français

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Biologie
L’alimentation
Beijing, janvier 2010
Michel LAFONT
1
"Il faut manger pour vivre,
et non vivre pour manger".
Proverbe de Cicéron
Homme d’Etat romain et auteur (-106, -43)
"Une fois l’habitude établie, l’état de servitude
ne se perçoit même plus."
Platon
Philosophe grec ( - 428 – 346)
2
Vous allez découvrir trois images.
Regardez-les.
Vous devrez ensuite dire ce qu’elles vous inspirent.
3
4
5
6
Que vous inspirent-elles ?
Relevé des réponses.
D’autres documents vont suivre. Observez-les.
7
8
9
10
Une vidéo (publicité Coréenne de Mac Do) :
Restauration rapide : plus fort que Mac Do !
11
Ces documents nous portent-ils des informations ?
Quelles questions êtes-vous amenés à vous poser ?
Quelle thématique traitent-ils ?
Relevé des réponses.
12
Quelques réponses déjà relevées :
• Dans l’art, la représentation de la grosseur, de
l’embonpoint, a toujours existé.
• Les problèmes de surpoids, d’obésité.
• Les risques liés à ces surpoids.
• Les déséquilibres alimentaires.
• Des réflexions sur les causes des problèmes
précédents.
• L’impact de la publicité sur les pratiques
alimentaires.
•…
13
Quelles représentations vous faites-vous de la notion
de surpoids, d’obésité ?
Pour moi une personne est en état de surpoids quand…
Pour moi une personne est en état d’obésité quand…
Relevé des réponses.
14
Comment définit-on l'obésité ?
L'Organisation Mondiale de la Santé (World Health Organization) a défini
l'obésité en fonction de l'Indice de Masse Corporelle (BMI, Body Mass
Index).
L’IMC se calcule en divisant le poids (en kg) par la taille (en m) au carré.
Ainsi, une femme de 1,60 m pesant 55 kg a un IMC de 55 / (1,602) =
21,48.
L’OMS (WHO) a adopté la classification suivante :
Corpulence normale
IMC de 18,5 à 24,9
Surcharge pondérale ou
"embonpoint"
IMC de 25 à 29,9
Obésité modérée
IMC de 30 à 34,5
Obésité sévère
IMC de 35 à 39,9
Obésité très sévère
IMC supérieure à 40
Attention l’IMC ne fournit aucune indication concernant la proportion de
tissus gras.
15
Chacun peut calculer son Indice de Masse Corporelle
Modélisation, de façon individuelle, en utilisant, si nécessaire, une feuille de
calcul électronique.
16
A votre avis, quelles sont les causes de surpoids et
d’obésité ?
Relevé des réponses et classement.
17
Quelques réponses déjà relevées :
• la qualité de nourriture absorbée : apports alimentaires trop
riches en sucres et en lipides.
• la quantité de nourriture absorbée : quantités trop importantes
pour les besoins du corps
• les modalités des prises alimentaires : des rythmes
alimentaires déstructurés avec grignotage hors des repas,…
• la publicité prégnante pour les produits à haute valeur
calorique.
• l’ignorance des teneurs énergétiques des aliments courants.
• les facteurs sociaux : l’origine sociale, le niveau d’instruction, le
lieu d’habitation.
• les facteurs génétiques.
• les facteurs psychologiques : tendance dépressive, troubles du
comportement alimentaire.
18
Quelques réponses déjà relevées concernant plus
particulièrement les enfants :
• la publicité prégnante pour les produits à haute valeur
calorique.
• la sédentarité et le manque d’exercice physique (temps passé
devant des écrans, transport en automobile,…).
• l’ignorance, par les enfants, de leurs besoins physiologiques
réels.
• l’ignorance, par les élèves, de l’importance et des modalités
d’hydratation du corps humain.
• l’ignorance des normes physiologiques en termes de
croissance.
• le manque de prise de conscience des conséquences de la
surcharge pondérale.
19
• l’incapacité à préparer un repas équilibré.
Quelles sont à votre avis les solutions que l’on peut
porter pour lutter contre le surpoids ou l’obésité des
enfants ?
Relevé des réponses.
20
Quelques réponses déjà relevées :
• Veiller à la qualité de la nourriture absorbée : diminuer les
apports alimentaires trop riches en sucres et en lipides.
• Connaître ses propres besoins physiologiques en fonction des
activités menées.
• Veiller à la quantité de nourriture absorbée : adapter les
quantités aux besoins du corps.
• Respecter des modalités des prises alimentaires : des repas
réguliers, pas de grignotage hors repas, soigner les troubles du
comportement alimentaire pour les faire disparaître,…
• Lutter contre la sédentarité : augmenter la pratique d’exercices
physiques et diminuer le temps passé devant des écrans…
• Savoir interpréter et comprendre les messages publicitaires.
•…
21
Avant d’aborder la suite du travail, quelques remarques.
Nous avons fait le choix volontaire, dans l’ensemble de cette
séquence, de ne pas mettre les enfants en situation de devoir se
peser ou faire allusion à leur masse en classe, face au groupe.
