A la découverte des différentes situations de handicap et des troubles des apprentissages V. Chiaramonti – professeur d’economie gestion – SEP de Villepatour Qu’est ce que le handicap moteur ? Le handicap moteur : ► Le handicap moteur résulte d’une altération de la motricité. Celle-ci peut se traduire par la difficulté ou l’impossibilité de maintenir une posture et de produire des mouvements volontaires, automatiques ou réflexes, comme se déplacer, saisir ou manipuler des objets. ► Mais cette altération peut également se manifester dans des domaines ou la motricité est moins évidente, tels que parler, qui nécessite des mouvements précis des cordes vocales, du larynx, de la glotte… ; ou regarder qui implique des mouvements des yeux. Qu’est ce qu’une déficience motrice ? ► « Une déficience motrice est une atteinte de la motricité, c’est-à-dire de la capacité du corps ou d’une partie du corps à se mouvoir ou à se maintenir dans une position donnée de façon ordinaire, quels que soient le but et la fonction du mouvement produit ou du positionnement obtenu : ► déplacement (locomotion, transferts, …) ; ► fonction posturale (se tenir debout, assis…) ; ► action sur le monde extérieur (préhension, manipulation d’objet,…) ; ► communication (parole, gestes et mimiques, écriture…) ; ► alimentation (mastication, déglutition…) ; ► perception du monde extérieur (mouvement des yeux, de la tête…) ; ► mouvement réflexe (exemple : retrait de la main qui touche un objet brûlant) ; motricité automatique (sphincter, muscles de la paroi intestinale…). » « Déficiences motrices et situations de handicap », APF, 2002, P113, Dr Michel DELCEY, Conseiller médical, APF. Exemples de déficiences motrices par lésions cérébrales Les lésions cérébrales précoces: les Infirmités Motrices Cérébrales (I.M.C.); ► Les traumatismes crâniens; ► Les accidents vasculaires cérébraux (A.V.C.) : hémorragie cérébrale ou rupture d’anévrisme (dilatation localisée d’une artère), artères bouchées par des plaques d’athérome : lésion de la tunique interne des artères, constituée par des dépôts lipidiques (Cholestérol) ; ► Les tumeurs cérébrales ; ► Les malformations cérébrales (hydrocéphalies…) ; ► Les autres encéphalopathies (la Sclérose en plaques, les Leucodystrophies, la méningo-encéphalite, les encéphalites métaboliques ou dégénératives : maladie de Parkinson et encéphalopathies d’origine indéterminée…) ► Le syndrome de Gilles de la Tourette ► La maladie de Gilles de la Tourette, parfois aussi appelée improprement « syndrome de la Tourette », est une affection neurologique qui se traduit par diverses manifestations, associées à des degrés variables: ► troubles obsessionnels-compulsifs (TOC) ; ► tics verbaux et sonores : la coprolalie, symptôme touchant entre 10 et 15 % des cas recensés. ► l'écholalie, plus fréquente ; tics moteurs (spasmes musculaires) affectant le cou, les membres supérieurs, le tronc et aussi, dans plusieurs cas, le visage avec grimaces et crispations incontrôlées. ► Généralement, la maladie de Gilles de la Tourette est diagnostiquée vers l'âge de 16 ans, alors que ses premières manifestations apparaissent en général entre 3 et 8 ans, et on lui connaît une prédominance masculine (4 garçons pour 1 fille). ► On doit sa description, en 1886, au neuropsychiatre français Gilles de la Tourette. Tics moteurs ► ► ► ► ► ► ► ► Secouer la tête de façon saccadée Cligner des yeux, parfois faire des clins d'œil Claquer de la langue ou faire des sons avec ses lèvres Grimacer Soupirer de façon excessive Racler de la gorge ou renifler Tousser Se mordiller les lèvres Tics sonores Faire des bruits agressifs pour qui se trouve à proximité, par exemple : Pousser des petits bruits aigus ou graves ► Imiter des sons comme on peut entendre dans son environnement: imiter un chien qui jappe, un klaxon de train ou de voiture, etc. ► Tics verbaux ► Dire des phrases ou des mots choquants qui peuvent faire passer la personne atteinte pour une effrontée ; il faut comprendre