Catalogue résidentiel et petit tertiaire - 2012 K1
Normes, conseils
et services
Norme et labels Règlementation Thermique RT2012 K2
Norme NF C 14100 K4
Norme NF C 15100 K6
Véhicules électriques K16
Diagnostic électrique K17
Mise en sécurité K18
Certifi cation NF K21
Labels Promotelec K22
Exemples d'application Gaine Technique Logement K24
Odace RF et Unica RF K36
Odace + K38
Applications de contrôle-commande K40
Conseils techniques Photovoltaïque K48
Véhicules électriques K53
Charges admissibles pour les variateurs K54
Répartiteurs Distri'clic XE et connecteur R'clic XE K56
Raccordement des parafoudres K57
Calibres des contacteurs CT et télérupteurs TL K58
Couples de serrage K61
Degré de protection K62
Filiation K64
Déclassement en température K66
Canalis K68
Transformateurs et autotransformateurs BT/BT K70
Onduleurs APC K72
Prises industrielles K73
Services Formations K75
Annexes Carnet d'adresses K79
Conditions générales de vente K80
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K2 Catalogue résidentiel et petit tertiaire - 2012
Normes et labels
RT2012
Afi n d’améliorer la performance
énergétique du bâtiment, la RT2012
aborde de façon précise les principaux
usages du bâtiment. Elle stipule un
certain nombre de règles nécessitant
des changements à la fois dans la
conception et dans la construction des
bâtiments ainsi que la mise en œuvre
d’équipements visant à réduire les
consommations d’énergie.
45
40
50
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55
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60
65
Consommation maximale (Cepmax)
par zone géographique (zones climatiques en vigueur
dans la RT 2012)
Chauffage – Rafraichissement
(confort d’été)
Optimisation des performances
des parois vitrées et des occultants
(art. 6, 7, 21)
Les parois vitrées sont les seuls éléments d’un bâtiment qui permettent la
transmission des apports solaires, qu’ils soient énergétiques ou lumineux.
Il convient de prendre en compte certaines contraintes :
• optimiser la performance des parois vitrées pour diminuer leurs déperditions,
• se protéger des apports solaires pour assurer le confort thermique et lumineux des
occupants.
Seuls des systèmes mobiles permettent d’assurer la variabilité des performances
des parois vitrées. Ces protections mobiles peuvent être commandées :
• en mode manuel : par organe de commande manuel, système de motorisation avec
ou sans télécommande, système de motorisation avec système de centralisation
• en mode automatique : complètement automatique (horloge, capteur) ou avec
dérogation pour l’utilisateur, avec ou sans système de détection de présence.
Pilotage du chauffage en fonction des besoins (art. 24)
Dans les bâtiments ou parties de bâtiments à usage d’habitation, une installation de
chauffage comporte, par local desservi, un ou plusieurs dispositifs d’arrêt manuel et de
réglage automatique en fonction de la température intérieure de ce local.
Toutefois lorsque le chauffage est assuré par un plancher chauffant à eau chaude
fonctionnant à basse température ou par un appareil indépendant de chauffage à bois,
ce dispositif peut être commun à des locaux d’une surface habitable totale maximum
de 100 m2.
Pilotage du chauffage selon les besoins (art. 34)
Dans les bâtiments ou parties de bâtiment à usage autre que d’habitation, une
installation de chauffage comporte, par local desservi, un ou plusieurs dispositifs
d’arrêt manuel et de réglage automatique en fonction de la température intérieure
du local.
Toutefois, lorsque l’intégralité du chauffage est assurée par un plancher à eau chaude
fonctionnant à basse température ou par air insuffl é ou par un appareil indépendant
de chauffage à bois, ce dispositif peut être commun à des locaux de SUrt* totale
maximum de 100 m2.
Diversité des allures de chauffage (art. 35)
Dans les cas de bâtiments ou parties de bâtiments à usage autre que d’habitation,
toute installation de chauffage desservant des locaux à occupation discontinue
comporte un dispositif de commande manuelle et de programmation automatique, au
moins par une horloge, permettant :
une fourniture de chaleur selon les quatre allures suivantes : confort, réduit,
hors gel, arrêt
une commutation automatique entre ces allures.
Lors d’une commutation entre deux allures, la puissance de chauffage est nulle ou
maximum de façon à minimiser la durée des phases de transition.
Un tel dispositif ne peut être commun qu’à des locaux dont les horaires d’occupation
sont similaires. Un même dispositif peut desservir au plus une SUrt de 5 000 m².
