SCCC-competence3-2

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Christian Le Guillou
Mai 2010
- Compétence 3 -
http://eduscol.education.fr/cid49889/livretpersonnel-de-competences.html
Vous avez dit compétence?
Des connaissances :
-Longueur (hauteur)
-Figures (rectangle, parallélépipède)
-Proportionnalité
-Chance, probabilité
-Règles (ce qui est permis, ce qui est
interdit)
-…
Des capacités :
-Identifier un problème
-Évaluer une hauteur
-Évaluer un risque physique
-Communiquer et opérer en équipe en utilisant
des techniques pour surmonter un obstacle
-Évaluer les conséquences de ses actes
-…
Des attitudes :
-Irrespect, espièglerie
- Solidarité, entraide
-Créativité, inventivité
-Plaisir
-Motivation et détermination dans la
réalisation d’objectifs
Une compétence : franchir une
barrière interdite
Plus sérieusement, au niveau de PISA - 1
Le programme PISA définit les compétences en sciences (ou culture
scientifique) comme la mesure dans laquelle un élève : i) possède des
connaissances scientifiques et les utilise pour identifier les questions associées,
acquérir de nouvelles connaissances, expliquer des phénomènes scientifiques
et s’appuyer sur des données probantes pour tirer des conclusions concernant
certains problèmes d’ordre scientifique ; ii) comprend les caractéristiques
mêmes de la science en tant que forme de connaissance et sujet d’étude de
l’homme ; iii) est conscient de la mesure dans laquelle la science et la
technologie façonnent notre environnement matériel, intellectuel et culturel ; et
iv) s’intéresse aux questions d’ordre scientifique et s’adonne, en tant que
citoyen éclairé, à des réflexions concernant la science.
Plus sérieusement, au niveau de PISA - 2
Deux éléments pour les
deux réponses attendues
Item à réponse construite
Niveau de compétences :
COMPRENDRE DES INVESTIGATIONS
SCIENTIFIQUES
Champ d'application : sciences
appliquées à la vie et à la santé
Thème scientifique : biologie humaine
Cet item correspond au processus
scientifique "comprendre des
investigations scientifiques"
il s'agit pour les élèves de repérer dans
un texte scientifique les éléments figurant
les hypothèses testées et ceux
nécessaires pour rendre la démarche
opératoire.
Dans la première question, les éléments
figurent dans le texte. Il s'agit donc de
leur attribuer un statut d'hypothèses.
Dans la seconde, ces éléments doivent
être imaginés par les élèves pour donner
à la démarche toute la rigueur
nécessaire.
Plus sérieusement, au niveau de PISA - 3
Des connaissances :
-Réponse immunitaire acquise
-Micro-organismes
-Epidémie
-Pus
Des capacités :
-Exploiter des résultats de pratiques
opératoires
-Formuler une hypothèse
-Valider un résultat statistique
-Critiquer un protocole opératoire
Des attitudes :
-Imagination raisonnée
-Esprit critique : situation d’un résultat
dans son contexte
Une compétence : comprendre des
investigations scientifiques
Contexte
situations de la vie courante à caractère scientifique et technologique
Ce que l’élève
doit savoir faire :
Compétences
-Identifier des questions scientifiques
-Expliquer des phénomènes de
manière scientifique
-Utiliser des faits scientifiques
Ce qui influence la
manière de faire :
Connaissances
-à propos du monde matériel
- à propos de la science elle-même
(méthode de recherche, modes de
raisonnement)
Attitudes
manière dont on réagit face aux
questions scientifiques (intérêt,
importance accordée à la démarche
scientifique, sens des responsabilités)
LE CADRE D’EVALUATION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE DANS PISA
Une compétence, c’est quoi?
Une connaissance (latin cognoscere qui signifie
« apprendre, prendre connaissance de ») est
une croyance vraie justifiée ou plus
généralement une représentation adéquate
justifiée. On distingue les connaissances
déclaratives qui sont des connaissances
relatives aux faits et les connaissances
procédurales qui sont les connaissances qui se
rapportent aux règles permettant de résoudre
un problème, c’est-à-dire les opérations à
exécuter pour atteindre un but.
Une capacité (latin capax qui
signifie « qui peut contenir »)
correspond à un ensemble
d’opérations intellectuelles de
base, de modes de pensée
fondamentaux, de potentialités
transversales et transférables
d’une situation à une autre.
