Séminaire L. de Broglie. Théories physiques A SSÈNE DATZEFF Sur une interprétation de la mécanique quantique Séminaire L. de Broglie. Théories physiques, tome 27 (1957-1958), exp. no 12, p. 1-9 <http://www.numdam.org/item?id=SLDB_1957-1958__27__A11_0> © Séminaire L. de Broglie. Théories physiques (Secrétariat mathématique, Paris), 1957-1958, tous droits réservés. L’accès aux archives de la collection « Séminaire L. de Broglie. Théories physiques » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/legal.php). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale. Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright. Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques http://www.numdam.org/ 12-01 Faculté des Sciences de Paris ° i Séminaire de THEORIES PHYSIQUES (Séminaire Louis de Année 1957/58 février 1958 11 BROGLIE) SUR UNE INTERPRÉTATION DE LA MÉCANIQUE QUANTIQUE par Assène DATZEFF 1~ Probabilité de Dans communication une relative à physique cules présence une "élémentaires" en mécanique quantique. montré qu’à l’aide d’une certaine hypothèse etàdes corpusreprésentation matérielle du champ (l’électron; etc.) on aboutit à une image qualitative [~1] nous avons présence w (x , y , z) de ~ semblable à celle de la mécanique quantique. Dans ce travail, nous allons chercher la forme exacte de w.. Il faut d’abord fixer nos conditions de départ qui permettront de de la distribution des déterminer Dans a. à cause un Elles sont : problème déterminé de mouvement d’un corpuscule )~ d’énergie E. et se ’ sur b. Quand u l’émission (ou c. probabilité locale v de passe d’un état stationnaire l’absorption) d’un ils arriveront à et de particules AE ~ U densité P = une w , un des ~~ à dérivées, un et de en [1] . j~ ~ 0 0 plus Ek Ek = corpuscules.identiques statistique A. il s’ensuit autre d’énergie ensemble de distribution donnée (x : y ~ ~ ) photon 03A6kl Si l’on m6t dans le champ interaction, maximum trouver dans des états stationnaires différents présence w une fonction continue et uniforme possédant la frontière du domaine envisagé. est champ U f un 2 , ... ) d’énergie fluctuations des peut de dans corpuscule ? ’~ et(k des ~1, fréquence le de de de la création des formations et de K w . probabilités sans de vitesse moyenne et v vérifiant l’équation hydrodynamique w continuité. se peut négliger la structure discrète du champ, le mouvement transforme en mouvement classique. Alors en cas de mouvement sur OX ~ si x(t1) ~ x(t) ~ x(t2) , x’(t) ~ 0 , on peut poser w(x) = C /V(x) (C -constante) d. Quand (Principe e. En on de cas f. Dans exactes de correspondance). de mouvement uniforme un cas (U on a = unique concret, où l’expérience l’énergie éventuellement prédites W = Cte. donne des valeurs quantifiées par l’ancienne théorie des quanta (par exemple dans le quantifiées valeurs de l’oscillateur cas l’énergie trouvées de harmonique, En = n h 03BD , ici doivent coïncider avec U (x ~ U (y ) ~ ~v (x) (y) W 3 (Z ~ g. Si dans un problème classique on a pour le problème correspondant quantique grand) n + les celles-là. on doit avoir (probabilités indépendantes). Considérons d’abord le mouvement à potentiel U(x) qui détermine Admettons que dimension de force attractive trouve dans l’état stable se présence de une une dirigée on changeant peut considérer signe la l’origine 0 . et de représentation complcxe suvante de . Le corpuscule Alors les peut on doit retomber normalisation elles, (3) ~) avec fk (- suggérée est la condition remplie, = 0 à d’exiger des fonctions possèdent des dérivées (Lfk- des ’Ak . comme par le fait |fk|2 =W.. les fonctions cause qu’en fk ~) de wk (- = cas b~ U(x) qui et b2 Pour que la condition de doivent être orthogonales entre 0 . I1 semble naturel aussi qu’elles soient continues et uniformes et qu’elles les Il s’ensuit que l’on peut les consi- sont des fonctions de caractérise le par d’état stable unique dérer comme des fonctions propres fk avec des valeurs propres E, d’une équation différentielle de deuxième ordre du type Sturm-Liouville de forme Ici racines (C sur soit successivement trouver se de la généralisation (2) dans différents états décomposer la probabilité de présence W(x, t) -constantes réelles). façon suivante peut essayer de fonctions fk La A, on fk réelles) fonctions probabilité plus commode ayant les mêmes elles. Pour plus de f (x~ ~ .