Même la Commission Européenne, en référence aux
analyses sur l’augmentation de la température moyenne
globale conduites par l’IPCC, juge que le scénario
classifié comme « intermédiaire », il ne peut pas se
définir soutenable pour ses conséquences sur
l'environnement, sur la santé de l'homme, sur
l'agriculture et sur le tourisme.
La Commission européenne a estimé qu’une
augmentation de la température inférieure à 2 degrés
centigrades déterminerait des conséquences encore
gérables et contrôlables et ne pas encore irréversibles.
Cet objectif implique une stabilisation de la concentration
de CO2 en atmosphère au dessous des 550 ppmv
(parties pour million en volume) qu’on pourrait obtenir
par une réduction des émissions de gaz serre dans le
2050 du 50% en atteignant les valeurs enregistrés en
1990 (ENEA Rapport Énergie 2006)