Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres E MIL G ROSSWALD Les groupes de Galois des polynômes de Bessel Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres, tome 18, no 1 (1964-1965), exp. no 17, p. 1-12 <http://www.numdam.org/item?id=SD_1964-1965__18_1_A14_0> © Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres (Secrétariat mathématique, Paris), 1964-1965, tous droits réservés. L’accès aux archives de la collection « Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/legal.php). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/ 17-01 Séminaire DUBREIL-PISOT (Algèbre et Théorie des nombres) année, 1964/65, 18e 15 mars 1965 n° 17 LES GROUPES DE GALOIS DES POLYNÔMES DE BESSEL par Emil GROSSWALD 1 . Introduction. L’ équation des ondes trois dimensions en l’ on exprime le Laplacien riables, on obtient (après = n(n 1) + férentielles. En est une générale Ù un spatiales s’écrit ~2 = 1 c2 ~2 u ~t2 . l’on sépare les coordonnées sphériques et changement d’échelle) : u en valeur propre on pose f = imposée par r ‘~~2 y , et on équations l’équation de des autres une obtient Si u va- dif- Bessel s d’ordre semi-entier, donc on avec des solutions élémentaires. Si l’on pose obtient équation d’ondes stationnaires. équation qui des solutions a Enfin, le changement polynomiales, et qu’il de variable x = 1 ir donne convient de comparer à l’é- quation des polynômes de D’une manière Legendre. un peu plus générale, l’équation x 2 y" + portance car, = 0 ; mais a on peut considérer avec KRALL et (ax + b)y’ - n(n + a - l)y paramètre en posant x = bz , l’équation se réduit à z~ y ~’ e st un paramètre effectif. Les solutions polynomialee : = 0 . Le b FRINK [18] est sans im- ont été étudiées par KRALL et FRINK [18] en 1949, et ces polynômes avaient déjà été rencontrés par KRALL en 1941 [l7]. En fait, ils avaient déjà été utilisés par HAHN en 1g35 ~ ~ 2 ~ et BOCHNER (l929 ; voir [4]), et ne diffèrent que par leur normalisation des polynômes employés par HERMITE [13] pour prouver la transcendance de e. Depuis 1949, ces polynômes, appelés utiliserons ici pour les (BURCHNALL ( ~ 95 Z ~ ~ 6~ , AL-SALAM désigner l’abréviation 2. ( L 954 ~ ~ I ~ , NASS IF (1954) [19], CARLITZ (1957) [8], ( 1957~ ~ ~~ , ~ 3~ , GROSSWAID [11], et d’autres). On a étudié leurs proprié- d’orthogonalité, représentations de P. B., fonctions génératrices, etc. Propriétés générales (a) P. AGARWAL tés de polynômes de Bessel (nous B.), ont été beaucoup étudiés par KRALL et FRINK certaines classes de fonctions séries en des P. B. Relations de récurrences. (b) Orthogonalité. Remaraues. (i) C’ e st bien le produit signe d’intégration. de s Ce s formules re ssemblent Legendre. ( c j Fonction génératrice . polynômes beauc oup et non ymm ( z) ypn (z) à celle s relative s qui apparaît aux polynômes sous de le (d) Formule "de Rodrigues". Ces propriétés (ainsi Nous utiliserons les relations titution de (e) d’autres) se trouvent toutes démontrées en [18]. de récurrence, qui se démontrent par directe subs- que bien (1). Zéros. Tous les zéros sont (i) simples. Démonstration. - Si y’ i(x..) = et (4) et ainsi, par induction, ===f> (ii) rieurs au A (car 0 l’exception x) cercle = ~ ! ceci 0 , alors (3) ====> 0 ). Donc, x~ est zéro multiple de Yn-l (x) (= 1 + x)~ ce qui est faux. = = y.(x) y.