Exigences SCA VF - Bienvenue sur Institut Africain de

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LES JOURNEES DE L’ECONOMIE SENEGALAISE – Edition 2006
« Croissance et compétitivité au Sénégal : quel rôle pour
les initiatives en cours (SCA, Cadre Intégré, etc.) ? »
Exigences de Réussite de la SCA:
Un Programme d’Actions de qualité & un
management approprié.
Edouard JG DIEME, MSc.
Directeur Technique
Cabinet de Maîtrise de Gestion des Projets en Afrique :
MGP-Afrique
ED/MGP
1
Plan de l’exposé
1.
2.
3.
4.
5.
6.
©
Le contexte de la Stratégie de
Croissance Accélérée
La consistance de la SCA
Les fondements théoriques de la SCA
Les Principales conditions de succès
Evaluation des conditions de succès
Recommandations
ED/MGP
2
Buts de l’exposé
Montrer qu’une gestion rigoureuse et
dans les règles de l’art des projets
(publics et privés) est indispensable pour
atteindre les objectifs de croissance et
de développement, particulièrement
dans la perspective de réduire de 50% la
prévalence nationale de la pauvreté et
d’atteindre les OMD.
©
ED/MGP
3
Plan de l’exposé
1.
2.
3.
4.
5.
6.
©
Le contexte de la Stratégie de
Croissance Accélérée
La consistance de la SCA
Les fondements théoriques de la SCA
Les Principales conditions de succès
Evaluation des conditions de succès
Recommandations
ED/MGP
4
Contexte national
Les grandes orientations
économiques sont consignées
dans le DSRP II.
ED/MGP
5
La cadre de lutte contre la pauvreté

©
DSRP (2002-2005) et DSRP II (2006-210)
ED/MGP
6
Le contexte économique : les
agents


La redéfinition du rôle de l’Etat :
•
•
La promotion du secteur privé
•
•

©
Désengagement des secteurs productifs
Investissements dans les infrastructures
Prendre le relais de l’Etat grâce à la libéralisation et à la
privatisation
Assurer le rôle moteur de développement de l’économie :
promotion des affaires
Le développement de l’emploi non salarié
•
•
•
Promotion de l’initiative individuelle et de l’ entreprenariat
Développement des PME/I
Promotion des projets Micro – Petites et Moyennes
Entreprises.
ED/MGP
7
Contexte économique : enjeux
et perspectives

Lutte contre la pauvreté
• Réduction de la prévalence de la pauvreté de
•

Contrainte majeure
• Faiblesse du rythme actuel de croissance : en
•
©
50% en 2015 par rapport à 1990 ;
Devenir un pays émergent
moyenne 5%
Inégalité dans la répartition
ED/MGP
8
Performances économiques récentes
©
ED/MGP
9
Contexte économique : enjeux
et perspectives
©
ED/MGP
10
Plan de l’exposé
1.
2.
3.
4.
5.
6.
©
Le contexte de la Stratégie de
Croissance Accélérée
La consistance de la SCA
Les fondements théoriques de la SCA
Les Principales conditions de succès
Evaluation des conditions de succès
Recommandations
ED/MGP
11
Stratégie de Croissance
Accélérée (SCA)


©
Définition
Place dans la Stratégie de Réduction de
la pauvreté
ED/MGP
12
Définition de la SCA
et caractéristiques essentielles
©
ED/MGP
13
La Stratégie de croissance
accélérée …



©
La SCA, conformément aux piliers de la SRP
est basée sur une approche participative
Elle intègre dans une démarche partenariale
entre l’administration publique et le secteur
privé, au sein de grappes de croissance.
Cinq secteurs d’activités sont ainsi retenus :
1. « agriculture - agro-industrie »,
2. « produits de la mer »,
3. « textile- habillement »,
4. « TIC - Téléservices»
5. « Tourisme -Industries culturelles - Artisanat d’Art ».
ED/MGP
14
Stratégie de Croissance Accélérée
©
Source DSRP 2 : 2006-2010/MEF – juillet 2006
ED/MGP
15
Justification de la SCA
©
ED/MGP
16
Importance des exportations
©
ED/MGP
17
Bases de la SCA
©
ED/MGP
18
Place de la SCA dans le DSRP II
©
ED/MGP
19
SCA dans le cadre de SRP
©
ED/MGP
20
Plan de l’exposé
1.
2.
3.
4.
5.
6.
©
Le contexte de la Stratégie de
Croissance Accélérée
La consistance de la SCA
Les fondements théoriques de la SCA
Les Principales conditions de succès
Evaluation des conditions de succès
Recommandations
ED/MGP
21
Fondements théoriques de la SCA
©
ED/MGP
22
L’Investissement est un facteur décisif
de la croissance économique …
A) LA CROISSANCE APPARAÎT HISTORIQUEMENT LIÉE À L’EFFORT
D’INVESTISSEMENT

