LYCEE ALPHONSE DAUDET, NIMES. Fiche architecture

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LYCEE ALPHONSE DAUDET, NIMES. Fiche architecture
Fiche d’identité technique
Photo © Domaine public
Date de la construction : XIXe siècle
1881-1883, inauguration des travaux d’agrandissement
du lycée de garçons occupant l’ancien collège des
Jésuites en 1883.
Le 12 novembre 1881 le budget concernant le lycée est
voté : 3,2 MF lui seront consacrés. Maître d’ouvrage : la
réaffectation des locaux de l’hôpital Saint -Jacques est
décidée le 23 février 1881 par le Conseil municipal de la
ville de Nîmes. Nom des architectes : les travaux sont
confiés aux architectes Lucien Feuchère et Alfred Randon
de Grolier.
De cette même époque (1887-1889) date la grande
horloge très originale de la rotonde d'angle face aux arènes attribuée à l'architecte Auguste
Augière. Maître d’ouvrage : la région Languedoc-Roussillon. Appels d’offre : Languedoc-Roussillon
Aménagement, agissant au nom et pour le compte de la Région Languedoc-Roussillon
De 1991à 1995 : rénovation commencée Jean-Michel Wilmotte, architecte puis jusqu’en 2014,
agence d’architectes : SCP Denis Boyer-Gibaud, François Percheron-Assus
1993 : salle Terrisse (1000 m2) et salle de gym (600 m2)
1991-1994 : CDI (800 m2)
1997-1998 : salle des professeurs
1999 : Maison des lycéens et bâtiment Tédenat
2002 : self et vie scolaire
2003 : gymnase et salle de musculation
2006 : galerie d’exposition
2006 : bibliothèque
2009 : restructuration de l’internat
2011 : cour d’honneur
2013-2014 : aménagement de quatre cours
Budget : 21,9 millions d’euros pour sa restructuration et sa réhabilitation
J’observe
Une architecture scolaire du XIXe siècle : l'établissement est
depuis 2007 classé monument historique pour sa plus grande partie.
En 1796, l’Hôpital devient l’Hospice d’Humanité. La municipalité a
entrepris de réaménager et d’embellir le tour de ville : les remparts
sont détruits entre 1786 et 1793. L’hospice fait tache sur l’avenue
créée et il s’avère impératif de lui redonner un nouvel aspect, plus
digne du boulevard Napoléon, d’où le projet de création de façade
(1810).
Photo © Domaine public
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J’observe
Le traitement des façades
Le traitement de la façade sur le boulevard : le lycée a conservé l’imposante façade académique de
style néoclassique de l’ancien hôpital (réalisée dès 1807 sur les plans de l'architecte Charles Durand
et inaugurée en 1810). Elle fait référence à l’amphithéâtre romain à proximité : les arènes de Nîmes.
Cette façade est classée. Son inscription aux Monuments historiques est décidée par arrêté du 4
juillet 2007.
légende : Frise dorique Photo ©DAAC/Chantal Sériex
Le rythme répétitif des ouvertures de la façade
Les 29 arcades, (les baies du rez-de-chaussée) étaient à l’origine ouvertes pour donner accès à des
boutiques louées à des commerçants, un moyen pour l’hôpital de s’assurer des revenus
complémentaires. Elles étaient surmontées de deux bandeaux formant l’entablement. L’enfilade
des ouvertures du niveau supérieur, à l’origine les salles communes de l’hôpital), la frise dorique au
sommet de la façade, alternant triglyphes (stries verticales) et métopes (panneaux) étaient ornées
de scènes figurées dédiées à l’art de la médecine.
La rotonde d'angle face aux arènes est attribuée à l'architecte Auguste Augière. Son architecture
est typique de l'éclectisme de la fin du XIXe siècle, supportant l’horloge richement décorée
d'allégories en tous genres et la grande arcade qui abrite le cadran, soutenue par deux massives
colonnes de marbre.
