Document de présentation de l`animation

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DYS et EIP:
Comment les
reconnaître?
Comment les aider?
Nathalie Chalumeau CPC
PREMIERE PARTIE:
Les troubles DYS




Description, définition.
Repérage
Démarches
Adaptations
Les élèves DYS font partie des
élèves présentant des troubles
d’apprentissages (TSA)

Définition: Les troubles des apprentissages
correspondent à une atteinte durable et
persistante affectant une ou plusieurs fonctions
cognitives. Ces troubles cognitifs neurodéveloppementaux perturbent l’acquisition, la
compréhension, l’utilisation et le traitement de
l’information verbale ou non verbale. Ils ne
s’expliquent pas par des facteurs externes. Ils
surviennent chez un enfant d’intelligence
normale, et normalement scolarisé.

Les troubles des apprentissages ne résultent
pas
- D’une mauvaise formation scolaire
- D’un contexte familial défaillant
- D’un manque de volonté d’apprendre.
On distingue entre autres:

La dyslexie : trouble d’apprentissage du
langage écrit ( lecture)

La dysorthographie trouble d’apprentissage
du langage écrit : (transcription)

La dysphasie: trouble du développement de
la parole et du langage entraînant une
restriction notable du langage expressif ( ce
que l’on produit) et/ou réceptif ( ce que l’on
comprend).

La dyspraxie: trouble de la planification et de
l’automatisation des gestes volontaires (qui
inclut la dysgraphie)

La dyscalculie: trouble des outils de
logique mathématique

Le TDA/H: trouble de l’attention avec ou
sans hyperactivité.

Les troubles des fonctions exécutives (
trouble de la planification, du traitement
séquentiel et de la mémoire de travail)

 Ces troubles peuvent parfois être
associés. Certains le sont très souvent:
dyslexie/dysorthographie.
Ils peuvent être également associés à la
précocité intellectuelle.
1- La dyslexie
- Elle touche environ 5 à 8 % des
enfants d’une classe d’âge quels
que soient le milieu social et la
méthode de lecture utilisée.
-1 à 3 % de ces enfants présentent
une dyslexie sévère.
Il était une fois un atron qui vivait
tout stule. Comme la plupart des
atrons, il avait des donits pointues
et un grand troche. Il était
toujours de mauvaise lanien et
avait toujours manin….
Il était une fois un dragon qui
vivait tout seul. Comme la plupart
des dragons, il avait des dents
pointues et une grande bouche. Il
était toujours de mauvaise
humeur et avait toujours faim…
Autre exemple:
« Aujourd’hui la maman d’Otrudobaké
nous a invités pour son anniversaire. »
Il existe 2 processus d’identification du mot lu :
 La lecture par voie lexicale (ou reconnaissance
globale) : reconnaissance visuelle de
l’ensemble du mot ( voie d’adressage)
 La lecture par voie phonologique (ou médiation
phonologique) :décomposition du mot et
conversion des lettres en sons. ( voie
d’assemblage)
 Un lecteur compétent utilise efficacement les 2
voies.
Rappel de quelques principes de
lecture:
Identifier une lettre ou un mot nécessite de
procéder à une analyse visuelle exhaustive :
O C
E F
CE NE SONT PAS
DES DESSINS
I i
h n
Identifier une lettre ou un mot nécessite
de prendre en compte l’orientation :
b d
p q
t f
u n
Identifier une lettre ou un mot nécessite de
prendre en compte l’ordre et la position
crique
niche
cirque
chien