Une attitude (latin actitudo,
actitare, agere qui signifie
« action ») est un état mental
de préparation à l’action.
Une compétence (latin petere qui signifie « chercher à
atteindre », « chercher à obtenir quelque chose » et
cum qui signifie « avec ») correspond, dans une
situation donnée, à la mise en œuvre par l’élève, d’un
ensemble coordonné de savoirs, de savoir-faire et de
savoir être liés à une action. Cet ensemble, disponible
mentalement est donc mobilisé puis mis en œuvre en
vue d’accomplir une tâche.
La compétence renvoie donc aux procédures qui
permettent d’accomplir une action ou une tâche, c’està-dire aux moyens de produire une réponse.
C’est par l’apprentissage successif de compétences
singulières que les capacités sont structurées.
Savoirs renvoyant à des situations complexes qui
amènent à gérer des variables hétérogènes et qui
permettent de résoudre des problèmes qui échappent
à des situations référables épistémologiquement à une
seule discipline.
Philippe MEIRIEU
Une compétence est un savoir-agir complexe résultant
de l’intégration, de la mobilisation et de l’agencement
d’un ensemble de capacités et d’habiletés (pouvant
être cognitif, affectif, psychomoteur ou social) et de
connaissances (déclaratives) utilisées efficacement,
dans des situations ayant un caractère commun.
François LASNIER
Réussir la formation par compétences,
Editions Guérin, Montréal, 2000
« Une compétence est une combinaison de connaissances, de capacités à les mettre en
œuvre dans des situations variées, et d’attitudes indispensables. »
B.O. du 20 Juillet 2006 sur le socle commun de connaissances et de compétences
Michel
DEVELAY
Une compétence, d’où ça
vient?
Processus
psychométrique
Processus
économicopolitique
Processus
psychométrique de
mesure et d’évaluation
des aptitudes, issu de
la recherche en
psychologie cognitive
COMPETENCE
Processus de
planification des
systèmes éducatifs au
niveau mondial :
l’éducation comme
investissement sur le
capital humain,
générateur de
croissance
Processus de gestion des
ressources humaines
Processus qui voit l’entreprise se
mêler de former et la formation
technique et professionnelle
épouser la logique de l’entreprise
D’après Angélique
del Rey
Pour certains, la compétence, qui absorbe le monde de l’éducation après
celui de l’entreprise, dans une société de production garante de l’emploi qui
se mue en société de services caractérisée par l’employabilité du salarié,
réduit l’acte d’éduquer à la construction d’une aptitude générale à agir
efficacement. Il faut dès lors apprendre des compétences utiles à la vie
adulte. La compétence devient ainsi un savoir-agir complexe permettant aux
individus de s’adapter à des situations nouvelles en inventant des solutions
aux problèmes qu’elles créent. Elle scelle la rupture entre une société
fondée sur le savoir des choses et leur transmission et une société de
l’apprendre utile, qui est moins une société du savoir qu’une société de la
communication et de l’information, de l’adaptablité et de l’employabilité. On
construit à l’école un portfolio (Le portfolio est issu du monde artistique et a
pour but de montrer des traces de l’œuvre de son propriétaire. Dans le
monde de la formation, il a pour vocation de répertorier des traces qui
attestent de compétences et d’un savoir-faire. Pour ce faire, ces traces sont
accompagnées d’une réflexion sur son propre apprentissage. C’est un outil
évolutif.) de compétences que l’on monnaie ensuite sur le marché du travail.
Un site critique :
http://www.skolo.org/spip.php?article1098
La vision qui se dégage de cette approche de l’enseignement (Enseigner :
du latin insignire faire connaître par un signe.) par compétences est une
approche utilitariste et techniciste. Les signes dont il est question dans « le
faire connaître » visé sont des transformations visibles et mesurables chez
l’apprenant.
Cette vision déjà dénoncée par Gramsci en 1931 est aujourd’hui promue par
les instances internationale comme l’UNESCO, le Parlement européen et le
Conseil européen.
Dans une recommandation de novembre 2005, ce deux dernières écrivent :
« Les États membres veillent à ce que l'éducation et la formation initiales
offrent aux jeunes les moyens de développer les compétences clés de sorte
à être préparés pour la vie adulte et à constituer un socle pour de futurs
apprentissages et pour le monde du travail.