Eau chaude sanitaire
Mise en œuvre de systèmes innovants (art. 16)
En raison de la baisse très signifi cative des consommations liées au chauffage, l’eau
chaude sanitaire devient le premier poste énergivore du bâtiment résidentiel :
25 à 30 kWhEP/m²/an
Pour optimiser les consommations d’énergie liées à l’eau chaude sanitaire, la RT2012
préconise :
• la généralisation du chauffe-eau thermodynamique
• ou la mise en œuvre de capteurs solaires thermiques (au minimum 2 m²) respectant
une orientation au sud et une inclinaison entre 20 et 60°
• ou le raccordement à un réseau de chaleur alimenté à plus de 50 % par une énergie
renouvelable ou de récupération
• ou la production d’eau chaude sanitaire par une chaudière à micro-génération à
combustible liquide ou gazeux.
Catalogue résidentiel et petit tertiaire - 2012 K3
Eclairage
Exigence de surface minimale de parois vitrées (art. 20)
Pour les bâtiments ou parties de bâtiments à usage d’habitation, la surface
totale des baies, mesurée en tableau, est supérieure ou égale à 1/6 de la surface
habitable.
Mise en place de système automatique de détection de présence (art. 27)
Pour les parties communes internes horizontales et verticales :
• Tout local comporte un dispositif automatique permettant, lorsqu’il est inoccupé,
l’extinction des sources de lumière ou l’abaissement de l’éclairement à un minimum
réglementaire.
• De plus, lorsque le local a accès à la lumière naturelle, il intègre un dispositif
permettant une extinction automatique du système d’éclairage dès que l’éclairement
naturel est suffi sant.
Un même dispositif dessert au plus :
• une surface maximale de 100 m²
• 3 niveaux pour les circulations verticales
Installation de détecteurs de présence dans les parkings (art. 28)
Les parcs de stationnement couverts ou semi-couverts comportent :
• soit un dispositif automatique permettant l’extinction des sources de lumière artifi cielle
pendant les périodes d’inoccupation,
• soit un dispositif permettant d’abaisser le niveau d’éclairement au niveau minimum
réglementaire pendant les périodes d’inoccupation.
Pilotage de l’éclairage de chaque local selon les besoins (art. 37)
Dans les bâtiments à usage autre que d’habitation, tout local est équipé d’un dispositif
d’allumage et d’extinction de l’éclairage manuel ou automatique en fonction de la
présence.
Centralisation des commandes d’éclairage depuis un poste de supervision
(art. 38)
Dans les bâtiments à usage autre que d’habitation, tout local, dont la commande de
l’éclairage est du ressort de son personnel de gestion, y compris durant les périodes
d’occupation, comporte un dispositif permettant l’allumage et l’extinction de
l’éclairage. Si ce dispositif n’est pas situé dans le local considéré, il permet de
visualiser l’éclairage dans ce local depuis le lieu de la commande.
Implantation de détecteurs de présence, de mouvement, de luminosité (art. 39)
Dans les circulations et parties communes verticales ou horizontales de bâtiments ou
parties de bâtiment à usage autre que d’habitation, tout local comporte un dispositif
automatique permettant, lorsque le local est inoccupé, l’extinction des sources de
lumière ou l’abaissement de l’éclairement à un niveau minimum réglementaire.
De plus, lorsque le local a accès à l’éclairage naturel,
il intègre un dispositif permettant l’extinction automatique du système d’éclairage
dès que l’éclairement naturel est suffi sant.
Un même dispositif dessert au plus :
• une SUrt maximale de 100 m² et un seul niveau pour les circulations horizontales et
parties communes intérieures
• 3 niveaux pour les circulations verticales.
Installation de détecteurs de présence dans les parkings (art. 40)
Dans les bâtiments à usage autre que d’habitation, les parcs de stationnement
couverts ou semi-couverts comportent :
soit un dispositif permettant d’abaisser le niveau d’éclairement au niveau
minimum réglementaire pendant les périodes d’inoccupation
soit un dispositif automatique permettant l’extinction des sources de lumière
artifi cielle pendant les périodes d’inoccupation, si aucune réglementation n’impose un
niveau minimal.
Un même dispositif ne dessert qu’un seul niveau et au plus une surface de 500 m².
Segmentation de l’installation d’éclairage pour profi ter de la lumière naturelle
(art. 41)
Dans les bâtiments ou parties de bâtiments à usage autre que d’habitation, les points
éclairés artifi ciellement qui sont placés à moins de 5 m d’une baie sont commandés
séparément des autres points d’éclairage dès que la puissance totale installée est
supérieure
à 200 W.
Isolation / étanchéité
Obligation de test de perméabilité à l’air (art.17)
La RT2012 impose le traitement de la perméabilité à l’air
des logements.
Deux cas de fi gure sont possibles :
• soit le bâtiment a fait l’objet d’une mesure de la
perméabilité à l’air, réalisée par un opérateur autorisé
par le ministère en charge de la construction et selon les
conditions défi nies par ce même ministère.
