L’Inforoute Santé du Canada et le dossier de santé électronique (DSE) Effets et occasions Robert (Bob) Burns AFMC Le 8 mai, 2007 Aperçu • Pourquoi le DSE? • Qu’est-ce que l’Inforoute Santé du Canada et pourquoi a-t-elle été mise sur pied? • Progrès réalisés jusqu’à maintenant • Défis et obstacles • Avantages • Les DSE et l’éducation Le besoin – Les attentes des patients Gérer les attentes Quelles sont les attentes des Tremblay à l’égard de leur système de soins de santé? • L’information appropriée les suit • Les divers prestateurs communiquent entre eux • Leurs renseignements personnels sont protégés • Les décisions sont prises après qu’ils aient été consultés • Ils ne sont pas exposés à des risques indus • Ils ont accès à leurs renseignements et obtiennent les résultat en temps opportun • Ils peuvent accéder à leur propre DSE • Ils ont la possibilité d’apprendre par eux-mêmes, avec l’aide de leurs fournisseurs de soins de santé La nécessité des DSE Pour chaque …. tranche de 1 000 admises à l’hôpital, …. au Canada 75 personnes vivront un événement indésirable. tranche de 1 000 patients ayant vécu une expérience ambulatoire, 20 personnes connaîtront un effet indésirable sérieux liés aux médicaments. tranche de 1 000 patients ayant obtenu leur congé de l’hôpital, 90 personnes connaîtront un effet indésirable sérieux liés aux médicaments reçus à leur sortie de l’hôpital. tranche de 1 000 tests de laboratoire effectués, jusqu’à 150 tests n’étaient pas nécessaires (de 50 à 150). tranche de 1 000 visites à l’Urgence, 320 patients n’ont pu fournir tous les renseignements requis, ce qui a donné lieu à un séjour prolongé d’1,2 heures. étude de 168 dossiers médicaux traditionnels, 81 % ne comportaient pas l’information requise pour prendre des décisions sur les soins à fournir aux patients. tranche de 1 000 personnes à risque de contracter le cancer du col de l’utérus, tranche de 1 000 Canadiens à qui on conseille de se faire vacciner contre la grippe, entre 300 et 400 ne passent pas de tests de dépistage. entre 370 et 430 ne se font pas vacciner. Un besoin croissant pour la gestion de l’information sur la Resource santépressures intensifying Les pressions à l’égard des ressources augmentent Les fournisseurs, les On constate un virage en ce qui a trait aux établissements de soins gestionnaires, les patients et le public demandent davantage La technologie de l’information (TI) a le potentiel nécessaire pour faciliter les solutions visant à traiter la question des pressions exercées Le consumérisme prend de l’ampleur La population est vieillissante Source : ICIS; Sanofi-Aventis; Statistiques Canada; OCDE; OMS; Centre de prévention des maladies chroniques Malgré tout, le Canada investit moins dans la technologie de l’information liée aux soins de santé que dans les autres secteurs où l’information joue un rôle de premier plan • Le Canada sous-investit dans la TI relative aux autres prestateurs de soins de santé et aux industries de gestion de l’information. • Le système de soins de santé canadien se classerait au 10e rang de Fortune 500 et est 3 fois la taille de la Banque Royale. Il a cependant une capacité limitée à gérer ses renseignements. • En outre, les investissements ont souvent été fragmentés et ponctuels, ce qui est à l’origine d’un dédoublement d’efforts et d’un besoin de réinvestissements. Montant annuel dépensé pour la TI * Pourcentage des budgets/revenus totaux 5,45.4 4,7 4,5 4,0 3,4 2,9 2,0 1,5 Éducation Prestateurs de soins de santé américains** Soins de santé du R.-U. *** Régie Services régionale de la professionnels santé de Calgary * Dépenses et immobilisations ** Estimation de Gartner comme % des revenus; en supposant que les prestateurs travaillent sur une base non lucrative *** Augmentation prévue à 4 % à partir de 1,5 % en 2004 Sources : Association canadienne de la technologie de l’information, 2004; Gartner Services bancaires/financiers américains Fourchette des investissements en TI liée aux soins de santé par les juridictions canadiennes Le DSE redéfini Le dossier de santé électronique (DSE) est un dossier à vie sécurisé et privé des principaux antécédents médicaux et de soins d’une personne, auquel les fournisseurs de soins de santé autorisés peuvent avoir accès électroniquement. Ce type de dossier facilite le partage des données à l’intérieur du continuum de soins de santé, entre les prestateurs de soins de santé et entre les diverses régions. 