-entre successivement de et vers avec un il serait d’étudier la fonction de signe variable que généralité Ox l’axe d’énergie ~r (x~ ~ 0 . Au lieu de avec sur problème. 03B1 est x un générale qui doivent dépendre aussi du potentiel paramètre introduit pour égaliser les 1 dimensions, ~] U Pour |f|2 == w = = U~ = ~. 2 t *-! ] ~ = En -~0 b1 = 0 , b2 = Cte. contenu dans les l’équation (4) où cas simultanément avec possède 0 avec et n -2014~ co des valeurs si prend pratiquement un des valeurs continues. Alors la dernière aussi pour des valeurs finies de E et pour 03B1 suffisamment Il s’ensuit que pour des valeurs de x ~ 0 on doit retrouver le mouve- condition est Dans et l’on doit avoir paramètre U 1 avec elle macroscopiques, en uniforme, ce . résulte D’un autre côté considérons le où spectre discontinu et b~ ~ est alors nécessaire d’avoir Cte b~ ~ ment doit être le mouvement Cte cela doit être vrai pour chaque valeur du il en 0 . Puisque petit. On doit déterminer les remplie classique de bk. * Alors en cherchant (4), on trouve, la remplaçant ce cas on dans doit avoir d’après d~ W l’on trouve facilement à l’aide de dernier terme de Inéquation (4) une en solution de arrêtant le = (5) b~ - devient ainsi E A de la forme développement v = (4) n=1, = 2(E - U)/m = à (E - C~ . A et le = Conformément à la condition f. appliquons l’équation ainsi trouvée (4) à U==~-x ~ (-oo~x~0153). Elle est de type connu. Ses fonctions propres sont données par les polynômes d’H6rmite et ses valeurs B/2A/k En =2n+l~ (n=0~1~2~..,)~ propres En par les relations n k 03BD , sont égales aux valeurs connues En En écrivant que ces valeurs En (en négligeant 1 devant 2n , puisque n est grand) on trouve A 8 03C02m/h2 , et finalement pour l’équation (4), que l’on appellera ici équation de distribution de probabilité ~ h/217) l’oscillateur harmonique, = = = c’est-à-dire Inéquation d’amplitud6 de Schrödinger dans le cas à une dimension. L’équation de continuité valable d’après c. reste évidemment invariante si l’on remplace fk par fk exp(i peut donc, Y~(t)) ~ puisque en accord avec a. et la formule de Planck b., essayer de lier la fréquance à l’état Ak’ En éliminant posant en (6) (pour probabilité (équation de E~ de distribution d6 (7) E et de = E) on arrive à Schrëdinger). de facilement les résultats trouvés pour le et aussi pour plusieurs corpuscules. peut généraliser dimensiors, Formalisme mathématique 2. Nous U(x) en concernant on corpuscule hypothèses considère le que celles de la à unc dimension. On cas mécanique a A k d’énergie E k trouver dans des états stationnaires On présence a introduit la fonction t) et la fonction 03A8k(x , probabilités généraliser résultats. ici mouvement fonctions des ces mécanique exp(i = fx(x) de distribution des de Ek t/h) champ ondulatoire. probabilité de avec de l’équation temporaire Schrödinger). On va corpuscule est caractérisé par une suite de grandeurs"* variables canoniques q, p (ici x , px). On doit admettre dans le à d’un de l’effet des formations 03A6k grandeurs doivent également subir des variations des et de présence (l’équation ces cause variations sont statistiques. un champ du et que dans ce champ Le corpuscule peut se vérifiant quantique, avec de trois admis que le complexe cas ces ou dans microscopique support matériel (l’éther) sc compose de corpuscules ~~E peuvent se créer des formations 03A6k (k = 1 , 2 , ...) . et que de deux on quantique. mouvement d’un le admettant d’autres Pour sinplifier Le cas (g) montré que l’on peut retrouver certains résultats de la mécanique avons quantique de la l’équation temporaire A l’aide de En