Theodore W. Schultz 1979 Nobel Prize in Economics lecture

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Programme ILO
CONFĒRENCE «AGRICULTURE ET PAUVRETĒ»
AGRICULTURE ET PAUVRETE:
Synthèse Des Connaissances Et Implications Pour La
Politique Economique Au Madagascar
Prof. Christopher B. Barrett
Cornell University et USAID BASIS CRSP
“La plupart de gens du monde sont pauvres, donc si
nous savons l’ économie de la pauvreté, nous
comprendrions la plupart de l’économie le plus
important. La plupart des pauvres du monde
s’occupent à l’agriculture, donc si nous savons l’
économie de l’agriculture, nous comprendrions la
plupart de l’ économie de la pauvreté.”
- Theodore W. Schultz
Commentaires à recette du prix Nobel de l’Economie, 1979
(maltraduit par CBB)
La littérature globale de l’ économie affirme que:
1) La pauvreté reste premièrement un phenomène rurale.
2) Le revenu (et donc la pauvreté) et sa croissance proviennent des actifs
possédés – les capitaux humain, naturel, physique et financier – de la
technologie utilisée, et de l’environnement économique et biophysique.
3) Les pauvres ont peu d’actifs et accès mauvais aux marchés (des produits,
des intrants, et de finance) et ils utilisent les technologies peu productives.
4) La probabilité d’être pauvre sont élevés aux régions marginals (les flancs
de coteaux, les zones sèches ou semi-sèches, les communes éloignées, etc.).
5) Il y a un liaison économique importante entre l’économie agricole et l’
économie rurale extra-agricole.
La richesse initiale, la géographie et la politique economique sont surtout importants.
Les resultats détaillés initiales de Programme Ilo
sont très informatives et confirment ces points clés:
- Les pauvres s’occupent surtout de l’agriculture, donc le
développement agricole pourrait être particulièrement bénéfique aux
pauvres.
- Les pauvres ont des rendements faibles, peu de terre et de bétail,
moins d’accès au crédit et aux activités extra-agricoles plus
rémunératrices, faible utilisation d’intrants modernes (engrais, semences
améliorées) et des technologies améliorées (SRI) et faible niveau
d’investissement aux sols.
- Les problèmes des pauvres ruraux proviennent en grande partie d’une
manque de capital ou de crédit nécessaire pour investir à une croissance
de productivité (et donc de revenus) et à conservation des ressources
naturelles et des prix bas et coûts élévés aux régions défavorisés.
Appuyez le meso et le micro
La réponse − de la productivité ou de la pauvreté − aux
reformes macro et sectorelles les derniers vingtaines d’années
étaient faible, probablement à cause de trop des contraintes
micro et meso documentés par les Briefs de Programme Ilo.
Donc, les politiques les plus rentables sont probablement aux
niveaux micro et meso maintenant.
La métaphore de la ficelle
Le niveau meso
Aux zones éloignés, on ne peut pas saisir les bénéfices du
commerce.
- les taux de commercialisation et de l’adoption des
technologies supérieures sont faibles, les coûts de stockage,
finance saisonnière et de transport sont élevés, et donc la
variation saisonnière et spatiale est gonflé à effets mauvais
pour les pauvres, surtout les acheteurs nets d’alimentation.
- la productivité agricole reste faible
- la demande pour travail extra-agricole est beaucoup
moins, donc on doit s’occupe en agriculture n’importe quelle
taille de troupeau ou superficie on possède.
Le niveau micro
Le défi de la réduction de la pauvreté rurale chronique dépend de:
- augmenter les stocks d’actifs aux ménages (e.g., éducation)
- améliorer l’accès aux marchés (surtout la finance) et
technologies plus productives et stable
- réduire l’exposition aux chocs exogènes
Si possible, les interventions devront être ciblées (par district, par
taille, etc.)
Conclusions
Si on voudrait d’accélérer le taux de réduction de la pauvreté, on doit écouter
les priorités exprimés par les pauvres eux mêmes et on doit appuyer les
interventions aux niveaux micro et meso plus jusqu’ici:
♦ développement des téchnologies agricoles plus productives, plus
résistantes aux chocs naturelles et plus accesible aux pauvres
♦ amélioration des systèmes routière et financière et de la sécurité pour
réduire les coûts de participation et d’intermédiation aux marchés
♦ promotion des institutions locaux pour faciliter la coordination paysanne
entre eux (e.g., pour commercialisation des produits, l’achat des intrants,
gestion de terres et de l’eau, sécurité …)
♦ stimulation de l’emploi extra-agricole aux villes sécondaires
♦ mis en disposition des services sociaux pour améliorer la productivité des
travailleurs
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