édiscope
Clinique du Sud
Le parcours de santé de la clinique
du sud fait peau neuve MédiPôle Partenaires est un Groupe
de cliniques expérimenté et reconnu
dans les domaines de la Médecine
Chirurgie Obstétrique (MCO), des
Soins de Suite et de Réadaptation
(SSR), de l‘Hospitalisation à Domicile
(HAD), et de services à la personne.
Notre groupe multi-régional béné-
cie d’un maillage territorial dense et
d’un large éventail d’expertises au
service des patients et de leurs pré-
occupations.
Nos établissements ont tous en
commun un projet médical fort. Ce
qui nous anime, c’est cette volonté
de faire de nos cliniques des lieux
d’excellence médicale, où la com-
pétence de nos équipes médicales
et paramédicales et l’innovation
n’ont qu’un seul but : offrir à nos
patients la meilleure prise en charge
possible.
Cette Lettre Médiscope répond à
notre volonté de vous diffuser des
informations ayant trait aux activités
médicales des cliniques tant sur le
plan de la technicité, de la sécu-
rité que de la recherche. Ce ren-
dez-vous médical a donc pour ob-
jectif de créer ou de consolider un
partenariat naturel et durable avec
l’ensemble des professionnels de
santé que vous représentez.
LactuaLité médicaLe du groupe à destination des professionneLs de santé
N°1 – décembre 2016
ÉDITO
Aude
Pour suivre notre actu en
temps réel retrouvez nous sur :
@MPartenaires Médipole
Partenaires
De vastes travaux de réfection de notre parcours de santé viennent d’être achevés
il y a quelques semaines.
Le parcours est maintenant accessible
à l’ensemble de nos patients puisque
la surface au sol est recouverte de
bitume ; elle permet donc la parfaite circu-
lation des patients à mobilité réduite qui se
déplacent en fauteuils roulants, cannes an-
glaises, déambulateurs... La piste est suf-
samment large pour permettre à deux fau-
teuils de se croiser en tout point du parcours.
Nous avons choisi de conserver un secteur
non goudronné an de proposer un travail en
terrain accidenté pour les patients en n de
rééducation.
Le nouveau tracé a été rallongé d’un tiers et
conçu an de protéger les patients des vents
dominants (détail non négligeable dans notre
belle région du carcassonnais).
La sécurité des patients n’a pas été oubliée:
un accès direct à la partie hospitalisation a
été créé an de faciliter en cas d’urgence le
rapatriement d’un patient en brancard (chute,
malaise).
Le confort des patients a été également soi-
gné : en effet, le parcours est maintenant
équipé d’un abri de verre qui permet un point
de rencontre confortable et parfaitement sé-
curitaire où les kinésithérapeutes peuvent
surveiller les constantes médicales des pa-
tients et prodiguer des conseils de rééduca-
tion en toute sérénité tout en conservant une
vue sur l’ensemble du parcours.
Il ne nous a fallu guère attendre pour en-
tendre la satisfaction unanime de l’ensemble
des résidents; nous ne pouvons que nous
en réjouir en attendant de faire encore mieux.
Nous espérons diversier les possibilités ré-
éducatives en introduisant des secteurs de
marche à différents niveaux de pente, ou de
l’installation d’obstacles.
Le confort et la sécurité du patient demeurent
au centre des préoccupations de notre projet
d’établissement.
Georges Louvet, cadre de santé
à la Clinique du Sud
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Le groupe MédiPôle Partenaires a reçu le feu vert pour le permis de construire en février dernier.
La future polyclinique prendra place dans le Pôle
santé qui regroupera des activités médicales et
paramédicales au sein de la ZAC Pôle Santé de
Montredon (41ha), dans la future zone de Montre-
don-Névian. En plus de l’établissement de soins, le
Pôle Santé accueillera également des cabinets mé-
dicaux, un laboratoire d’analyses et un centre d’ima-
gerie. Pour Claudie Julien, directrice de la Polyclinique
Le Languedoc: « Notre nouvelle clinique sera un éta-
blissement de santé tourné vers l’avenir. Il sera d’ail-
leurs certifié HQE (Haute Qualité Environnementale)
et va privilégier le confort du patient et centraliser sur
une même zone un important pôle médical polyvalent.
