≪ L M μ 2 −μ 1=eV Avec deux diffuseur ( L≫ L m) 1−T 12 1−T 1 1−T 2 = + T 12 T1 T2 1−T R fil =R0 MT R N = R0 R2 scatterers =R scatterer + R scatterer 1 2 (M constante) N 1−T j 1 1 L 1−T × ∑ j=1 =R0 , M M L T j T m (N diffuseur) T =transmission probabilite per Lm Classique transport L Lϕ ≪ Lm ≪ L M R fil = R 0 1−T L, M Lm T μ 2 −μ 1=eV T =transmission probabilite per L m Résultat classique: constante résistance pour unité de longueur Localization L Lm ≪ Lϕ ≪ L M Limite cohérentes: l'interférence est importante donc, les amplitudes somme. μ 2 −μ 1=eV t 12 = t1t2 1−r 1 r 2 e iθ ou est le décalage de phase T T T 12 =∣t 12∣2 = 1 2 1−2 √ R 1 R 2 cos θ+R 1 R 2 R 0 1−T 12 R 0 1+R 1 R 2 −T 1 T 2 R12 = 〈 〉= M T 12 θ M T 1T 2 R12 =R1 + R 2 + 2R 1 R 2 ( M / R0 ) Localization L Lm ≪ Lϕ ≪ L M Limite cohérentes: l'interférence est importante donc, les amplitudes somme. μ 2 −μ 1=eV R12=R1 + R 2 +2R 1 R2 ( M / R0 ) Soit partie 1 a longueur L est partie 2 longueur R ( L+Δ L)=R (L)+ R (Δ L)+2R ( L) R (Δ L)( M / R 0 ) dR( L) →Δ L =R(Δ L)+2 R( L) R (Δ L)( M / R 0 ) dL dR →Δ L =(R 0 / M )+2 R dL → R ( L)=(R 0 /2 M ) ( e 2 L/Δ L −1 ) lim L→ ∞ Δ L∼L m≪ Lϕ R ( L) →∞ L “Localization” Résumé: Types de Transport L≪ L m , L ϕ Ballistique Lϕ ≪ Lm ≪ L Classique Lm ≪ Lϕ ≪ L Localization Lm Lϕ diminue par rapport de la concentration d'impurities. diminue par rapport de la concentration de phonons (e g la température). DOUBLES NANOTUBES DE CARBONE Feuillets de graphène enroulés sur eux­mêmes Deux exemples de nanotubes à double paroi (DWNT): 6.1 nm armchair­armchair DWNT: (4,4)@(9,9) N1 = 400 N2 = 900 zigzag­armchair DWNT: (7,0)@(9,9) N1 = 406 N2 = 900 Moteur à axe en nanotubes de carbone A. M. Fennimore, T. D. Yuzvinsky, Wei­Qiang Han, M. S. Fuhrer, J. Cumings & A. Zettl, Nature 424 (2003) 410. Fréquence de rotation ~ Hertz 300 nm Zettl, Berkeley, USA But: détermination des propriétés mécaniques des nanotubes multifeuillets. Problème: pour un system si petit, on ne peut pas négliger l'effet de fluctuations thermique. Solution: nous devons formuler une dynamique qui comprend l'effet déterministe et stochastique. Plan: Un petit résumé de la théorie de la dynamique stochastique suivie par une présentation du projet de Servantes et Gaspard. Frequence > 1 Ghz Mouvement Brownien : Processus de Langevin Particule brownienne en suspension dans un liquide: rayon a = 1 m. équation