29 Mai 2009

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AFMC DURBUY 2009
Dr Ph.OLIVIER
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Dr Ph.OLIVIER
La chaîne de contamination du SRAS de pneumopathie atypique remonte à Foshan, paisible
cité industrielle au sud de Canton. C'est là, à l'«hôpital du peuple numéro un», qu'a été
recensé le «cas zéro», premier patient de la maladie qui inquiète le reste du monde.
C'est pourtant l'OMS qui a désigné Foshan, après avoir patiemment remonté la piste de
l'épidémie comme on mène une enquête policière. Le premier «patient index» répertorié a été un
homme d'affaires américain d'origine chinoise, soigné à l'hôpital franco vietnamien de Hanoï
avant d'aller mourir à Hongkong le 13 mars. L'homme qui a identifié la nature atypique du virus et
sonné l'alarme, le médecin italien Carlo Urbani, est mort cette semaine à Bangkok. L'homme
d'affaires sino-américain a conduit les enquêteurs jusqu'à l'hôtel Métropole de Hongkong où il
était descendu avant de se rendre à Hanoi. Ils ont constaté que plusieurs autres porteurs du virus
y avaient séjourné en même temps que lui en février. Et ils ont découvert le maillon précédent de
la chaîne de contamination: le professeur Liu Jianlun, un médecin de Canton âgé de 64 ans, venu
à Hongkong pour assister à un mariage.
Difficile à croire, mais, selon les experts, c'est en éternuant et en toussant de manière répétée en
attendant l'ascenseur sur le palier du neuvième étage de l'hôtel que le Dr Liu a contaminé
l'homme d'affaires qui a amené le virus à Hanoi, mais aussi deux visiteurs canadiens, l'un de
Toronto où il contaminera sa famille et décédera le 5 mars, l'autre de Vancouver où il
contaminera le personnel d'un hôpital. Face à cet ascenseur fatal, se trouvaient également trois
touristes de Singapour qui, une fois rentrés chez eux, passeront le virus à 17 personnes, et un
Hongkongais qui, admis à l'hôpital Prince de Galles de Hongkong, contaminera 70 membres du
personnel hospitalier et 17 étudiants en médecine.
Ce médecin cantonais savait de quoi il souffrait: à son arrivée à l'hôpital Kwong Wah de
Hongkong, il prévient les infirmières: «ne me touchez pas, je me suis occupé de malades d'un
virus très puissant». Il est placé en isolement jusqu'à sa mort, et cette mise en garde a évité à cet
hôpital la même hécatombe qu'au Prince de Galles. Elle a permis aussi de découvrir l'ampleur de
ce qui s'était passé à Canton, et que les autorités chinoises avaient minimisé.
Le Dr Liu était un spécialiste des maladies respiratoires à l'hôpital Sun Yat Sen de Canton, un
grand établissement qui tient son nom du fondateur de la République en Chine, qui y fut luimême étudiant en médecine à la fin du XIXe siècle. Il s'est donc trouvé en première ligne dans la
lutte contre l'épidémie qui sévit, on le sait maintenant, depuis le mois de novembre.
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HISTORIQUE : la Grippe Espagnole
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INVENTAIRE : la vaccination
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INVENTAIRE : la vaccination
Les taux de vaccination antigrippale sont toujours suboptimaux parmi les travailleurs de la santé hospitaliers
Les résultats d'une enquête publiés dans le numéro du 1er janvier de Clinical Infectious Diseases révèlent que la plupart des hôpitaux ne
respectent pas les récentes recommandations destinées à augmenter le nombre de travailleurs de la santé vaccinés contre la grippe.
"La vaccination antigrippale des travailleurs de la santé est recommandée par les CDC depuis des décennies, et pourtant, les taux de vaccination
restent inacceptablement bas", a déclaré à Reuters Health le Dr Philip M. Polgreen, du Collège de Médecine Carver de l'Université d'Iowa et du
Collège de Santé Publique d'Iowa City. "Les hôpitaux n'ont pas totalement appliqué les recommandations du HICPAC/APIC destinées à améliorer
les taux de vaccination parmi les travailleurs de la santé."
Le Dr Polgreen et ses collègues ont comparé les pratiques hospitalières actuelles à ces recommandations et ont cherché à identifier les éléments
importants des programmes de vaccination antigrippale efficaces.