Ils pourront, et il est recommandé qu’ils le fassent, à l’école ou à
l’extérieur de l’école, seuls ou avec l’aide d’un adulte
(enseignant, parents, médecin,…) accéder aux informations ou
aux outils permettant de déterminer leur masse et leur Indice de
Masse Corporelle.
La prise de conscience personnelle ne devrait pas être
l’occasion de mettre l’enfant, sûrement déjà fortement complexé,
en situation de culpabilité ou de faiblesse face à ses camarades.
22
D’autre part, il faut rappeler que l’ensemble du travail autour de
l’alimentation doit concerner tous les acteurs partenaires de
l’équipe enseignante :
- les responsables de la restauration scolaire.
- les parents des élèves.
- les éducateurs sportifs.
et plus éloignés de l’école :
- les industries agro alimentaires.
- les professionnels de la restauration.
- les législateurs…
L’enfant laissé seul ne parviendrait pas à résoudre ce défi.
23
Enfin, pour des raisons de facilité de comparaison avec les
produits commercialisés, tout au long de ce document, nous
utiliserons le terme de kilocalorie.
Bien que la calorie n'ait jamais fait partie du Système
International d’Unités elle reste, à ce jour, beaucoup employée
en diététique, et elle est souvent présente sur les emballages
alimentaires.
Cette « calorie » (symbole Cal), notamment employée par les
nutritionnistes, égale à la kilocalorie (symbole kcal), soit 1 000
calories ou 4 186 joules.
Nous dirons par exemple qu’un homme a environ besoin de
2500 kcal par jour, qu’un litre d’huile représente 8200 kcal et
une pomme 100 kcal.
24
Pour permettre aux élèves de bâtir les compétences dans ce
domaine, nous proposerons une série de 9 séances venant se
situer à la suite de cette première prise de contact.
Mais avant cela, essayons de retrouver l’ensemble des objectifs
à atteindre, en biologie, dans trois champs d’action :
• L’éducation à l’alimentation.
• L’éducation à la consommation raisonnée.
• L’éducation à l’hygiène.
Premier relevé des réponses.
25
Quelques réponses déjà relevées :
Education à l’alimentation :
• Connaître ses besoins énergétiques en fonction de son
activité.
• Adapter son alimentation (en qualité et en quantité) à ses
propres besoins.
• Identifier les problèmes liés au surpoids et à l’obésité.
• Introduire la notion d’alimentation diversifiée.
• Prendre conscience de la présence des graisses et des
sucres cachés dans les aliments.
• Sensibiliser à l’importance de manger des fruits et des
légumes.
• Identifier, nommer et goûter des fruits et légumes.
• Apprendre à s’hydrater correctement.
•…
26
Quelques réponses déjà relevées :
Education à la consommation raisonnée :
• Etre conscient de ses pratiques alimentaires.
• Limiter la consommation des matières grasses et de sucres.
• Identifier les utilisations directes* et indirectes** des sucres
et graisses.
• Savoir analyser une publicité alimentaire.
• Savoir retrouver les ingrédients d’un produit alimentaire
industriels.
•…
* Directes : quantités rajoutées par le consommateur en addition aux
aliments consommés.
** Indirectes : quantités utilisées par les industries alimentaires, la
restauration collective et les industries pharmaceutiques pour l’élaboration
d’aliments ou de médicaments.
27
Quelques réponses déjà relevées :
Education à l’hygiène :
• Identifier les différents repas d’une journée et leur
importance en termes d’apports nutritionnels.
• Sensibiliser à la notion de grignotage.
• Découvrir des recettes à base de fruits et légumes.
• Apprendre à cuisiner de manière équilibrée et diversifiée.
• Lutter contre les caries (consommer moins de sucres, se
laver les dents).
•…
28
D’autres disciplines peuvent être aussi concernées par cette
action :
A - En mathématique :
• Savoir lire un tableau de données.
• Savoir traiter des données, les placer en tableaux, les
présenter en courbes ou en histogrammes.
• Savoir utiliser des moyens de mesure de masse (peser
des aliments), de contenance (mesurer des volumes).
29
• Etudier la proportion des ingrédients présents dans des
aliments.
• Connaître sa propre masse et la situer dans une courbe de
croissance.
• Utiliser un tableur électronique.
•…
30
B - En maîtrise de la langue :
• Lecture.
• Production d’écrits.
• Pratique de l’oral.
31
C – Comportements, attitudes :
• Education à la consommation :
- Prendre conscience du rôle de la publicité alimentaire.
 Savoir lire un emballage, analyser ce qui tient de la
communication publicitaire de ce qui est
« information » alimentaire.
 Adapter son comportement de consommateur à
ses besoins nutritionnels.
• Accéder à la modération dans la consommation des graisses
et des sucres : la consommation des divers produits en vente
légale est possible, mais de façon modérée.
32
• Etre conscient de l’équilibre calorique (entrées et dépenses)
et privilégier l’activité physique. Deux types sont à distinguer :
- L’activité physique « visible » dans le cadre des
exercices physiques programmés volontairement.