que la personne atteinte n'a absolument pas l'intention de dire de telles insultes, et c'est quand la personne a le plus peur d'offenser l'autre que ce genre de tic devient plus fort. ► Jurer à répétition sans raison ► Dire des obscénités ► Proférer des menaces Conseils pour la gestion de classe signaler que les bruits sont faits de manière involontaire. ne pas réagir avec colère ou ennui. L’élève affecté par le syndrome et qui est réprimandé à cause de ses symptômes, commence à avoir peur de l’école et devient hostile vis-àvis de l’autorité scolaire. De plus, vous aurez montré la façon de réagir aux tics aux autres élèves de la classe: si l’enseignant ne se montre pas tolérant, d’autres dans la classe se sentiront libres de ridiculiser l’adolescent atteint du S.G.T. Vous êtes des modèles pour vos élèves ► Parlez avec la classe, en l’absence de l’élève pour leur faire comprendre le problème des tics, ce qui fera diminuer les moqueries. ► Permettez à l’élève S.G.T. de passer ses contrôles dans un endroit isolé, de manière à ce qu’il ne perde pas son temps à supprimer ses tics dans la classe. ► Laissez l’opportunité à l’élève d’avoir une pièce privée – telle qu’une pièce réservée aux soins de santé par exemple – peut être un endroit pour l’enfant S.G.T. où il pourra «faire exploser ses tics. Un certain temps passé dans un endroit reposant les aidera certainement à revenir en classe beaucoup plus calmes. Ce court laps de temps permettra à l’élève de retrouver la capacité de se concentrer sur son travail scolaire, parce qu’il n’aura plus à utiliser son énergie pour supprimer les tics L’écriture ► Privilégiez l’oral à l’écrit ► Permettez à l’un des parents ou à une tierce personne d’écrire le travail. Cela peut l’aider à se concentrer sur ce qu’il a appris et non sur la quantité de travail écrit produit. Désignez un «partenaire» qui pourrait utiliser du papier carbone pour faire une copie des notes et travaux. Ce «partenaire» scolaire doit être un élève de confiance qui peut être appelé pour s’assurer de la justesse des tâches. Ceci est à faire discrètement de façon que l’élève ne se sente pas «particulier» ou «différent». ► Chaque fois que cela est possible, accordez autant de temps que nécessaire pour les contrôles. Les problèmes de langage généraux et relatifs au syndrome ► Quand cela est possible, donnez des directives à la fois orales et écrites. ► Donnez les instructions pas à pas. Quand cela est possible, demander à l’élève de répéter les instructions. Ensuite, faites-lui compléter un ou deux points puis regardez si cela a été fait correctement. ► Si vous remarquez que l’élève marmonne lorsqu’il travaille, essayez de lui trouver une place où il ne distraira pas les autres. ► Quelquefois, le fait de répéter calmement les instruction ou informations peut aider l’élève. FAVORISER LA CONCENTRATION ► Mettez l’élève en face de l’enseignant pour les instructions, afin de minimiser la distraction visuelle. Essayez de ne pas faire asseoir un enfant tout près de la porte, d’une fenêtre ou de toute autre source de distraction. ► Proposez à l’élève un endroit calme pour étudier. Il peut s’agir d’un coin dans le CDI, dans la salle de soins…Ce lieu ne doit pas être considéré comme une punition, mais comme un endroit où l’enfant peut se relaxer afin de retrouver ses possibilités de concentration. ► Changez fréquemment de tâche à exécuter. ► Les élèves S.G.T. ne doivent pas recevoir deux ou trois feuilles de travail à la fois. De petites tâches – avec de fréquentes vérifications – sont beaucoup plus productives. Exemples de déficiences motrices par lésions médullaires et neuromusculaires ► Les blessés médullaires: ► - la paraplégie : atteinte des membres inférieurs, ► - la tétraplégie : atteinte des 4 membres. ► Le Spina-Bifida avec paralysie des sphincters de l’anus et de la vessie ► La poliomyélite ► Les amyotrophies spinales ► Les neuropathies ► Les myopathies ► Si la moelle est complètement détruite, elle interrompt totalement