(x) de de = 1 + x , tous les zéros des P. B. sont inté- 1 . Démonstration. - Le théorème de KAKEYA [16] affirme que , si n n alors tous les zéros Hurwitz donne une l’exception (et suffisante) condition nécessaire les P. B. satisfont la condition de à satisfont ) 03A3 a03BD xn-03BD de z (NASSIF de Kakeya, et 1, et pour avoir aucun ne un z )1 théorème de = 1 . Tous vérifie celle de Hurwitz, montre que les racines de se trouvent dans le cercle (iii) quée ; la propriété BURCHNALL [6].) (x) (iV) n’a pas de zéros réels. est un 0 a = Démonstration. - Si Il résulte donc de == ~ donc, (3) x. exactement p un une compli- généraux de racine réelle. sont deux racines réelles Xp consécutives, que pour un x avec 3. Irréductibilité des P. B.sur Soit directe est corollaire facile de certains résultats (iii). (a) (La démonstration nombre premier, Q. et xi x x~ ~ ce qui est impossible d’après On considère les gone de Newton" ductible v , au-dessous). e) s’il l’est dans Q sur chaque côté et que, à Q , (n - point aucun points de coordonnées (n - v , ev) , et on construit correspondant (polygone convexe d’ordonnées maximales, du polygone de obtient le résultat suivant on p Supposons que le polygone projection horizontale t r alors, ~r ~ r ne laissant réciproquement) pas facteur de un dans ~10~~ ~ de Newton a . côtés et que le côté m et verticale kr , de connus r-ième ait la (tr , kr~ ~ Xr , avec tout facteur irréductible de Les critères d’irréductibilités bien des p-adique (mais Newton, correspond "poly- est sûrement irré- En observant que extension une le f(x) a un degré EISENSTEIN, PERRON~ de sorte que de la forme etc. en sont particuliers. cas ve Si e0 = 0 , = r n/X avec e03BD n n , À = (n , alors m = 1 et tout facteur irréductible e) Si en plus (n e)= irréductible. est (b) Pour étudier le groupe de Galois des P. B. (y à-dire l’irréductibilité des polynômes réciproques z polynômes) , il est plus (x) xn yn (1 x) , soit inclus sa 1 Alors k~ (5) ou pz n ; du degré au p= polygone moins n - de k~ . d’un facteur irréductible de n = p - 1, c’est- convenable de considérer les = des nombres montre que, si + ble de ce p~ f(x) alors transitivité, ceux-ci ont les mêmes discriminants et mêmes groupes de Galois que les Soient degré a un premiers consécutifs, e - 0 Pi n p , yn (x) . et posons pour pour Newton, il résulte qu’il y a un facteur irréductiDe même, en prenant p = p~ , on montre l’existendegré au moins n particulier, si n p le P. B. est irréductible. Si = k = min(k1 , k) , le P. B. a un facteur irréductible de si E > On sait que, N La fonction degré % N(e) = k . n - 0, n’est pas connue en générale mais on sait, par exemple ~N(s) , ~? ’ ~ sorte que un facteur irréductible de degré n - k > n(l - e/2) . Avec e=l/8~ ~~2014-~20142014-~2014 ~ pour n~48 . Comme une étude direc(voir [5]), que contient = 48 . pour te montre que tous les P. (i) k avec avec 50 , n sont Les facteurs irréductibles des P. B . d irréductibles, peuvent ne pas avoir des P. B. a un facteur irréductible de degré An Si résulte : degrés d et avec m n ve e v (iV) en en lorsque (iii) donc il n - k . (ii) Chaque A~ 1 B. , n , > ~--= ~ n Si et n = particulier, comme on a q.p .