Introduction 9 juillet 2015
-Il est désormais largement admis qu’une pratique régulière d’activité physique à
intensité modérée (exercice physique de la vie quotidienne à la maison, au travail, dans
les déplacements mais aussi activité physique de loisirs et pratique sportive) contribue à la
réduction de plusieurs facteurs de risque et de nombreuses pathologies (rapport Inserm sur l’AP,
2008).
-Le recours à l’AP est présenté comme une possible thérapie non médicamenteuse dans
un contexte sociétal où la lutte contre la sédentarité est une nouvelle préoccupation
sanitaire (PNNS 3 –2011-15; Plan obésité 2010-13; Rapport d’orientation de la Haute Autorité de Santé (HAS) en
2011 qui préconise le développement de la prescription en activité physique).
- Il existe aussi une forte corrélation entre la précarité et la sédentarité.
- Les messages des campagnes de santé publique touchent davantage les classes
supérieures et moyennes que les classes populaires.