- L’activité physique « cachée » à travers chacun des
gestes de la vie courante (monter les escaliers, porter une
charge, marcher, jardiner, faire le ménage, maintenir sa
posture…).
• Apprendre que se nourrir c’est aussi prendre conscience de
l’acte de manger, déguster les aliments et non pas les
«engloutir».
33
D- En histoire :
• Passage de la nomadisation à la sédentarisation (besoins et
pratiques alimentaires différentes).
• Apports de la mécanisation dans de nombreux domaines
(transports, construction, agriculture, industrie…) et donc
diminution du travail (en termes physiques) de l’homme.
34
E- En sciences dans d’autres domaines :
• Etudes des divers modes de conservation des aliments :
 cuisson, pasteurisation, conserve (appertisation),
 séchage, déshydratation, lyophilisation,
 fumage,
 froid, congélation,
 salaison (viandes, poissons, légumes, charcuteries…),
 confiture de fruits,
 utilisation d’alcool, de miel, de vinaigre, d'huile, de
saumure, de graisse…,
 utilisation d’additifs conservateurs.
…
 Travail sur la digestion (mastication, rôle de la salive…).
35
• Identification des ingrédients d’un produit :
• par évaporation (soda sucres),
• par association avec d’autres produits (émulsion mettant en
évidence les produits gras),
• par contact avec des matériaux (gras papier),
• par tentative de solubilité (huile/eau), par décantation.
• par l’utilisation de réactifs chimiques.
• par d’autres procédés bien plus élaborés si c’est possible
(chromatographie…).
•…
36
Proposition d’autres séances sur la thématique choisie.
Séances n°2 et n°3
Hypothèse retenue : la qualité de la nourriture absorbée est un facteur de
surpoids : sucrée, grasse, peu équilibrée, pauvre en fibres,…
Séances n°4 et n°5
Hypothèse retenue : la quantité de la nourriture absorbée est un facteur de
surpoids : quantités trop importantes pour les besoins du corps.
Séances n°6 et n°7
Hypothèses retenues :
• Connaître ses propres besoins physiologiques en fonction des activités
menées.
• Veiller à la quantité de nourriture absorbée : adapter les quantités aux
besoins du corps.
37
Séance n°8
Hypothèses retenues :
• Ignorance par les enfants de leurs besoins physiologiques réels.
• Non connaissance de la norme en termes de croissance.
• Pas de prise de conscience par les enfants des problèmes de surcharge
pondérale et de leurs conséquences.
Séance n°9
Hypothèses retenues :
• Ignorance par les enfants de leurs besoins physiologiques réels en eau.
• Ignorance par les enfants de l’importance et des modalités d’hydratation du
corps humain.
Séance n°10
Hypothèses retenues :
• Les enfants n’identifient et ne connaissent pas l’origine, la nature et la
fonction des principaux aliments.
• Les enfants ne savent pas (ou plus) préparer un repas (choix des
aliments,…).
38
Séances n°2 et n°3
Objectifs :
• Relever les pratiques alimentaires des élèves et leur en faire prendre
conscience.
• Identifier la nature des aliments consommés et le groupe auquel ils
appartiennent.
• Identifier si un aliment est naturel ou associé à d’autres, et dans le second
cas, reconnaître les ingrédients en utilisant divers procédés (lecture,
utilisation des sens,…).
• Prendre conscience de la difficulté de ce repérage au travers de l’étude de
quelques plats chinois ou français, de plats industriels...
• Prendre conscience des pratiques induites par la publicité alimentaire.
39
S2&3
Hypothèse retenue : la qualité de la nourriture absorbée est
un facteur de surpoids.
Vérification de l’hypothèse par une recherche des pratiques
alimentaires de chacun :
Situation n°1 : Activité de tri des aliments selon les goûts alimentaires de
chacun (j’aime / je n’aime pas).
Remarques :
A ce moment-là, les élèves ne sont pas censés connaître les groupes
alimentaires.
Au-delà d’un simple listage des aliments préférés ou consommés, il faut
amener les élèves vers une prise de conscience qu’ils ont tendance à
privilégier une alimentation type et à préférer, notamment, les produits
gras et sucrés.
Situation n°2 : Ecrire son menu préféré pour chacun des repas d’une journée.
40
S2&3
Exemple de relevé des réponses de chaque élève et classement dans un
tableau des aliments proposés. Comptabiliser les résultats pour la
classe dans un tableau identique et faire émerger par le calcul des totaux
les aliments les plus fréquents.
Relevés des pratiques alimentaires journalières pour la classe
Aliments
Lait chocolaté
Petit
déjeuner
Déjeuner
4
Collation
du goûter
Dîner
1
Total
5
Pâtes préparées
3
2
5
Beignets de poisson
1
1
2
Crème glacée
1
Fruit
5
1
4
2
2
Légumes vapeur
11
2
Thé sucré
1
1
2
Café sucré
2
1
3
Poulet, frites
6
2
8
Salade
4
2
6
Steak frites
5
4
9
Pizza
4
3
7
2
2
8
Produit lacté
4
0
41
Hypothèse retenue : la qualité de la nourriture absorbée est un facteur de
surpoids.