6 9 10 Les DSE, les DME … et la convergence • Le dossier de santé électronique (DSE) est un dossier à vie sécurisé et privé des principaux antécédents médicaux et de soins d’une personne, auquel les prestateurs de soins de santé autorisés peuvent avoir accès électroniquement. Ce type de dossier facilite le partage des données à l’intérieur du continuum de soins de santé, entre les prestateurs de soins de santé et entre les diverses régions. • Le dossier médical électronique (DME) est un dossier propre à un prestateur ou à un établissement et qui relate les interactions avec un patient précis. Par définition, ce type de dossier n’est pas complet, bien qu’il puisse être plus détaillé qu’un DSE à l’égard de certains aspects. Il est tenu à jour par les prestateurs qui sont tenus de s’acquitter de leurs obligations de représentants envers leurs patients et de satisfaire aux exigences de leurs organismes de réglementation. Le modèle/véhicule requis pour commencer à répondre au besoin : l’Inforoute Santé du Canada Quelques mots sur l’Inforoute Mission : • Favoriser et accélérer, à l'échelle pancanadienne, l'élaboration et l'adoption de systèmes d'information électroniques sur la santé, de normes et de technologies de communication compatibles, afin de procurer des avantages tangibles aux Canadiens. Approche : • • • • • L’Inforoute a été mise sur pied en 2001 par les premiers ministres des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux du Canada. L’inforoute est une société à but non lucratif. L’inforoute est financée par le Gouvernement du Canada. Le financement a été octroyé en 2001 (500 M $), en 2003 (600 M $) et en 2004 (100 M $) Les membres de l’Inforoute sont les 14 sous-ministres de la Santé fédéral, provinciaux et territoriaux. Il s’agit d’une société indépendante. Stratégies commerciales de l’Inforoute • Cibler des programmes d’investissement • Portée/objectif limité • Collaborer avec les ministères de la Santé et d’autres partenaires • Investir conjointement avec des partenaires du secteur public (formule de 75:25) • Optimiser les investissements • Créer des alliances stratégiques avec le secteur privé • Gérer le risque et produire des solutions de qualité • Mettre l’accent sur l’acceptation par les utilisateurs finaux • Évaluer les avantages et s’adapter Programmes de l’Inforoute L’objectif de l’Inforoute Innovation et adoption – 60 millions de $* Innovation and Adoption - $60 million* D’ici la fin de 2010, certains éléments du DSE de base seront en place pour tous les Canadiens, alors qu’un DSE complet de base sera en place pour 50 % des Canadiens. Tous les Canadiens bénéficieront de soins de santé plus accessibles, de meilleure qualité et d’une productivité accrue. Télésanté 120 millions de $ Surveillance de la santé publique 100 millions de $ Maladies chroniques Soins primaires Cancer Sécurité des patients Temps d’attente Etc. Santé mentale DSE interopérable – 175 millions de $ Registres 134 millions de $ Systèmes d’information sur les médicaments Systèmes d’information de laboratoire 185 millions de $ 150 millions de $ Infostructure – 32 millions de $ Imagerie diagnostique 310 millions de $ Éléments de Base du DSE Accent sur les normes et l’interopérabilité Solution de DSE (SDSE) •Architecture commune largement acceptée par les juridictions •La nouvelle architecture comprend la protection des renseignements personnels et la sécurité •Processus de collaboration comprenant des normes exhaustives •Nouvelles normes collaboratives de l’Inforoute Infostructure de DSE (iDSE) Données et services auxiliaires Données Entrepôt de et services données sur la santé du DSE Données et services de registres Longitudinal Record Services HIAL Application au point de service Application au point de service Visualiseur de DSE Localisat eur SDSE Architecture conceptuelle INFOSTRUCTURE JURIDICTIONNELLE Données et services des registres Registre des clients Données et services du SISP Données et services du DSE Information Gestion d’épidémie Dossier de Rapport du SISP santé partagé médicaments Registre des prestateurs Registre des établissements Règles opérationnelles Répertoire du DSE Registre terminologique Structures de messages Imagerie sur les Entrepôt de données Laboratoire Information sur la santé diagnostique Règles