L’ossature du français écrit est
essentiellement phonique: 80%
des éléments de la chaîne écrite
sont des phonogrammes.
La compréhension d’un texte
exige une identification de 250 à
400 mots à la minute.
Les dyslexies
La dyslexie
phonologique 60 à 70%
La dyslexie
lexicale
4 types de dyslexie:
La dyslexie mixte
La dyslexie visuoattentionnelle
Dyslexie
phonologique
?
Elle touche la voie
d’assemblage par déficience
du canal audito-verbal.
Difficultés pour déchiffrer des mots
inconnus. L’élève utilise la voie
sémantique pour lire. A l’écrit
difficulté à retranscrire les sons:
clobule (globule)
Dyslexie lexicale?
ou de surface
Elle touche la voie
d’adressage par déficit du
canal visuel.
Absence de mémorisation à long
terme de l’image des mots
rencontrés, liés à une pauvreté du
lexique interne. L’élève utilise la voie
d’assemblage uniquement.
Dyslexie
mixte?
Elle atteint à la fois la
voie phonologique et
la voie sémantique à
différents degrés.
Difficultés de déchiffrage
de la lettre au son et
carence du lexique
Dyslexie
visuo-attentionnelle?
Dysfonctionnement de
l’attention visuelle qui
entraine un trouble de non
reconnaissance visuelle, des
difficultés attentionnelles et
un trouble lexique
La dysorthographie
Elle est souvent associée à la
dyslexie. Et elle est souvent au
premier plan après la
rééducation d’une dyslexie.
Voici la production d’un jeune
dysorthographique de 9 ans qui répond à
la question :
Si j’étais millionnaire...

« Je ferai un sentre d’invansion pour
arèté la polucion. Je ferè des otèle
pour les povre. Je trouverè des
invancion pour désalisé l eau. Je
macetrai des millie de toutou. Je
trouverai des midiquament pour la
gripe H1N1 et pour plein dotre
maladi. Et je ferai une fugez quipolu
pa parce que elle est faite avec des
pano soleire pour aller sur jupiterre.
Je trouverai une solution pour l
essance parce que il nen reste plu. »
Dyslexie/dysorthographie:
quelques signes pour y penser.







Difficultés à lire (décoder l’écrit), erreurs sonores
(ex : k/g, t/d, …), paralexies (dire un mot pour un
autre : tabac/table), erreurs visuelles (p/q, a/o, m/n).
La charge cognitive pour la lecture est telle que
l’enfant ne peut plus accéder à une compréhension
du texte ou de l’énoncé.
Meilleure compréhension quand l’énoncé est
oralisé.
L’orthographe est très défaillante.
Capacités d’apprentissage normales (si on passe
par une autre modalité que l’écrit).
Grande lenteur dans toutes les activités comprenant
de l’écrit (lecture ou écriture) d’où l’impossibilité de
traiter un devoir en entier.
Ecriture peu lisible dans son contenu et sa forme
(graphisme, orthographe et segmentation des mots,
ex : « il laver caché la ache derier l’arbre / il avait
caché la hache derrière l’arbre »).

Ajout de lettres ou de syllabes à l’intérieur des mots
ou confusion: (ex:aclantique pour atlantique)

Inversion de lettres ou de syllabes à l’intérieur des
mots (ex: moponoly pour monopoly)

Difficulté à respecter l’entité des mots (ex.: lajout
pour l’ajout, unabit pour un habit);

Orthographe grammaticale souvent très faible
(accord dans le groupe du nom, respect de la
conjugaison des verbes, etc.);

Orthographe d’un même mot qui varie d’un endroit
à un autre (enfan, anfan, anfent);

Calligraphie irrégulière et malhabile.
La dyscalculie



Difficultés dans toutes les activités
de raisonnement, de manipulation
des nombres et des techniques
opératoires.
Trouble de l’organisation spatiale
et/ou difficultés de structuration du
raisonnement.
Trouble rarement isolé souvent
associé à la dyslexie
/dysorthographie ou à une dyspraxie.
Dyscalculie: quelques signes pour y
penser.









Difficulté lors du dénombrement et utilisation
fréquente des doigts ou autres objets pour
compter;
Difficulté à lire et à écrire des nombres (lire 26 pour
62, écrire 707 pour 77, lire 6 pour 9, etc.);
Difficulté à effectuer des opérations arithmétiques;
Difficulté à retenir les tables de multiplication;
Difficulté à saisir et à utiliser les termes
mathématiques (la différence, la somme, la
quantité, plus que, moins que, deux fois plus que,
etc.);
Difficulté à comprendre les énoncés de problèmes
mathématiques;
Difficulté à gérer l’argent;
Orientation visuo-spatiale déficitaire (difficulté à
s’orienter dans l’espace);
Problèmes en géométrie.
La dysphasie
Elle touche environ 1 % d’une classe
d’âge.
 Trois types de dysphasie:
• Atteinte de la compréhension
• Atteinte de l’expression
• Atteinte de l’expression et de la
compréhension.
Elle peut affecter la phonologie, le
lexique ou la syntaxe.