S2&3
Vérification de l’hypothèse par une recherche documentaire sur
la nature des aliments :
Situation n°3 : Identifier la nature des aliments en fonction de leur
appartenance à l’un des groupes nutritionnels.
Repérer s’ils sont consommés seuls (nature) ou cuisinés (accompagnés de
produits gras ou sucrés…).
42
S2&3
Opérer un premier classement en utilisant des outils tels que ceux-ci.
43
Situation n°4 : A quel groupe appartiennent les aliments suivants ?
Présentation des photographies suivantes.
S2&3
44
S2&3
Hypothèse retenue : la qualité de la nourriture absorbée est un facteur de
surpoids.
Vérification de l’hypothèse par expérimentations.
Situation n°5 : Pour les produits complexes (cuisinés, préparés), comment
peut-on identifier les ingrédients ?
Imaginons des protocoles.
Relevé des réponses et confrontation.
45
S2&3
Quelques réponses déjà relevées donnant lieu à des
expériences :
• en utilisant ses sens (la vue, le goût, l’odorat, le toucher).
• à la lecture des informations présentes :
- sur les étiquettes,
- dans la recette de cuisine recueillie ou observée.
• en comparant la tache laissée sur une feuille de papier par divers aliments
gras ou non (papier translucide ou pas).
• par évaporation (sodaeau + sucres).
• par association avec d’autres produits (émulsion mettant en évidence les
produits gras).
• par l’utilisation de réactifs chimiques : test de Molisch (présence de sucres).
• par refroidissement (solidification des matières grasses).
• par décantation et essai de solubilité (huile/eau),
• par d’autres procédés bien plus élaborés si c’est possible
(chromatographie…).
46
Hypothèse retenue : la qualité de la nourriture absorbée est un facteur de
surpoids.
S2&3
Vérification de l’hypothèse par des recherches documentaires ou
en faisant appel à un expert (cuisinier, diététicien, médecin
nutritionniste,…).
Les séance suivantes donneront lieu à l’identification des groupes
d’appartenance des aliments par :
• la lecture des ingrédients d’un produit,
• la recherche des recettes originales du produit élaboré,
• l’utilisation d’outils.
47
Situation n°6 : Peut-on dire à quels groupes appartiennent les plats
français suivants ?
Présentation des photographies suivantes.
S2&3
48
S2&3
Des aides à exploiter : les recettes de cuisine.
49
Situation n°7 : Peut-on dire à quels groupes appartiennent les plats
chinois suivants ?
Présentation des photographies suivantes.
S2&3
50
S2&3
Des aides à exploiter : les recettes de cuisine.
51
Situation n°8 : Chacun des repas de cette journée est-il équilibré ? Pour
le savoir retrouve le groupe au quel les aliments appartiennent et vérifie
que tous les groupes sont bien présents et de manière équilibrée ?
S2&3
52
Situation n°9 : Les repas de cette journée sont-ils équilibrés ? Pour le
savoir retrouve le groupe au quel ils appartiennent et vérifie que tous les
groupes sont bien présents et de manière équilibrée ?
S2&3
53
Hypothèse retenue : la qualité de la nourriture absorbée est un facteur de
surpoids.
S2&3
Vérification de l’hypothèse par une étude de publicités
alimentaires et une prise en compte de ces publicités.
• Savoir ce qu’est la publicité (nature et fonction) :
• sa nature : activité professionnelle qui a pour but d'accroître
la vente de produits ou services ;
• ses moyens d'action : écrits ou annonces.
• Lire les étiquettes des produits et savoir :
• Identifier les différents composants (y compris ceux que l’on
ne connaît pas : produits artificiels, additifs synthétiques…).
• Identifier les dates limites de vente et de consommation.
• Etablir la différence entre « l’information » publicitaire
(emballage, publicité du vendeur…) et les ingrédients réels
54
contenus dans les produits (ainsi que leurs proportions).
Situation n°10 : Est-ce que ce que l’on me présente m’informe
exactement sur ce que je vais consommer ?
Présentation de spots publicitaires (Campagne Mac Do, Pizza Hut).
Sur quels sentiments, émotions… les publicitaires s’appuient-ils ?
S2&3
55
Situation n°10 : Est-ce que ce que l’on me présente m’informe
exactement sur ce que je vais consommer ?
Présentation de spots publicitaires (Campagne Mac Do, Pizza Hut).
Sur quels sentiments, émotions… les publicitaires s’appuient-ils ?
S2&3
56
S2&3
Situation n°11 : Peut-on dire à quels groupes appartiennent les plats de
restauration rapide suivants ?
57
Séances n°2 et n°3
S2&3
Vers quelles conclusions :
Les aliments sont classés par groupes, qui ont des caractéristiques de
composition communes.
L’équilibre alimentaire ne peut être obtenu que par la consommation
équilibrée de tous les groupes de produits.
Nous devons apprendre à :
• trouver des aides au choix de consommation d’aliments.
