Correction II-‐b Comment l`entraînement modifie-‐t

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Correction II-­‐b Comment l’entraînement modifie-­‐t-­‐il le métabolisme musculaire et permet des Problématique contractions plus intenses et plus longues ? Eléments scientifiques issus des documents -­‐
Doc. 2 : les personnes entraînées présentent des réserves de glycogène musculaire plus importantes. -­‐
Doc 1 : un entraînement sportif est à l’origine de l’augmentation du nombre et de la taille des mitochondries. -­‐
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Doc 3 : chez un sportif entraîné pendant 21 semaines, l’activité des enzymes du cycle de Krebs est 2X plus importante. -­‐
Doc. 4 : chez un sportif entraîné, la quantité des lactates produits au niveau des muscles est moins importante que celle produite pat les muscles d’un individu non entraîné. les lactates peuvent être à l’origine d’une fatigue musculaire : un individu entraîné se fatiguera moins vite qu’un individu non entraîné lors d’un exercice physique. -­‐
Eléments scientifiques issus des connaissances acquises -­‐
Le glycogène est une forme de réserve de glucose utilisable par le muscle pour la contraction musculaire. -­‐
L’augmentation de la quantité de glycogène dans le muscle d’un sportif entraîné, de même que l’augmentation du nombre et de la taille des mitochondries et de l’activité des enzymes du cycle de Krebs favorisent la production d’ATP sur une plus longue durée. Le glucose est d’abord oxydé dans le cytoplasme des cellules des muscles puis dans les mitochondries au cours du cycle de Krebs. Au final, il y a production d’ATP. -­‐
Les fibres musculaires utilisent l’ATP pour leur contraction. -­‐
La fibre musculaire utilise l’ATP fourni, selon les circonstances, par la respiration ou la fermentation -­‐
L’entraînement favorise la production d’ATP par respiration au niveau des fibres musculaires. Conclusion : entraînement de longue durée è + de mitochondries dans les fibres I, + de glycogène stocké è + de respiration (cycle de Krebs) è + d’ATP è -­‐ d’acide lactique. • Organisation sous forme d’un argumentaire. • Utilisation de connecteurs logiques (D’après le doc…, je vois que…, « or » je Eléments de sais que…, …« donc » j’en déduis que…). démarche • Mise en relation logique entre documents et connaissances. • Orthographe et syntaxe correctes. • Conclusion courte qui réponde au problème. Barème : Démarche cohérente • problématique et conclusion clairs • mise en relation logique des documents et des connaissances Eléments scientifiques suffisants dans les 2 domaines 5 Démarche maladroite et réponse partielle à la problématique Eléments scientifiques suffisants dans 1 domaine et moyen dans l’autre OU moyen dans les 2 4 3 Aucune démarche ou démarche incohérente Moyen dans 1 domaine et insuffisant dans l’autre Insuffisant dans les 2 domaines Rien 2 1 0 
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