Dysphasie: quelques signes pour
y penser.








Mauvaise intelligibilité du langage oral.
Production de mot(s) isolé(s) ou ordre non respecté
dans la phrase (« il joue poupée moi » pour « il joue
à la poupée avec moi »).
Production d’un mot parfois éloigné du mot
recherché (couteau pour fourchette).
Lexique réduit, peu d’échange.
Construction difficile de récit même avec une bonne
compréhension, récit parfois complexe ou peu
informatif (dysphasie avec atteinte de l’expression).
Manque du mot mais désir de communiquer.
Trouble de la compréhension, comprend mieux si
on lui montre, utilise des gestes, des pictogrammes
pour se faire comprendre (dysphasie avec atteinte
de la compréhension).
Arrive mieux à dire les choses spontanément que
sur demande.
La dyspraxie
Le diagnostic peut être précoce.
Dès la maternelle.

Difficulté dans le geste, l’orientation.
Enfants très maladroits, inattentifs,
lents, fatigables.
Dyspraxie: quelques signes
pour y penser.






Le geste est lent, maladroit et non
automatisé, il reste coûteux sur le plan
attentionnel.
Structuration spatiale difficile :
schématisation, puzzle, reproduction de
figures, repérage.
-Retard graphique (dessin, lettres).
Difficultés de découpage, de jeux de
construction, de collage, de coloriage.
Les résultats sont inconstants.
L’élève peut manifester un blocage lors du
passage à l’écrit.
Que faire?


Le repérage doit se faire le plus tôt
possible: Plus tôt l’enfant est pris en
charge, plus vite il acquiert des
méthodes de compensation.
Mais le diagnostic de dyslexie ne se
pose au plus tôt qu’en fin de CE1 car
on considère qu’un enfant est
dyslexique lorsqu’il y a un décalage
d’au moins 18 mois entre son âge
réel et son âge de lecture.








Dans un premier temps
1- Rencontrer les parents
2- Leur demander de faire faire un bilan
orthophonique (le bilan sera orienté en
fonction de votre demande logico math ou
lecture)
3- L’orthophoniste demande très souvent
un diagnostic ORL et orthoptique. Il prescrit
ou non une rééducation.
Seulement en cas de troubles sévères:
Prévenir le médecin scolaire qui pourra
demander un bilan neurologique ou
orienter vers le CMP ( psychomotricité,
ergothérapie).
Réunir une équipe éducative.
Faire un signalement au RASED
DEUX POSSIBILITES
Elève relevant
du handicap
Dossier MDPH
Equipe de suivi
PPS
Orientation spécialisée
Elève ne relevant
pas du handicap
Adaptations en classe
(PPRE/ PAI DYS pas dans le Rhône)
Livret de suivi de l’élève
PAP (Plan
d’accompagnement
personnalisé) (nouvelle circulaire)
Sixième classique avec
adaptations
PPRE passerelle
Pour bien comprendre: Un exemple
Le parcours d’un élève DYS sur toute
sa scolarité des extraits de ses bilans
orthophoniques.
!
L’orthophoniste transmet le bilan
uniquement aux parents, les parents ne
sont pas tenus de le transmettre à
l’enseignant.
Thomas est un enfant de 4 ans et 9 mois scolarisé en
moyenne section. Thomas est un enfant qui entre
facilement en contact avec une personne étrangère.
Thomas a maintenant 6 ans et 7mois, il est scolarisé en CP

Thomas a maintenant 7 ans et 9 mois et est en CE1.
Thomas a 9 ans et 8 mois, il est en CM1.
En 2008, Thomas est âgé de 11 ans et 10 mois et est en
6ème. Il est suivi en orthophonie depuis 2001.
Thomas a 14 ans et 11 mois, il est en fin de 4ème , il a
redoublé sa cinquième ( à la demande des parents et
contre l’avis des professeurs) Il a changé d’orthophoniste.
Dernier bilan: OUF!!! ENFIN!!!!
Thomas a eu son brevet avec un tiers temps qu’il n’a pas
utilisé et une dictée à choix multiples qui lui a bien servi ,
il a 17 ans et 8 mois et est en 1ère (bac professionnel)
Remarques: la capacité de langage oral de Thomas lui
permettent de régulariser ses performances lorsqu’il lui
est demandé d’extraire l’information principale d’un
énoncé complexe. Il parvient également à se repérer
dans un texte afin de trouver la réponse à une question
posée…Toutefois ces performances sont à relativiser en
tenant compte de la complexité et longueur du texte.
Epreuve d’orthographe:
Les erreurs non plausibles d’un point de vue phonologique
sont extrêmement nombreuses, tout comme en lecture.
On remarque par contre que le lexique orthographique s’est
bien développé et que les règles grammaticales sont en
grande parties connues…
Cet exemple nous montre que

Le trouble est durable.