1) sur la longue période:
Les étapes de la croissance : le « Take –off » de Rostow associé à un bond du taux
d’investissement ; le rôle de l’investissement dans la croissance anglaise au XIX siècle,
du Japon après 1945, de la France dans les années 1960, des NPI asiatiques depuis 25
ans. A contrario, le déclin anglais est associé à la faiblesse de l’effort d’ »investissement
dans les années 1950-1970.

2) Sur la courte période :

les fluctuations de l’investissement épousent celles du rythme de croissance du PIB
réel (France: expansion de 1986-1989; récession de 1991-1995)

B) UNE RELATION ENRICHIE PAR LES TRAVAUX RÉCENTS SUR LA
CROISSANCE
•
•
©
Premier enrichissement : la prise en compte des investissements d’infrastructure
et des investissements immatériels (RD, capital humain).
Second enrichissement : la prise en compte des externalités positives (théories de
la croissance endogène).
ED/MGP
23
L’Investissement est un facteur décisif
de la croissance économique.
C)- L’importance de la relation investissement – croissance est depuis longtemps
soulignée par l’analyse économique
1)
2)
2)
D)- l’investissement, une triple nécessité :

L’investissement de remplacement (pour faire face à l’usure physique et à
l’obsolescence).
L’investissement de capacité (variable selon le coefficient de capital).
L’’investissement de productivité (fonctions de production à génération d’équipements;
importance de l’âge moyen du capital; notion de progrès technique incorporé).
Introduire ici quelques considérations sur la diffusion des gains de productivité
(baisses de prix, augmentations de salaires et/ou de profits


©
Accumulation du capital et croissance économique dans la pensée classique : on
pouvait ici rappeler la théorie smithsienne de la croissance et notamment le rôle de
l’épargne (investissement = renonciation à la consommation) et de la division du travail
(liée chez Smith à l’accumulation du capital).
Pouvaient aussi être évoqués : la théorie de l’état stationnaire associé au déclin des
investissements (Smith, Ricardo); le modèle de Lewis (investissement et décollage
économique, le principal de la « génération sacrifiée « ); Nurkse et les cercles vicieux
du SD (faible E = faible I = faible R = faible E etc.).
ED/MGP
24
Le rôle de l’investissement public
dans la théorie moderne de la
croissance endogène
©
ED/MGP
25
Investissement et Croissance
Les économies africaines ont montré qu’elles étaient capables
d’afficher une croissance robuste pendant de courtes périodes. Le
problème auquel elles restent confrontées, comme le confirme l’étude
consiste à maintenir ce rythme sur des périodes plus longues et
à s’assurer que la majorité de la population, notamment les pauvres,
les femmes, les jeunes et autres groupes marginalisés, contribuent à
cette croissance et en bénéficiant « a ajouté M.NANKANI.
« la croissance lente et irrégulière de l’Afrique, surtout lorsqu’elle est
comparée aux autres régions en développement, a été identifiée
comme la principale raison de son retard dans la réduction de la
pauvreté.
©
ED/MGP
26
INVESTISSEMENT et Croissance
L’essor de la croissance économique en Afrique subsaharienne est
tributaire, dans une large mesure, de l’accroissement des
investissements dans l’infrastructure, de l’amélioration du climat de
l’investissement, de la mobilisation des compétences pour l’innovation et
du renforcement des capacités institutionnelles sur l’ensemble du
continent , selon une récente étude de la Banque mondiale.
Les quatre grands « I», pour reprendre l’expression utilisée cette étude
intitulée Facing the Challenges of African Growth : Opportunities,
Constraints, and Strategic Directions.
Ils représentent certains des domaines dans lesquels il faut
impérativement agir pour que l’Afrique puisse combler le retard qu’elle a
accumulé au regard de la croissance mondiale au cours des 20 dernières
années ou pour reproduire les modèles de croissance qui ont permis à
des millions de personnes de sortir de la pauvreté dans d’autres régions
du monde en développement.
©
ED/MGP
27
Théorie et modèle de Barro (1990)
Barro considère l’impact des dépenses
publiques sur la croissance. Il part du principe
relativement simple que des dépenses visant à
créer des infrastructures telles qu’une
autoroute, une ligne de chemin de fer ou
encore un réseau de télécommunications
rendent plus efficace l’activité productive des
entreprises privées.
©
ED/MGP
28
Sources de la croissance
Les principales sources de croissance endogène sont
ainsi :