• analyser les menus d’une journée et à les équilibrer si nécessaire.
• identifier les différents composants (y compris ceux que l’on ne connaît
pas : produits artificiels, additifs synthétiques…).
• rechercher dans un message publicitaire concernant des aliments
l’information qui m’intéresse.
• interdire les interdits : aucun aliment n’est mauvais en soi ; c’est
l’équilibre entre eux qui est source de santé et de bien être.
58
Séances n°4 et n°5
Objectifs :
• Identifier les volumes consommés dans les pratiques quotidiennes.
• Identifier les réactions de notre corps face à certaines dépenses
énergétiques, et en estimer les besoins alimentaires liés.
• Prendre conscience de la diversité des morphologies et respecter les
différences.
• Distinguer activité et inactivité physiques.
• Découvrir le lien entre activité physique et dépense énergétique.
59
S4&5
Hypothèses retenues : Sont facteurs de surpoids.
• la quantité de la nourriture absorbée.
• la sédentarité et le manque d’exercice physique (temps
passé devant des écrans, transport en automobile,…).
Vérification des hypothèses par un repérage des apports
caloriques dans les aliments consommés fréquemment.
Situation n°1 : Reprendre la liste de la séance n°2 concernant le relevé des
pratiques journalières.
Amener les élèves vers une prise de conscience qu’ils ont tendance à
privilégier une alimentation non diversifiée et à préférer, notamment, des
produits « riches » en graisses et en sucres.
Utiliser les outils d’identification des groupes. Première introduction possible
d’un document précisant les apports caloriques.
60
S4&5
Hypothèses retenues :
la quantité de la nourriture absorbée est un facteur de surpoids.
• la sédentarité et le manque d’exercice physique (temps passé devant des écrans,
transport en automobile,…).
Situation n°2 : Identifier les volumes consommés dans les pratiques
quotidiennes.
Les quantités seront tout d’abord formulées en unités liées aux
conditionnements ou à l’utilisation des produits.
Exemples :
• Verres pour les boissons.
• Morceaux pour le sucre.
• Tranches pour le pain.
• « Parts » pour les pizzas.
• Cônes ou bâtonnets pour les crèmes glacées
• Fruits à l’unité, …
Pour les élèves les plus avancées dans leur apprentissages en
mathématique, l’utilisation des unités de mesures s’imposera peu à peu et
permettra de prendre réellement conscience des quantités consommées.
61
Hypothèse retenue : la quantité de la nourriture absorbée est un facteur de
surpoids.
S4&5
Vérification de l’hypothèse par une recherche documentaire des
besoins caloriques.
Situation n°3 : À travers une série d’activités physiques menées en extérieur
(petite course, flexions, saut à la corde, etc.), les élèves observent que
l’activité physique s’accompagne de modifications dans le fonctionnement du
corps :
• on a chaud,
• la respiration s’accélère,
• le cœur bat plus vite,
• le visage rougit,
• on a soif,
• on transpire,
•…
62
S4&5
Par des observations, des mesures, ils établissent les différences
induites par l’activité physique.
Dans la cour, sur le stade, les élèves vont marcher ou courir pendant une
durée donnée puis mesurer le nombre de pas effectués. Ils reporteront
leurs relevés dans un tableau identique à celui-ci.
De fait, ils prendront conscience d’une part, que chacun réagit
différemment à l’effort, d’autre part qu’une progression sur plusieurs
séances est tout à fait possible.
63
S4&5
Séances n°4 et n°5
Vers quelles conclusions :
• L’équilibre alimentaire est nécessaire à une bonne alimentation.
• Les individus présentent une diversité de morphologie, dont il faut respecter
les différences.
• Distinguer activité et inactivité physiques.
• Découvrir le lien entre activité physique et dépenses énergétiques.
64
S6&7
Séances n°6 et 7
Objectifs :
• Identifier les dépenses énergétiques en fonction des activités menées.
• Identifier les apports énergétiques des aliments les plus fréquemment
consommés.
• Identifier les rations alimentaires nécessaires aux dépenses énergétiques.
• Connaître les conséquences liées à la consommation de trop d’apports
énergétiques.
65
S6&7
Hypothèses retenues :
• Connaître ses propres besoins physiologiques en fonction
des activités menées.
• Dépasser l’ignorance des teneurs énergétiques des
aliments courants.
• Veiller à la quantité* de nourriture absorbée : adapter les
quantités aux besoins du corps.
* Par quantité, il faut entendre volume ou masse et quantité énergétique.
66
Vérification des hypothèses par une première recherche des
dépenses énergétiques :
S6&7
Situation n°1 : À partir des tableaux de relevés de la séance précédente,
établir un classement des activités selon les dépenses énergétiques
estimées.
Prendre connaissance du document qui suit.
67
S6&7
68
Vérification des hypothèses par une première recherche des
dépenses énergétiques :
S6&7
Situation n°2 : Rechercher les besoins énergétiques (exprimés en
kilocalories) pour un enfant d’âge scolaire.
Présenter le tableau ci-dessous et le faire commenter.