~ 1 e = q , (en , n) ~ ~ , aussi ( q peut m = 1 , pas être ne et z n (x) premier) est irréductible. avec p , alors q (e , n) = (q , qp - 1) = 1 , donc z (x) est irréductible. (V) n = qp, q p . La situation est pareille à (iV), à l’exception du (e , n) = q . Donc, on peut avoir des facteurs de tp Si q 17 , n 17 p d lp n - n 17, ce qui est impossible, (1 l q). près (i). Même si q > 17 , mais p > k , on obtient l’irréductibilité, et c’est le cas de tous les n = pq 50 (lorsque les P. B. correspondants ne sont pas déjà irréductibles en vertu des critères précédents). fait que (Vi) n = pm - 1 , e0 = 0 , (n , donc, Si k On p en = n p-1 , en) = n p-1 , et les degrés des -1 , z n (x) est irréductible. peut prouver d’autres critères, mais ils 19 ; ces (i). 19 03BDen n (calcul facteurs sont de la trer l’irréductibilité de tous les P. B. Pour fisent dans tous les cas, sauf comme on le prouve à l’aide de e03BD ne trivial) ; for.me t(p - 1) . non sont pas suffisants pour démon- n ~ 400 , les critères énoncés suf- polynômes sont aussi irréductibles, Le groupe de Galois 4. 20142014s20142014~2014201420142014201420142014~ (a) THÉORÈME. symboles, n Si G de (x) . l’exception possible des avec théorème, ce nus, ainsi que de certains résultats petits degrés. THEOREME ble A o(G) On écrira f(x) Soit THÉORÈME B (C. JORDAN, [14], moins 2 au THÉORÈME C k premier, = n - plusieurs théorèmes G. l’ordre du groupe 1 = un a. p)a. , 6 = con- concernant les groupes finis de polynôme irréductiSupposons G . pue et pfô . discriminant de y(x) Si le groupe de permutations et Note p + 1 C). - G n sur substitution circulaire d’ordre premier une p , fois transitif. = D (R. DEDEKIND ; bibliographiques. f(x) au moins une permatation de (voir e. + p (p k contenir le [7], SCHUR outre ~ p n - complète. sur n [9], (1 ~j ~r) f(x) un irré- contient facteur f.(x) auquel il correspond. 207, démonstration p. réfé- contenu dans groupe de Galois de fj(x) sans du corollaire). - symboles, et soit 9 p 2n/3 à moins que Soit G un nombre Go A (An n = symboles). n (I. Comme la alors~ le alors THEOREME F ~. équivalent à un résultat (mod p) , f.(x) degré du polynôme g. ou le théorème est cité 449, cycles, chacun correspondant à r primitif de permutations premier tel que groupe alterné sur p. Il semble être (mod p) j et de même ordre Que le THEOREME E [20], voir = ductibles et distinctes en 12 . = (C. JORDAN, [15], Théorème I). - Un groupe de degré n > 2 ) ne peut être plus de k fois transitif, à moins de 3 et groupe n sur alterné. THÉORÈME § et et ayant le groupe de Galois A~ symboles est primitif et contient rences 11 = symétrique plo(G) . Alors. groupe n le groupe = S , fera usage de on désigner (a) 3p ~ m tels que m n, (b) f(x)=x y(x) (modp) , avec il est cas classiques pour (I. SCHUR, [20]). de discriminant Q, sur G est transitif, alors G démonstration de Dans la z 2014 ~ n [20]). -~ 2 ,n alors justification de ce G satisfait p = A si n- théorème en aux conditions du théorème A et ~Tn 2014 eZ,G==S ~ n n [20] est très brève, 2014 en voici n ’ 2014n une plus ’ conditions du théorème Comme A~ n p > n~2 ~ il résulte en plus que Gn contient un élément P 9 générateur d’un groupe cyclique d’ordre p 9 donc, Gn est primitif. Il résulte ainsi du théorème B que G est au moins ~ - n ~ p + 1 (> ~~ f ois transitif. A.lors, en écrivant n k: n-p-~-~>2, et il résulte du théorème C que G A n n E Z G _ S selon k + 1 > k et k > 2 ) et G = A ou n n-.. n n n Démonstration. - Si D n~ (b) Pour ou de z n (x~ 9 calcule, satisfait ces théorèmes, aux Z . appliquer (l) que alors = =(2),(2n)! n! 2n , a0 à l’aide de comme y i(x) ~ et il faut d’ abord calculer le discriminant yn (x~ le même que celui de il résulte de se p en a . Si = 1, et la résultante suit : Si x faisant le produit = x v parcourt pour R = les zéros de De et, par même, en induction, la substitution de ; faisant le produit sur v, d’où l’on obtient En observant que a0 D = n R(yn , y’n ) , une n y) yn(x), ~=1~2~...