Une entrée monumentale
Cet édifice est le Palais des Arts construit au début de la Troisième République. L'architecte de la
ville, Granon, procède alors à l'aménagement d'un hall avec des escaliers monumentaux sur voûtes
et piliers aux riches décors et une cour d'honneur en lieu et place de l'ancienne chapelle de l'hôpital
et de l'hospice d'humanité avec
les colonnades à portiques alors réemployées.
La
bibliothèque date de 1875
L’héritage architectural du Palais des Arts
L’architecte Léon Feuchere sut récupérer avec brio la monumentalité du décor des vastes salles : il
installa la salle des fêtes dans la salle des peintures et surtout, réhabilita une partie de la salle
Gower pour y installer la nouvelle chapelle du Lycée : le vestiaire devint la sacristie, le tableau
s’inscrivant dans le cintre. L’autel fut placé en avant des colonnes.
Les volumes des bâtiments
Les principes architecturaux sont caractérisés par une vision d’entité unique, un ensemble fermé sur
l’intérieur qui suit des systèmes proportionnels et des tracés régulateurs. L'ensemble du lycée est
divisé en quatre cours par un vaste bâtiment en forme de croix. Son intersection est occupée par
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une sorte de tour carrée massive couverte d'une toiture à quatre pans qui renferme le grand
escalier central desservant les étages supérieurs. Deux autres cours sont présentes au nord,
derrière l'ancienne salle des fêtes, l’actuelle salle Jacques Terrisse.
La qualité des matériaux employés
Les matériaux traditionnels employés dans un style académique alors en vogue sont les suivants : la
brique en alternance avec la pierre, les frises en céramique émaillée à décors floraux courant le long
des façades (prémisses de l'art nouveau) et soutenant les préaux des cours, des colonnes en fonte
de fer ouvragées issues de fonderies marseillaises.
On remarque également les pilastres en pierre de style néoclassique sur la coursive donnant sur la
cour d’honneur, la charpente en « enrayure » dans le pigeonnier, les voûtains émaillés (salle des
professeurs, vie scolaire, accueil élèves)
Photo Voutain
La lumière provient des grandes baies. On observe des jeux d’ombre et de lumière dans les
passages, dans les galeries couvertes et les coursives.
Caractéristiques esthétiques
- En référence à l’architecture de l’amphithéâtre (les arènes), les 29 arcades surmontées de deux
bandeaux forment un entablement.
- Un décor d’ordre dorique reconnaissable à la corniche à mutules de la façade principale.
- Les fenêtres marquées par les chambranles et larmiers soutenus par les consoles,
J’interroge
La réhabilitation des années 2000 : le cahier de charges de l’architecte.
L’adaptation aux normes de sécurité contraignantes est parfois contradictoire avec la conservation
ou la valorisation du patrimoine.
©DAAC/Chantal Sériex
Je compare
- La restructuration actuelle aux documents d’époque : les choix architecturaux, techniques,
esthétiques, l’organisation des espaces.
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-
les types de construction et leurs différentes et nouvelles fonctions, la
terrasse, les salles de classe, la bibliothèque et leurs rénovations.
Je repère
- Le style néoclassique de la bibliothèque, de l’ancien Palais des Arts, le
dessin de la coupe du mur par l’architecte de la ville, Granon, au XIXe
siècle et les indices de sa signature ;
- les matériaux des différentes époques (des colonnes et pilastre en pierre
de Chaumérac aux matériaux contemporains).
Photo ©DAAC/Chantal Sériex
- la qualité des matériaux utilisés, des éléments du nouveau langage aux éléments de langage
-
-
architectural ancien réactualisé : métal, verre, pierre, brique ;
l’emploi du métal pour les pupitres de la salle de documentation, les rampes d’escaliers, les
passerelles, les radiateurs s’intégrant aux allèges, les poutres métalliques du plafond
d’origine. Dans la salle des professeurs, les garde-corps métalliques contemporains des
mezzanines dialoguent avec la présence des voûtains vernissés ;
le béton brut dans le CDI et la salle de restauration (les colonnes, supports du plafond).