La perméabilité mesurée doit alors être inférieure à :
- 0,6 m3/h/m2 de parois déperditives hors plancher bas
en maison individuelle
- 1 m3/h/m2 de parois déperditives hors plancher bas en
immeuble collectif d’habitation.
• soit le bâtiment a fait l’objet de l’application d’une
démarche qualité agréée par le ministère en charge de la
construction.
Concrètement, cette option concerne les bâtiments
résidentiels ayant subi de grosses rénovations
nécessitant un permis de construire. Dans ce cas,
ce sont alors les méthodes constructives appliquées qui
permettent de valider l’étanchéité.
Modalités d’application de cette exigence :
• en maison individuelle, les deux options sont possibles
• en immeuble collectif, la mesure de perméabilité à l’air
est obligatoire jusqu’au 1er janvier 2015. Au-delà de cette
date, les deux options seront possibles.
Comptage
La mesure des consommations d’énergie : un
incontournable (art. 23)
La RT2012 impose la mise en œuvre de systèmes
permettant de mesurer ou d’estimer
la consommation d’énergie de chaque logement.
L’information devra être délivrée :
• a minima mensuellement,
• dans le volume habitable, par type d’énergie,
à minima selon la répartition suivante :
- chauffage,
- refroidissement,
- production d’eau chaude sanitaire,
- réseau de prises électriques,
- autres.
• répartition basée soit sur des données mesurées,
soit sur des données estimées.
Totalement nouvelle, cette exigence de mesure
des consommations énergétiques et d’information
des occupants a pour objectif de les sensibiliser sur
leurs pratiques et, ainsi, de les inciter à modifi er leurs
comportements.
La mesure par usage devrait notamment les alerter
sur les consommations liées aux usages domestiques
(appareils de cuisson, électroménager, multimédia, etc.)
qui devraient devancer les postes jusqu’alors les plus
énergivores : chauffage, climatisation, eau chaude,
éclairage et auxiliaires.
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K4 Catalogue résidentiel et petit tertiaire - 2012
Normes et labels
Norme NF C 14-100
Le branchement selon la norme NF C 14-100
Cette norme traite de la conception et de la réalisation des installations de
branchement à basse tension comprises entre le point de raccordement au réseau
et le point de livraison aux utilisateurs.
Elle s’applique aux branchements individuels et aux branchements collectifs
(branchements comportant plusieurs points de livraison). Elle permet de concevoir
des installations de branchement jusqu’à 400 A, en assurant à tout moment la
sécurité des personnes et la conservation des biens.
Pour la défi nition des matériels qui constituent un branchement, il faut se reporter
aux spécifi cations techniques du gestionnaire du réseau de distribution.
Pour les branchements à puissance surveillée, au-delà de 36 kVA, un appareil de
mesure surveille la puissance appelée au point de livraison et le gestionnaire de
réseaux enregistre tout dépassement de la puissance souscrite.
Le point de livraison correspond aux bornes aval du dispositif de sectionnement
placé chez l’utilisateur. Ce dispositif de sectionnement à coupure visible, est destiné
à pouvoir séparer du réseau l’appareil général de commande et de protection de
l’utilisateur.
Le sectionnement peut être assuré par un sectionneur combiné à un disjoncteur, par
un disjoncteur débrochable ou par un interrupteur-sectionneur distinct de l’appareil
général de commande et de protection.
Branchement à puissance surveillée de 36 à 250 kA
NF C 11-200 NF C 14-100 NF C 15-100
Installation clientBranchement
Réseau
Point de livraison
bornes aval D
Point de
raccordement
au réseau Coupe-circuit
individuel D
Liaison au
réseau
Dérivation
individuelle
AGCP
kWh
D : Equipement assurant le sectionnement et la coupure visible (interrupteur)
AGCP : Appareil général de commande et de protection (disjoncteur abonné)
Le PDL est un point important car toute la contractualisation avec le gestionnaire
du réseau se fait à cet emplacement. Il s’agit du raccordement avec l’installation de
l’utilisateur situé soit :
p pour les branchements à puissance limitée aux bornes aval de l’appareil général
de commande et de protection (AGCP),
p pour les branchements à puissance surveillée aux bornes aval de l’appareil de
sectionnement à coupure visible.
Le point de livraison est aussi appelé :
p point de soutirage pour les installations consommatrices,
p point d’injection pour les installations productrices.
En amont de ce point de livraison, la norme NF C 14-100 entre en application,
sachant que la conformité de l’ouvrage à cette norme relève de la responsabilité du
distributeur.
En aval de ce point de livraison, les installations du client doivent être conformes à la
norme NF C 15-100.