~n~ donc et, D simplification évidente donne ou (6) Nous faisons les remarques suivantes : ~i~ Si n > 1 , Z 9 donc,9 G ~ A n (ii) Pour tout entier (c) Essayons rons, il Nous nous savons d’abord déjà de n impair m d’appliquer faut trouver [5] et il résulte aisément jours - un que, pour (en n, une 48 , il y 3) Sn ° et puissance pour cela, k > n . comme nous le ver- tel que p x = n - n F 9 premier x ~ posant * à n le théorème nombre G = ~ n a un x p ~ -~ x , 57, il y a tou- tel que p n == que, pour dans l’intervalle désiré. Une vérification directe montre que de tels nombres premiers existent en fait pour tout n ~ 14 , ainsi que pour n = 10 . un p Vérifions maintenant que les conditions du théorème A sont par un Pour = a n tel (car pl 2n> 1 En écrivant , 2pl 2n> 1 # mais et d’ après (6) . (b) : D’après (5), Mais d onc d ’ aprè s ( 5 ) j pI ni , Pour fait satisfaites p . (a) : (2n)! n, ~n ~j en 2p > et p d ivi se a n mais, d’après 7> , , /fni ) . p Si p = exac tement à la p > 2n - 2k - 2n + 1 3 1, divise les coefficients de et première pui s sanc e 3pi2n) 1 ; aussi alors zV (0 03BD p) ; donc, de sorte que Enfin, d’après (6) , 2n - rème A 4n-2 3 - D1/2 2n - 1 3 vérifiées. L - 1, £ pour tout n > n si que le P. B. de degré trique S . Z - pD n-p donc, p ° 2n - 1 3 n 2 ; 1, n > pour contient que des facteurs ne n-p trouvent se Enfin, D plus petits donc le théorème F est ont 10 , = applicable et, puisque degrés groupe de Galois comme -2p - 1 et toutes les conditions du théo- , tous les P. B. irréd,uctibles de n que 2n Gn 14 , n ) ain- symé- le groupe n (d) Pour les autres valeurs de d’étudier presque chaque n (car 2 = et S2 (1§ n séparément. cas Sont les seules A2 Le Pour cela, il qUe n nous faut pn n . 3 ’ * P4 LeS trouver, transitifs. e8t En gré POUr - > pn Il aPPlicable . t n&#x26; n le Donc, CeS CaS dre = 1 est pour G2 ~ A2 ) et A3 S3 , et les G3 (e ) , ou = chaque en un n , mais aussi trivial ; et essayons d’utiliser Nous trouvons P6 * P7 polynômes correspondants tous nous n obligés nous sommes au 3 = deux moins le théorème A. nombre effet de tels n premier p pn , sauf pour = n ’ p , tel =5 et à savoir 11 , = (n / 10) , n $ 13 4 § cas possibilités, (car ’il n’y a que les trois possibilités premières s’éliminent trivialement). POUr n £ 10) , n $ 13 , pn en pour 4 et A4 * P~ * 7, P12 * Pi~ * 11. irréductibles, de sorte que leurs s’applique, et p n)o(G n) . Comme on il résUlte que les Gn résUlte que chacun de ces sont G~ n sont a encore dans et le théorème B primitifs groupes G est transitif, 1 . + ParticUlier, sont Pà sont théorème A n/2 , 5, * n = 4 , les seuls groupes de 54 (voir 1?1 , § 166 (ii) , permutations primitifs d.e de=°°°i po 214) 1 donc, G4~A4 G4=S4 . de de groupes permutations degré 7 - 5 + 7, 3 , et les seuls 7 , triplement transitifs, sont A7 et S7 ( [ 7] , § 1 66 (V ) , p . 