Seuls trois des 418 consultants en maladies infectieuses qui ont répondu à l'enquête ont indiqué que toutes les recommandations étaient appliquées
par leurs institutions, rapportent les auteurs, mais deux consultants seulement ont déclaré que leurs institutions n'avaient mis en œuvre aucune des
recommandations.
La plupart des institutions ont fourni le vaccin gratuitement à tous les travailleurs de la santé et la plupart l'ont proposé dans des endroits appropriés,
mais peu ont fourni le vaccin lors de réunions de personnel et/ou à des consultations en dehors des heures de travail.
Le rapport indique que les recommandations les moins mises en œuvre sont la demande de déclarations de refus signées par les personnes
refusant la vaccination et l'exercice d'une surveillance active pour la grippe contractée dans le cadre des soins de santé.
Parmi les institutions qui ont rapportés leurs taux, 62% n'ont pas vacciné plus de 60% de leurs travailleurs de la santé et 10% seulement
ont fait état de taux supérieurs à 80%.
Dans un modèle de régression logistique multinomial, les éléments du programme qui se sont avérés les plus significatifs pour les taux de
vaccination ont été le fait d'offrir le vaccin gratuitement, de fournir le personnel et les ressources appropriés pour le programme de vaccination
antigrippale et l'éducation de groupes ciblés de travailleurs de la santé.
Il y a eu une association positive significative entre les taux de vaccination et le niveau de compliance vis-à-vis des recommandations, déclarent les
investigateurs.
Selon le Dr Polgreen, "la vaccination antigrippale des travailleurs de la santé sera de plus en plus considérée comme une question de
sécurité pour les patients."
"Ultérieurement", a-t-il ajouté, "nous avons étudié et nous continuerons à étudier l'efficacité des déclarations de refus pour augmenter les taux de
vaccination antigrippale."
Par Will Boggs, MD NEW YORK (Reuters Health) Gilbert Bejjani, 17/01/2008 - 12h26. Source : Clin Infect Dis 2008;46:14-19
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INVENTAIRE : vaccination
400
350
300
250
200
150
100
50
0
3000
2500
2000
1500
nbr
d'absent
s CHC
nbr de cas de grippe confirmés
Evolution du nom bre de cas de grippe confirm és par les Hop.univ. et le Centre national de la grippe
vs évolution de l'absentéism e au CHC
1000
500
0
oct-07
nov-07
déc-07
janv-08
févr-08
mars-08
avr-08
Mois
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mai-08
cas de grippe confirmés*
nbr absents au CHC
INVENTAIRE : vaccination
Taux de
couverture
globale 2007
(%)
Taux de
couverture
globale 2008
(%)
Taux de
couverture
personnel infirmier
2007 (%)
Taux de
couverture
personnel infirmier
2008 (%)
Saint Joseph
22.5
25.5
14.3
20.1
Espérance
25.4
26.5
26.9
25.2
Saint Vincent
28.7
27.4
20.5
21.6
Notre Dame Waremme
38.7
44.0
35.8
42.4
Notre Dame Hermalle
33.9
35.0
45.7
52.8
Sainte Elisabeth
19.9
17.8
20.8
19.0
CHC - 6 sites
26.0
27.4
23.5
26
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INVENTAIRE : vaccination
Les motifs devaccination du personnel vacciné
du CHC en 2007
Pour me protéger
Pour protéger mon entourage familial
Je crois à l'efficacité du vaccin
Pour protéger les malades hospitalisés
Parce que c'était organisé par l'employeur
Je fais partie d'une population à risque
Parce que c'est gratuit
Pour protéger mes collègues de travail
Je me vaccine souvent
0%
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10%
20%
30%
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40%
50%
60%
70%
80%
90%
INVENTAIRE : vaccination
Les raisons invoquées de non-vaccination du personnel non vacciné
du CHC en 2007
Je ne l'ai jamais f ait
Par craint e des ef f et s secondaires
Je dout e quant à l'ef f icacit é du vaccin
Je ne me considére pas concerné(e)
Par manque de t emps
J'ai oublié
Le seul int érêt est pour l'employeur
Je préf ère un vaccin par voie orale
C'est cont raignant
0%
10%
20%
30%
40%
50%
% des réponses
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60%
70%
80%
INVENTAIRE : vaccination
Influence à la vaccination antigrippale CHC 2007
Médecin du Service
Infirmière chef
Responsable hiérarchique
Collègue du Service
Médecin du travail
Autre
La campagne CHC de sensibiiisation
0%
10%
20%
30%
% des réponses
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40%
50%
60%
INVENTAIRE : vaccination
Canaux de sensibilisation et d'inform ation à la VAG
Les autocollants
Intranet
canaux
les réunions de service ou autres réunions
Infosite
Autre
Le courrier individuel
Le joumal de paie
les affiches
0%
5%
10%
15%
20%
%réponses
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25%
30%
35%
INVENTAIRE : les respirateurs
Les Cliniques Saint-Joseph
DESCRIPTION
750 lits
ES
HE
SJ
WA
Total
RESPIRATEUR ANESTHESIE
9
4
22
4
48
RESPIRATEUR INTENSIF
14
9
17
7
54
RESPIRATEUR NEONATAL
2
RESPIRATEUR TRANSPORT
6
2
7
4
24
Total
31
15
48
15
132
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2
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6
INVENTAIRE : masques
CHC 1000 lits
Belgique
Conso hebdo.