©
les dépenses de recherche (ROMER) ;
le stock de connaissances qui accroît la
productivité du capital
le capital humain (BECKER). La durée de
formation à un impact positif sur la productivité du travail
les infrastructures publiques (BARRO) : routes,
ponts, réseaux ferroviaire, aréoports…
les effets d’apprentissage
ED/MGP
29
Cas des infrastructure de transport



L’investissement dans les transports de transport est une
intention récurrente dans les périodes de faible
croissance.
A CT, elles ont un effet keynésien d’accroissement de la
demande.
A LT, elles améliorent la structure de l’économie :
•
•
•
©
Transports rapides, sûrs et relativement peu coûteux
Ces effets (dont le gain de temps) agissent sur plusieurs
secteurs (externalités positives).
Ils agissent ainsi sur la productivité des entreprises privées.
ED/MGP
30
Plan de l’exposé
1.
2.
3.
4.
5.
6.
©
Le contexte de la Stratégie de
Croissance Accélérée
La consistance de la SCA
Les fondements théoriques de la SCA
Les Principales conditions de succès
Evaluation des conditions de succès
Recommandations
ED/MGP
31
TC et Investissement : Théorie
Économique


Investissement = condition NECESSAIRE
mais NON SUFFISANTE pour assurer la
croissance
Les paramètres à prendre en compte :
•
•
•
•
©
L’efficacité de l’investissement et la productivité
marginale du Capital
L’efficacité de l’investissement et le cœfficient de
capital.
La part de l’investissement privé
La part de l’investissement
ED/MGP
32
©
ED/MGP
33
Répartition des Investissements
©
ED/MGP
34
PLACE DES PROJETS


Projets = porteurs des investissements
La gestion de ces projets interpellent toutes
les parties prenantes :
•
•
•
•
•
•
©
Etat et ses démembrement à travers le PTIP et les
AGR
Entreprises privées (Grandes et PME-I) : adaptation
aux mutations du contexte
Société civile : ONGs , Organisations de base
Partenaires : APD liée aux projets
Les Structures financières : Banques, SFD
Promoteurs individuels
ED/MGP
35
Croissance économique
et
Investissements 1/2

Paramètres :
• Taux d’investissement : TI = I/PIB
• Productivité marginale du Capital (PmKL)
• ICOR (Incremental Capital Output Ratio) est
•
©
un indicateur économique qui mesure le
rapport entre l'accroissement du capital et
celui du produit.
ICOR = 1 / PmKL
ED/MGP
36
La direction générale de la Coopération internationale et du Développement (DGCID)
du ministère français des Affaires étrangères, a organisé une journée d’étude
« Prospective africaine ». Elle s'est déroulée le 12 octobre 2004 à Paris, dans des
locaux mis à disposition par l’Assemblée nationale.

Une projection de la production pour atteindre progressivement une
croissance du PIB africain de 4,5% à l’horizon 2025, nécessitera, sur
la base des tendances récentes de l’économie africaine et de son
environnement (tableau 1), un rythme annuel de 4% de
l’investissement intérieur avec un ICOR de 5. Bien que cette
augmentation de la production soit supérieure à celle de la population,
elle suffirait tout juste à regagner le terrain perdu au cours des vingt
dernières années. Une telle évolution porterait l’investissement
intérieur à 22% du PIB en fin de période (contre 16% en 1999).

Comment l’Afrique peut-elle financer ce niveau
d’investissement ?

©
ED/MGP
37
Rôles des parties prenantes

Etat :
•
•
•
•
©
Réaliser les infrastructures en qualité et quantité
requises pour permettre aux autres agents
économiques, notamment le secteur privé d’engranger
des gains de productivité.
Prendre en compte le développement stratégique du
secteur privé dans la définition des programmes
d’infrastructure.
Maîtriser la conduite « dans les règles de l’art » des
projets d’infrastructure.
Evaluer régulièrement l’effet et les incidences de ces
programmes et projets d’infrastructure.
ED/MGP
38
Rôles des parties prenantes

Secteur Privé :
•
•
•
Investir massivement dans les créneaux porteurs
notamment ceux ciblant les marchés d’exportation ;
Développer leur productivité seule garante en dernier
ressort de leur compétitivité ;
Se former aux techniques du management moderne
et, notamment du management des projets pour :
• Assurer une meilleure rentabilité de leurs projets ;
• Assurer une meilleure éligibilité des dossiers de projets
aux concours bancaires locaux et sous régionaux
©
ED/MGP
39
Synergie des interventions



