Cependant de nombreuses entités (amyotrophies des
ceintures par exemple) trouvaient difficilement une
place stable dans cette classification, oscillant entre
atteinte neurogène et atteinte myogène.
Depuis, les progrès technologiques
(éléctrophysiologiques, histochimiques, de la
génomique, de l’imagerie médicale et de la biologie
moléculaire) ont permis d’affiner le diagnostic d’une
atteinte musculaire primitive
Actuellement, le diagnostic de Syndrome myogène
ou Syndrome myopathique, nécessite un faisceau
d’arguments anamnestiques, cliniques et
paracliniques que nous allons essayer de préciser.