de Newton pour son mouvement: 2 d r m 2 =F ext +F liq dt 1) force due à un potentiel extérieur: ∂U ext F ext =− ∂r 2) force due aux collisions avec les molécules environnantes: N F liq =∑i=1 − ∂U (r −r i ) ∂r 001 3) Approximation: Le liquide a deux effets : la particule donne énergie au liquide (friction visqueuse) et le liquide donne énergie à la particule (fluctuations) : 101 D'apres Stokes: 111 011 F liq =F visc + F fluc F visc =−mz dr dt La force des flucutations est aléatoire. mz=6 π a η Mouvement Brownien : Processus de Langevin ∂ U ext d2 r dr m 2 =− −mz + F fluc ∂ r dt dt L’équation de Newton avec cette force aléatoire ou stochastique est appelée équation de Langevin. 4) La nature de la force stochastique Pour décrire la force stochasique, on peut invoquer le théorème central limite selon lequel une somme de nombreuses variables est une distribution gaussienne. En particulier, sa moyenne statistique s’annule: 001 〈 F fluc 〉=0 Par ailleurs, les molécules se déplacent si vite que la force à un instant donné est essentiellement indépendante de celle à un instant suivant. Ceci se traduit en disant 101 011 que la fonction de corrélation statistique de la force est égale à zéro dès que t ≠ t’ 111 〈 F fluc (t) F fluc (t ')〉=0, t ≠t ' Mouvement Brownien : Processus de Langevin 4) La nature de la force stochastique: pour élucider la nature de la force stochasique, nous étudions un système sans force exterior pour laquelle nous nous attendons le comportement diffusif. d2 r dr m 2 =−mz +F fluc (t) dt dt t dr zt d r m e zt −m e =∫t e zs F fluc (s)ds dt dt 0 1 t − zs s zs ' −z(t −t ) −1 r (t )−r (t 0 )=z (1−e )v (t 0 )+ ∫t e ∫t e F fluc (s ' )ds ' m 1 t −z (t−t ) −1 =z (1−e ) v(t 0 )+ ∫t (1−e z (s−t) ) F fluc (s)ds mz 0 ( ) 0 0 0 0 0 0 2 〈 ( r (t )−r (0) ) 〉=z−2 (1−e−z(t −t ))2 〈 v (t 0 ) v(t 0 )〉 001 t 2 + 2 (1−e−z (t−t ) )∫t (1−e z ( s−t ))〈 F fluc (s) v (t 0 )〉 ds mz t 1011 t z (s−t ) z (s ' −t) 101 + ds ds ' (1−e )(1−e )〈 F fluc (s) F fluc (s ' )〉 ∫ ∫ 0 (mz)2 0 0 0 0 111 besoin de 〈v (t 0 ) v(t 0 )〉 , 〈 F fluc (s) v (t 0 )〉 Mouvement Brownien : Processus de Langevin 4) La nature de la force stochastique t v (t)−e− z (t−t ) v (t 0 )=m−1 e−zt ∫t e zs F fluc (s) ds 0 0 r (t )−r (t 0 )=z−1 (1−e−z(t −t ) )v (t 0 )+ 0 t≥t 1 >t 0 : 〈 v(t) F fluc (t 1 )〉−e −z(t −t 0 ) 1 t z (s−t ) (1−e ) F fluc ( s) ds ∫ mz t 0 −1 −zt 〈⏟ v (t 0 ) F fluc (t 