Piloté conjointement par les ministères de l’Emploi et de
la Solidarité, de l’Education nationale et de la recherche,
le CEREQ (Centre d’étude et de recherche en
qualifications) met au point une méthode nouvelle, la
GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des
compétences), propre à détecter, au sein de l’entreprise,
des « emplois types » regroupant sous des compétences
similaires des postes différents, des statuts différents et
des branches différentes.
1971 : la loi importante sur la formation continue
Elle instaure pour les entreprises l’obligation d’investir
dans la formation de leurs employés.
Elle entraîne la multiplication des collaborations entre
l’école et l’entreprise (stages en entreprises, bac
professionnel, formations en alternance, GRETA, …).
l’entreprise compétitive est celle qui investit sur son
capital cognitif (la somme des compétences de ses
employés)
l’entreprise a tout à gagner à former ses employés
l’entreprise est par elle-même formatrice dans la mesure
oùle travail met en œuvre des compétences ciblées
l’entreprise est une organsation apprenante
La roue des compétences
Une compétence, à
enseigner ou à construire?
Le socle commun de connaissances et de
compétences
La Loi d’orientation et de programme pour
l’avenir de l’école du 23 avril 2005 instaure la
socle commun de connaissances et de
compétences.
« La scolarité obligatoire doit au moins
garantir à chaque élève les moyens
nécessaires à l’acquisition d’un socle
commun constitué d’un ensemble de
connaissances et de compétences qu’il est
indispensable de maîtriser pour accomplir
avec succès sa scolarité, poursuivre sa
formation, construire son avenir personnel et
professionnel et réussir sa vie en société. »
Le Décret d’application du 11 juillet 2006 en
détermine le contenu.
Il est structuré en sept compétences.
1- La maîtrise de la langue française
2- la pratique d’une langue étrangère
3- Les principaux éléments de mathématiques
et la culture scientifique et technologique
4- La maîtrise des techniques usuelles
de l’information et de la communication
5- La culture humaniste
6- Les compétences sociales et civiques
7- L’autonomie et l’initiative
La Loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école va
dans le sens des travaux des instances européennes. La
recommandation du Parlement Européen du 18 décembre 2006
sur les compétences clés pour l’éducation et la formation tout
au long de la vie définit ainsi ces compétences :
« Les compétences clés en tant que connaissances, aptitudes
et attitudes appropriées à chaque contexte sont fondamentales
pour chaque individu dans une société fondée sur la
connaissance. Elles comportent une valeur ajoutée au marché
du travail, à la cohésion sociale et à la citoyenneté active en
apportant flexibilité et adaptabilité, satisfaction et motivation.
Parce qu’elles devraient être acquises par tous, la présente
recommandation propose un outil de référence aux États
membres pour assurer que ces compétences clés soient
pleinement intégrées dans leurs stratégies et leurs
infrastructures, en particulier dans le cadre de l’éducation et de
la formation tout au long de la vie. »
Un socle commun, oui mais
pour quoi faire?
1- S’approprier les connaissances, les capacités et les
attitudes visées à travers les sept compétences (feuille de
route pour l’école et le collège)
2- Bâtir des séquences structurées par des activités
reposant sur l’explicitation des savoirs, savoir-faire et savoirêtre à mobiliser en prenant en compte l’état des acquis des
élèves
3- Mettre en place une évaluation fonctionnelle
(diagnostic, formative, sommative) par compétences
constituant à la fois, pour l’élève un levier pour apprendre, et
pour l’enseignant un recueil d’informations lui permettant
d’organiser et conduire ses séquences
4- Assurer un suivi efficace des élèves dans les
dispositifs d’accompagnement à la réussite
L’activité est conçue comme un facilitateur d'apprentissage d'une
compétence, dans une approche socio-constructiviste :
permet à chaque élève d'utiliser/et ou d'exprimer pendant un certain temps
ce qu'il sait déjà.
