Dossier de Presse - La vie de michel muller est plus belle que la votre

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MM PRODUCTIONS et
KCRAFT&CO présentent
La vie de
Michel Muller
est plus belle
que la vôtre
SORTIE LE 26 JANVIER 2005
Durée : 1 h 30 / Format : 1.85 / Son : Dolby SR
UNE COPRODUCTION MM PRODUCTIONS KCRAFT&CO ENTREVUE SUPER SONIC
Michel Muller triomphe au théâtre Déjazet dans son one man show, signe des autographes, et
même Luc Besson lui commande l’écriture d’un film dont il souhaite lui confier la réalisation.
Bref, Michel vit à cent à l’heure, avec à ses côtés une bande de potes fidèles qui le suivent
partout jusque dans ses tribulations nocturnes. Tout va pour le mieux dans le meilleur des
mondes… celui du show-bizness.
Pourtant, quand il accepte qu’une équipe de reporters le suive 24h / 24h, sa vie va basculer.
La présence permanente d’une caméra et d’un micro dans son quotidien professionnel et privé
va faire vaciller peu à peu ses certitudes. L’enthousiasme laisse place aux doutes.
synopsis
Michel se rend compte qu’il n’a pas le talent qu’il pensait avoir, et que ce qu’il écrit est d’une
pauvreté abyssale. Dès lors, il aura les plus grandes difficultés à accepter l’équipe de reporters
qui le suit. Michel tentera de leur échapper par tous les moyens, avant de comprendre que son
salut réside finalement dans le documentaire qui lui est consacré.
Michel Muller est né le 9 septembre 1966 à Vienne en Autriche.
Après avoir fait quelques études supérieures, il se lance dans le one man show.
Sa première grande scène, c’est le Théâtre du Splendid. Puis il enchaîne avec le Café de la gare,
le Palais des glaces et le Théâtre Déjazet.
Il devient plus connu du grand public avec sa rubrique Fallait pas l’inviter sur Canal +.
Au cinéma, il a joué dans Wasabi aux côtés de Jean Reno,
ainsi que dans
La vie est à nous de Gérard Krawzick (en cours de réalisation),
mais aussi dans
C’est pas moi c’est l’autre, Les Daltons, Mauvais Esprit,
Fanfan la tulipe, Taxi 2, Promenons-nous dans les bois,
Recto Verso, Comme un poisson hors de l’eau,
Asterix et Obelix contre César, Cuisine Américaine et Train de Vie.
biographie
Comment l’idée de ce film vous est-elle venue ?
Oh là ! j’en sais rien. Il y a quelques années, une équipe m’a suivi. Pendant trois jours, j’avais
une caméra collée au train du matin au soir, mais aussi du soir au matin. Tu téléphones : ils te
filment. Tu manges : ils te filment. A un moment donné, tu ne manges plus normalement.
T’essaies de manger “mieux”, tu ne mets plus tes coudes sur la table… Heureusement que ce
reportage n’a jamais été diffusé.
Bon, Michel Muller, votre film, c’est un documentaire ?
Oui et non, c’est l’illusion souhaitée au début du film. En fait, le film commence comme un
reportage dans les coulisses du show-biz, puis petit à petit il glisse vers la fiction.
interview
Tout était écrit à l’avance alors ?
La plupart des scènes étaient écrites comme on peut les voir dans le film.
Mais ça ne nous a pas empêché d’improviser pour leur redonner plus de vie, les bousculer
quelque peu. D’autre part, j’avais la chance d’avoir des comédiens avec qui il m’a été
facile d’improviser. Ils ont joué en faisant appel à ce qu’ils sont un peu dans la vie,
et, à l’arrivée, cela donne un jeu assez naturaliste. Le ton du film, vient aussi beaucoup de cela.
Et tout ça, est-ce quand même la vraie vie de Michel Muller ?
Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existé est le fruit de votre imagination
malade et serait entièrement fortuite… Le personnage principal fait mon one man show, il a
bossé à Canal + et il porte mon nom. Pour le reste, je me suis surtout inspiré des gens que j’ai
croisé depuis que je flirte avec ce métier.