Notre nouvel établissement va nous permettre d’atti-
rer de nouveaux professionnels de santé, d’offrir à la
population une plus grande offre de soins et de ren-
forcer une synergie entre les professionnels de santé,
ville et établissements de soins. Enfin, nous pourrons
faciliter les conditions de travail du personnel avec no-
tamment la création d’une crèche sur le site. » Pour
la direction du groupe MédiPôle Partenaires « Une
étape de plus franchie ! Enfin nous touchons au but
d’un beau projet conçu et accompagné par toutes
nos équipes, médecins et salariés, avec obstination
et enthousiasme. Nous avons un devoir de participer
à la qualité de vie d’un territoire par un pôle de santé
attractif qui naîtra ici au cœur d’une région à la dé-
mographie forte. Cette construction moderne dont les
travaux débuteront au premier semestre 2017, béné-
ficiera d’une capacité d’accueil de plus de 300 lits et
de l’installation de matériels de pointe qui participeront
à la meilleure prise en charge possible des patients.
Et c’est avant tout un projet d’entreprise, médical et
social. La prochaine étape du projet sera la signature
de l’achat du terrain le 10 novembre 2016, accompa-
gnée d’une présentation officielle de la maquette et du
nom du futur établissement. »
Nouvelle clinique de Montredon
Ouverture prévue
1er trimestre 2019
Cette lettre concerne l’actualité des établissements de santé : Polyclinique Le Languedoc (Narbonne),
Polyclinique Montréal (Carcassone), Clinique du Sud (Carcassone).
Elle est éditée par par le groupe MédiPôle Partenaires, 87-89, rue de la boétie 75008 Paris.
[email protected] - www.medipole-partenaires.fr • imprimé sur du papier issu du procédé PEFC
Polyclinique Montréal, Carcassonne
Prise en charge des diverticulites
Comme dans beaucoup d’autres champs de la pathologie digestive, les données
et la prise en charge de la maladie diverticulaire évoluent vite.
Pour rappel, la diverticulose, dont la
prévalence est très élevée dans nos
pays occidentaux, reste asympto-
matique dans 80% des cas. Parmi
les 20% de patients symptoma-
tiques, il y a deux complications :
l’hémorragie diverticulaire, spon-
tanément résolutive dans 75%
des cas et la diverticulite. Cette
diverticulite n’est à l’origine de
complications que chez les 25 %
de patients alors que les 75% restants
ont des formes frustres avec des symp-
tomes proches de ceux du syndrome de
l’intestin irritable (SII) sous forme de douleurs,
ballonnements et troubles du transit. Parmi
les facteurs pathogéniques de la diverticu-
lite revient une nouvelle fois le rôle primordial
du microbiote intestinal, ce « quatrième or-
gane» du tractus digestif. La modiciation du
microbiote intestinal, du fait de facteurs ali-
mentaires, de la prise d’AINS ou de certains
antibiotiques, induit une inammation diver-
ticulaire de faible intensité entraînant des
symptomes de type SII. À ceci, peut s’ajou-
ter un facteur mécanique avec obstruction
des diverticules entraînant une translocation
bactérienne vers la graisse viscérale.