Point de livraison (PDL)
Au-delà de 36 kVA, le dimensionnement des dérivations individuelles est déterminé
suivant trois paliers en fonction des puissances souscrites :
p de 36 kVA à 59 kVA : dimensionner pour 100 A,
p de 60 kVA à 119 kVA : dimensionner pour 200 A,
p de 120 kVA à 250 kVA : dimensionner pour 400 A.
Les installations de branchement sont donc construites pour transiter le maximum de
puissance du palier choisi. Le choix du matériel et des câbles qui en découle permet
d’optimiser le coût de l’installation en fonction de la puissance demandée.
Tout le matériel en amont du point de livraison est alors respectivement dimensionné
pour 100 A, 200 A, ou 400 A, y compris le dispositif de sectionnement à coupure
visible. En revanche il faut redimensionner l’installation lorsqu’une augmentation de
puissance nécessite un passage au palier supérieur.
Paliers
Catalogue résidentiel et petit tertiaire - 2012 K5
Avec le branchement à puissance surveillée le sectionnement à coupure visible
est obligatoire, que le coffret de comptage ou de couplage soit situé en limite de
propriété ou chez le client utilisateur.
C’est un interrupteur à coupure visible qui assure cette fonction et dont le calibre est
au minimum égal au palier.
Cet interrupteur a pour principales caractéristiques :
p sa conformité aux normes CEI 60947-1 et 60947-3,
p et la coupure visible.
Si le coffret est situé en limite de propriété, l’appareil pour être accessible par
l’utilisateur est placé dans ses locaux.
Si le coffret est situé chez le client, cet appareil est placé soit dans ce coffret, soit
dans l’armoire de distribution BT.
Sectionnement à coupure visible
Le dimensionnement d’une protection nécessite de connaître le courant maximal
de court-circuit de l’installation. Pour cela, il est nécessaire de demander au service
local de distribution les informations nécessaires à son calcul, sinon il faut utiliser les
informations fournies par la NF C 14-100.
Le calcul des courants de court-circuit se fait en ayant en référence les différentes
liaisons décrites dans la fi gure ci-contre.
p Caractéristiques fournies par le gestionnaire de réseau.
Le calcul de l’Icc max nécessite les caractéristiques suivantes :
_ puissance et tension de court-circuit du transformateur,
_ longueurs, sections et natures des canalisations L1, L2, L3.
Nota : Pour la liaison L4, longueur, nature et section sont à déterminer par
l’installateur.
p Caractéristiques non fournies, application de la NF C 14-100
Pour le cas où le gestionnaire de réseau n’est pas en mesure de fournir tous les
éléments, la NF C 14-100 prescrit, par défaut, les données suivantes :
_ puissance du transformateur : 1 000 kVA ;
_ tension de court-circuit : 6 % ;
_ liaison L1 : longueur 6 m, en aluminium, 4 câbles de section 240 mm² en parallèle
par phase ;
_ liaison L2 : longueur 15 m, câbles en aluminium de section 240 mm² ;
_ liaison L3 : longueur 0 m ;
_ liaison L4 : longueur, nature et section déterminées par l’installateur.
Pour le calcul du courant de court-circuit la résistivité à utiliser est celle à 20 °C.
Toutes ces données conduisent, quelque soit la puissance souscrite, à un courant de
court-circuit maximal présumé IK3 de 20 kA (calculé avec le logiciel Ecodial). C’est
avec ce courant présumé au point de sortie du poste HTA/BT, à l’extrémité du câble
L2, qu’est dimensionné l’AGCP.
Pour ne pas surdimensionner l’installation, il convient de prendre en compte
les longueurs L3 et L4 et ainsi d’optimiser le choix du matériel basse tension,
notamment des disjoncteurs de protection défi nis selon l’Icc au point de livraison.
La technique de fi liation (utilisation du pouvoir de limitation des disjoncteurs) offre
une solution économique supplémentaire puisqu’elle permet en aval de l’AGCP de
placer des disjoncteurs de plus faible pouvoir de coupure.
Nota : La fi liation ne peut être réalisée qu’en mettant en oeuvre des combinaisons
de disjoncteurs testées par leurs fabricants.
Courant de court-circuit
Tableau BT
Poste HTA / BT
Bâtiment 1
Point de pénétration
du bâtiment à alimenter
Point de sortie
Point de livraison
L1
L2
L4
L2
L3
L3
Bâtiment 2
L1: Canalisation BT entre le transformateur et le tableau BT
L2 : Canalisation entre le tableau BT et le point de sortie du
poste HTA/BT
L3 : Canalisation entre le point de sortie du poste HTA/BT et le
point de pénétration du bâtiment à alimenter
L4 : Canalisation entre le point de pénétration du bâtiment à
alimenter et le point de livraison de la propriété à alimenter
Interpact INV
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