comporte des contraintes obligeant à affronter l'apprentissage de la
compétence visée. (= rupture)
prévoit des moments de confrontation (= premiers moments d'apprentissage)
s'inscrit dans un ensemble cohérent et régulé d'activités ciblant la même
compétence(= forme de continuité)
exprime aux enfants leur droit à l'erreur (= contrat didactique)
prévoit des ressources "pensées" qui permettent la "relance" chez
l'apprenant (= éléments supplémentaires permettant la poursuite de la
confrontation à la difficulté) (= forme de différenciation)
utilise un matériel riche et varié (= dispositif pédagogique)
identifie les obstacles rencontrés par les apprenants (= forme d'évaluation
formative)
fournit un temps à l'apprenant pour verbaliser "son vécu" (intellectuel et
affectif)
Le socle redéfinit le contour des compétences nécessaires pour
enseigner
1. Organiser et animer des situations d'apprentissage
2. Gérer la progression des apprentissages
3. Concevoir et faire évoluer des dispositifs de différenciation
4. Impliquer les élèves dans leur apprentissage et leur travail
5. Travailler en équipe
6. Participer à la gestion de l'école
7. Informer et impliquer les parents
8. Se servir des technologies nouvelles
9. Affronter les devoirs et les dilemmes éthiques de la profession
10. Gérer sa propre formation continue
Le socle redéfinit le contour des compétences nécessaires pour
enseigner
André de PERETTI
Avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la
communication, la place du savoir, de la science et de la technologie dans le
processus de création des richesses s’accroît.
À une économie basée sur le capital physique, matériel, semble se
substituer une économie de la connaissance (ou un capitalisme cognitif)
fondé(e) sur un capital immatériel. Cette évolution nécessite une
augmentation des compétences des individus mais aussi un changement
des modes organisationnels. Les pratiques de créativité et d’innovation,
l’éducation et la formation constituent ainsi des éléments clé dans la
construction et l’essor des sociétés de la connaissance. La stratégie de
Lisbonne, adoptée par l’Union européenne en 2000 s’est donnée pour
objectif de « faire de l’Union européenne à l’horizon 2010 la société de la
connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde ».
Dans ce contexte, quels peuvent être les apports de la culture et du secteur
culturel ? Quel rôle la culture peut-elle jouer pour favoriser l’établissement
d’une société de la connaissance, qui garantisse le partage mais aussi la
diversité des savoirs ? En effet, si le développement de sociétés de la
connaissance semble être porteur d’avancées économiques et sociales, la
« marchandisation » des savoirs ne constitue-t-elle pas une menace pour
leur diversité, en favorisant les savoirs techniques et scientifiques au
détriment des savoirs ou savoir faire locaux ? La culture en tant que
productrice de sens et de valeurs n’est-elle pas un élément à inclure de
façon forte dans la définition des politiques de l’économie de la
connaissance ?
Les révolutions technologiques ont toujours été à l’origine de mutations
dans les processus de production et de création de la valeur, et donc dans
l’organisation sociale. En entrant dans la société de la connaissance,
l’humanité se transforme profondément, comme elle l’a été par la révolution
industrielle. Cette révolution se fera-t-elle au seul profit de la rentabilité du
capital ? Ou bien, sur le modèle des logiciels et des contenus Libres, la
société du numérique sera-t-elle celle de la connaissance partagée ? Rares
ont été dans l’histoire les révolutions technologiques qui ont changé à ce
point le mode de vie de l’être humain. Tous les aspects de notre vie sont
touchés : le travail, les loisirs, les relations. Internet s’est affirmé en moins
de dix ans simultanément comme un média de masse et comme une
pratique populaire. Le changement le plus important de l’ère de l’Internet,
c’est la vitesse du changement. En 2008, une quinzaine d’années après leur
apparition « publique », les réseaux numériques feront partager à un
sixième de l’humanité une technique, un lieu de communauté, un espace
socialisé de diffusion et d’élaboration collective de l’information.
A travers cette irruption brusque, presque brutale, se tissent de nouveaux
rapports conscients et inconscients au monde. Distance, travail, économie,
durée, relations sociales, tout est changé. La politique se re-trouve
questionnée. La transparence et la collégialité rendues possibles mettent
crûment en lumière les carences de l’organisation sociale, politique et
institutionnelle, et dans le même temps ouvrent la voie à une explosion de
l’intervention citoyenne.