Nouveau traitement
De nombreuses études semblent souligner
que la graisse viscérale péritonéale pourrait
être un site d’inammation chronique diver-
ticulaire qui survient sur un terrain génétique
prédisposé et est aggravé par le diabète et
surtout l’obésité. De ce fait, la prise en
charge de la maladie diverticulaire
doit changer et les nouveaux trai-
tements doivent agir sur cette
inammation adipocytaire viscé-
rale:
– le score de Hinchey décrit en
1978, qui repose sur l’imagerie par
TDM, doit être revu et actualisé. Il ne
répond qu’aux formes compliquées des
diverticulites;
– seuls les patients ayant une diverticulite
compliquée de sepsis doivent bénécier
d’une antibiothérapie précoce (NFS – CRP
et TDM indispensables);
– pour les nombreux patients ayant une di-
verticule aiguë non compliquée (absence de
signes infectieux ou d’anomalies TDM), il est
recommandé de ne pas donner d’antibio-
tiques classiques;
– la place de nouveaux traitements semble
prometteuse mais doit être précisée chez
des patients sélectionnés, parmi lesquels
la Mesalazine, certains probiotiques et la
Rifaximine, nouvel antibiotique oral non ab-
sorbable, en attente de commercialisation
en France et déjà disponible dans de nom-
breux pays.
Dr Jean-Michel Rouillon,
gastro-entérologue, Polyclinique
Montréal
MédiPôle Partenaires un groupe pluri-régional
Polyclinique Le Languedoc
Polyclinique Montréal
Clinique du Sud
• Urgences
• Chirurgie : chirurgie ambulatoire, générale,
digestive et viscérale, thoracique et cardio-
vasculaire, orthopédique et traumatologique,
chirurgie de la main et du rachis, ORL,
urologie et néphrologie, chirurgie plastique
et reconstructrice, faciale, maxillo-faciale et
stomatologie, neuro-chirurgie, chirurgie vertébrale
et du nerf périphérique, gynécologique et
obstétricale, ophtalmologique.
• Médecine : anesthésie-réanimation, lutte contre
la douleur, cardiologie médicale, diabéto-
endocrinologie, gastro-entérologie, rhumatologie,
pneumologie, oncologie, allergologie,
rééducation fonctionnelle, stomatologie, pédiatrie,
unité mobile de soins palliatifs.
• Obstétrique : gynécologie, maternité, orthogénie,
PMA
• Dialyse
• Hospitalisation à domicile (HAD)
• Soins de suite : rééducation fonctionnelle
polyvalente en hospitalisation complète,
rééducation cardio-vasculaire, pulmonaire.
Polyclinique
Le Languedoc, Narbonne
Une maternité
à taille humaine
Partenaire du réseau périnatal
«Naître et Grandir en Langue-
doc-Roussillon», la maternité
de la Polyclinique Le Langue-
doc accueille 650naissances
par an dans un contexte de
sécurité médicale optimale.
Pendant la grossesse, les
gynécologues-obstétriciens,
sages-femmes et professionnels
libéraux proposent une prise
en charge globale des couples
avec l’entretien prénatal au
4emois, différentes méthodes
de préparation à la naissance et
si nécessaire, un accompagne-
ment au sevrage tabagique, une
orientation pour un suivi diété-
tique, psychologique ou social.
Les gynécologues-obstétriciens
assurent par ailleurs les consul-
tations spécialisées, les écho-
graphies (fœtales et gynécolo-
giques), les accouchements par
voie basse ou césarienne, mais
aussi la chirurgie gynécologique
(sein, utérus et ovaires). L’équipe
pluri-disciplinaire de la maternité,
dans le cadre de son pro-
gramme d’optimisation du lien
mère-enfant, accompagne les
couples à l’allaitement maternel
et propose des séances d’infor-
mation et d’échanges pendant et
après la grossesse.
La polyclinique Montréal vient de faire l’acquisition d’un nouvel équipement de pointe
pour le traitement focal du cancer localisé de la prostate. Ce dispositif «Focal one»
traite uniquement la zone de la prostate atteinte par le cancer, préservant ainsi la
qualité de vie du patient.
Avec 71 000 cas diagnostiqués chaque
année, le cancer de la prostate est le
plus fréquent chez l’homme, devant le
cancer du poumon et du côlon. Pour traiter
ce cancer, on avait tendance à traiter toute
la prostate (chirurgie ou prostatectomie ra-
dicale, radiothérapie externe, curiethérapie
et ultrasons focalisés). « Quand le cancer
est localisé, il est main-
tenant possible d’agir
sur la zone atteinte au
millimètre près. Plus be-
soin de traiter toute la
prostate », explique un
des urologues. Montréal
est actuellement le seul
établissement de santé
dans le département à
utiliser cette technique
de pointe.