stock circulant
semaines
stock stratégique
jours
Masques FFP2
171
1250
7
2790
4
6.000.000
Masques Chirurgicaux
2130
9900
5
2100
?
32.000.000
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INVENTAIRE : hospitalisation
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INVENTAIRE : modèles mathématiques & hospitalisation
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INVENTAIRE : modèles mathématiques & hospitalisation
Modèle de calcul: scénario optimiste et scénario pessimiste
1.400.000
350.000
SYMPTOMATIC INFECTIONS
SYMPTOMATIC INFECTIONS
ASYMPTOMATIC INFECTIONS
ASYMPTOMATIC INFECTIONS
1.200.000
NOVEL PATIENTS
250.000
Number of individuals
Number of individuals
300.000
200.000
150.000
100.000
NOVEL PATIENTS
1.000.000
800.000
600.000
400.000
200.000
50.000
0
0
0
30
60
90
120
150
180
210
240
0
30
60
90
120
150
180
210
Ces modèles de calcul ne constituent pas des prévisions, mais plutôt des
moyens pour l’autorité, les systèmes de soins de santé, les organisations
et les entreprises, de se préparer au mieux à une éventuelle pandémie,
sur laquelle on ne dispose que peu d’informations: Quand? Combien de
temps? Quelle morbidité? Quelle mortalité? …
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240
INVENTAIRE : organisation générale
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INVENTAIRE : antiviraux
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INVENTAIRE : hôpitaux de référence
-6 hôpitaux en plus de Saint-Pierre
-Objectifs :
début
* assurer la prise en charge des grippés pré-pandémie et le
de la phase 6 : minimum 12 patients
* centre d’expertise & de formation régionale
- Normes :
* RH :
- interniste/pédiatre/HH/
- 30% de personnel, psychosocial, formation,
vaccination,
* architecturales :
- admissions urgentes (sas,tri,circuit,..)
- cohorting
- USI, pression négative
* plan de communication
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INVENTAIRE : la 1ère ligne et l’extra-hospitalier
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INVENTAIRE : questionnement éthique
- Flu Party
- France : avis n° 106 du Comité Consultatif National pour les Sciences
de la Vie et de la Santé
•
•
•
•
•
•
Instruments légaux : état de siège, circonstances exceptionnelles,
Principe de justice : l’égalité pondérée par l’équité,
Principe d’autonomie et exigence de solidarité : être autonome, c’est
être libre avec les autres et non pas contre eux, mais la solidarité
consiste à permettre au plus grand nombre de personnes d’exercer
leur autonomie,
Priorité d’allocation des ressources, cfr gestion liste greffes
Faudra-t-il préserver le plus de vies ou le plus de jours de vie
L’équité s’exercera à travers un jeu de pondération entre les critères
d’espérance de vie, la recherche de l’efficacité et le degré d’urgence.
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INVENTAIRE : la vaccination
29 Mai 2009
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Un Sud-africain meurt d'un virus mystérieux à Rio
de Janeiro
•
RIO DE JANEIRO 03/12 (AFP) - Un homme d'affaires sud-africain de 53 ans est
décédé mardi à Rio de Janeiro, victime d'une fièvre hémorragique provoquée
par un virus hautement contagieux et encore non identifié.
Selon un communiqué du ministère de la Santé, des échantillons de sang ont été
envoyés pour analyse à la Fondation Oswaldo Cruz (Fiocruz) de Rio, suivant les
procédures de sécurité maximum, et le résultat devrait être connu d'ici deux ou trois
jours. Interrogé par l'AFP, le ministère a indiqué qu'il diffuserait "d'autres informations
au cours de la journée".