1 )〉 =m e t ∫t 0 e zs 〈 F fluc (s) F fluc (t 1)〉 ds =0 〈v (t ) v(t 1 )〉−e t 0 →−∞ : −z (t −t 0 ) −1 −zt 〈 v (t 0) v (t 1 )〉=m e t ∫t 0 e zs 〈 F fluc ( s) v (t 1 )〉 ds t −1 −zt 〈 v (t ) F fluc ∫−∞ e zs 〈 Ffluc (s) Ffluc (t 1)〉 ds 001(t 1 )〉=m e t t1 〈 v (t ) v (t 1 )〉=m−1 e−zt ∫−∞ e zs 〈 F fluc (s) v (t 1 )〉 ds=m−1 e− zt ∫−∞ e zs 〈 F fluc (s) v (t 1)〉 ds 101 011 111 Mouvement Brownien : Processus de Langevin 4) La nature de la force stochastique − z (t−t 0 ) 2 −2 ⟨ ( r (t )−r (t 0 ) )( r (t)−r (t 0 ) ) ⟩=z (1−e ) ⟨ v(t 0 ) v (t 0 )⟩ t t 1 z( s−t ) z (s '−t ) + ds ∫t ds ' (1−e )(1−e )⟨ F fluc (s) F fluc (s ' )⟩ 2 ∫t (mz) 0 0 t ∫−∞ e zs 〈 Ffluc (s) Ffluc (t 1)〉 ds t −1 −zt zs 〈 v (t )v (t 1 )〉=m e ∫−∞ e 〈 F fluc (s) v (t 1 )〉 ds −1 −zt 〈 v (t ) F fluc (t 1 )〉=m e 1 Le modèle le plus simple: 〈 F fluc (t ) F fluc (t ')〉= γ δ(t−t ') −z (t −t 1 ) 〈 v (t ) F fluc (t 1 )〉= γ m−1 e 001 1 −z (t−t ) 〈v (t) v(t 1 )〉= γ e 2zm 2 1 101 011γ t γ z (s−t) 2 (1−e ) ds ∫ 3 2 t 2z m (mz) 111 γ γ 2 1 −z (t−t ) 2 −z(t −t ) −2 z(t −t ) = 3 2 (1−e )+ )+ (1−e )) 2 (t−t 0 − (1−e z 2 z 2z m (mz) ⟨ ( r (t)−r (t 0 ) )( r (t)−r (t 0 )) ⟩= − z(t−t ) 2 (1−e )+ 2 0 0 0 0 0 Mouvement Brownien : Processus de Langevin 4) La nature de la force stochastique ∂〈r i r j 〉 ∂P 2 2 = D ∇ P→ =∫ r i r j D ∇ P d r=2D δ ij ∂t dt Diffusion: 2D δ ij =lim t −t ≫1/ z 0 〈 ( ri (t)−r i (t 0 ) )( r j (t )−r j (t 0 ) ) 〉 γ = ij 2 t −t 0 (mz) “Fluctuation­dissipation relation” d2 r dr m 2 =−mz + F fluc (t ) , dt dt 〈 F fluc (t) F fluc (t ' )〉=2D(mz)2 1 δ(t −t ' ) 001 Aussi, 101 011 m 1 m 1 1 〈 v i (t ) v j (t)〉= k B T δij → γij = k B T δij → γij =2zmk B T δ ij →mzD=k B T 2 2 2 111 2 2 2zm “Einstein relation” Equations de Langevin et de Fokker­Planck d xi m =b i ( x)+ F i (t ), 〈 F i (t) F j (t ')〉=2Dij δ(t−t ') dt t →t k =k τ x i (t )→ x i (t k )≡x ik xik +1 −x ki δ kk ' K k k k' =b ( x )+ F , 〈 F (t ) F (t ' )〉=2D i i i j ij τ τ Equation de Langevin: Discrétisé: Distribution: p ( y ; t)≡〈δ(x (t)− y)〉→ p( y ; k)≡〈δ(x k − y)〉 Equation de Fokker­Planck: p ( y ; k +1)− p( y ; k ) δ( x k + 1− y )−δ( x k − y) =〈 〉 τ τ k +1 k k+1 k 2 x ki +1 −x ki ∂001 (x −x )( x −x k i i j j) ∂ =〈 δ( x − y)+ δ( x k − y)+...〉 