Discussion:
CONGRÈS NATIONAL DE CHIRURGIE
Le syndrome de Krukenberg a été décrit pour la première fois en 1895 par l’allemand Friedrich Krukenberg [1]. Il se définit par des métastases
ovariennes uni ou bilatérales d’un cancer glandulaire, caractérisées par la présence de cellules mucosécrétantes en « bague à chaton » au niveau
ovarien. Les TK sont rares, elles ne représentent que 1 à 2 % des tumeurs ovariennes. Ces tumeurs s’observent surtout chez la femme en activité
génitale [1,2]. La tumeur est le plus souvent de découverte fortuite lors d’un bilan d’extension d’un cancer primitif le plus souvent digestif ;
comme c’est le cas de notre patiente.Celui-ci peut être gastrique (70 %), colique (14 %), ou pancréatico-biliaire (5 %), rarement appendiculaire
(2,5 %). [2]
Références:
[1]. Les tumeurs de Krukenberg d’origine gastrique (à propos de trois observations) ;M. El Yousfi · D. Benajah · N. Aqodad · M. El Abkari · A. Ibrahimi · H. El Bouhaddouti · A. Louchi. Springer-
Verlag France 2010
[2]. Les tumeurs de Krukenberg d’origine gastrique (à propos de 09 observations) I.benaaboud. M. Ghzali. M. Kerroumi. A.Mansouri.. Service de gyneco-obstertrique B.maternité Lalla
meryem. Ibn rochd, casablanca , Maroc, J Gynecol obstet Biol Reprod 2002,31:365-370