de normalisation Longitudinal Record Services Données sur la gestion de la sécurité Données sur Des Configuration renseignements personnels Common Services CAIS Communication Bus Services en santé publique POINT DE SERVICE Prestateur en santé publique Système de pharmacie Pharmacien Centre de radiologie PACS/RIS Radiologiste Système de laboratoire (SIL) Clinicien de laboratoire Hôpital, SLD, CCC, DEP Médecin/Prestateur Bureau de Médecin DME Visualiseur de DSE Médecin/Prestateur Médecin/Prestateur Dossiers de santé électroniques Réseaux de juridictions fusionnés Réseau distribué de systèmes de SDSE poste à poste, axé sur la messagerie SDSE SDSE SDSE SDSE SDSE SDSE SDSE Progrès réalisés jusqu’à maintenant Résumé des activités au programme 217 projets en cours ou terminés d’une valeur de 1 133 M $ dans 9 programmes d’investissement 12 Les 135 projets développés conjointement avec les provinces et les territoires Sont affichés. Il existe 82 projets pancanadiens en cours ou terminés. Légende Registres Imagerie diagnostique Systèmes d’information sur les médicaments Systèmes d’information sur les laboratoires Télésanté DSE interopérable Surv. de la santé publique Innovation et adoption Nombre de projets Progrès significatifs en 3 ans OUEST PROGRAMMES D’INVESTISSEMENT Mars 2004 = 125 M $ C.-B. AB SK ON QC MB N.-B. N.-É. TERRITOIRES Î.-P.É. T.-N.L. T.N.O. YK NU Télésanté Projets de la Phase 0/1 iDSE Projets de la Phase 2 en place Système Laboratoire Médicaments Imagerie diagnostique Reg. des prestateurs Registre des clients WEST OUEST WEST Septembre 2006 = 825 M $ 2005-06 BC C.-B. AB SK ON ON QC QC MB Telehealth Télésanté Telehealth Telehealth iEHR DSEi Laboratoire Laboratory Médicaments Drug Imagerie DI diagnostiqu e des Reg. Provider Reg. prestateurs Reg. clients Clientdes Reg. EAST EST EAST NB N.-B. Public Health Santé publique INVESTMENT PROGRAMS EST 9 NS N.-É. TERRITORIES TERRITOIRES TERRITORIES Î.-P.-E. PE T.-N.-L. YK NL NT T.N.-O. NU Les différentes étapes des progrès Surveillance pancanadienne de la santé publique Les 14 gouvernements provinciaux, territoriaux et fédéral se sont entendus pour adopter une solution unique de surveillance de la santé publique Colombie-Britannique : Miser sur les investissements passés pour un DSE La C.-B. mettra en œuvre un dossier de santé électronique dans l’ensemble de la province. Québec : 62 hôpitaux mis en réseau L’organe d’archivage RUIS de McGill – Montréal pour le système d’imagerie diagnostique sera le plus important au Canada. Alberta : netCare à l’échelle de la province Manitoba et Nouveau-Brunswick : La télésanté au bout du fil L’Alberta veut utiliser l’application de visualisation de DSE netCare mise au point par Capital Health dans tous les systèmes de DSEi et d’information de laboratoire de la province. Le Manitoba a doublé l’étendue de son réseau en offrant l’accès à des services de santé à 10 collectivités des Premières nations du nord de la province et à 7 collectivités franco-manitobaines. Saskatchewan : Prévention des effets indésirables des médicaments Le Nouveau-Brunswick est le meneur national en ce qui a trait aux centres d’appels de triage infirmier. La province prévoit élargir son réseau de télésanté pour offrir des télé-soins à domicile. La prescription de médicaments est devenue plus sûre lorsque la province a adopté un des premiers systèmes provinciaux couvrant tous les médicaments et toute la population. Ontario : Les résultats de laboratoire à l’écran Les premiers de près de 200 hôpitaux et laboratoires communautaires à aller « en direct » en 2006, permettant de visualiser les tests de laboratoire grâce à des liens avec les hôpitaux et 10 000 bureaux de médecins. Terre-Neuve et Labrador : Progrès électroniques dans l’ensemble de la province Un système d’information sur les médicaments est actuellement mis en place dans l’ensemble de la province. Nouvelle-Écosse : Adieu au film Cette province n’utilise pratiquement plus de films – les professionnels de la santé des hôpitaux de Nouvelle-Écosse auront un accès complet aux données de laboratoire, aux images et aux antécédents médicaux d’un patient en 2006/7. Î.-P.-É. : DSEi sur l’ensemble de l’Île D’ici la fin de 2007, les cliniciens de l’Î.-P.