Ultrasons
Piloté par ordinateur, le dispositif médical
délivre les ultrasons de haute intensité par
l’intermédiaire d’une sonde endorectale. La
chaleur intense, provoquée par la focalisa-
tion des ultrasons diffusés à travers la pa-
roi rectale, détruit le tissu à l’intérieur de la
zone ciblée. Ce dispositif est le premier au
monde dédié à la thérapie focale (destruction
de la zone tumorale uniquement). Il associe
l’imagerie par IRM pour localiser les tumeurs,
les ultrasons focalisés à haute intensité et
l’échographie de contraste pour valider le
traitement.
« Focal one » peut être indiqué en première
intention pour les patients porteurs d’un
cancer localisé stade T1-T2 (Gleason 6 ou 7,
PSA inférieur à 15) selon leur âge et leur état
général; en traitement de rattrapage pour les
patients présentant une récidive locale d’un
cancer de prostate initialement traité par ra-
diothérapie.
Outre le fait d’être une révolution technolo-
gique, le principal avantage de ce traitement
s’adresse aux patients en préservant leur
qualité de vie. Non inva-
sive, la technique évite
toute incision et limite
les complications inhé-
rentes au traitement du
cancer de la prostate.
« L’érection est préservée
et l’incontinence est évi-
tée dans 98 % des cas »
ajoute l’urologue. Le trai-
tement dure entre 30 mi-
nutes et 2 heures et peut
être réalisé sous anes-
thésie loco-régionale (ra-
chianesthésie). «Focal one» permet ainsi un
traitement local précis en une session mais il
est également répétable si nécessaire.
Polyclinique Montréal, Carcassonne
Innovation dans le traitement
du cancer de la prostate
Polyclinique Montréal,
Carcassonne
Un service d’urgence
rénové pour accueillir
20 000 passages par an
Les travaux de rénovation
du service d’urgence sont
achevés. Les patients
accueillis en urgence
disposent d’un espace
d’accueil ambant neuf et doté
d’un sas de sécurité, devenu
par ailleurs obligatoire par le
Plan blanc. «Nous souhaitions
améliorer la séparation de la
zone administrative de la zone
des soins. Outre le confort
évident, il est nécessaire de
préserver la confidentialité
des échanges et l’intimité de
chacun », déclare Jean-Pierre
Perrigaud, directeur de la
polyclinique.
De plus, et pour faire face à
une progression du nombre
de passages aux urgences,
un septième box de soins est
ajouté. Les 20 000 passages
par an peuvent être pris
en charge de façon plus
performante.
Polyclinique Montréal,
Carcassonne
Certification HAS réussie
pour Montréal
C’est en mars dernier que
la Polyclinique Montréal a
reçu les experts visiteurs de
la Haute autorité de santé
pour passer l’épreuve de la
version 2014 de la certication
des établissements de
santé. «Nous sommes ers
d’obtenir une nouvelle fois
un résultat d’excellence
(certication classée A) qui
traduit le haut niveau de qualité
de notre établissement. La
certication est l’affaire de
tous, médecins et personnels.
Même le patient est au
cœur du processus! Notre
4e certication sans aucune
réserve ni recommandation,
s’inscrit dans la lignée des
trois dernières et atteste du
travail au long cours de notre
établissement dans le domaine
de la qualité et la gestion des
risques pour le bénéce des
patients du territoire de santé
Ouest Audois.»
Un quatrième urologue s’installe à la Polyclinique Montréal de Carcassonne
L’activité d’urologie se développe à
Montréal avec certes l’utilisation de «Focal
one» mais surtout l’arrivée d’un quatrième
urologue. L’activité se retrouve concentrée
avec la création de nouveaux cabinets
au troisième étage de l’établissement.