le trajet de l’influx nerveux du cerveau aux muscles. Conseils pour élèves myopathes Besoins en terme d’aménagements matériels : Un ordinateur pour travailler, d’une table réglable. Leur geste graphique est parfois difficile. Il leur faut des objets scripteurs, pour faciliter la ltâche de production écrite. Ils utilisent un clavier virtuel, travaillent sur le logiciel Cahiécran. ► Les élèves sont parfois très fatigables et il est primordial d’alléger la tâche, de façon à ce que leur énergie puisse être mobilisée dans le travail d’élaboration. ► Proposer de travailler sur un fichier word avec des questions et des réponses possibles, déjà écrites. Pour chaque question, l'élève a juste à cocher la réponse qui lui semble bonne, il n’a pas à écrire. ► Ils ont aussi des troubles de la mémoire liés à leur pathologie. A chaque fois qu’on aborde de nouveaux apprentissages en maths, en français, il faut tenir compte des difficultés mnésiques : on est amené à reprendre des apprentissages antérieurs, en les répétant. ► Comme ils n’ont pas trop la possibilité de manipuler, d’écrire les leçons, alors il faut faire régulièrement des rappels. Comment consolider des acquis ? ► Les troubles de la mémoire nécessite des répétitions nombreuses des nouveaux concepts, ► Travailler les notions de façons différentes et trouver un maximum d’activités, varier les supports, ► Ne pas appauvrir les contenus mais parcelliser les savoirs à transmettre, ► NE PAS ÊTRE exigeant MAIS PATIENT , ► Etre ingénieux, créatif, mobiliser les élèves sur des tâches qui vont les intéresser sur lesquelles ils sont des choses à penser, à partager. Exemples de déficiences motrices par lésions ostéo-articulaires Elles peuvent relever : ► d’une malformation (absence ou anomalie d’un membre, malformation d’une articulation, pied Bot); ► d’un trouble de la formation de l’os; ► de lésions inflammatoires, infectieuses et/ou rhumatismales (polyarthrite rhumatoïde); ► de déviations rachidiennes (scolioses); ► d’accidents entraînant une amputation; ► d’hémorragies intra-articulaires chez les hémophiles…. Ces déficits moteurs parfois sévères et douloureux n’entraînent pas de séquelles neurologiques. La dyspraxie Définition: anomalies de la planification et de l’automatisation des gestes volontaires. Trouble comportemental qui se traduit chez l’enfant par des difficultés d’acquisition des praxies au même rythme que les autres malgré : - Conditions d’apprentissage normales - Motivation - Absence d’une atteinte neurologique ou musculaire qui empêcherait la réalisation d’actes moteurs - Niveau intellectuel en rapport avec son âge. Un enfant dyspraxique se remarque par sa lenteur, par sa fatigabilité, par sa capacité à dénoncer lui-même l’échec de ses réalisations. Un élève dyspraxique va avoir du mal à mémoriser son emploi du temps et à s’orienter dans l’établissement, ce qui va entraîner souvent des retards en cours. Conseils : - Parcelliser les tâches à accomplir, - Eviter pour lui les schémas et les tableaux à remplir à double entrée, - Utiliser des couleurs pour les verbes d’actions et pour les documents à étudier, - Limiter la prise de note et donnez lui les fichiers ou des photocopies de votre séance. - Valoriser votre élève, - Un élève dyspraxique a souvent de grandes difficultés en mathématiques et en raisonnement logique. ► Il faut trouver des outils de suppléance pour contourner les difficultés praxiques en particulier dans le graphisme, comme l’apprentissage de l’ordinateur pour l’écriture qui est souvent très difficile. ► Des logiciels existent pour palier la déficience et aider l’élève (ex : Dragon speaking). ► Il est important de travailler avec lui au maximum le verbal. Les troubles d’apprentissage La dyslexie trouble de la lecture ► ► ► La dyslexie est un trouble de l'apprentissage de la lecture, liée à une difficulté particulière à identifier les lettres, les syllabes ou les mots qui se manifeste en l'absence de tout déficit visuel, auditif ou intellectuel