cas comme et des fluctuations, que compliquées et chaotiques, la coordonnée d’état stationnaire elles auront des probabilités correspondantes. On va à des lois der’ valeurs fixes différentes x rechercher d’ abord leurs valeurs moyennes. F(x) une fonction donnée de x . Puisque ’~(x ~ 2 dx de probabilité de présence dans l’intervalle dx, la valeur sera donnée, d’a.près la théorie des probabilités, par l’expression est la densité Soit moyenne de F Pour trouver la valeur moyenne d’une fonction de px , on fera usage du principe de correspondance [2]. Dans le cas d’un point de masse m animé d’un mouvement classique sur OX dans un champ "classique" pendant le temps T U(x~ ~ on a défini la probabilité de dans l’intervalle x1 , x2 par dW = présence dt/T = mdx/Tpx [1]. On en pour la valeur moyenne tire, cette dernière formule correspondant aux l’approximation classique de ~~r~~ ~ pour cas où l’on trouve la valeur de la constante 03A8(3) En remplaçant dans (1) on d’une fonction classique B JC’ ))~ = : B(x , px) x p ~ D’un autre côté en égalisant voit que l’on retombe à la on avait t~} dx.(3) à formule (2) avec dM . B .= F . Soit maintenant B formule L;a = facilement la pensée suivante. Si l’on et F dérivée ô/ôx agissant par la suggère (1)~ d’après l’expression (3) remplace dans (l)~~f par l’expression (3)~ sur l’un des deux facteurs ’jf* ou trouve à l’aide de calcul simples, en négligeant sous l’intégrale le membre de l’ordre plus élevé par rapport à h (h ~ 0), la valeur moyenne classique px (2). On trouve par conséquent la valeur exacte de multipliée par px (2) en à savoir remplaçant dans l’opérations indiquée F par on h. facile de vérifiEr quE l’ on trouve la même l’opérateur (4). Il * valeurs p x En interchangeant dans (4) 03A8 et 03A8 et En temps P x Et P x un opérateur ce qui conduit à l’idée que Si B en (2) est un polynôme de px on peut vérifiEr que l’ on trouve la moyenne classiquE B (2) par unE formulE de la forme de ~4)~ où Px Est remplacé par un opérateur linéaire où P x Est . ,~ quE l’on trouvera En remplaçant formellement px p x) dans Px . Il par x forme que (4). Il s’ensuit que Est clair aussi que la formule (1 ) est de la dans le cas quantiquE pour chaque fonction rationnelle entière B(x , px) p ) on x peut écrire la formule suivante donnant la valeur moyenne dE accord lE La avec principe généralisation sions est do B .ot étant cn corrESpondance des résultats précédents pour les cas de deux et de trois dimen- B(x , ... , px , ...) Soit maintenant une grandeur mécanique d’opérateur B correspondant que l’on sait former et de valeur moyenne correspondante 5 (5). Comment trouvera-t-on les valeurs possibles de B dans le cas quantique ? trouvé que les valeurs que prenait l’énergie étaient données par les valeurs propres de l’équation de la distribution des probabilités (l’équation de Schrödinger) qui d’après la théorie générale des équations différentielles linéaires peut êtr6 écrite sous la forme Hf = Ef , H étant l’opérateur de la fonction énergie. Cela suggère l’idée que les valeurs possibles de B seraient les valeurs propres d’une équation de C6 dernier type, à savoir Nous avons (On peut également calcul6r les probabilités propriétés des fonctions q (6) et ~" ~ cette affirmation par les de ces valeurs en utilisant les , arguments supplémentaires suivants : On peut appuyer l° D’après notre hypothèse en (1) la raison principale provoquant de l’énergie était l’interaction entre le corpuscule fi et les tion la quantifica- formations ignore la dynamique interne, ainsi que le caractère plus précis de ces interactions. Il est probable que ces mêmes raisons imposent à toutes les des valeurs déterminées, possédant des probabilités grandeurs mécaniques liées à k dont données, on par des 2° Dans équations forme générale (6). l’équation de E en différentes coordonnées se décompose équations du même type exprimant de leur côté la quantification plusieurs en deux ou trois de la cas grandeurs mécaniques. d’autres