L'homme d'affaires sud-africain était arrivé au Brésil le 23 novembre pour donner des
conférences et il a été hospitalisé samedi dernier "avec une forte fièvre, des
vomissements et des éruptions cutanées", selon le ministère.
"Une évaluation préliminaire montre que ce n'est pas la dengue, ni le paludisme ou le
virus Ebola. D'autres hypothèses comme la leptospirose, l'hantavirus ou l'hépatite
feront l'objet de recherches".
La plus grande probabilité est qu'il s'agisse d'un "arénavirus" en raison du type de
virus, de l'origine du patient et des symptômes présentés, selon les autorités./.CHN
./. 03/12/2008 - 16h52. Source : Belga
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Virus mystérieux au Brésil: "peu probable" que ce
soit celui de Johannesburg
•
JOHANNESBURG 04/12 (AFP) - Des experts sud-africains ont estimé jeudi "peu probable"
que le mystérieux virus qui a tué la semaine dernière un Sud-Africain au Brésil soit le
même que celui ayant fait quatre morts à Johannesburg.
"Il n'a eu aucun contact avec les patients (en Afrique du Sud) qui ont contracté cette infection liée
à un arénavirus", a indiqué dans un communiqué Lucille Blumberg, directrice adjointe de l'Institut
national sud-africain pour les maladies contagieuses.
Elle a également souligné que la période d'incubation, qui est de moins de 21 jours, était
dépassée. Des tests vont être effectués à Atlanta (Etats-Unis) pour déterminer le type de virus qui
a tué mardi cet homme d'affaires sud-africain de 53 ans à Rio de Janeiro, a précisé Mme
Blumberg.
Il était arrivé au Brésil le 23 novembre pour donner des conférences, avant d'être hospitalisé
samedi dernier avec de la fièvre, des vomissements et des éruptions cutanées.
Quinze jours avant ce voyage, il avait été admis dans un hôpital de Johannesburg, où sont
décédées une guide expatriée en Zambie, l'aide-soignante qui l'accompagnait, une infirmière et
une femme de ménage.
Les autorités sanitaires ont découvert qu'elles sont mortes d'un nouveau arénavirus, qui n'a pas
encore de nom.
L'homme d'affaires sud-africain a également été victime d'une fièvre hémorragique foudroyante.
En raison du type de virus, de l'origine du patient et des symptômes présentés, les médecins
brésiliens supposent qu'il s'agit également d'un arénavirus, porté par des rats et souris, à l'origine
de plusieurs fièvres hémorragiques foudroyantes./.DGO.
29 Mai 2009
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•
Découverte d'une souche du virus du Nil occidental en Autriche
•
VIENNE 13/02 (AFP) - Une souche du virus du Nil occidental, qui peut entraîner la mort
chez l'homme, a été découverte l'année dernière pour la première fois en Autriche sur des
oiseaux, a indiqué un virologue de la faculté vétérinaire de Vienne Norbert Nowotny
vendredi.
"Le virus du Nil occidental s'est établi depuis longtemps en Europe. En Autriche nous ne l'avions
jamais eu", a déclaré M. Nowotny à l'agence autrichienne APA dans le cadre d'une conférence
internationale sur les maladies émergentes IMED à Vienne.
Le virus du Nil occidental (West Nile virus en Anglais) porte le nom de la province ougandaise où
il a été isolé pour la première fois en 1937. Il est transporté par les oiseaux migrateurs. Les
hommes et les chevaux sont essentiellement contaminés par les moustiques infectés.
Dans la plupart des cas, l'infection est bénigne chez l'homme. Mais elle peut entraîner des
encéphalites, se manifestant par des tremblements et de fortes fièvres suivies, dans les cas les
plus graves, d'un coma et de la mort.
"Depuis 2004, une souche est présente en Hongrie. Il y a eu là-bas environ 20 personnes
infectées, mais pas de décès", a expliqué le virologue.
Une autre souche du virus a causé la mort de plusieurs centaines de personnes aux Etats-Unis
depuis 1999.
•
En août dernier, des chercheurs américains ont annoncé avoir identifié plusieurs centaines de
protéines impliquées dans le développement du virus, laissant entrevoir des possibilités de le
combattre. ./.MPK.
13/02/2009 - 19h00.
Source : Belga
29 Mai 2009
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