Histoire du Système Solaire

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Histoire du Système Solaire
Nébuleuse primitive :
disque de gaz
Condensation de
matière : formation d'un
disque de grains
Accrétion planétaire
Formation des
protoplanètes
I- Propagation des ondes sismiques
I- Enregistrement des séismes
Sismographes :
3 différents, pour des mesures dans les
3 directions de l'espace
Masse inerte
Cylindre enregistreur
Support solidaire du sol
I- Enregistrement des séismes
Enregistrement = sismogramme
1e onde P
1e onde S
1e ondes L
I- Les ondes sismiques
I- Propagation des ondes sismiques : loi de Birch
Vitesses des ondes P et S :
vP = √ ((κ + 4/3 μ) / ρ)
Dépendent
et
vs = √ (μ / ρ)
Du type de matériau
De ρ
De la viscosité
De l'état physique : μ donc vs = 0 dans les liquides
I- Propagation des ondes sismiques : loi de Birch
Pour un même matériau, Vp
augmente linéairement avec la
densité
À même densité, Vp différente
pour 2 matériaux différents
→ V varie avec le type de matériau
→ V augmente linéairement avec la densité pour un même matériau
I- Trajectoire des rais sismiques
I- Trajectoire des rais sismiques
I- Exemple d'hodographe
ondes L :
proportionnalité entre
t et d (droite)
ondes P et S :
hodochrones courbes
→ plus le point est
loin du foyer, plus la
propagation a été
rapide, en moyenne
I- Exemple d'hodographe
ondes L :
proportionnalité entre
t et d (droite)
ondes P et S :
hodochrones courbes
→ plus le point est
loin du foyer, plus la
propagation a été
rapide, en moyenne
I- Exemple d'hodographe
- Les ondes P et S se propagent en profondeur,
et non à la surface de la Terre
- Vp et Vs augmentent avec la profondeur
(car la densité augmente dans le manteau)
DONC le trajet le plus rapide n'est pas une ligne
droite mais une courbe
105°
P
143°
PKP
I- Exemple d'hodographe
I- Zone d'ombre entre 105 et 142° : présence du Gutenberg
105°
P
143°
PKP
Présence de discontinuités au sein de la Terre → modification de la vitesse et de la
trajectoire des ondes sismiques (visible sur les hodographe)
I- Zone d'ombre et présence de la LVZ
Structure verticale
Hodographe correspondant
I- Le modèle PREM
Manteau
Croûte supérieur =
MSL + MSA
MOHO
Sommet
de la LVZ
Manteau
inférieur
Limite
manteau
sup-inf
Noyau
externe
Gutenberg
Graine =
noyau interne
Lehman
I- Le modèle PREM
Lithosphère =
croûte + MSL
Asthénosphère ou MSA
I- Propriétés des enveloppes
I- Inhomogénéités latérales : tomographie sismique
I- Résultats de
tomographie sismique
→ zones bleues =
anomalies positives,
régions froides
→ zones rouges =
anomalies négatives,
zones chaudes
II- Observations directes
Nodule de péridotite dans un basalte
II- Etudes de laboratoire : cellule à enclume de diamant
Compression
Chauffage (laser)
II- Utilisation des météorites
Pallasite
Chondrite
Sidérite
II- Classification de Goldschmidt des éléments
Quartz = un minéral silicaté
Granite = roche formée de
minéraux silicatés (Qz, orthose,
micas, ...)
Minéral = une chimie donnée
(ici SiO2)
Et une structure cristalline
donnée (= agencement des
atomes de façon ordonnée)
II- Chimie des enveloppes terrestres
Gabbros massifs
Exemple de structure de croûte
oécanique produite au niveau
d'une dorsale rapide
Gabbros lités
II- Chimie des enveloppes terrestres
Exemple de structure de croûte
continentale
Granites, granitoïdes,
roches
métamorphiques
Croûte litée : roches
métamorphiques,
résidus de fusion
partielle, magmas non
différenciés cristallisés
II- Stratification sismique et minéralogique du manteau
Transition de phase =
Modification de la structure cristalline de l'olivine
Elle devient de plus en plus compacte quand P (donc la profondeur) augmente
Olivine tétraédrique
Pérovskite octaédrique
II- Stratification sismique et minéralogique du manteau
vS
Manteau Supérieur :
minéraux tétraédriques
Manteau Inférieur :
minéraux octaédriques
II- Chimie du noyau
Enveloppes silicatées
→ peu de Fe-Ni accumulé
II- Chimie du noyau
III- Méthodes de mesure dans l'atmosphère
III- Composition chimique de l'atmosphère
+ N2O + CFCs + aérosols (poussières, embruns marins, composés soufrés, ...)
III- Structure de l'atmosphère
Diminution de la pression
avec l'altitude
→ les gaz sont retenus du fait
de la gravité terrestre, plus
forte près de la surface.
1 atm = 1013 hPa = 1,013 bar
= 1013 mbar
P = 0,2*Psurface
Psurface
mb = millibars
III- Structure de
l'atmosphère terrestre
Thermosphère : atmosphère
ionisée
Mésosphère
Augmentation
de T°
Baisse T° :
gradient thermique
= 6,5°/km
Stratosphère
Troposphère : 80 à 90 % de la masse
de l'atmosphère
III- Structure de l'atmosphère terrestre
Tropopause
III- Structure de l'océan
III- Structure de l'océan
III- Structure de l'océan
Mesures in situ
(échantillons prélevés en
profondeur et analysés a
posteriori)
Mesures par satellite, limitées à la
surface : ici couleur de la mer =
contenu en chlorophylle
III- Structure de l'océan
Température de surface (SST) :
augmentation des pôles vers
l'équateur
Pôle Nord
Evolution de la T° avec la
latitude
Equateur
Pôle Sud
III- Structure de l'océan
Salinité de surface (SSS) :
Maxima au niveau des tropiques
(30°)
30°S
60°S
Pôle Nord90°S
Evolution avec la latitude
III- Structure de l'océan
Densité :
Minimale à l'équateur, maximale
aux pôles
→ c'est la T° qui a l'effet maximal
III- Structure de l'océan
Evolution avec la latitude du
rayonnement solaire
→ un chauffage différentiel par le
Soleil est à l'origine des variations
de T° de surface avec la latitude :
T° maximales à l'Equateur et aux
tropiques
III- Structure de l'océan
→ la salinité de surface est
maximale s'il y a un excès
d'évaporation par rapport aux
précipitations
(bilan hydrique négatif)
DONC
aux Tropiques
Evolution avec la latitude de
l'évaporation et des
précipitations
III- Structure de l'océan
Sphère froide (et peu salée)
Sphère chaude (et salée)
Thermocline
Sphère
froide
III- Structure de l'océan
Faible chauffage
faible évaporation
Fort chauffage solaire et forte évaporation
Circulation
verticale
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