Je repère les éléments intégrateurs.
Les matériaux et principalement la brique, enfilée sur des tiges de métal est
visible dans le bâtiment Tédenat au RDC et dans les salles de classes à l’étage.
La façade existante rue Tédenat est rehaussée de structures métalliques avec
un remplissage de briques. Côté cour, la façade est largement vitrée avec une
coursive couverte.
La création de nouveaux espaces
Les mezzanines (grâce aux 5,50 m de hauteur libre sous voûtains) dans la salle
des professeurs, l’espace documentaire, la vie scolaire, la restauration.
Les ambiances dans les divers espaces intérieurs
- le self et ses mezzanines
-
les deux mezzanines et la passerelle augmentent la surface existante de 600 m2. Le confort
acoustique est particulièrement étudié grâce aux matériaux d’isolation phonique.
La salle d’exposition (2006)
Réalisée pour des productions internes au lycée ou l’accueil d’artistes extérieurs.
Le CDI
Située au dessus du hall, l’ancienne bibliothèque a été aménagée pour accueillir les élèves de prépa.
Elle a fait l’objet d’une restauration intégrant une coursive intermédiaire pour les rangements et la
lecture.
La maison des lycéens (ancien foyer des lycéens)
La Maison des lycéens est une des associations qui impliquent la participation des lycéens dans leur
fonctionnement. Elle est à l'origine d'activités périscolaires et éducatives variées et adaptées à la
situation du lycée comme aux demandes des lycéens. La MDL aide au développement de la vie
culturelle au lycée et donne aux élèves l'occasion de s'engager dans des projets, de faire
l'apprentissage de leur autonomie et de prendre des responsabilités importantes.
Le rez-de-chaussée est destiné à l’espace bar et jeux et les mezzanines à un espace cyber et une
bibliothèque. Des locaux contigus accueillent des salles de clubs et un labo photo. D’où la création
de deux mezzanines (espaces intimes) de part et d’autre d’un espace central tout en hauteur.
J’observe ses matériaux : métal, béton coloré, polycarbonate, châssis vitrés sur cour pour une
meilleure luminosité intérieure. Un volume unique d’environ 100 m2 au sol et de 5,4 m de haut sous
voutains a permis les travaux d’aménagement de deux mezzanines ouvertes et accessibles par un
escalier protégé de polycarbonate alvéolaire.
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Le bâtiment Tédenat
D’une surface de 200 m2, il comprend des bureaux et sanitaires au RDC et des salles de classes à
l’étage. La façade existante rue Tédenat, est rehaussée de structures métalliques et se caractérise
par un remplissage de briques « dito » d’argile, typiques de l’architecture du XIXe s.). Côté cour, la
façade est largement vitrée avec une coursive couverte.
L’internat
La réhabilitation des dortoirs était rendue nécessaire autant par leur vétusté que par leur
impérative mise en sécurité. Aménagées sous les toits, ces chambres individuelles (environ 110) ont
fait l’objet d’études d’ergonomie pour les équiper d’un mobilier intégré robuste avec plan de travail,
étagères, placard et point d’eau. Elles sont identifiées par des couleurs et des adresses.
Chaque entité bénéficie d’un espace sanitaire intégrant l’accessibilité des personnes handicapées,
et d’une salle de travail.
J’observe la qualité architecturale des passages, des espaces extérieurs, des lieux
d’accueil et de représentation du lycée.
Le hall d’accueil : cet espace de transition entre la ville et l’établissement, composé de voûtes et de
poteaux en pierre de taille devait retrouver sa fonction d’accueil et de contrôle des accès. La
création d’un sas entièrement vitré a permis le maintien des portes ouvertes et de la transparence
depuis le Boulevard Victor Hugo.
J’observe et je compare (je photographie)
Grâce aux documents photographiques, je relève les évolutions des aménagements successifs.
- Les deux cours des petits et des grands du XIXe siècle aux cours actuelles.