Pourquoi votre personnage est-il à ce point antipathique ?
Il est vrai que c’est un type odieux, mais j’accepte d’endosser une partie de sa connerie. En
fait, dans ce film, il y a un peu de moi et un peu de ce que je ne voudrais pas être…
Parlez-nous de la mise en scène.
On a beaucoup préparé le film avec le chef opérateur, Vincent Muller (non, on n’est pas de la
même famille). Il avait une grande connaissance du documentaire. On en a vu des tas, des
vrais et des faux (This is Spinal Tap, et, bien sûr, C’est arrivé près de chez vous). Ensuite, on a
fait le choix de jouer avec le “mauvais cadrage” pour donner la sensation que, de temps en
temps, le cadreur était pris de vitesse.
Vincent Muller et Pascal Blanc (l’ingénieur son) jouent leur propre rôle dans le film.
Quand je leur ai demandé d’être comédiens, ils ont eu peur de ne pas être justes. On a fait des
essais, et comme cela me convenait, ça les a rassuré. Depuis, ils se sont pris au jeu, ils ne me
lâchent plus, j’essaie de leur expliquer que c’était un film.
C’était dur de réaliser et de jouer en même temps ?
Non, il suffit de manger équilibré pour garder la forme. Et puis, travailler pas mal sur l’endurance : course à pied, vélo, natation…
Quel regard portez-vous sur ce film maintenant qu’il est fini ?
C’est comme après l’amour, je recommencerais bien, mais en même temps j’ai sommeil.
Vous connaissiez certains des comédiens ?
J’ai rencontré la plupart d’entre eux lorsque je faisais Fallait pas l’inviter sur Canal +. On se
connaît maintenant tellement bien qu’il m’est possible d’écrire pour eux comme pour moi. En
impro, je me suis permis des choses avec eux car je savais comment ils allaient réagir. Je ne
l’aurais peut-être pas fait avec d’autres comédiens.
Et le vigile de la fin, il est incroyable, comment l’avait vous dégoté ?
C’est un ovni… une comète… Au départ, il était projectionniste à la FEMIS. Il connaît toute la
jeune génération du cinéma français. Il a serré la louche à tout le gratin ! C’était normal qu’on
travaille ensemble.
Pierre-Ange Le Pogam, qui joue dans votre film, est l’associé de Luc Besson à Europa Corp. Vous
n’êtes pas tendre avec eux, notamment lorsqu’il dit que Besson écrit six films en une semaine…
J’ai trouvé ça génial qu’il ait accepté. Il ne m’a pas fait retirer une seule ligne de texte !
Besson a vu le film ?
Oui, et il m’a demandé où j’en étais de ce scénario sur ces types qui arrêtent de se branler…
je me suis remis au travail, fini de rigoler…
Vous avez un sacré casting : Depardieu, Benguigui, Elie Semoun, Jean Dujardin, Bruno Solo,
Claude Miller, Noëlle Bréham, Maurad.
J’ai pris les meilleurs. Après casting. Je vous dis pas la liste de ceux que j’ai refusé !
Gérard Depardieu, ça a été facile. Je lui ai demandé s’il acceptait de venir tourner gratuitement,
il m’a répondu “Oui, mais je te roule une pelle, c’est le tarif”.
Depardieu bourré ?
Non, c’est simplement un grand comédien. Je cherchais quelqu’un qui puisse jouer les mecs
bourrés, j’ai tout de suite pensé à lui… c’est fascinant, on y croirait et pourtant il était à jeun…
je vous le jure.
Initialement conçu dans l’esprit d’un hommage à François Truffaut, le tournage du film avait été envisagé
aux studios de la Victorine. La construction des 53 décors nécessaires était sur le point d’être lancée
quand il fallut se rendre à l’évidence que le ciel niçois ne ressemblerait jamais au ciel de Paris. La
scène d’ouverture, devant une Grande Halle de la Villette reconstituée, risquait d’en pâtir. Michel Muller
se souvint alors de Mauvaise graine que Billy Wilder (viennois comme lui) tourna directement dans les
rues de Paris. Il prit la décision irrévocable de transposer toute l’action du film en décor naturel.