Aujourd’hui seuls trois appareils « Focal
one » xes sont installés en France
à Lyon, Paris et Nantes. Le groupe
MédiPôle Partenaires, auquel appartient
la Polyclinique Montréal, a fait l’acquisition
d’un appareil mobile déployé sur une
dizaine d’établissements du groupe, dont
Carcassonne.
Outre le fait d’être
une révolution
technologique, le
principal avantage
de ce traitement
s’adresse aux patients
en préservant leur
qualité de vie.
La Réhabilitation accélérée après chirurgie (RAAC), associée aux techniques
chirurgicales peu invasives, permet des suites opératoires plus simples, plus
confortables et plus courtes.
La Réhabilitation accélérée après chirurgie
(RAAC) est un ensemble de mesures desti-
nées à optimiser la prise en charge des pa-
tients an de leur permettre une récupération
rapide après la chirurgie.
La RAAC est originaire des pays scandinaves
et fut initialement utilisée dans la chirurgie di-
gestive dans les années 90. La RAAC s’est
rapidement étendue à la chirurgie orthopé-
dique et a démontré son efcacité en termes
de réduction de morbidité et de satisfaction
des patients. Tous les protocoles RAAC
mettent le patient au centre de sa prise en
charge, il devient un acteur de son parcours
de soins. La mise en place de ce protocole
sur le site de la Polyclinique Le Languedoc a
nécessité plusieurs mois pour sa réalisation
avec une formation des équipes médicales
et paramédicales générant une rediscussion
des pratiques de chacun pour les standardi-
ser en mode RAAC.
La réussite de la RAAC dépend avant tout du
patient : sa participation est obligatoire. En
pré-opératoire, il est informé des détails de
la prise en charge (modalités de la chirurgie,
de l’anesthésie, de l’hospitalisation à venir
et son rôle dans les soins). L’information est
orale, écrite et de nombreuses fois répétée,
en faisant intervenir de multiples acteurs du
programme (chirurgiens, anesthésistes, se-
crétaires, inrmiers, kinésithérapeutes).
Le patient est admis le jour de son interven-
tion. L’anesthésie et la chirurgie de hanche
sont classiques cependant, l’acte opéra-
toire est complété par l’injection d’un cock-
tail anesthésique local in situ. Au décours
de l’intervention, aucun drainage de la plaie
opératoire n’est mis en place.
Le patient est mobilisé précocement dès son
retour en service traditionnel. Les premiers
pas sont effectués le jour de l’intervention,
les cathéters sont retirés rapidement, an
qu’il puisse déambuler en tenue civile : l’ob-
jectif étant de «démédicaliser» le patient.
Il pourra sortir de la clinique le surlendemain
(J+2).
Les premières expériences RAAC à la Poly-
clinique Le Languedoc ont été très positives
et nous incitent à poursuivre ce protocole
qui, par mesure de sécurité, reste limité au
sujet ASA 1 et 2 de moins de 75 ans.
Au vu de ces débuts prometteurs, nous pré-
voyons de l’appliquer prochainement aux ar-
throplasties de genou.
Le projet de coordination du parcours patient en cancérologie de la Polyclinique Le
Languedoc voit le jour sous l’intitulé «MédiFil d’Ariane»
Ce projet est né au croisement de deux élé-
ments :
les recommandations des différents plans
cancer insistent de plus en plus sur la né-
cessité « d’accompagner la personne ma-
lade pour ne pas la laisser planifier seule son
parcours de soins (…) et ce, grâce à une
coordination et des échanges d’information
accrus entre professionnels ».
la Polyclinique, qui propose une offre de
soins large et pluridisciplinaire pour les pa-
tients atteints d’une pathologie cancéreuse,
manque quelquefois de moyens de coordi-
nation entre les différents acteurs de la prise
en charge.
C’est pourquoi il a été décidé de créer un
poste d’inrmière de coordination en can-
cérologie (IDEC) au sein de la Polyclinique.