-É. seront en mesure de voir à l’écran les résultats des tests de laboratoire d’un patient, ses médicaments et ses images diagnostiques. Miser sur le DSE pour des soins de santé innovateurs MSSS du Québec Ministère de la Santé de Colombie-Britannique Newfoundland & Labrador’s Eastern Health Évaluation électronique des patients et solutions de planification du service. Projets-pilote pour la déclaration, l’analyse et la gestion d’effets indésirables dans l’ensemble de la province Centre de santé Sherbourne Dossiers électroniques à distance pour un bus santé desservant les sans-abri du centre-ville. Sault Ste. Marie Lier les prestateurs de soins primaires et les pharmaciens au DME/DSE. Santé publique Sécurité des patients Soins de santé primaire Information & s Communications Technologies Autorité sanitaire de l’Île de Vancouver Outils de soutien pour prise de décision clinique fondés sur le DSE pour les services relatifs à la santé mentale et à la toxicomanie. Hôpital de Scarborough Saisie électronique par les patients de leurs antécédents médicaux au service d’Urgence en utilisant des écrans tactiles. Régions sanitaires de la capitale de l’Alberta/Calgary Étend les solutions de gestion des maladies chroniques et liées au DSEi aux équipes des soins de santé primaires. Hôpital Grand River Maladie chronique Le portail patients offrira aux patients souffrant du cancer ou de troubles rénaux un accès à l’information sur la santé. Alberta Cancer Board Cancer Temps d’attente L’observation synoptique des chirurgies en cas de cancer permettra d’améliorer la collecte des données et la qualité de la gestion chirurgicale des patients atteint du cancer. Action Cancer Ontario Entrée des commandes informatisée et outil de décision clinique profitant aux patients atteint du cancer. L’Inforoute : Une valeur ajoutée à chaque étape • Gouvernance conjointe • Planification conjointe (rotation de 3 ans) • Financement prévisible • Architecture de solutions communes • Normes communes en matière de TIC • Dépenses responsables • Principes communs d’approvisionnement • Solutions communes • Tarification nationale • Services partagés • Partage des connaissances • Meneur international en ce qui a trait à l’exportation d’expertise Une évaluation indépendante du rendement à mi-mandat effectuée en 2005 et un examen récent demandé par Santé Canada valident et appuient tous deux le rôle à valeur ajoutée de l’Inforoute. La scène internationale Le milieu international Un certain nombre de pays ont réalisé d’importants progrès sur le plan des cyber-soins de santé grâce à l’adoption répandue du DSE, les communications électroniques et le partage des données (résultats des tests de laboratoire). NED DEN NZL NOR CAN US AUS 5- Le Canada et le R.-U. traînent un peu de la patte quant aux progrès réalisés en matière de DSE – en particulier derrière la Nouvelle-Zélande, le Danemark, la Norvège et les Pays-Bas. Cependant, tant le Canada que le R.-U. affichent des stratégies nationales fortement focalisées et d’importants engagements en matière de ressources qui les doteront de l’élan nécessaire pour devenir les meneurs mondiaux au cours des 3 prochaines années. UK DEU SGP FRA 5- JPN Momentum (Résultats relatifs aux stratégies et aux ressources) 10 - (Résultats de mise en œuvre et d’adoption du DSE) Progrès 10 - À l’heure actuelle, les É.-U. et l’Australie n’ont pas le momentum nécessaire au DSE. Les deux pays disposent de stratégies nationales, mais n’ont pas le financement nécessaire pour réussir leur mise en œuvre. En bénéficiant du financement approprié, ces deux nations pourraient rapidement se joindre au peloton de tête. Ce graphique est fondé sur une analyse préparée par l’Inforoute au moyen de documents mis à la disposition du public relativement aux initiatives internationales en matière de DSE. Tous les résultats sont de nature suggestive. Avant de devenir trop suffisants… Vers 2015 … Vers 2015 • Élaborer le plan d’un infostructure en santé pour le Canada qui confirme la vision à long terme et détaille les orientations stratégiques que devrait envisager le pays au cours de 10 prochaines années, notamment les exigences en matière de ressources connexes. • Fournir un plan pour la mise en œuvre globale du dossier de santé électronique dans l’ensemble du pays ainsi que l’élargissement de l’infostructure pour appuyer tous les aspects du renouvellement des soins de santé. La vision Systèmes fondamentaux • • • • Dossier de santé électronique – pour l’ensemble des