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Volet n° 4 .
Novi Sad, est une ville et une municipalité de Serbie,
situées dans la province autonome de Voïvodine.
Elles font partie du district de Bačka méridionale.
Novi Sad est la capitale de la Voïvodine.
Au recensement de 2011, la ville intra muros comptait
231,798 habitants et son territoire métropolitain, appelé
Ville de Novi Sad 341,625.
Par sa population, Novi Sad est la deuxième plus grande ville
de Serbie après Belgrade. La ville est située aux confins des
régions de la Bačka et de la Syrmie. Depuis sa fondation en
1694, elle est devenue l'un des centres les plus importants de
la culture serbe, ce qui lui a valu le surnom
d'« Athènes serbe ». Novi Sad est aujourd'hui un important
centre économique et financier du pays.
Cathédrale catholique
de Novi Sad .
Sa pointe culminante est visible de
toute la ville. Construite en 1895
dans un style typiquement
néogothique, elle s'accompagnait
autrefois d'un monastère. Elle
présente une façade aux lignes
épurées et aux couleurs jaunes et
blanches qui se marient bien.
Remarquez le toit de tuiles
vernissées aux mille couleurs, plus
proche des châteaux de Bourgogne
que des bâtiments d'Europe
centrale !
Mairie de Novi Sad
Boulevard de la libération .
Le SPENS a été conçu par l'Institut d'urbanisme de la Faculté d'architecture de
Sarajevo. Les principaux architectes étaient Žika Janković et Branko Bulić.
Les travaux débutèrent en 1979 et durèrent deux ans. Il fut inauguré le 14 avril
1981 à l'occasion des Championnats du monde de tennis de table.
Vaste de 85 000 m2, le Centre comprend une salle polyvalente principale pouvant
accueillir jusqu'à 11 500 personnes.
Le Théâtre national serbe a été fondé en 1861. Jovan Đorđević a été le
premier directeur de la salle.
L'actuel bâtiment dans lequel est installé le théâtre a été construit en 1981.
La synagogue de Novi Sad est
située dans la rue Jevrejska
« des Juifs ».
Le bâtiment est le cinquième à être
érigé sur le même site depuis le
XVIIIe siècle. Les travaux de
construction de l'architecte hongrois
Lipót Baumhorn commencèrent en
1905 et s'achevèrent en 1909. Le
bâtiment fait partie d'un centre
communautaire entouré de deux
édifices, l'un pour l'école juive et
l'autre pour accueillir les bureaux de
la communautés juive de la ville.
Il restait 4 000 survivants après la
Seconde Guerre mondiale
et aujourd'hui, la communauté
juive de la ville est composée
d'environ 400 membres.
Malgré ce chiffre, la synagogue
n'est plus utilisée pour des
cérémonies religieuses mais
seulement pour des évènements
culturels, notamment des concerts.
La forteresse de Petrovaradin est une forteresse serbe située à
Petrovaradin près de Novi Sad dans la province de Voïvodine. Elle
est inscrite sur la liste des entités spatiales historico-culturelles de
grande importance de la République de Serbie.
La pierre angulaire de la partie sud de la forteresse fut posée le 18
octobre 1692 par le prince de Croÿ. La forteresse possède de
nombreux passages souterrains, en tout 16 km de galeries.
Après l'achèvement des travaux, il n'y eut plus jamais de menace
de l'Empire ottoman. Elle tint son dernier rôle militaire lors de la
révolution hongroise de 1849, lorsque les troupes autrichiennes
entreprirent de l’assiéger afin de forcer ses occupants à la
reddition.
La réponse fut le pilonnage de Novi Sad le 12 juin, au cours
duquel les deux tiers de la ville furent détruits.
Á l'extrémité nord-ouest de la forteresse,
vous ne pouvez manquer l'Horloge folle,
aux aiguilles inversées - la grande
indique les heures - afin que les bateliers
puissent voir l'heure de loin.
Les années suivantes la forteresse servit
de caserne militaire et d'entrepôt. À la
suite de la Première Guerre mondiale,
Petrovaradin revint au Royaume des
Serbes, des Croates et des Slovènes, qui,
en 1929, devint le Royaume de
Yougoslavie. Durant ces années, les
vieilles forteresses de Belgrade, Osijek,
Karlovac et Slavonski Brod, construites
au XVIIe siècle, furent rasées car elles ne
revêtaient plus de fonction militaire. Le
colonel Dragos Djelosevic, qui était
responsable du programme de
destruction des forteresses, souhaita
conserver celle de Petrovaradin car elle
était selon lui trop belle pour être réduite
en gravas. De manière ironique, c'est
grâce au « bourreau des forteresses des
Balkans » que la forteresse de
Petrovaradin est demeurée intacte.
Le monastère de Krušedol
est un monastère orthodoxe
serbe situé dans la province
autonome de Voïvodine, près
du village de Krušedol Selo.
Il est l’un des 16 monastères
de la Fruška gora, dans la
région de Syrmie. Il dépend
de l'éparchie de Syrmie et
figure sur la liste des
monuments culturels
d'importance exceptionnelle
de la République de Serbie.
Les despotes serbes,Đurađ
Branković et Stefan Lazarević,
ainsi que deux patriarches de
l'Église orthodoxe de Serbie, ont
été enterrés à Krušedol.
Ville de Sremski Karlovci
La construction de la cathédrale
Saint-Nicolas a commencé en 1758,
à l'instigation du métropolite
Pavle Nenadović ; elle était destinée
à remplacer une ancienne église
datant de l'époque ottomane.
Les plans de l'édifice furent conçus
par Kosta Cincarin et par l'allemand
Johannes. En 1760 furent
construites les tours et le dôme,
conçus par Zaharije Orfelin, et
l'église fut complètement terminée
en 1762. Le bâtiment est constitué
d'une nef unique prolongée par une
abside semi-circulaire ; la façade est
surmontée de deux clochers de
style baroque .
L'espace intérieur est divisé
en cinq travées ; la nef et
l'autel sont séparées par une
structure formant écran1.
L'église a été partiellement
reconstruite après le grand
incendie de 1799 et des
changements majeurs, allant
dans le sens du néoclassicisme
ont été apportés à la façade en
1909 par l'architecte
Vladimir Nikolić.
Intérieur de l’église
Saint Nicolas de
Sremski Karlovci .
Le Patriarcat de Sremski Karlovci a été construit entre 1892 et 1894 sur des plans de
l'architecte Vladimir Nikolić ; son architecture présente un mélange de
style baroque et de style néo-Renaissance.
la Fontaine aux quatre lions, a été édifié
en 1799, pour célébrer la mise en eau
du premier service de
canalisations
de la ville.
Photos perso.
Les textes sont tirés du net et brochures de CroisiEurope.
Musique : Csardas.
Août 2015
Je fais partie des 200 créateurs de PPSMANIA, tous bénévoles.
http://ppsmania.fr
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