69
S6&7
Vérification des hypothèses par une première approche des
apports énergétiques :
Situation n°3 : : A la recherche des calories. En utilisant un outil du type de
la feuille de calcul Aliments (feuille : Apports caloriques) et en reprenant le
tableau qui suit, retrouve pour chaque plat ou aliment consommé,
approximativement, le nombre de Kcal prises.
70
S6&7
Les réponses attendues ont été portées en vert. Les résultats des élèves
peuvent différer à quelques Kcal près, l’essentiel étant que l’ordre de
grandeur final soit proche de celui proposé (aux environs de 3900 Kcal).
71
S6&7
Vérification des hypothèses par une lecture de message
d’éducation sanitaire :
Situation n°4 : : Lire les deux messages vidéos suivants et en tirer des
conclusions concernant la présence cachée de sucre ou de graisse.
Relevé des réponses et confrontation.
72
S6&7
Vérification des hypothèses par une situation problème.
Prise en compte des données précédentes (dépenses et apports
énergétiques) : situation problème
Situation n°5 : : Imaginons la situation suivante.
Les scientifiques estiment qu’un enfant de 10 à 12 ans a besoin d’environ 2000
Kcal par jour pour une activité physique normale (20 minutes de marche pour
aller et revenir de l’école, jeux en récréation, 1 heure d’activités sportives
«douces »).
Dans le menu étudié dans le point précédent nous avons vu que, pour une
journée, cet enfant a ingéré environ 3 900 Kcal.
Cet apport en Kcal a-t-il été insuffisant, correct ou excessif pour satisfaire ses
besoins énergétiques quotidiens ?
Réponse attendue : l’apport calorique a été excessif de 1900 Kcal environ.
73
S6&7
Situation n°6 : : Suite à la situation problème :
En tenant compte du fait qu’un kg de graisse humaine emmagasine
approximativement 8000 Kcal, demandons-nous en combien de jours cet
enfant, à ce rythme-là, fabriquera-t-il un kg de graisse humaine ?
Réponse attendue : en un peu plus de 4 jours.
Quelle quantité de graisse aura-il fabriquée en une semaine (7 jours) ?
Réponse attendue : en une semaine il aura produit :
1900 X 7 = 13 300 Kcal
13 300 / 8000 = 1,6 kg de graisse environ.
Quelles sont les solutions pour cet enfant s’il ne veut pas produire autant
de graisse ?
Réponses attendues :
- réduire les apports énergétiques
- augmenter les dépenses énergétiques.
74
S6&7
Vérification des hypothèses par une situation problème
et une modélisation avec outil électronique.
Situation n°7 : pour répondre aux questions suivantes, l’élève pourra
utiliser le tableau présentant les dépenses énergétiques ou la feuille
de calcul (dépenses énergétiques).
Un enfant qui pèse 40 kg a pratiqué la semaine dernière
les activités suivantes :
• tennis : 1 heure
• vélo : 2 heures
• foot-ball (identique au basket-ball) : 2 heures
• marche (3 km/h) pour se rendre à l’école : 1 heure.
Quelles ont été ses dépenses énergétiques pour ces activités ainsi
pratiquées ?
Réponse attendue :
264 + (238 X 2) + 666 + 116 = 1 522 Kcal
75
S6&7
Suite de la situation n°8 : Quelles seront ses dépenses énergétiques
s’il pratique ces activités pendant toute une année ?
Réponse attendue :
1 522 X 52 = 79 144 Kcal
76
S6&7
Séances n°6 et n°7
Vers quelles conclusions :
• A une activité donnée correspond une dépense énergétique particulière.
• La plupart des aliments fournissent de l’énergie au corps, certains
beaucoup plus que d’autres.
• Les dépenses énergétiques quotidiennes nécessitent des apports
adaptés.
• Trop d’apports énergétiques génèrent des masses graisseuses. Il est
nécessaire de connaître la quantité à ne pas dépasser.
• Ne rien s’interdire de permis, mais savoir se limiter.
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S8
Séance n°8
Objectifs :
• Apprendre à suivre sa propre évolution corporelle en utilisant les outils mis
à notre disposition.
• Prendre conscience que le seul paramètre de la croissance sur lequel il
nous est possible d’agir est le poids.
• Connaître les normes de croissance (courbe optimale, limites minimales
ou maximales).
• Comprendre et savoir utiliser son carnet de santé.
• Savoir mettre en relation une valeur numérique et sa représentation
(courbe, graphique).
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S8
Hypothèses retenues :
• L’ignorance des normes physiologiques en termes de
croissance.
• L’ignorance par les enfants de leurs besoins physiologiques
réels.
• La méconnaissance de la notion de courbe de croissance.
• Manque de prise de conscience par les enfants des
problèmes de surcharge pondérale et de leurs conséquences.
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S8
Vérification des hypothèses par l’utilisation d’un outil.
Situation n°1 : : En apprenant à utiliser le carnet de santé.
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Se repérer dans les courbes de croissance et d’évolution de la corpulence.
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S8
S8
Vérification des hypothèses par une situation problème.
