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Remerciements
Si, certains voient dans le travail doctoral un (long) processus solitaire, ce n’est pas mon
cas. Mon parcours de thèse n’aurait pas été possible sans de multiples soutiens d’ordre matériel,
politique ou psychologique.
Mes remerciements vont en premier lieu à Pierre-Yves Gomez qui a permis mon entrée
au sein de l’Institut Français de Gouvernement des Entreprises, où j’ai trouvé un lieu d’échanges
exceptionnel pour mener à bien mes recherches. Son exigence et sa hauteur de vue ont alimenté
de nombreux échanges au cours desquels j’ai beaucoup appris. Pierre-Yves s’est en outre rendu
disponible aux moments clefs du travail doctoral me permettant, entre autres, de respecter mes
engagements professionnels. Je salue au passage les membres de l’IFGE, en particulier, Bertrand
Valiorgue pour les nombreuses discussions qui ont ponctué le cheminement de nos pensées
durant ces cinq dernières années, Xavier Hollandts pour ses conseils expérimentés, Nicolas
Aubert pour avoir partagé une partie de son vaste réseau provençal et Catherine Perrier, dont la
maîtrise des rouages de l’IFGE et de l’EM LYON n’a d’égale que sa gentillesse. De nombreux
échanges avec les membres de la faculté d’EM-LYON ont également nourri mon travail. A ce titre,
je remercie en particulier Zied Guedri, Philippe Monin, Emmanuelle Dontenwill, Franck Azimont,
et David Courpasson.
Outre le financement de mes recherches pendant trois ans, je dois beaucoup à Christian
Caye, Délégué au Développement Durable de VINCI ainsi qu’{ Nathalie Martin-Sorvillo, alors
Chargée de mission Développement durable de VINCI. Ils m’ont ouvert les portes de ce fleuron
de l’économie française, des comités de direction du holding jusqu’aux chantiers de construction.
Une thèse en contrat CIFRE est un exercice périlleux, parfois difficilement compatible avec des
logiques opérationnelles. J’ai tout { fait conscience des risques qu’ils ont pu prendre pour me
suivre sur ce chemin { l’issu incertaine. La discussion « animée » avec l’un des membres du
Comité Exécutif en 2006 restera, j’en suis sur, un des moments forts de ma vie de thésard. De tels
engagements permettent le dialogue entre chercheurs et praticiens, dialogue ô combien
nécessaire pour mettre la recherche au service de l’action, sans perdre de vue ce qui fait la
qualité d’une démarche scientifique. Grâce au soutien de Christian et Nathalie, mes questions de
recherche ont suscité des discussions avec des interlocuteurs très variés au sein de l’entreprise.
Je remercie à ce titre Edwin Beguermont, Jean-Capiemont, Louis Demilecamps, Denis
Didierlaurent, Christophe Gobin, Franck Lebreuil, Emmanuel Musche, Pascal Roux, Françoise
Sœur, Jean-Claude Weil ainsi que l’ensemble des personnes qui ont accepté de m’accorder de
leur temps durant ces trois années. J’espère ne pas avoir trahi leur propos en analysant certains
de nos échanges.
Ma formation de chercheur est aussi redevable { plusieurs collaborations qui m’ont
donné goût à cette posture particulière. A ce titre, Pierre Lascoumes, alors en charge du DEA de
Politiques Publiques à Sciences-Po, a été le premier à penser, avant moi-même, que je pouvais
mener une carrière de chercheur. Eva Boxenbaum m’a permis, entre autres, de découvrir le
fonctionnement de l’univers académique anglo-saxon et l’exigence de l’écriture en vue d’une
publication dans les revues de référence. Je remercie particulièrement Pauline Fatien et Aurélien
Acquier pour leur disponibilité et leurs remarques constructives.
Il me faut également souligner le rôle joué par la faculté et la direction de Grenoble Ecole
de Management qui m’ont fait confiance en 2008 et notamment Raffi Duymedjian, Clemens
tel-00485050, version 1 - 19 May 2010