Approche stratégique concertée des
projets publics ;
Coordination des initiatives privées et de
l’investissement public ;
Développement d’un véritable
partenariat public – privé.
Quelle relation entre les grands chantiers
d’infrastructure et les problèmes d’approche des ICS,
de la SAR, de la SOCOCIM, etc ?
©
ED/MGP
40
Plan de l’exposé
1.
2.
3.
4.
5.
6.
©
Le contexte de la Stratégie de
Croissance Accélérée
La consistance de la SCA
Les fondements théoriques de la SCA
Les Principales conditions de succès
Evaluation des conditions de succès
Recommandations
ED/MGP
41
EFFICACITE DES PROJETS ?
FAIBLE VOIRE NEGATIVE
A CAUSE DES EFFETS PERVERS
CONSTATES DANS CERTAINS CAS
ED/MGP
42
Cas de mauvaise gestion de
projets au Sénégal
©
ED/MGP
43
Quelques exemples :






©
Faible taux d’exécution des projets publics
Echec des initiatives : Fonds de promotion, (Gopec,
Dire, etc.), Départs volontaires (secteur privé et
secteur public)
Echec des privatisations : manque réaction du
secteur privé aux invites de l’Etat pour le suppléer
dans les secteurs productifs
Faiblesse relative de l’investissement privé
Insolvabilité, défaillance des promoteurs, etc.
Projets mal planifiés : nouveau palais de justice ;
remplacement du bateau le « Joola », campagne
agricole annuelle, etc.
ED/MGP
44
Evaluation et Conséquences


Tous les dérapages et échecs peuvent
être liées à une « insuffisante capacité
de gestion des projets »
Cela est lourd de conséquences :
• Objectifs de croissance mal assurés
à cause
de la relation TC-TI-PmKL/I.C.O.R
©
ED/MGP
45
Autres conséquences de non-atteinte des
objectifs sociaux ou de l’Etat

Etat :
•
•
•

©
Aggravation de la pauvreté et de l’exclusion
Demande sociale insatisfaite => Crises économiques
et remous sociaux
Instabilité politique et Menaces sur la paix sociale
Entreprise :
•
•
•
•
Pertes de rentabilité
Programme de re-structuration
Dépôt de bilan
Chômage accru.
ED/MGP
Plans sociaux
46
SYSTEME BANCAIRE SENEGALAIS
EVOLUTION DES CREDITS (CFA MILLIARDS)
1999
2000
2001
2002
2003
486,1
618,9
650,6
702,3
801,6
A ces montants il faut ajouter les crédits octroyés via les SFD :
FCFA 18,5 mds de collectés – Crédits = 30 mds.
Sources APBEF/Statistiques de place
©
ED/MGP
47
SYSTEME BANCAIRE SENEGALAIS
900
800
700
600
500
400
300
200
100
0
.
1999
©
2000
2001
ED/MGP
2002
2003
48
SYSTEME BANCAIRE SENEGALAIS
FINANCEMENT DE L’INVESTISSEMENT (CLMT) en 2003
CFA Milliards
TOTAL CREDITS
802
CLMT
293
CREANCES DOUTEUSES ET LITIGIEUSES :
MONTANT DES CREANCES EN SOUFFRANCE BRUTES AU 31/12/2002
FCFA 136.5 MILLIARDS
©
ED/MGP
49
TAUX DE BASE BANCAIRE
12
10
10.51%
10.48%
9.37%
8.77%
8.57%
8
UMOA
SENEGAL
6
4
2
0
2001
©
2002
2003
ED/MGP
50
CONTRAINTES à l’augmentation des
crédits bancaires à l’économie
Agents Economiques
• Taux d’analphabétisme élevé
• Importance du secteur non structuré
• Insuffisance d’autofinancement
• Manque de fiabilité des documents comptables
• Qualité insuffisante des projets remis aux banques
• Capacité de gestion
©
ED/MGP
51
Plan de l’exposé
5.
Le contexte de la Stratégie de
Croissance Accélérée
La consistance de la SCA
Les fondements théoriques de la SCA
Les Principales conditions de succès
Evaluation des conditions de succès
6.
Recommandations
1.
2.
3.
4.
©
ED/MGP
52
Recommandations
Si vous pensez que
l’expertise est trop chère,
Eh bien essayez
l’improvisation.
ED/MGP
53
Selon les spécialistes contemporains
du développement stratégique
Elaborer une stratégie cohérente est
une œuvre relativement facile, mais la
mettre en œuvre …
ED/MGP
54
Les instruments de mise
en œuvre de la stratégie :
projets et programmes
ED/MGP
55
UN PROJET ?
Norme X-50 de l'AFNOR le définit ainsi :
" Une démarche spécifique qui permet de structurer méthodiquement et
progressivement une réalité à venir "
On peut considérer comme un projet toute activité complexe orientée
vers la réalisation d'un bien ou d'un service (performance), dans un
délai déterminé (délai), en recourant à des ressources limitées (coût).
 Un objectif de performance
 Un Objectif de délai
 Un objectif de coût
CES OBJECTIFS DOIVENT ETRE REALISES SIMULTANEMMENT
©
ED/MGP
56
Condition essentielle qui vient s’ajouter à celles relatives
à l’environnement des affaires
(procédures administratives, BG, Coût des facteurs, judiciaire, etc.)
Bonne gestion des projets
et programmes
Cela signifie ?
ED/MGP
57
Selon le PMI :
Application de connaissances, compétences, outils et techniques
dans des activités de projet en vue d'atteindre ou de dépasser
les attentes des parties impliquées dans le projet.
EVALUATION
©
ED/MGP
58
Architecture type du projet
©
ED/MGP
59
Le Project Management pour
sécuriser la mise en ouvre de la SCA


