Base génétique pour opioïde Sensibilité dans les traitements de la

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23/02/2017
Base génétique pour opioïde Sensibilité dans les traitements de la douleur ­ Capitol Institut de la douleur
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Scott E.
Base génétique pour opioïde Sensibilité dans
les traitements de la douleur
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Capitol Institut Pain (IPC) a récemment rapporté comment la
Food and Drug Administration américaine (FDA) se penche sur
l'inquiétante augmentation de l'abus et de la dépendance des
analgésiques opioïdes . Maintenant, il y a une nouvelle étude
impliquant une variation génétique spécifique du peut être
responsable de la sensibilité aux opiacés et comment les patients
différents répondront inégalement au même niveau de
médicaments.
médicaments contre la douleur à base d'opioïdes fonctionnent en
activant le récepteur mu­opioïde situés principalement dans le
système nerveux central ou du système nerveux périphérique. Ils
sont utiles en ce qu'ils permettent de diminuer la perception de la
douleur que ressent le patient.
Mais les médicaments opioïdes peuvent également être très
addictif et des symptômes de sevrage si arrêté brusquement.
Pour compliquer encore les choses, et non pas chaque patient
répond à ces types de médicaments contre la douleur de la
même façon. Une sous ­ population de patients ne reçoit pas le
même soulagement de la douleur à partir des doses standard. La
nouvelle étude souligne que les chances sont que ces patients
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particuliers peuvent posséder une variation génétique spécifique
qui les rendent moins sensibles aux opioïdes et plus sujettes à la
dépendance que les autres ..
«Certaines personnes ne semblent pas répondre aussi bien, et
les doses doivent être soulevées afin d'avoir un contrôle adéquat
de la douleur, mais cela augmente les risques d'effets
secondaires, y compris la dépendance", a déclaré Priyank Kumar,
PhD, professeur adjoint et directeur de la recherche en
laboratoire au Touro College of Pharmacy à New York, New York.
Dans la nouvelle étude opioïde, le Dr Kumar avec ses collègues
Drs. Zvi Loewy et Maureen Sullivan a effectué une revue de la
littérature explorant comment une mutation génétique dans le
gène récepteur μ­opioïde (OPRM1) ­ A118G ­ pourrait influencer
le métabolisme des médicaments et de la toxicomanie. Leur
examen a produit de nombreux aperçus sur les implications de
A118G, et ces médecins suggèrent le dépistage des patients
avant de recevoir la pharmacothérapie par les opioïdes.
Bien qu'il existe des doses standard fixées pour différents
médicaments opioïdes, les patients avec le polymorphisme
A118G ne peuvent pas bénéficier d'un allégement suffisant de la
douleur à partir des dosages typiques standard. Il est
caractéristique que négativement pourrait affecter les résultats
des patients, en particulier post­chirurgie.
Par exemple, l'un des effets indésirables les plus courants
associés à la gestion de la douleur post­chirurgicale, la
dépression respiratoire se produit dans environ 41% des patients
post­op. La variation génétique est pas une anomalie mineure
dans des populations de patients, cependant. Selon le Dr Kumar,
une étude dans la revue de la littérature a rapporté 64,7% d'une
cohorte de patientes caucasiennes souffrant de migraine avec
aura a testé pour le polymorphisme, et une autre étude a révélé
85% des Caucasiens avait associé à la variante génétique.
Malheureusement, les patients avec le polymorphisme A118G
affichent également plus la sensibilité à la dépendance. Par
conséquent, la simple augmentation de la posologie est pas une
réponse. Toutefois, sachant que les patients ont la variation
génétique pourrait être utile pour prendre des décisions de
traitement plus précis, efficaces et de pratiquer la prudence avec
l' utilisation des opioïdes à long terme. " Les tests génétiques se fait régulièrement lors du traitement de
maladies comme le cancer, et de nombreux médicaments sont
conçus sur la base de ces informations. Mais pour les
médicaments contre la douleur, comme le dépistage génétique
est pas populaire ", a déclaré le Dr Kumar.
Malgré le fait de plus en plus évident des implications cliniques
associées au polymorphisme A118G, les coûts associés aux tests
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génétiques ont été un facteur prohibitif. Nous à l'IPC espérons
que les tests génétiques devient plus accessible et applicable à la
pratique clinique, nos médecins de la douleur et les spécialistes
peuvent utiliser l'information pour améliorer les options de gestion
de la douleur pour les groupes vulnérables des patients en
optimisant ainsi les thérapies et les méthodologies de gestion de
la douleur dans les années à venir.
Les références:
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L'évaluation de l'effet d'opioïde μ­A118G récepteur
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sociale
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