Christelle occupe ce poste depuis le mois
d’août 2016. Ses missions principales sont
d’accompagner le patient et sa famille tout
au long de son parcours thérapeutique et
d’améliorer la coordination de sa prise en
charge en insistant sur les liens entre la ville
et la Polyclinique.
Intervenant juste après l’annonce médicale
de la pathologie cancéreuse, Christelle est
l’agent coordonateur dédié aux différentes
étapes du parcours des patients en cancé-
rologie. Elle assure le lien entre les différents
séjours hospitaliers et les séjours à domicile,
ainsi que la coordination des soins de sup-
port (psychologue, assistante sociale, asso-
ciation de patient, etc.).
Polyclinique Le Languedoc, Narbonne
La chirurgie arthroplastique de hanche en mode
RAAC à la Polyclinique Le Languedoc
Polyclinique Le Languedoc, Narbonne
Projet « MédiFil d’Ariane »
Christelle IDEC
Responsable du projet
«MédiFil d’Ariane»
ide.coordinatrice@
polyclinique-lelanguedoc.fr
Tél. : 04 68 65 33 54
N’hésitez pas à la contacter
pour plus d’informations.
Ce dispositif «Focal One» va être
également pratiqué à la Polyclinique Le
Languedoc à Narbonne, qui bénéciera
elle aussi comme à Carcassonne de cet
appareil mobile. Les premiers patients
traités avec ce nouveau procédé seront
accueillis les 25 et 28 novembre 2016.
Polyclinique Montréal,
Carcassonne
24 enfants intoxiqués pris
en charge simultanément
Fin 2015, c’est un bus entier
qui amenait 24 enfants
touchés par une intoxication
par inhalation. Il ne s’agissait
pas d’un test de gestion de
crise du Plan blanc mais d’une
réalité à laquelle les équipes
du service des urgences
dans un premier temps et
ceux des services de soins
ad hoc ont su répondre.
Une réassurance des
compétences et performance
de l’établissement en situation
extraordinaire !
Narbonne HAD intervient sur le narbonnais
depuis 5 ans maintenant. Cette structure
permet aux patients atteints de pathologies
diverses (soins post chirurgicaux spéci-
ques, grande dépendance, prise en charge
de la douleur, de pansements complexes,
soins palliatifs et accompagnement de n de
vie, etc.) un retour précoce au domicile
en garantissant un suivi médical et
paramédical identique à celui d’une
structure d’hospitalisation. L’HAD
intervient également au sein
des EHPAD et des établisse-
ments médico-sociaux.
Les prises en charge sont
initiées par un médecin trai-
tant ou par un spécialiste.
L’équipe de coordination
évalue la faisabilité de la
prise en charge en se ren-
dant au domicile du patient.
L’équipe médicale de Nar-
bonne HAD assure la coordi-
nation entre les praticiens hos-
pitaliers et les médecins traitants
an d’assurer la continuité des
soins. Elle est composée d’un médecin an-
giologue spécialisé en plaies et cicatrisation
et d’un médecin spécialisé en soins palliatifs
et prise en charge de la douleur.
Polyclinique Le Languedoc, Narbonne
La qualité d’une prise en charge
hospitalière, le confort du domicile
24h/24 - 7j/7
L’équipe pluridisciplinaire
Narbonne HAD,
composée d›un
médecin coordinateur,
d’infirmières et d’aides-
soignants, assure une
astreinte 24h/24. Elle
est également assistée
d’une psychologue, d’une
assistante sociale, et peut
être amenée à travailler en
partenariat avec l’infirmière
et le kinésithérapeute
libéral du patient. Inscrite
dans une démarche
d’amélioration de la qualité,
Narbonne HAD participe
à la dynamique de
développement des prises
en charge à domicile
souhaitée par le ministère
de la Santé.
7 rue Michel-Ange,
11100 Narbonne
Tél. : 04 68 32 82 43
secretariat.had@
polyclinique-lelanguedoc.fr
www.polyclinique-
lelanguedoc.fr
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