La rééducation s’inscrit dans la durée.

Une prise en charge orthophonique
précoce et régulière est indispensable


L’implication des parents et des
enseignants favorise la rééducation.

La relation de confiance entre l’enfant et
les différents partenaires est primordiale.
Comment faire?
Etablir un climat de confiance
propice aux apprentissages:
restaurer la motivation et
l’estime de soi.
 Laisser du temps et se laisser
du temps
 Accepter le décalage avec les
autres élèves et y remédier par
des adaptations

Adaptations
-
-
-
Placer l’élève devant et au calme.
Relire les consignes à l’oral.
Adapter ses exigences. ( temps,
présentation, performance)
Diminuer ou simplifier la tâche.
Prévoir des supports clairs et une
police adaptée.
Des lignes tracées pour répondre
Réduire les exercices écrits.




Ne pas sanctionner l’orthographe.
Ne pas tout corriger ( l’expliquer à
l’élève et aux parents).
Donner des dictées adaptées (
textes à trous, à choix multiples)
Donner un répertoire lexical ou une
trame à compléter pour les
productions d’écrits. Un outil pour les
règles d’orthographe simple ( sousmain), avec les mots les plus
fréquents… ( faciliter la
mémorisation)
Donner les leçons sous traitement
de texte même si l’élève peut les
copier, ou en copier une partie, ou
les compléter.
- Pour les élèves dyspraxiques: plan
incliné, outils facilitant le rangement ,
espace suffisant, insister sur la
méthodologie, donner sur une feuille plutôt
que sur le tableau, utilisation d’un cache
qui sélectionne, la liste ou l’exercice, utiliser
des couleurs.
- Utilisation des tables de multiplication
- Utilisation d’un ordinateur.
- Permettre des pauses.
- S’assurer que ce que l’on dit est compris.
- Utiliser la gestuelle (méthode Borel
Maisonny)
Problème de l’évaluation des acquis des
élèves.
 Les difficultés de lecture, d’écriture, de
mémorisation, ou de lenteur constituent un
frein à l’évaluation.
 Les adaptations ont pour objectif de
dissocier les modalités d’évaluation et les
compétences réellement évaluées. On
parle alors de compensation.
Il faut lire et expliciter les consignes.
Il faut laisser le temps nécessaire.
Il faut évaluer des compétences très ciblées.
On peut évaluer à l’oral.
On peut être secrétaire de l’élève.
Annexe 1: repérage