Les résultats ci-dessus joints à (2) expriment les principes fondamentaux desquels on peut développer, comme on le sait, ceux de mécanique quantique à l’aid6 tout son formalisme mathématique* Ils ont cependant été établis à la suite d’un schéma physique, d’après lequel le corpuscule en mouvement u possède à chaque de la instant position et une de type classique une vitesse bien déterminées et une trajectoire qui n’est pas et qui a des traits communs avec celle d’un corpuscule brownien. On arrive ainsi à une interprétation causale de la mécanique quantique. Des considérations plus détaillées 3. Sur l’interprétation de de ces résultats paraîtront ailleurs. la mécanique quantique. paragraphe nous nous efforcerons de trouver une nouvelle base physique et interprétation causale des résultats de la mécanique quantique en utilisant l’hypothèse d’un support matéricl du champ que nous appellerons éther ,et que nous Dans ce nous avons [1 ] et ~2 ~. Aussi nous contenterons-nous ici d’une inage idées, en laissant pour un travail suivante l’exposé du côté introduit qualitative de mathématique . ces en Nous admettrons que l’éther possède une structure discentinue, et nous appellerons AE (atomes d’éther). Elles sont elles-mêmes des ces éléments des particules édifices composés. Quand elles sont en état d’excitation et organisées suivant manière, elles déterminent un champ ordinaire U macroscopique, microscopiques "élémentaires" (électroms, électromagnétique ou autre. Les particules etc.) que nous appellerons des corpuscules ~ ~ sont constituées par des particules AE . Dans certaines conditions du mouvement d’un corpuscule ~ (par exemple él6ctrons dans un atome) 16 champ U se décompose en groupements ou formation de corpuscules AE , que nous appellerons des formations 03A6k( k = 1 , 2 , ...) et $ pouvant échanger leur énergie). Chaque d’énergie maximum une dynamique interne comportant un phénomène périodique de fréquence k possède Si une ~ E. et .u. étant liée par la formule de formation ~ se décompose en formation ~ d’ordre inférieur (1 ’" k) , la différensous forme de ce entre leurs énergies est rayonnée corpuscule-photon 03A6kl d’éner- une certaine gie. E.~ = comportant Une E-E~ un possède particule ~ Ce dernier induit mière approximation les deux trodynamique dynanique interne Englobant ’ . Nous par une onde stationnaire ( un ((P ~~~) de de Maxwell n’6st pas valable ici). S’il s’évanouissant à de vers ~ ) ~ allant venant ~ ~ ~ _ ~ ~ phénomènes périodiques un équilibre dynamique grandes distances sa phénomène périodique dans représenterons ce phénomène en pre- phénomène périodique. domaine ~’ de l’éther un aussi Il existe entre rayonnement produit une irrégularité sans se (par exemple due à un obstacle), il en résulte force mécanique déterminée agissant sur / , et qui influence son mouvement. particules AE (les k aussi) sont soumises à des fluctuations, d’ où il dans la structure de une Les résulte que toutes les grandeurs du champ subissent des fluctuations. Quand on peut négliger la structure discontinue du champ on retombe dans 16 dorlain6 de validité de la mécanique classique. Voyons maintenant les conséquences particule ) U(x) détermine une n’existe que la première fluctuations la particule ~ ne ~ hypothèses ci-dessus auront sur le exemple suivant OX quand le potentiel attractive dirigée vers l’origine 0 . Admettons qu’il mouvement d’un6 force que les se mouvant par formation 03A61 . sera peut pas décrire par l’équation possède toujours une position Sous l’influence soumise à un x et une compliqué que l’on mécanique classique, quoique v bisn déterminées. On peut mouvement de mouvement de la vitesse et des naturellement que des poser la SG positions qU6stion do savoir admettant en qu’il un état puscule ~ se trouve dans l’intervalle de (x , probabilité Alors T temps un 6 x) pendant que le se cor- les intervalles définir la densité on va la fomule de la d’après présence wl de o On dira alors une. que durant x + , ... , 0394t = 03A3 0394ti ~T temps 0394t1 , 0394t2 de la existe cn stationnaire A1 . Supposons trouve dans est la distribution statisti- quelle nécanique statistique classique Les fluctuations être petites pour Si quelconque une aurait on ~i 1 ~± co) = 0 , limitas suivantes aux des les conditions ainsi que la condition de nornalisation existait isolément (k = 1 , 2 , ...) formations 03A6k A k d’énergie E k état stationnaire un doivent plus importantes étant plus rarcs, les valeurs de de grandcs va16urs de lx 1.. On peut donc admettre et de probabilité de présence définie plus haut. S’il existait un échange de photons avec le milieu extériEur~ donc des créations ou des disparitions successives d’états stationnaires, le corpuscule passerait par ces états d’équilibre Ak en restant un certain temps wk(x) dans chacun d’6ux. Alors la densité de w~x ~ t) fonction satisfaite. On Le tableau de t Et de x peut étendre probabilité avec la condition de normalisation considérations ces deviendrait présence de de deux au cas qui vient d’être esquissé correspond également aux ou une (2 ) toujours trois dimensions. états stationnaires d’un atome. Si U = (mouvement Cte vitesse variable à cas une classique probabilité w(x) ainsi que la Considérons un un mur corpuscule U° probabilité hauteur du mur une force de 0 subit des fluctuations d’être réfléchi par le v(x) (U = x ~.0 ~ U = U° = mouvment uniforme venant de du mur, mécanique mur ou pour en agira x - .- différents d’y pénétrer du domaine 6 variable ainsi dans notre Cte. en ondes ~ ~’ + 9 ~) variable = potentiel les on aura corpuscules AE ~ mais pour sera constante y nul, la vitesse moyenne de Puisque v) de vitesse des fluctuations des cause leur effet moyen sera - et uniforme sur se à pour Puisque la p oints ~ ~‘’ a une certaine profondeur arbitraire. une déforment ~.. oo . Cte en entrant Elle déterminera ou en une sortant vitesse . qu’une probabilité variable w(x) . On pourra faire des considérations semblables dans le cas d’une barrière de potentiel que le 12-09 corpuscule ~ aura toujours chance de traverser une Considérons aussi l’expérience de YOUNG. vement uniforme perpendiculairement à derrière lequel se trouve un le accompagnant corpuscule ront en partie par nature d’interférences un autre écran Soit écran B , de un corpuscule animé d’un mou- muni d6 deux orifices parallèle C s’y réfléchir. ou à B . Les ondes 01 , 02 , ~~p , + ~ ~ ) partiellement réfléchies par B et passecréant dans l’éther des mouvements ayant la seront f en (les fluctuations y existant l’action d’une force variable sur lc toujours). Il s’en suivra qui passera par exemple par C . Le phénomène décrit ci- corpuscule y. , l’orifice ~~ quelque part sur l’écran dessus aura un caractère probabiliste stationnaire et possédera une certaine stabilité pendant le temps se trouve cause aux environs de 0. ~ et tonbera des dimensions fini6s du domaine 6 . Evidemment qu’il existe plusieurs orifices ce Ainsi le phénomène sera différent suivant passant par un orifice l’existence des et 1a distribution clo la probabilité aux environs des orifices dépendra-t-elle de tout le dispositif expérimental. L’expérience effectuée à l’aide de plusieurs corpuscules identiques tels que conduira à un ou liée façon analogu6 exprimées par quantitative corpuscule , distribution de leur densité moyenne décrite par la une w(x , y , z) 0.. corpuscule toutes les une de au terminologie ondulatoire. ces phénomènes fonction de distribution probabilité uniqueeffectuées . On peut expériences qualitativement traiter d’une sur des corpuscules élémentaires Cependant pour avoir une description il est nécessaire de trouver dans tous w ~x ~ y , z) c’est co que nous forons dans ces cas un la prochain travail.. BIBLIOGRAPHIE [1] DATZEFF (Assène). - L’éther et la relativité t. 245, 1957, p. 827-829. [2] DATZEFF t. (Assène). - L’éther 245, 1957, p. 891-894. et la relativité . restreinte, C.R. Acad. Sc. Paris, restreinte, C.R. Acad. Sc. Paris,