Canadiens Dossier médical électronique – pour les soins primaires et ambulatoires Système d’information hospitalier – SIEO et appui pour les décisions de niveau avancé Portails des patients – pour permettre aux patients de consulter leur dossier de santé électronique Systèmes opérationnels • • • • • Santé publique – pour une gestion exhaustive des pandémies Gestion des maladies chroniques – pour une gestion de cas avancés des principales maladies chroniques comme le diabète, l’insuffisance cardiaque congestive et le cancer Gestion des temps d’attente – pour permettre les recommandations électroniques, l’établissement d’horaires ainsi que le contrôle et le rapport des temps d’attente Soins auto-administrés – pour venir en aide aux patients et à leurs fournisseurs de soins à domicile Gestion du rendement – pour assurer une prestation de soins durable aux patients Coût en capital = de 10 à 12 milliards de $ Avantages = de 6,0 à 7,6 milliards de $ annuellement Priorités pour 2015 1 Fondamentales S’assurer que le DSE de base et l’infostructure en santé publique soient en place dans l’ensemble du pays. 2 Libérer des avantages supplémentaires en matière de qualité et de sécurité en facilitant le soutien aux décision et la communication dans l’ensemble du continuum de soins. 3 Éléments supplémentaires Additional elements Faciliter les amélioration quant aux soins auto-administrés par les patients. 4 Permettre la visibilité publique dans les temps d’attente. 5 Essayer une fonction plus avancée pour répondre aux besoins hautement prioritaires du système. Principal investissement requis Occasions Inforoute : Évaluation des avantages DSE : Avantages globaux et valeur • Interprétation améliorée du diagnostic et des résultats des tests de laboratoire • Diminution des effets indésirables des médicaments • Diminution du nombre d’erreurs liées aux ordonnances • Rapidité et exactitude accrues relativement à la détection des épidémies de maladies infectieuses QUALITÉ • Diminution du temps d’attente pour les services d’imagerie diagnostique • Disponibilité accrue des services de santé communautaire • Diminution du temps de déplacement des patients et du coût ACCÈS pour accéder aux services • Participation accrue des patients dans les soins de santé à domicile • • • • Augmentation de l’accès à l’information intégrée sur les patients Diminution du nombre de tests et d’ordonnances en double Diminution du nombre de rappels des ordonnances de médecins Diminution des frais de déplacement des patients et des prestateurs PRODUCTIVITÉ Plan d’évaluation des avantages de l’Inforoute Objet : • • Évaluer l’impact des investissements de l’Inforoute dans les solutions de dossier de santé électronique portant sur la qualité des soins de santé, la productivité et l’accès. Les impacts déterminés seront utilisés pour : • démontrer la valeur des investissements; • faire progresser les investissements futurs dans les solutions liées au DSE; • encourager l’adoption par les utilisateurs finaux; • mettre l’accent sur les rajustements nécessaires dans la stratégie d’investissement de l’Inforoute. Principes : • • • • Évaluer l’expérience canadienne avec une rigueur suffisante pour susciter la confiance envers les valeurs estimatives des avantages; ne pas essayer d’élaborer le cadre d’évaluation définitif du DSE. Axer l’attention sur l’évaluation des programmes qui dégageront des avantages cliniques tangibles (laboratoire, médicaments, imagerie diagnostique, télésanté, SISP et iDSE). Les projets ou activités ne seront pas tous évalués. Déterminer des échantillons représentatifs et les méthodes les plus appropriées permettant l’extrapolation. L’évaluation des avantages du DSE sera évaluée et révisée sur une base permanente. Cadre d’évaluation des avantages de l’Inforoute Le cadre détaille le lien entre les systèmes dans lesquels investit l’Inforoute et les avantages qui en découlent, offrant une base de mesure. AVANTAGES NETS QUALITÉ DU SYSTÈME ? Fonctionnalité ? Rendement ? Sécurité QUALITÉ UTILISATION ? Comportement/ ? ? tendance d’utilisation Utilisation déclarée par l’intéressé Intention d’utilisation ACCÈS QUALITÉ DE L’INFORMATION ? Contenu ? Disponibilité QUALITÉ DU SERVICE ? Réceptivité ? Sécurité des patients ? Caractère approprié /efficacité ? Résultats sur le plan de la santé ? SATISFACTION DE L’UTILISATEUR ? ? ? Compétence