La compétence 3, c’est quoi?
au palier 3 : fin de Troisième
Grille de référence compétence 3 palier 3
au palier 2 :
fin de CM2
au palier 2 :
fin de CM2
La compétence 3 par
l’exemple
SPC
SVT
L'EAU DANS NOTRE ENVIRONNEMENT :
quel rôle l’eau joue-t-elle dans notre
environnement et dans notre alimentation ?
Chez les végétaux comme chez
les animaux, la respiration
consiste à absorber du
dioxygène et à rejeter du
dioxyde de carbone.
La diversité des appareils et des
comportements respiratoires
permet aux animaux d’occuper
différents milieux.
Chez les animaux les échanges
gazeux se font entre l’air ou
l’eau et l’organisme par
l’intermédiaire d’organes
respiratoires : poumons,
branchies, trachées.
Dans l’eau, la répartition des
organismes vivants dépend
notamment de la teneur en
dioxygène.
L’agitation, la température de
l’eau influent sur l’oxygénation
du milieu.
L’Homme par son action sur le
milieu peut modifier la teneur en
dioxygène de l’eau et donc la
répartition des organismes
vivants. Il agit sur la biodiversité.
L’eau est omniprésente
dans notre
environnement,
notamment dans les
boissons et dans les
organismes vivants.
Test de reconnaissance
de l’eau par le sulfate de
cuivre anhydre.
Suivre un protocole donné
pour mettre en évidence la
présence d’eau dans
différentes substances.
Valider ou invalider
l’hypothèse de la présence
d’eau.
MÉLANGES AQUEUX : comment obtenir de
l'eau limpide ?
Mélanges homogènes et
hétérogènes.
Décantation. Filtration.
Extraire des informations de
l’observation d’un mélange.
Réaliser un montage de
décantation ou de
filtration à partir d’un
schéma.
Faire le schéma d’un
montage de décantation ou
de filtration en respectant
des conventions.
L’eau peut contenir des
gaz dissous.
Test de reconnaissance
du dioxyde de carbone
par l’eau de chaux.
Mettre en oeuvre un
protocole pour récupérer un
gaz par déplacement d’eau.
Réaliser le test, le
schématiser.
Suivre un protocole de mise en
évidence de l’absorption de
dioxygène et du rejet de
dioxyde de carbone par un
organisme vivant.
Suivre un protocole de dissection
permettant de découvrir un organe
respiratoire.
Effectuer un geste technique en
réalisant une observation d’organe
respiratoire à la loupe binoculaire
ou au microscope.
Observer, recenser et organiser
des informations afin de placer un
organisme vivant dans la
classification.
Mesurer la quantité de dioxygène
dans l’eau.
Formuler l’hypothèse d’une
relation de cause à effet entre une
teneur en dioxygène et la
répartition des organismes vivants.
Mettre en oeuvre un protocole
expérimental pour étudier
l’influence des facteurs
température, agitation de l’eau et
présence de végétaux sur
l’oxygénation de l’eau.
Construire un tableau ou un
graphique pour présenter les
résultats de mesures.
Valider ou invalider les hypothèses
testées.
Recenser et organiser des
données relatives à l’influence de
l’Homme sur la répartition des
êtres vivants.
Exprimer à l’écrit et/ou à l’oral les
étapes de la démarche de
résolution.
MATHEMATIQUES
1.3. Activités graphiques
Repérage sur une droite graduée.
Sur une droite graduée :
- lire l’abscisse d’un point donné,
- placer un point d’abscisse donnée (exactement
ou
approximativement, en fonction du contexte),
- déterminer la distance de deux points
d’abscisses
données.
Repérage dans le plan.
[Thèmes de convergence]
Dans le plan muni d’un repère orthogonal :
- lire les coordonnées d’un point donné,
- placer un point de coordonnées données,
Connaître et utiliser le vocabulaire : origine,
coordonnées, abscisse, ordonnée.
1.4 Représentation et traitement de
données
Effectifs.
*Fréquences.
Classes.
- Calculer des effectifs,
- * Calculer des fréquences.
- Regrouper des données en classes d’égale
amplitude.
Tableau de données,
représentations graphiques de données.
[Thèmes de convergence]
- Lire et interpréter des informations à partir d’un
tableau ou d’une représentation graphique
(diagrammes divers, histogramme).
- Présenter des données sous la forme d’un
tableau, les représenter sous la forme d’un
diagramme ou d’un histogramme (dans ce cas
les classes sont toujours de même amplitude).
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