La seconde décision qui acheva de donner au film sa couleur finale est elle aussi née d’une contrainte. Au
départ, les techniciens et comédiens du film devaient tous s’appeler Muller. L’engagement du chef opérateur, Vincent Muller, fut un moment d’enthousiasme, mais devant le refus de Jean Benguigui et de Gérard
Depardieu de poursuivre leur carrière sous les noms de Jean et Gérard Muller, alors même que Claude
Miller était sur le point de céder, Michel décida que tout le monde pourrait conserver son nom.
note de
production
Puisque nous allions tourner entièrement en décor naturel, puisque chacun allait travailler sous son vrai
nom, autant pousser la logique jusqu’au bout : c’est par le truchement du documentaire que les thèmes
du film seraient désormais abordés. Du reste, auto-fiction, vertiges et charlataneries du vedettariat, passion du cinéma, voyeurisme de la télé-réalité avaient tout à gagner de ce traitement.
Paradoxalement ce fut au montage que cette option documentariste fut la plus dure à tenir tant les
habitudes du genre flirtent actuellement avec celle de la fiction. Mais partant du principe qu’il vaut
mieux dérailler que railler, la fin du film, elle, découle uniquement des règles de la fiction.
GUILLAUME GODARD
LUDOVIC BERTHILLOT (Ludo le chauffeur)
Après avoir passé quelque temps au Studio
Pygmalion, il intègre la troupe de théatre
“Les improbables”, puis se tourne vers le cinéma,
où nous avons pu le voir dans Confidences trop
intimes de Patrice Leconte, Bloody Mallory de
Julien Magnat, Wasabi de Gérard Krawzick, et dans
Tais-toi, avec Jean Reno et Gérard Depardieu. Il a
aussi de nombreux téléfilms à son actif, et il était
l’un des personnages récurrents de la série de
Michel Muller sur Canal + Fallait pas l’inviter.
Il sera prochainement à l’affiche de 36, quai des
Orfèvres d’Olivier Marchal et de Banlieu 13 de
Pierre Morel.
FRANK MOLINARO (Franky le copain)
Il a fait le conservatoire National de Paris, puis a
travaillé essentiellement au théâtre avec, entre
autres, Jacques Lassale et Jacques Michet. A la
télévision, il a travaillé avec Jean-Paul Lienfeld, et
surtout Michel Muller dans Fallait pas l’inviter.
THIERRY GODARD (Titi l’ami d’enfance)
Comédien de théatre, il a été formé chez Robert
Cordier et Jean Claude Penchenat. Il est actuellement en tournée avec un spectacle d’Eric Vignier
intitulé Où boivent les vaches, et en répétition au
théatre de la Tempête (Vincennes) pour une pièce de
Jean-Marc Canteri Initial DJ. A la télévision, il a
joué dans Mer belle, Mer agitée de Pascal
Chaumeil, et est l’un des comédiens principaux
d’Engrenage, série diffusée prochainement sur
Canal +. Au cinéma, nous le verrons dans Gloria
Mundi, un film de Nico Papatakis et dans Je préfère
qu’on reste amis, un film d’Eric Toledano et
Olivier Naccache.
les amis
SOPHIE CATTANI (Elisa l’assistante)
Formée comme comédienne à la Rue Blanche, elle
a principalement travaillé au théâtre avec Michel
Raskine, Laurent Frechuret et Laurent Pelly. Elle
crée sa compagnie “ILDI ! ELDI” en 2003. Elle
prévoit actuellement de reprendre le spectacle
Pulsion de Kroetz.
GILLES NICOLAS (le metteur en scène)
Il a commencé par une formation de danse
contemporaine à Rennes où il crée la compagnie
“Mouvance”. Il a créé le “Le Lavoir Moderne
Parisien” en 1985 avec Hervé Breuil, puis fonde
sa propre compagnie de théatre. Il a collaboré
avec de nombreux metteurs en scène de théatre en
tant que chorégraphe (Adel Akim, Elisabeth
Chailloux, Lisa Wurmser et Camilla Saraceni). Il a
aussi mis en scène le spectacle de Michel Muller
au Palais des Glaces et au théâtre Dejazet, puis a
participé en tant que comédien à la rubrique Fallait
pas l’inviter.