Satisfaction de l’utilisateur Facilité d’utilisation ? Capacité des patients/ prestateurs d’accéder aux services Participation du patient et de la personne soignante PRODUCTIVITÉ ? Efficacité ? Coordination des soins ? Coût net FACTEURS ORGANISATIONNELS ET CONTEXTUELS : STRATÉGIE, CULTURE ET PROCESSUS OPÉRATIONNEL Basé sur le modèle de succès du SI de Delone & McLean HORS DE PORTÉE Indicateurs de qualité, d’accès et de productivité Changement dans la sécurité des patients • Erreurs relatives aux médicaments et effets indésirables des médicaments Changement dans les résultats du système de santé • Taux de réadmission • Efficacité du rétablissement • Transferts de patients Changement dans l’accès aux services • Volume de prestation de service • Accès à des services auparavant non disponibles • Caractère opportun des services d’ID Changement dans l’efficacité du prestateur/la pertinence des soins • Accès à l’information • Caractère opportun de la prestation du service, pharmaciens, santé publique, médecins orienteurs, radiologistes • Taux de vaccination, détection d’épidémie et intervention Changement dans la participation du patient et de la personne soignante • Sensibilisation du patient et adhésion Changement dans l’efficacité du prestateur Changement dans la coordination des soins • Efficacité du technologue en radiologie et du radiologiste • Partage d’information entre les divers prestateurs • Rappels des pharmaciens et des techniciens • Gestion des épidémies de laboratoire • Assez de temps pour s’enquérir des Changement dans les coûts nets antécédents médicaux du patient ou évaluer le • Événements inutiles : radiologie, tests patient de laboratoire, vaccinations • Déroulement du travail du clinicien De nouveaux outils suscitent de nouvelles questions : le DSE et les usages secondaires des données Atelier animé avec l’ICIS sur l’usage secondaire des données Janvier 2007 • Le moment est venu d’établir et de présenter la preuve à l’appui de l’usage secondaire afin de préparer les médecins, le public et les autres intervenants • Nécessité de développer des cas d’usage détaillé et/ou un cadre de niveau plus élevé déterminant les exigences relatives à l’usage secondaire • Nécessité d’identifier les expériences, les succès et les échecs, tant sur le plan national qu’international, et de faire fond sur ces éléments DSE : Architecture conceptuelle INFOSTRUCTURE JURIDICTIONNELLE Registries Data & Services Données et services des registres Client Registry Registre des clients Provider Registry Registre des prestateurs Location Registry Registre des établissements Terminology Registry Registre terminologique PHS Data & Services Données et services du SISP Outbreak Management Gestion d’épidémie EHR Data & Services Données et services du DSE PHS Reporting Rapport du SISP Business Rules Règles opérationnelles Shared Health Dossier de Record Drug Information Information sur les santé partagé médicaments EHR Index Répertoire du DSE Diagnostic Imaging Imagerie Laboratory Laboratoire Health Information Information sur la santé diagnostique Normalisation Message Rules Structures Règles de Structures de normalisation messages Longitudinal Record Services Longitudinal Record Services Security Management Data Données sur la gestion de la sécurité Common Services Common Services Communication Bus HIAL CAIS Data Warehouse Entrepôt de données Privacy Données surConfiguration Data la protection des Configuration renseignements personnels Communication Bus Public Pharmacy Health System Services en Système de Services santé pharmacie publique POINT DE SERVICE Public Health Pharmacist Provider Prestateur en Pharmacien santé publique Radiology Center Centre de PACS/RIS radiologie PACS/RIS Radiologist Radiologiste Lab System Système de (LIS) laboratoire (SIL) Lab Clinician Clinicien de laboratoire Hospital, Physician LTC, CCC, Office Hôpital, SLD, Bureau de EPR EMR CCC, DEP médecin DME EHR Viewer Visualiseur de DSE Physician/ Physician/ Provider Provider Médecin/Prestateur Médecin/Prestateur Médecin/Prestateu Physician/ Provider Services de protection et de sécurité des renseignements personnels (état futur) INFOSTRUCTURE JURIDICTIONNELLE Données et services de registres Registre des clients Données et services auxiliaires Gestion d’épidémie Rapport du SISP Données et services du DSE Entrepôt de données Dossier de