- Le gymnase, reconstruit à l'emplacement d'une ancienne cour, met en scène les façades existantes
des bâtiments périphériques. Les arcades de la coursive couverte, réouvertes et vitrées, sont le
support d'une signalétique volontairement surdimensionnée et colorée.
- L’ancien salon du musée devenue la salle des fêtes du lycée, qui est l’actuelle salle Terrisse, dont la
restauration a été réalisée par l’architecte Wilmotte en 1993.
J’observe les volumétries monumentales
Les escaliers : environ 12 escaliers principaux ont été restaurés, confortés ou remis aux normes.
Parmi eux, celui de l’Horloge, a permis de remettre en valeur cette tour cylindrique surmontée d’un
dôme et d’un clocher qui font face aux arènes. L’horloge et les cloches ont été remises en fonction.
La dernière tranche de travaux a porté sur la cour d’honneur autour de laquelle se regroupent les
principales fonctions et se distribuent les différents accès du lycée.
Le projet d’aménagement a cherché à lui redonner un sens actuel.
J’observe le traitement de la cour d’honneur
- Un sol en pierre de Roquemaillière sciée et flammée identique à celui des arènes.
- Le mobilier de la cour et l’aménagement : la cour est structurée par des jardinières bordées de
métal, inscrites dans le calepinage du sol, plantées de plantes aromatiques et de magnolia.
L’ensemble est animé par des fontaines au jeu aléatoire.
- Les éclairages en sol permettent de mettre en valeur la colonnade de la coursive périphérique.
J’analyse
Les contextes historique et politique du XIXe siècle
L’architecture scolaire du lycée Daudet dans son histoire est liée aux évolutions successives des
politiques éducatives.
La loi générale sur l'Instruction publique créant les lycées et l'Inspection générale est proclamée, le
11 floréal, an X (1er mai 1802). http://www.culture.gouv.fr/culture/actualites/celebrations2002/lycees.htm
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En 1851, l’établissement est sous autorité de l’Etat qui le contrôle par le biais du rectorat, du conseil
académique et du conseil d’administration sous le contrôle du maire, du préfet, du procureur, de
l’évêque et du pasteur. L’objectif est de former les élites dont l’Etat, le commerce et l’armée ont
besoin, soutenus en cela par la bourgeoisie triomphante et les classes moyennes montantes.
En 1796, l’Hôpital devient l’Hospice
d’Humanité. La municipalité a entrepris de
réaménager et d’embellir le tour de ville : les
remparts sont détruits entre 1786 et 1793.
L’hospice fait tache sur l’avenue créée et il
s’avère impératif de lui redonner un nouvel
aspect, plus digne du boulevard Napoléon,
d’où le projet de création de façade (1810).
Photo © Domaine public
Contexte socio-économique
Le lycée de Nîmes est le 24e à être créé sur les 100 prévus par la loi de 1802. Il occupe alors les
locaux de l’ancien collège des Jésuites. L’effectif ayant augmenté (150 élèves en 1804, 302 en 1852,
501 en 1874, 576 en 1882 et 689 en 1889), ces derniers sont devenus trop exigus et un nouveau lieu
est choisi pour accueillir l’établissement. En attendant, les locaux du collège sont agrandis,
surélevés et étendus vers le sud, rue des Greffes. En 1836 est acquis « le Mas de Ville », qui devient
un terrain de jeux pour les élèves, le jeudi et le dimanche. Le 23 février 1881, le Conseil municipal
décide d’occuper les locaux libérés depuis 1874 par l’hôpital dont la surface supérieure est quatre
fois celle de l’ancien collège). Après des travaux importants, le premier lycée d'État pour garçons
ouvre progressivement ses portes de 1883 à 1888. En 1883 on dénombre 1500 élèves et 300
pensionnaires.
Il convient de remarquer que l'établissement est ouvert dès 1883 alors que
le chantier d'aménagement et d'extension n'est pas encore achevé.
Le Palais des Arts a été déplacé dès 1883 au square de la Mandragore.
