3) La production des richesses déplace son centre de gravité
vers l’industrie du savoir qui devient la variable clef du
développement. Le travail n’est plus capable de concurrencer les
formes de production nouvelles comme les chaînes, la robotisation, les
réseaux. Alors, le travail se réfugie dans les pays à faible coût de main
d’œuvre sous les formes de la délocalisation.
4) La conséquence est que, les États opèrent des
investissements massifs dans la Recherche–développement:
330 milliards de dollars aux États-unis, 240 en Europe. La Chine
désormais, met l'accent à son tour et prioritairement sur la recherche
pour passer du statut d'atelier du monde" à celui d'une économie du
savoir avec un volume d’investissements de l’ordre 136 milliards de
dollars. Elle passe ainsi devant le Japon.
5) L’Afrique surla quasi-totalité des segments est larguée pour un
secteur aussi déterminant et sur lequel il est possible, pourtant, de
s’aménager des raccourcis