τ k k k 2τ ∂ xi ∂ xi ∂ x j 2 x ki + 1−x ki ( x ki + 1−x ik )( x kj +1 −x kj ) k k ∂ ∂ 011 =− 101〈 δ( x − y)〉+ 〈 δ( x − y)〉+... τ ∂ yi ∂ yi ∂ y j 2τ 2 1 k111 k k ∂ ∂ =− 〈 ( bi ( x )+ F i ) δ( x − y)〉+ 〈 ( b i ( x k )+ F ki )( b j (x k )+F kj ) τ δ(x k − y)〉+... ∂ yi 2 ∂ yi ∂ y j Equations de Langevin et de Fokker­Planck xik +1 −x ki k k =b ( x )+ F i i , τ Equation de Langevin: δ 〈 F ki F kj ' 〉=2Dij τkk ' Equation de Fokker­Planck: p ( y ; k +1)− p( y ; k ) ∂ 〈 ( b ( x k )+ F k ) δ( x k − y)〉 =− i i τ ∂y i 1 ∂2 + τ 〈 ( b i (x k )+F ik )( b j ( x k )+ F kj ) δ( x k − y )〉+... 2 ∂ yi ∂ y j k k k =− ∂ bi ( y)〈δ( x − y)〉− ∂ 〈 F i δ( x − y)〉 ∂ yi ∂ yi 1 ∂2 + τ 〈 F ki F kj δ( x k − y)〉+... 2 ∂ yi ∂ y j k k 001 k k k k F et x sont non corrélés à cause de causalité, ainsi 〈 F x 〉=〈 F 〉〈 x 〉 , etc. 2 p ( y ; k +1)− p( y ; k) ∂ ∂ =− b ( y ) p( y ; k )+ D p ( y ; k )+O( τ) τ 101 011 ∂y i ∂ y ∂ y ij i 111 i j dp( y ; t) =− ∂ b i ( y) p( y ;t )− ∂ Dij p ( y ; t) dt ∂ yi ∂ yj ( ) Equations de Langevin et de Fokker­Planck Equation de Langevin: d xi m =b i ( x)+ F i (t ), dt 〈 F i (t) F j (t ')〉=2Dij δ(t −t ') Equation de Fokker­Planck: dp( y ; t ) =− ∂ b i ( y ) p( y ;t )− ∂ Dij p ( y ; t) dt ∂ yi ∂ yj ( ) Notez: Si la dynamique déterminée est conservatrice b i (x)=−K ij ∂V (x) ∂xj et s'il y a un relation fluctation­dissipation 001 il y a un état stationnaire.: 101 011 111 K ij=ϵ D ij ( ) ∂V 0=− ∂ −ϵ Dij p( y ;t )− ∂ D ij p( y ; t ) ∂ yi ∂ yj ∂yj ∂ D e ϵV p ( y ; t) = ∂ ∂ y i ∂ y j ij ( ) → p= Ae −ϵV Equations de Langevin et de Fokker­Planck Equation de Langevin: dr =v dt ∂ U ext dv m =−mz v− + F fluc (t), dt ∂r Equation de Fokker­Planck: 〈 F fluc (t ) F fluc (t ' )〉=2D(mz)2 1 δ(t −t ' ) p (r , v ; t) [ ] v 0 ∂p + ∇⋅J=0 avec J= 1 ∂ U ext p− ∂t 0 − −z v m ∂r 001 101 [( ] [ 2 ∂p ∂ 1 ∂u ext 2 ∂ p ∂ + ⋅v p+ ⋅ − −z v p = Dz 2 ∂t ∂r ∂v m ∂r ∂ v 011 111 ) [] ∂p 0 ∂r 2 ⋅ Dz 1 ∂ p ∂v ] Equation de Langevin et de Fokker­Planck : le cas de grand frottement Equation de Langevin: ∂ U ext d2 r dr m 2 =− −mz + F fluc (t) ∂r dt dt 〈 F fluc 〉=0, 〈 F fluc (t ) F fluc (t ')〉=2D(mz)2 1 δ(t −t ' ) Relation d’Einstein entre diffusion et friction (ou mobilité): D= k BT z Cas limite avec grand frottement: typiquement r (t )→ r̃ (t / z) donc, si s≡t / z : ∂U ext m d 2 r̃ d r̃ ̃ ̃ fluc 〉=0, 〈 F̃ fluc (t ) F ̃ fluc (t ')〉=2k B Tm2 1δ(s−s ') =− −m + F fluc (t ), 〈 F 2 2 ∂ r̃ ds z ds et le terme de deuxième ordre est négligeable. Dans ce cas 001 101 dr 1 ∂U ext 1 =− + F (t ) dt mz ∂ r mz fluc 011 111 dp(r ; t ) =− ∂ V i (r ) p (r ;t )− ∂ D p (r ;t ) dt ∂ ri ∂ ri ( ) Equation de Fokker­Planck [( ] 2 Equation de Fokker­Planck: ∂ p + ∂ ⋅v p+ ∂ ⋅ − 1 ∂U ext −z v p = Dz 2 ∂ p ∂t ∂r ∂v m ∂r ∂2 v solution stationnaire d’équilibre: ) [ 2 U (r ) mv p eq (r , v ; t )=N exp − − ext 2k B T kBT ] vérification: ∂2 p v Dzm Dz 2 =Dz 2 ∂ ⋅ −m p = ∂ ⋅− z v p = ∂ ⋅(−z v p ) Einstein relation ∂v kB T ∂v kB T ∂v ∂ v 2 [( ∂ ⋅ − 1 ∂ U ext ∂v m ∂r ( ) ( ) ∂U 1 ∂U ∂p ∂ v ∂ ⋅( z v p ) −z v ) p =(− ⋅ + ⋅ [ −z v p ] = ⋅ p − ] m ∂r ) ∂ v ∂v ( ∂r k T ) ∂v ext ext B ∂ ⋅v p= ∂ U ext⋅ v p ∂r ∂ r kB T 001 101 111 Equation de Fokker­Planck: 011 [( ] zk B T ∂2 p ∂p ∂ 1 ∂U ext ∂ + ⋅v p+ ⋅ − −z v p = ∂t ∂r ∂v m ∂r m ∂2 v ) PENDULE Equation de Langevin: d2 r dr m 2 =−k r−mz + F fluc (t ) dt dt 〈 F fluc 〉=0 2 〈 F fluc (t ) F fluc (t ')〉=2D(mz) 1 δ(t−t ' ) Période des oscillations: Temps de relaxation: ω= t relax = √ 1 z k m k 2 U ext = r 2 F ext =−k r √ 2π m T = ω =2 π k Pendule sous­amorti: effets inertiaux dominants: oscillations amorties T << t relax 001 Pendule sur­amorti: effets inertiaux négligeables: oscillations absentes dr k 1 =− r + F (t) dt mz mz fluc T >> t relax 101 011 111 (systèmes biologiques) Role des fonctions de correlation temporelle Mouvement brownien: friction et diffusion Friction: formule de Kirkwood [J. G. Kirkwood, J. Chem. Phys. 14 (1946) 180] entre le coefficient de friction et la fonction d’autocorrelation de la force fluctuante: 1 ∞ ∫−∞ dt 〈 F fluc (0)⋅F fluc (t )〉 6kB T 1 ∞ mz= ∫−∞ dt 〈 F fluc , x (0) F fluc , x (t)〉 2 kBT mz= Diffusion: formule de Green­Kubo [M. S. Green, J. Chem. Phys. 20 (1952) 1281; 22 (1954) 398; R. Kubo, J. Phys. Soc. Jpn 12 (1957) 570] entre le coefficient de diffusion et la fonction d’autocorrelation de la vitesse: 001 1 ∞ dt 〈 v(0)⋅v (t)〉 ∫ −∞ 6 101 011 1 ∞ D= ∫−∞ dt 〈v x (0)v x (t )〉 2 111 D= Formules d’Einstein­Helfand et de Green­Kubo: Diffusion Formule d’Einstein­Helfand: D=lim t →∞ 1 〈 ( x t −x 0 )2 〉 2t 1 ∞ ∫ dt 〈v x (0)v x (t)〉 D= −∞ 2 Formule de Green­Kubo: 1 〈 ( x t −x 0 )2 〉 2t t t 1 =lim t → ∞ 〈∫ v x (s1 )ds1 ∫ v x (s2 )ds2 〉 2t 0 0 D=lim t →∞ Connection: t t 1 =lim t → ∞ ∫ ∫ 〈v x (s1 ) v x (s2 )〉 ds1 ds2 2t 0 0 t =lim t → ∞ ∫ 〈 v x (t ) v x (s)〉 ds " l'Hospital's rule" 0 t 001 =lim t → ∞ ∫ 〈 v x (t −s) v x (0)〉 ds "stationnarité" 101 011 0 t ∞ =lim t → ∞ ∫ 〈 v x (u) v x (0)〉 du=∫ 〈v x (u) v x (0)〉 du 111 ∞ 0 1 = ∫ 〈v x (u) v x (0)〉 du 2 −∞ 0 "stationnarité" dx v x= dt