Quant à la bibliothèque, elle ne déménagera qu’en 1890 dans les locaux de
l’ancien collège
Photo © Domaine public
Contexte historique de l’enseignement à Nîmes
1851 : L’établissement redevient « lycée »
1881 : Jules Ferry instaure la gratuité de l’enseignement, puis la laïcité et l’obligation scolaire
entrainant l’augmentation des effectifs.
1905 : la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat met fin à la présence des cultes dans les
établissements publics. La chapelle est alors désaffectée et transformée en salle Gower.
Contexte technique
Au XIXe siècle, l'emploi du fer et de la fonte de fer dans la construction se généralise. L'essor
industriel a permis aux constructeurs de trouver de nouveaux matériaux à meilleur marché. On
emploie des supports en fer en même temps que des supports en pierre, en brique ou en bois dans
divers types de bâtiments : églises, bibliothèques, etc.
Des raisons techniques : le fer et ses dérivés offrent à l'architecture des possibilités et une gamme
de qualités que ne possédaient pas la pierre et le bois, les deux matériaux de base à l'époque. La
première qualité qui lui était attribuée, était la résistance au feu. Le fer, incombustible, était
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avantageusement substitué au bois dans les lieux où les risques d'incendie étaient élevés. Combiné
avec des briques de terre cuite, il formait des charpentes peu susceptibles de s'enflammer ou de
propager un incendie.
La situation géographique
Le lycée est situé au cœur du vieux Nîmes et sur le boulevard Victor-Hugo, artère reliant le Carré
d'art et la Maison Carrée aux arènes.
Adresse du lycée : 3 Boulevard Victor Hugo, 30039 Nîmes
Le lycée Daudet se situe dans une portion de terrain de l’ancien hôpital Saint Jacques créé au XVIe
siècle dans le faubourg Saint-Antoine. L’hôpital Saint-Jacques accueillait les pèlerins, en route pour
Saint-Jacques-de-Compostelle.
J’approfondis
- Je recherche l’histoire du lycée, ses réaménagements successifs depuis le XIXe siècle et ses
différentes signatures architecturales.
- Je recherche d’autres réalisations de l'ingénieur nîmois Charles Durand, l’un des architectes les
plus novateurs et audacieux de la période nîmoise 1790-1840.
- Je recherche et je photographie la signature de l’architecte gravée dans l’arc de la porte d’entrée
de la bibliothèque, réalisée au XIXe siècle. Maitre d’ouvrage : Granon
- Je compare les documents d’époque : la chapelle : avant et maintenant, je cherche la présence de
l’architecture du projet de l’ancien palais des arts dans la cour.
Au XXe et XXIe siècle :
http://www.lr-amenagement.fr/construction/batiments-d-enseignement/lycees/gard/nimes/lyceealphonse-daudet
webetab.ac-montpellier.fr/w0300021k/HistoireLyceeDAUDET.pdf
Des modalités
Circulaire n°2010-009 du 29 janvier 2010 : "La Maison des lycéens"
[email protected]
L’architecture XIXe
www.citechaillot.fr/data/activites.../419/archi_age_industriel_c5e38.pdf
Je découvre et je compare avec d’autres architectures scolaires de ma ville, de ma région
Je m’informe et je recherche d’autres réalisations architecturales sur le site des architectes de la
réhabilitation
www.boyer-percheron-assus.com/home.swf
http://www.archi-guide.com/AR/boyergibaud.htm
de la maison de l’architecture
http://www.archicontemporaine.org/RMA/p-8-lg0-Restructuration-et-extension-du-LyceeDaudet.htm?fiche_id=1381
http://www.archi-guide.com/AR/boyergibaud.htm
Sources photographiques : musée du vieux Nîmes, architectes, Région, Carre d’Art, CAUE du Gard.
Fiche réalisée par :
Chantal Sériex – chargée de mission – DAAC Rectorat de Montpellier.
En partenariat avec le réseau Canopé de l’Académie de Montpellier, la DRAC Languedoc Roussillon et le Conseil Régional Languedoc
Roussillon
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