Diapositive 1

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QU’ A APPORTE LA MUTUALISATION
DE L’APPROVISIONNEMENT BIO
AU LYCEE BARTHOLDI
114 Adhérents
 94
EPLE
9
hôpitaux (fuel)
 6 structures associatives

2 GRETA
1
CLOUS
 1 service départemental de l’Education Nationale
 70


établissements avec demi-pension
CA annuel Denrées alimentaires: 4 164 489 € HT
CA annuel BIO:
144 132 € HT (3,5 %)
Premiers articles bios 2008
Premiers lots bios 2011


Une situation géographique favorable

Centre alsace

Proximité de producteurs importants et de précurseurs
Une longue expérience
 Grenelle vous avez dit grenelle ?

Intérêt des établissements

Domaine peu connu

Difficultés d approvisionnement

Rôle de compétence et de facilitateur du groupement
2 domaines distincts:
o
o
Produits frais : légumes, fruits, produits laitiers
Souvent d’origine locale, petits producteurs
Produits d’épicerie, surgelés
Production industrielle, gros faiseurs, voire faiseurs
« conventionnels »
2 actions, 2 effets distincts

Affichage du potentiel : 30 000 repas / jour

3 volontés qui se conjuguent



Les collectivités
La volonté des établissements
La réponse des producteurs et l’obligation de se
structurer

Création d une plate-forme

Bénéfice pour l’établissement
Affichage du potentiel : 30 000 repas / jour
 Recensement des besoins


Une force relative mais réelle

L’apport des fiches incidents

Bénéfice pour l’établissement

Mutualisation positive si bien étudiée

Connaissance de son environnement économique
nécessaire
Marches et solutions choisies
Denrées alimentaires: accords-cadres
de 3 ans
Avant 2011:
Produits BIO répartis dans les différents lots
A partir de 2011:
Consultation spécifique BIO
Meilleure lisibilité des
produits BIO
disponibles
Accessibilité des
marchés aux
spécialistes du BIO
Marché en dessous des seuils: MAPA
Durée de 1 an:
évolution rapide de la
composition des lots
d’années en années
Négociation possible
 Faciliter
l’intégration d’aliments BIO dans
les restaurants scolaires - Rôle de conseil
 Choix
des produits:
faciles à mettre en œuvre
 surcoût tarifaire dû au mode d’agriculture limité

 Lots
suffisamment conséquents:
Attractifs pour les fournisseurs
 Permettant aux adhérents de respecter le minimum
de commande (85€)


Produits laitiers

Epicerie

Légumes surgelés

Réponses
Nombre d’offres limité (fournisseurs
« conventionnels » )
 Offres incomplètes


Exécution
Précommandes indispensables pour certains produits
frais
 Quantités recensées par les adhérents difficilement
atteintes

année
2011
2012
2013
2014
2015
nombre d'adh.
BIO/nombre
adh. DA
40/65
50/71
45/71
41/72
43/71
60%
Epicerie
35 072 €
39 549 €
27 551 €
46 296 €
36 961 €
Produits laitiers
51 349 €
43 878 €
65 024 €
67 377 €
légumes
surgelés
24 173 €
27 574 €
34 841 €
34 462 €
Total BIO
35 072 €
115 071 €
99 003 €
146 161 €
138 800 €

Economie d’échelle réalisée

Sécurisation des approvisionnements

Rôle incitatif

Marché qui nécessite une sensibilisation
constante des différents acteurs de la commande
publique (gestionnaires, Chef de cuisine…) : rôle
du Groupement d’Achats de maintenir les
achats en BIO
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