DEUXIEME PARTIE:
Les élèves EIP ou HP
(Source: séminaire EIP/HP
Hôpital neurologique, 22/04/2014)
Qui sont ces enfants?
DEUX PROFILS
Profil laminaire
Wisc équilibré :
scores homogènes
Pose moins
de problèmes
Profil complexe
Wisc déséquilibré
Scores très hétérogènes
Malgré tout des
Caractéristiques communes
Pose plus de
problèmes
Des connaissances grâce à l’imagerie
médicale.
Cortex préfrontal :
planification, réflexion,
effort, conscientisation
Cortex pariétal:
pensées associatives,
émotions
Profils laminaires: fonctionnement normal mais plus
rapide. Cortex préfrontal dominant, les informations
passent d’abord par le préfrontal puis allers retours entre
pariétal et frontal plus rapide.
Profils complexes: Cortex pariétal très développé.
Informations entrant par le préfrontal mais passant tout de
suite au pariétal.
Des caractéristiques communes
Hypersensibilité
Anxieux
Hyper lucides
Déteste les promesses
non tenues
Sens exacerbé
de l’injustice
Enfant souvent décalé
Manque de confiance
Victimisation
Immaturité affective
Rapidité de traitement
hyper contrôle
Veut comprendre
tout de suite
Ne supporte pas
l’échec
Intérêt/curiosité
Verbal très développé
Aime les questions ouvertes
Hyper maturité intellectuelle
Le profil laminaire
Bon élève
Bonne estime de soi
mais manque de
confiance en lui
Position de médiateur
Mieux dans les sports
individuels
Plutôt respectueux
de l’autorité
Empathie
Esprit de compétition
Fonctionne avec le concret
Proposer des tâches à forte
Saturation en mémoire:
traitement multiple
Utiliser des défis pour évaluer
les connaissances importantes
Proposer des réflexions et
informations allant au delà du
cours magistral avec des
applications concrètes: donner
du sens
Favoriser la variété
Adapter le rythme
Autoriser l’élève à choisir
Être dans l’empathie
Utiliser l’humour
Les faire pratiquer le tutorat.
Saut de classe?
Le profil complexe
- Pensées automatiques
-Passe d’une idée à l’autre
-très rapidement
-Processus de pensée
en arborescence ultra-rapide
-Leader
-Opposition face à l’autorité
- Lent
-Elève sous réalisateurs
-Ne peut pas fonctionner
en groupe
-Ne comprend pas le
but des exercices, ce qu’on
lui demande de faire, n’en voit
pas l’intérêt
-Va directement au résultat
-Performant dans les tâches
complexes, en échec dans
les tâches simples.
- Utilise des procédures complexes
Pas de contrainte
de temps
Être ferme
Proposer des tâches
favorisant l’invention
la créativité
Réduire la quantité
de tâches répétitives
Utilisés des outils d’apprentissages
destinés à des enfants plus âgés
Danger: identifier ces élèves comme
des élèves en difficultés APC,
adaptations de type DYS, peut être
très mal perçu par les parents et
par l’élève.
-
Enseignant
-Conseil des maîtres
- RASED
- Médecin scolaire
Rassurer
EIP
Partenariat très important
Rassurer
Parents
J’aime pas
l’école
-Entrer dans leur
mode de
communication
-Mettre en
Confiance
-Adapter et
s’adapter
Des alternatives au saut de classe:
-Emploi du temps en barrettes, emploi du
temps personnalisé. ( ex: sciences dans
un autre niveau)
-Décloisonnement vers les autres
niveaux.
-Inscription dans une classe à cours
multiples
Bibliographie/Sitographie
liste non exhaustive

Site Eduscol : http://eduscol.education.fr/D0135/notes-ill.htm :

Mise en œuvre d'un plan d'action pour les enfants atteints d'un
trouble spécifique du langage oral ou écrit


Circulaire n° 2002-024 du 31 janvier 2002 - B.O. n° 6 du 7 février
2002
Prévenir l'illettrisme numéro 2 apprendre à lire avec un trouble
du langage
ASH 74 http://ais.edres74.ac-grenoble.fr/ :
Troubles du langage oral et écrit : Comment les prendre en compte à
l’école primaire


Site ASH Lyon

http://www.sanleane.fr/ ( nombreuses fiches d’exercices et outils
pour dyslexiques, dyscalculiques et dyspraxiques)
Bilan des données scientifiques INSERM février 2007 :
expertise collective « Dyslexie, dysorthographie, dyscalculie »
www.inserm.fr
Les troubles de l’apprentissage de la lecture : observatoire
national de la lecture, les journées de l’observatoire, février
2005 www.inrp.fr/ONL
Document gratuit : courriel
[email protected]
De la difficulté au trouble, l’évolution du langage chez
l’enfant, Marc Delahaie, juin 2004
Document gratuit INPES www.inpes.sante.fr
Les troubles du langage et des apprentissages, revue
« Réadaptation » n° 527, février 2006
ONISEP : courriel [email protected]
Les troubles spécifiques du langage oral et écrit, Christine
Egaud, CNDP, 2004
Dyscalculie:
100 idées pour aider les élèves dyscalculiques
Dyspraxie:
http://www.cartablefantastique.fr/manon
http://www.cartablefantastique.fr/
L'enfant dyspraxique: Mieux l'aider, à la maison et à
l'école. Caroline Huron.
Dysphasie:
 A propos de l’enfant dysphasique et dyslexique,
février 2000 - Rapport de Jean Charles RINGARD –
 www.education.gouv.fr/ram/educd/brochure/actions/2001
/dyslexie/dysphasie.pdf
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