©
En effet, seule une application rigoureuse des règles de l’art du « Project
management » peut garantir l’atteinte des objectifs de croissance et de
développement recherchés à travers la mise en œuvre des projets.
Réussir la conduite des projets est tout aussi important que de leur
conception et leur définition. Mais cela reste une entreprise difficile et
risquée qui requiert des compétences techniques solides dont les bases
sont consignées dans ce qu’il est convenu d’appeler le « Project
Mangemement Body Of Knowledge » PMBOK en abrégé.
La maîtrise des fondamentaux cette discipline au moins,
l’appropriation de ses approches et techniques par ceux que sont
nommés à la tête des projets individuels comme des portefeuilles de
projet sont des pré requis incontournables. C’est le prix à payer pour
éviter les désillusions et les découragements qui naîtraient
forcément de la mauvaise exécution des projets quand bien même
ceux-ci auraient été bien conçus et correctement définis.
ED/MGP
60
Solutions proposées





©
1/2
LA QUALITE DE LA MISE EN ŒUVRE DES
PROJETS EST INCONTOURNABLE : Matérialisation
des solutions économiques et sociales
CHANGER LES MENTALITES : les projets ne sont
pas destinés à combler le déficit de moyens : cas des
Administrations
Adopter un mode de gestion des projets AXE SUR
LES RESULTATS
RECHERCHER LE PROFESSIONNALISME, LA
COMPTENCE ET LA REUSSITE
SYSTEMATISER L’EVALUATION DES PROJETS
ED/MGP
61
Solutions proposées

2/2
IL FAUT : transparence et qualification
•
•
•
Choix rigoureux et transparent des responsables de projets
Professionnaliser les postes de GP :
S’approprier les méthodes et techniques de la GP :
Recours aux méthodes et techniques les plus largement
utilisées en GP
Utilisation rationnelle de ces méthodes et techniques
Disposer sur le plan local d’une capacité de renforcement des
aptitudes et connaissances en GP.
 Recours aux contrats de performance
©
ED/MGP
62
Le problème central
réside à notre avis dans
la qualité des ressources
humaines qu’il faut
renforcer aussi pour les
acteurs publics que pour
ceux du privé.
©
ED/MGP
63
Environnement International de
la Gestion de projets
©
ED/MGP
64
Les Sociétés Savantes

©
AFITEP

PMI

SMP
ED/MGP
65
Les Ecoles et Instituts Spécialisés
Espace francophone
 Université de Lille – France –
 Université L S SENGHOR d’Alexandrie
(EGYTPE)
 ESMP – Dakar – Sénégal
 Etc.
©
ED/MGP
66
Les diplômes et certifications


Diplôme Universitaire : Msc. GP
Certification anglo-saxone :
•
•

©
Project Management Professional – PMPCertified Associate in Project Management – CAPM-
Certifications francophone :
• Certificat en Gestion de projets – CGP• Certificat Directeur de projets – CDPED/MGP
67
Contenu technique de la formation
PROJECT MANAGEMENT BODY OF
KNOLEDGE – PMBOK
©
12 CHAPITRES : mise à jour périodique
ED/MGP
68
Fin de la présentation
Merci de votre attention
©
ED/MGP
69
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