FRED SCOTLANDE (Fred le scénariste)
Comédien et auteur, il joue son propre rôle dans le
film. Il a commencé à écrire au sein de l’équipe de
Fallait pas l’inviter, avant d’être l’auteur de nombreux épisodes de Un gars, une fille et de
Samantha.
CHRISTOPHE ROUBERT (le vigile)
Il a travaillé à la FEMIS pendant 15 ans en tant
que projectionniste et bibliothécaire. Puis, à la
télévision, a principalement joué avec Michel
Muller dans divers programmes courts, et plus particulièrement dans la rubrique Fallait pas l’inviter
diffusée sur Canal +.
SEB CHERVAL (Seb le scénariste)
A fait l’école du Théâtre National de Saint-Etienne
et joue au théâtre, à la télévision et au cinéma.
Depuis quatre ans, il travaille plus particulièrement
à l’improvisation clownesque.
REMY ROUBAKHA (Victor le régisseur)
A beaucoup travaillé au théâtre avec Jean-Luc
Moreau, Stephane Meldeg et Patrick Braoudé. A la
télévision, il a été dirigé par Serge Maynard et
Dominique Baron, et enfin, au cinéma, par Alain
Robak, Patrick Braoudé, Artus de Penguern, Xavier
Beauvois et Benoît Jacquot.
DAN HERZBERG (Dan le scénariste)
Formé chez Vera Gregh, il a longtemps fait du théatre et du Café théatre, tout en étant musicien. Puis à
la télévision et au cinéma, il a travaillé avec Luc
Besson et Claire Denis (on l’a vu entre autres dans
Taxi 1, et dans Beau travail)
Au cinéma, on le verra dans le film de Guy Jacques
The Film, et dans celui de Philippe Harel Tu vas rire
mais je te quitte.
liste
technique
Réalisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Michel Muller
Scénario . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Michel Muller / Antoine Benguigui / Christophe Bettati
Image . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Vincent Muller
Son . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Pascal Blanc
Montage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gianni Collot
Mixage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Jean Holtzmann, Benjamin Viaud
Direction de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sophie Stenhouse
1er Assistant Réalisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cédric Bernard
Administration de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Elisa Cornillac
Costume . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Anouschka
Régie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Johanna Colboc
Casting . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Annette Trumel
Scripte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Annick Reipert
Jean Benguigui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Jean Benguigui “dans son propre rôle”
Ludo, le chauffeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ludovic Berthillot
Elisa, l’assistante . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sophie Cattani
Titi, l’ami d’enfance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Thierry Godard
Pierre-Ange Le Pogam . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Pierre-Ange Le Pogam “dans son propre rôle”
Frank, le copain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Frank Molinaro
Gilles, le metteur en scène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gilles Nicolas
Victor, le regisseur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Remy Roubakha
Le vigile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Christophe Roubert
Fred le scénariste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fred Scotlande
Seb le scénariste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Seb Cheval
Dan le scénariste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dan Herzberg
AVEC LA PARTICIPATION DE
Noëlle Bréham
Gérard Depardieu
Jean Dujardin
Maurad
Claude Miller
Elie Semoun
Bruno Solo
liste
artistique
RELATIONS PRESSE MIAM / NATHALIE IUND ET BLANCHE-AURORE DUAULT
94 rue Saint-Lazare 75009 Paris
tél : 01 55 50 22 22 fax : 01 55 50 22 23
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DISTRIBUTION FRANCE KCRAFT&CO
26 avenue Emile Zola 75015 Paris
tél : 01 44 37 44 47 fax : 01 44 37 40 47
Maud Saussaye : 06 10 81 04 07 mail : [email protected]
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4 bis rue Saint-Sauveur 75002 Paris
tél : 01 40 13 05 85 fax : 01 42 33 34 00
MM PRODUCTIONS
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