Présenation du Docteur Enkaoua

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Exposé du 10/04/2014
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deuxième cause de mortalité en France tous
âges confondus
La sédentarité est un facteur de risque
indépendant de morbi-mortalité cardiovasculaire quelque soit l'âge
L’activité physique réduit significativement le
risque de survenue d’un accident
cardiovasculaire en prévention primaire et en
prévention secondaire
Réduction du risque d’AVC
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La dysfonction endothéliale
Le système neuro-végétatif
Réduction des troubles hémorhéologiques
Réduction du syndrome inflammatoire
biologique
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L’activité physique modérée fait baisser la TA
des normo-tendus et des hypertendus
La sédentarité est une des causes favorisante
du diabète de type2
L’activité physique diminue la morbi-mortalité
des patients porteurs d’un diabète de type 2,
elle améliore l’équilibre glycémique.
Associé à un régime adapté l’activité physique
réduit significativement l’apparition de la
maladie chez les sujets prédisposés
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L’activité physique entraîne une diminution des
taux sériques des triglycérides et une
augmentation du HDL-cholestérol
Surcharge pondérale
Tabac
Dépression, facteur de risque cardio-vasculaire
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L'activité physique est associée à une
diminution du risque de plusieurs cancers :
Cancer du sein
Cancer du colon (sauf rectum)
Cancer de l’endomètre
Pour d'autres cancers (poumon, pancréas,
prostate, ovaire), les données sont encore
insuffisantes pour en tirer des conclusions.
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L’activité physique pourrait avoir un impact
favorable sur l’incidence des cancers en lien
avec l’obésité (œsophage , l'endomètre, rein,
côlon-rectum, sein après la ménopause,
pancréas et voies biliaires).
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L’activité physique pratiquée avant et après le
diagnostic de cancer du sein est associé à une
réduction de la mortalité globale et une réduction
de mortalité de 34% par cancer du sein.
Le risque de récidive est significativement diminué
(de 24 à 50% selon les sources)
L’activité physique pratiquée après un cancer
localisé du colon est statistiquement associée à un
bénéfice en taux de survie mais pour une activité
physique plus intense que pour le cancer du sein
L’activité physique pendant et après un traitement
d’un cancer améliore la qualité de vie (anxiété,
dépression, sommeil, image corporelle, sensation
de bien être, fatigue)
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39% des femmes âgées de 65 ans
70% des femmes âgées de 80 ans
Rôle de la chute du taux d’œstrogène dans
l’ostéoporose post ménopausique
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Le pic de masse osseuse se situe entre 20 et 30
ans
Rôle de l’activité physique chez l’enfant dans
l’acquisition du capital osseux
Un âge déterminant:
entre 11 et 14 ans chez le filles
Entre 13 et 17 ans chez les garçons
Le type d’activité influence la qualité de la
masse osseuse
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Lorsque la pratique d’une activité physique
débute après que le pic de masse osseuse soit
atteint si elle ne conduit pas à un gain de masse
osseuse elle contribue néanmoins au
ralentissement de la perte osseuse
Cet effet persiste tant que l’activité physique
est pratiquée régulièrement
L’activité physique modérée améliore la
coordination motrice des personnes âgées et
diminue le risque de chute et de fracture
Adultes de 18 à 65 ans:
30 minutes d’activité physique d’intensité modérée
de type aérobie ou endurance comparable à une
marche soutenue au moins 5 jours par semaine ou
20 minutes 3 fois par semaine d’activité d’intensité
élevée d’endurance de type jogging
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Sujet de plus de 65 ans
La marche rapide est considérée comme une
activité d’intensité élevée et la marche normale une
activité d’intensité modérée
Le volume d’activité peut être fractionné par
périodes de 10 minutes
Exercice de renforcement musculaire de type
musculation 2 fois par semaine
Exercice d’entretien de la souplesse musculaire et
articulaire (prévention des chutes)
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Chez l’enfant, 60 minutes d’activité physique
quotidienne modérée à élevé sous forme de
jeux ou de sport sont recommandées
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