Situation n°2 : : En analysant une courbe de croissance tu peux tirer les
informations nécessaires à sa bonne utilisation. Voici comment la lire.
Zone « idéale » d’évolution
de la masse corporelle.
Evolution du poids de
Max (exprimé en kg).
Minimum et le maximum
à ne pas atteindre.
Age de Max : 8 ans et demi
et son poids : 35 kg environ.
Poids (en kg).
Age (en années).
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Max vient de remplir son carnet de santé. En analysant bien le contenu de
ce document tu dois pouvoir répondre aux questions suivantes :
Quel est l’âge de Max ?
A la naissance Max était-il un « gros » bébé ?
Max, à deux reprises, a atteint la masse maximale proche du surpoids. Quel
âge avait-il dans ces deux périodes ?
Aujourd’hui, quel est le poids de Max ?
Se situe-t-il dans la limite minimale, la zone idéale ou la limite minimale de
poids ?
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S8
S8
Séance n°8
Vers quelles conclusions :
• Savoir suivre sa propre évolution corporelle en utilisant les outils mis à
notre disposition c’est se donner les moyens de maîtriser notre croissance.
• Le seul paramètre de la croissance sur lequel il nous est possible d’agir
est le poids.
• Les normes de croissance proposent une courbe optimale et des limites
minimales ou maximales à ne pas atteindre.
• Le carnet de santé est un outil essentiel qui permet de mémoriser et de
constater les évolutions physiologiques.
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S9
Séance n°9
Objectifs :
• Apprendre à déterminer ses besoins en eau en fonction de ses propres
dépenses.
• Repérer dans les aliments consommés l’apport en eau correspondant.
• Savoir choisir parmi les boissons proposées celles qui hydratent le mieux
et au moindre apport calorique.
• Savoir que la soif est un mécanisme d’alerte, et non de régulation. C’est
un indicateur de mauvaise hydratation.
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S9
Hypothèses retenues :
• L’ignorance par les enfants de leurs besoins physiologiques
réels en eau.
• L’ignorance de l’importance et des modalités d’hydratation du
corps humain.
• Des choix de consommation de boissons répondant plus aux
envies qu’aux besoins.
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S9
Vérification des hypothèses par une recherche documentaire.
Situation n°1 : : Pourquoi avons-nous besoin d’eau ?
Relevé des réponses.
Utilisation de documents pour infirmer ou confirmer les propositions.
Avant sa naissance, l'homme passe par une phase
«aquatique» : il baigne dans le liquide amniotique.
Un embryon humain de 3 jours est formé de 97 %
d'eau, et un fœtus de six mois de 94 %.
L'eau représente 75 % du poids total d'un
nourrisson, mais chez un adulte, elle ne représente
plus que 65 %.
De la tête aux pieds, nous sommes en eau : notre
sang en contient 83%, notre squelette 22%, nos
muscles 76%, et notre cerveau 75%.
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S9
Vérification des hypothèses par une recherche documentaire et
l’utilisation d’un outil de calcul.
Situation n°2 : : Déterminons la quantité d’eau présente dans notre corps soit
par calcul, soit en utilisant une feuille électronique.
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Vérification des hypothèses par une recherche documentaire.
S9
Situation n°3 : : Comment l’eau quitte-t-elle notre corps ? A quelles occasions ?
Quelles en sont les conséquences ?
Relevé des réponses.
Utilisation de documents pour infirmer ou confirmer les propositions.
L'eau élément vital
Le corps humain élimine en permanence de l’eau. Un homme perd en moyenne
deux litres d'eau par jour :
• 0,5 litre par transpiration,
• 0,5 litre par respiration,
• 1 litre environ par les urines et les selles.
Pour compenser ces pertes, l'homme doit absorber en moyenne deux litres d'eau
par jour. Il les trouve dans les boissons et les aliments.
Quand la sensation de soif intervient c’est que la déshydratation a débuté :
S'il perd 2% de son eau, l'homme éprouve le besoin de boire.
S'il en perd 10%, il a des hallucinations et sa peau se rétracte.
S'il en perd 15%, il meurt.
Sans apport d’eau d’aucune sorte, il ne peut vivre plus de deux ou trois jours ; s’il
boit sans manger, il peut survivre environ quarante jours, à condition de ne fournir
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aucun effort.
S9
Vérification des hypothèses par une recherche documentaire.
Situation n°4 : : L’homme doit chaque jour subvenir à ses besoins en eau, en
buvant, et en mangeant. Comment renouveler l’eau de notre corps ? Citez
différents aliments qui selon vous sont des apports en eau.
Relevé des réponses.
Utilisation de documents pour infirmer ou confirmer les propositions.
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Situation n°5 : : Pour une même quantité consommée, classez ces aliments
suivant leurs apports hydriques.
Beurre, Carottes, Chocolat, Eau, Fromage, Fruits frais, Fruits secs, Huile,
Lait, Œufs, Pain, Pâtes ou riz cuits, Poisson, Pommes de terre, Sodas,
Tomates, Viande, Yaourts.