et malgré une scolarisation normale. La dyslexie entraîne souvent des difficultés dans l'écriture (dysgraphie). On parle parfois de dyslexie acquise (ou alexie) pour caractériser les déficits de lecture qui apparaissent à la suite d'une lésion cérébrale. La dyslexie a été reconnue comme un trouble du développement des acquisitions scolaires par l'Organisation mondiale de la santé en 1991 qui estime qu'elle touche de 8 à 12 % de la population. Son diagnostic est établi au moyen d'un bilan pluridisciplinaire mené par un professionnel médical ou para-médical qui permet d'éliminer d'autres causes. ► Voici quelques conseils à suivre : Parler doucement et clairement. Donner un plan de cours en début de session et des fiches avec les points principaux. ► Écrire au tableau les orthographes difficiles et les nouveaux mots. ► Corriger les devoirs plus pour le contenu que pour l'orthographe et la grammaire, sans oublier que certains mots/noms doivent être correctement orthographiés. ► donner une copie des notes de cours ou des transparents utilisés. ► Des re c h e rc h e s m o n t ré que points un e n t re interligne p a ra g ra p h e s , p a ra m è t re Wo rd le chaque espaces ré c e n t e s , fa i t et chaque fa c i l i t e ava n c é 2010). d’espacer l e tt re double et Canadiennes, de mot, dans leur ont de 2,5 fa i re en t ro i s i n s é ra n t les l e c t u re espacement ( Po l i c e , sur Dysorthographie et dyscalculie trouble de l'orthographe et trouble arithmétique ► La dysorthographie est un trouble d'apprentissage caractérisé par un défaut d'assimilation important et durable des règles orthographiques (altération de l'écriture spontanée ou de l'écriture sous dictée). Celui-ci perturbe, dans des proportions variées, la conversion phono-graphique, l'application des conventions orthographiques (dites règles d'usage), et enfin l'orthographe grammaticale (marques flexionnelles que sont les accords et conjugaisons). Les problèmes découlant de la dysorthographie sont : ► Une lenteur d'exécution, des hésitations et une pauvreté des productions ; ► Des fautes d'orthographe, de conjugaison, de grammaire et d'analyse ; ► Des difficultés à l'écrit semblables à celles du dyslexique ; ► Des économies de syllabes, des omissions et des mots soudés. ► Ce trouble fait souvent suite à une dyslexie mais l'association n'est pas systématique. ► La Dyscalculie est un des troubles d’apprentissage, elle correspond à des difficultés d’apprentissage et de compréhension des mathématiques. Elle s’apparente à la dyslexie et peut aussi inclure la confusion dans la compréhension des symboles mathématiques. La dyscalculie peut parfois provenir de certains types de lésions cérébrales. ► La dyscalculie est un trouble d’apprentissage moins connu que la dyslexie ou la dyspraxie bien qu’assez semblable et parfois lié. On trouve des personnes dyscalculiques à tous les niveaux de QI. ► Ces personnes souffrent souvent, mais pas toujours, de difficultés pour manipuler des dates, des heures, des mesures et pour raisonner dans l’espace. Selon les estimations actuelles, la dyscalculie peut affecter entre 3 et 5% de la population. ► Une personne peut souffrir d’un côté de difficultés en calcul (ou de dyscalculie) et d’un autre côté n’avoir aucune déficience, et même avoir parfois du talent, pour le raisonnement mathématique. La dysphasie trouble de langage ► La dysphasie est un trouble central lié à la communication verbale. ► Elle peut cibler plus particulièrement l'expression (dysphasie expressive), compréhension (dysphasie de réception) ou les deux à la fois (dysphasie mixte). ► la Troubles de langage : ► Production verbale indistincte, discours peu structuré ► Manque de vocabulaire ► L’élève ne pose pas de questions et il est incapable d’exprimer des demandes spécifiques contrairement aux autres jeunes. ► Il comprend la signification de surface d’un discours ou d’un texte, mais il a de la difficulté à comprendre le sens profond, les concepts abstraits ou la