Information sur Imagerie santé partagé les médicaments diagnostique Laboratoire Information sur la santé Registre des prestateurs Registre des établissements Registre terminologique Services communs Règles opérationnelles Répertoire du DSE Structures de messages PROTECTION ET SÉCURITÉ DES Règles de normalisation RENSEIGNEMENTS PERSONNELS Services de protection de l’identité Longitudinal Record Services Services de gestion de l’identité CAIS Services de Services de gestion des préservation de Directives de consentement l’anonymat Services d’authentification Données sur la de chiffrement Services des usagers protection des Services de contrôle de l’accès Données sur la gestion Configuration renseignements de la sécurité Services de vérification Services de signature personnels Sécuritaire Common Services Services de sécurité générale Communication Bus Visualiseur clinique Système PDV POINT DE SERVICE Usager numérique Livre blanc sur la gouvernance de l’information • Parution au début de 2007 – pour rétroaction et commentaires • Détermine les secteurs de dialogue • La gouvernance n’est pas nouvelle; c’est la façon dont l’information voyage dans un DSEi qui l’est • La gouvernance va nécessité une variété d’approches • Où réside la responsabilité de la gestion de la gouvernance? Secteurs de dialogue • Confiance et responsabilité • Droits à la protection des renseignements personnels des patients • Évaluation et conformité • Qualité des soins de santé • Mesures de protection techniques • Droits des prestateurs de soins de santé et des communautés d’intérêts …avec les sections subséquentes sur les exigences juridiques, éthiques et professionnelles, les mécanismes actuels en jeu et des exemples d’efforts d’autres industries pour surmonter des problèmes similaires. Défis Le périple est loin d’être complété Nous devrons surmonter plusieurs obstacles afin de compléter le mandat existant Faire participer les principaux intervenants – le public et les cliniciens en particulier « Nous avons besoin de gens capables de défendre cette cause. » – Agent principal de l’information régional Mise en œuvre de première La nécessité ligne, notamment la mise en d’établir la preuve à pour un appui Garantir un œuvre des normes, la redéfinition des processus constant juste opérationnels et l’adoption par équilibre sur le plan les cliniciens du leadership à tous les « Jusqu’à ce que vous niveaux « Nous avons besoin de défenseurs additionnels en plus de l’Inforoute. » – Sous-ministre obteniez un niveau raisonnable de masse critique, nous sommes à des années de pouvoir mesurer les avantages systémiques pour le système. C’est le problème pour les élus qui désirent voir rapidement les avantages. » – Agent principal de l’information régional « Les cliniciens ne vont pas vouloir adopter la technologie si elle leur rend la vie plus difficile. » – Clinicien Les représentants du milieu universitaire comme intervenants • Enseignement, recherche, prestation de services – leadership éclairé • Enseignement – premier cycle, niveau post-doctoral, formation professionnelle continue • Recherche : « usage secondaire », tel que discuté • Prestation de service : tel que discuté • Leadership éclairé Comité consultatif universitaire/relatif à l’apprentissage RÔLE ACTUEL RÔLE DE DEMAIN TRANSFORMATION COMPÉTENCES Défis Défis SAVOIR • Rôle : offrir des commentaires d’expert pour l’un des 4 éléments clés de la stratégie d’usager final Compétences ATTITUDES Compétences EXPÉRIENCE Curriculum Curriculum – D’après D Covvy FPC/KT Défis auxquels sont confrontés les établissements d’enseignement • La technologie en elle-même (50 % unités d’enseignement de médecine familiale) • Alliances stratégiques avec des établissements (hôpitaux, RLISS, RRS) où sont offerts les soins • Thème des « solutions de DSE comme outil », répartition de la formation au lieu d’opter pour un seul élément « autonome » ou un « ajout » au curriculum • « Prêcher par l’exemple » - à la fois sur le plan clinique et technologique La promesse • Participation accrue des patients aux soins • Maladies chroniques bien gérées • Amélioration de l’accès aux soins dans les collectivités rurales et éloignées • Moins d’effets indésirables des médicaments • Meilleurs résultat thérapeutiques • Meilleures pratiques de prescription • Diminution des temps d’attente Merci! www.infoway-inforoute.ca