Relevé des réponses et classement collectif de l’aliment le plus hydratant au
moins hydratant.
Utilisation de documents pour infirmer ou confirmer les propositions.
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S9
S9
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S9
Situation n°6 : : Parmi ces boissons quelles sont celles qui hydratent le mieux,
et celles qui procurent la sensation de satiété de soif ?
Eau, Lait entier, Lait ½ écrémé, Lait écrémé, Bouillon (de viande), Infusion
(thé…) non sucrée, Infusion légèrement sucrée, Infusion très sucrée, Sodas,
Sodas allégés en sucres.
Relevé des réponses et classement collectif.
Utilisation de documents pour infirmer ou confirmer les propositions.
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S9
Séance n°9
Vers quelles conclusions :
• Le corps humain est composé d’environ 2/3 d’eau.
• Il élimine en permanence de l’eau. Je dois absorber près de deux litres
d'eau par jour.
• Ce sont les boissons et les aliments qui me portent l’eau dont j’ai besoin.
• Attention certaines boissons sont très caloriques, je dois en limiter la
prise.
• L’eau est la seule boisson recommandée, à volonté au cours et en dehors
des repas
• La soif est un mécanisme par lequel l’organisme " avertit " qu’il est en état
de déshydratation et c’est pourquoi il n’est pas bon d’attendre d’avoir soif
pour boire.
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S10
Séance n°10
Objectifs :
• Identifier les aliments, connaître leurs origines, leur nature et leurs fonction.
• Produire des aliments ou comprendre comment on les produits.
• Savoir constituer un repas équilibré.
• Apprendre à préparer un plat équilibré.
• Connaître l’importance de manger des fruits et des légumes.
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S10
Hypothèses retenues :
• Les enfants n’identifient et ne connaissent pas l’origine, la
nature et la fonction des principaux aliments.
• Les enfants ne savent pas (ou plus) préparer un repas
(choix des éléments,…).
• Les enfants ont des réticences pour accepter de nouvelles
saveurs, autres que sucrées, ou pour consommer certains
aliments (légumes…).
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S10
Vérification des hypothèses par une expérimentation.
Situation n°1 : : Observation et dégustation de divers fruits et légumes. Les
enfants apprennent à les identifier, à les représenter (dessin d’observation) et
enrichissent aussi leurs aptitudes sensorielles.
Situation n°2 : : En utilisant si possible, à tour de rôle (odorat, vue, toucher,
ouïe, goût), qu’un seul sens, reconnaître des aliments.
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S10
Vérification des hypothèses par une expérimentation.
Situation n°3 : : Face à des aliments crus, cuits ou cuisinés, les enfant doivent
reconnaître des saveurs et des textures, et les définir (sucré, salé, acide,
amer) et (doux, piquant, tendreté, collant, granuleux, fibreux, craquant, ferme,
mou, visqueux, onctueux, ...).
Situation n°4 : : Créer un jardin dans l’école. Cultiver quelques fruits ou
légumes, plantes aromatiques…. En observer les conditions de croissance.
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S10
Vérification des hypothèses par une visite.
Situation n°5 : : Visite d’un lieu de productions alimentaires, une ferme, un
jardin. Identifier la provenance des aliments (œuf/poule, lait/vache,
fruit/végétal,…), leurs modifications successives de l’état naturel à l’état
commercialisé, leurs conditionnements.
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S10
Vérification des hypothèses par une recherche documentaire.
Situation n°6 : : Etudier les aliments en fonction de leur période de production
(prise en compte des saisons).
Situation n°7 : Etude de l’histoire de l’alimentation à travers les âges en
s’intéressant aux problèmes de l’élevage, de l’agriculture, de la conservation.
Situation n°8 : Repérer la provenance des aliments et s’intéresser aux
productions locales.
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S10
Vérification des hypothèses par l’appel à experts.
Situation n°9 : : Prendre part à la semaine du goût : élargir ses connaissances
alimentaires en découvrant de nouvelles saveurs.
Situation n°10 : Avec le service de restauration scolaire ou à la maison avec
ses parents, apprendre à :
• équilibrer un menu,
• confectionner un plat en prenant en compte les besoins énergétiques.
Situation n°11 : Emballage et aliment : bien faire la différence entre les deux.
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S10
Séance n°10
Vers quelles conclusions. Nous savons :
• identifier les composants principaux de notre alimentation.
• reconnaître des aliments en utilisant tous nos sens.
• reconnaître dans les aliments crus, cuits ou cuisinés des saveurs et les
définir.
• cultiver quelques fruits ou légumes. En observer les conditions de
croissance.
• identifier la provenance des principaux aliments que nous consommons.
• repérer l’emballage, le conditionnement de l’aliment qu’il contient.,…),
leurs modifications successives de l’état naturel à l’état commercialisé,
leurs conditionnements.
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S10
"Celui qui distingue la vraie saveur de ce qu'il mange
ne sera jamais un glouton ;
celui qui ne le fait pas ne peut pas être autre chose".
Henry David Thoreau
(écrivain américain)
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S10
Merci pour votre attention.
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