2 1 6) , ainsi que G7 S7 . FOUr n 13 , nous rappelons le fait (voir par exemple [7] , § 165, P. 214, Ex. ; mais Ce résultat fut connu par JORDAN) que, si pi > 3 et p2=2p1+1 sont des nombres premiers, alors tout groupe triplement transitif de degré ~ ~ contient En particulier, ~~ ~ ~ ~ ~ ~1 * ~ J donc, ~~l ~ ~ ~13 b ~13 est triplement transitif. On a aussi n 13 2 . 5 + 3 avec p1 5 > 3 et n 1 = = = = = 2Pi + 1 = 2.5 + 1 = ii = P2 nombres = Premiers. = Par conséquent, G13 ~ A13 , et D x/z ~3 ~ M Z comme Il p’ 2n 3 , firme que n n élément de n et 12. Pour les étu- d’établir l’existence d’un élément en vue (avec Le théorème E à moins que G D p’)o(G) n n p’ , ~ mais A ; n n ’ ~. = et e = 1) af- ayant établi l’existence d’un GnD A , n G de sorte que =n S , n avant. comme P our n = 5 , x3 x2 + avec D, tel que d’ordre G G13 n~596,~, 9,11 cas utiliserons le théorème nous d’ordre il s’ensuit que reste à considérer les nous dier, G ~3 ~ A13 ’ ==> contient un 4x + + 5 (mod 17) . Donc, d’après irréductible cycle d’ordre 3 3to(G~) . et dont l’ordre soit divisible par sont 3 , théorème D, le Mais les seuls groupes de A5 et S5 ; ainsi, fois de une G5 degré 5 ~ plus, ~ =’5 De même, tous les facteurs étant irréductibles alors P~ G/ aussi, G~ S~ (comme (a ~ b) e = transposition, = tement le théorème Pour avec n 28! I1 nous 2 ~! j6i ~ primitif G/ il serait bien malaisé D, contient une d’appliquer direc- E). des facteurs irréductibles et le groupe comme le théorème =~~ de sorte q ue 5 et (mod 13) . D’après 5 PQ ~ G8, 2.8/3 , (mod 19) . Donc, d’après P2 - (c , e , g , d ,9 le théorème E montre que f) étant d’ordre 8 A 8 9 donc. reste à considérer seulement les trois valeurs Tous les calculs cessaires pour précédents se font aisément obtenir la décomposition le théorème D , 5 . Comme G = 8 5I 8: , S . 8 n = 9 , 11 , et 12 . à la main ; mais déjà les calculs né- seraient pénibles 29 ) indique, d’après irréductibles mod tion de la forme P e P E Gg aussi Donc, et P~ = (d , y mais, ayant aussi quent, E montre que y Pour les deux ainsi que soit allé z (x) jusqu’à ). (il pour 7 P et et y 5 -?-.9 = 6 , le théorème S. dans mod 61 des congruences est clair que, si n = 11 5 /~9! = 5. Par consé- est d’ordre 5J9! ~ facteurs D, l’existence d’une permuta- f) h , n = 11 évidence des éléments d’ordre en le théorème g, e ,y G~ qui restent, cas (en l’aide d’une calculatrice. Cette factorisation sans e et n G11 = et 12 , tous les efforts de mettre G 12 ont échoué, bien que l’on (pour z (x) ) et mod 47 (pour o(P) 7 ; alors, 7)n!,.. = n = 12 , et l’on obtiendrait, comme avant, G = n S dans 7-?-~ ces n cas.) Aussi, d’autres manières d’approcher le problème ont été essayées en vain, par exemple l’étude de leurs multiples transitivités, à l’aide des théorèmes deux classiques de JORDAN Ph. HALL. Ces échecs et n = 11 pour ou BURNSIDE, répétés nous n==12,et pour ou des résultats récents de M. amènent à considérer la ces HALL, WIELANDT et possibilité que G ~ S n valeurs seulement1 étrange que cela puisse paraître, cela n’est peut-être pas plus étrange que l’existence, précisément pour ces degrés, de groupes de hautes transitivités, ne contenant pas A , à savoir les groupes de Mathieu. Il paraît désirable de déterminer la structure de G et G ~ , pour clore ainsi définitivement le problème des groupes de Galois transitifs des polynômes de Bessel. 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