distinction entre ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Troubles scolaires : ► En classe, il a de la difficulté à comprendre les consignes. ► Il présente des troubles d’apprentissage en lecture, en écriture ou en mathématiques. Troubles de la perception du temps : ► Il se détache difficilement du moment présent. ► Il s’adapte difficilement aux changements dans la routine. ► Il présente un déficit lié au vocabulaire relatif au temps. Conseils pour aider l’élève Aider l’élève à percevoir les consignes de travail : ► écrire les étapes du travail à faire, ► évoquer des verbes pour enrichir le vocabulaire, ► susciter des situations pour le faire parler, ► l’amener à illustrer son message, son raisonnement, sa démarche, ses élèves sont très visuels, ► reconstituer ses phrases. Des exemples d’adaptations générales Handicap moteur : Les adaptations sont variées car elles s’adressent à des élèves présentant des difficultés différentes : Une lenteur dans l’écriture : dans ce cas : ► ► ► ► ► privilégier l’usage des surligneurs, les QCM et les exercices à trous, ne faire noter que ce qui est réellement utile et à retenir et encore ! préparer des entêtes pour les évaluations, privilégier l’oral, utiliser l’ordinateur et la clé USB : réaliser les cours sur ordinateur, les installer sur l’ordinateur de l’élève via la clé USB, de manière à ce qu’il n’ait plus que les exercices à réaliser.… Une impossibilité d’écrire , dans ce cas utiliser : ► ► la pastille, le clavier visuel ou virtuel. Des difficultés de repérage dans le texte , dans ce cas : ► ► ► ► ► ► ► ► ► faire des lignes de couleur toutes les 5 lignes minimum (en évitant le jaune !), possibilité d’utiliser les caractères gras, le surlignage, aérer les documents en utilisant notamment l’interligne 1,5 voir 2 (cf. format, paragraphe), ne pas mettre trop de documents, mettre de la couleur sur les astérisques et les bas de page, tracer des lignes en pointillés sur les espaces blancs pour que l’élève sache où écrire et pour le guider dans l’écriture, utiliser un carton pour suivre les lignes lors de la lecture de document, fractionner l’écran de manière à avoir le texte et les questions juxtaposées, pour éviter de remonter à chaque fois, mettre les questions avant de lire le document : permet de repérer dans le texte avec un surligneur, les extraits ayant trait à chaque question ► L’illisibilité de l’écriture , dans ce cas : prévoir de la place sur document papier pour que l’élève puisse écrire, ► mettre des pointillés pour guider ou placer l’écriture ► privilégier l’ordinateur ! ► ► Des gestes imprécis et non coordonnés , dans ce cas : ► ► PC et oral pour le travail et les évaluations, ralentir la vitesse de la souris, (démarrer/accessoires/accessibilité) agrandir les icônes sur l’ordinateur pour faciliter le cliquage, utiliser les TICE : guide doigt, trackballs, joystick. ► ► Une difficulté à repérer les consignes de travail : ► ► ► souligner ou surligner les questions par de la couleur, réaliser des consignes de travail simples et précises, pointer les consignes de travail au fur et à mesure qu’elles sont réalisées. Des difficultés dans les praxies , dans ce cas : ► ► ► ► utiliser l’ordinateur et former au traitement de texte et à la gestion des dossiers privilégier les oraux, notamment au niveau des évaluations ne pas forcer à écrire, privilégier l’écoute aider aux rangements des documents ► Une difficulté dans la vision des petits caractères, dans ce cas : ► utiliser ► utiliser la taille de police 16, 18 ou plus, une police plus lisible pour l’élève souvent ARIAL, ► si ordinateur : agrandir la taille des icônes sur l’écran, la taille du curseur (Windows+U) ► utiliser le vidéo-projecteur : agrandir le document à 100%, ► surligner les documents à utiliser, les consignes de travail, ► jouer avec les contrastes sur les documents. Les parents peuvent vous aider également, poser leur vos questions et donner vos consignes pour le travail à la maison. Bon courage !