Françoise
LETOUBLON, Les lieux
communs
du
roman. Stéréotypes
grecs d'aventure
et
d'amour, Leiden, N.Y., KaIn, 1993.
Après
la
publication de
la
thèse
d'A. Billault,
La
création romanesque
dans
la
littérature grecque à l'époque impériale
en
1991
et
la
parution
du
recueil collectif Le monde
du
roman grec
en
1992,
le
livre de F. Létoublon
vient
témoigner
à son
tour
de
l'intérêt
nouveau
porté
au
roman
antique
par
les
études
françaises, jusqu'ici bien
en
retard
en
ce domaine. Conçu
comme
une
réflexion
sur
l'histoire
du
genre, l'ouvrage de F. Létoublon
prétend
montrer
la
fécondité des formules
mises
au
point
par
les
romanciers
grecs,
dont
l'influence
sur
la
production
romanesque
moderne
se
prolonge, depuis
la
Renaissance,
jusqu'en
plein XVIIIème siècle. D'où
les
fréquentes
extrapolations
de
l'auteur
dans
le
domaine
du
roman
baroque,
et
plus
encore
dans
l'œuvre de l'abbé Prévost, L'histoire
d'une
Grecque moderne,
dont
maintes
citations
servent
à
illustrer
la
dette
des
modernes
à l'égard de leurs devanciers antiques. Comme l'indique
le
titre
de
son
ouvrage, F. Létoublon
s'est
intéressée
tout
particulièrement
à
la
dimension
répétitive
du
roman
grec : elle le
définit
comme
un
genre
entièrement
topique,
non
seulement
dans
son
contenu
et
sa
thématique,
mais
aussi
dans
sa
structure
(construction
en
boucle)
et
dans
son
style
(art
de
la
prétérition
et
de
la
métaphore).
S'interrogeant
sur
le
rapport
du
roman
grec à
la
réalité,
l'auteur
remarque
qu'un
certain
nombre
des
stéréotypes
mis
en
œuvre
dans
la
présentation
des
lieux
ou
des
personnages
pourraient
passer
pour
le
reflet
de
réalités
sociologiques
contemporaines,
impression
confortée
par
la
pétition
de
réalité
sur
laquelle
repose
le
roman
grec, qui postule l'existence effective de ce qu'il
représente.
Toutefois, ces stéréotypes
sont
revêtus
d'une
forte dimension
symbolique que l'on retrouve d'une œuvre à
l'autre,
et
ils doivent
souvent
beaucoup
à l'influence de
la
littérature
antérieure
(épopée,
tragédie,
poésie lyrique) : produit palimpseste,
le
roman
grec
ne
cesse de
jouer
avec
des
hypotextes.
Parfaitement
conscient de son
caractère
de
représen-
tation,
il comporte d'ailleurs
une
dimension fortement réflexive, comme
l'attestent
les
fréquentes
descriptions
d'œuvres
d'art
insérées
dans
la
trame
du
récit
et
la
présence de
romans
à
l'intérieur
du
roman. Des cinq
auteurs
dont
nous possédons l'œuvre intégrale, c'est Héliodore
le
maître
en
matière
de
spécularité,
et
sa
supériorité
s'affirme
aussi
dans
le
maniement
des stéréotypes, comme le
montre
l'exploration
très
précise à
laquelle
s'est
livrée
F. Létoublon à
travers
les
topai
du
roman
grec:
l'auteur
a
en
effet
nourri
son propos
d'extraits
nombreux
et
étendus
qui,
s'ils
nuisent
peut-être
un
peu
à
la
densité de
la
démonstration,
auront
en
tout
cas
le
mérite
de
donner
aux
lecteurs profanes
un
vivant
aperçu
des
charmes
du
roman
grec.
121
Corinne JOUANNO
Université de Caen
Rhétoriques de la conversation de l'Antiquité à l'époque moderne, Actes
de
la
table
ronde
de
Paris,
4
juin
1993, éd. L.
Pernot,
Rhetorica,
A
Journal
ofRhetoric, Vol. XI, 4,
Autumn
1993.
Les
textes
présentés
dans
ce
recueil
collectif
édité
et
préfacé
par
L.
Pernot
constituent
les
actes
d'une
table
ronde
dont
l'initiative
résulta
de
la
constatation
d'une
curieuse
lacune:
aucune
réflexion globale
n'avait
encore
été
menée
sur
les
pratiques
de
la
conversation
dans
l'Antiquité,
alors
même
que
le
monde
ancien
a
donné
naissance
à
des
genres
aussi
essentiels
que
l'entretien
philosophique ou
les
propos de
table.
Voulant
ouvrir
un
champ
nouveau,
et
conçu
dans
la
perspective
large
d'une
méditation
sur
l'héritage,
cet
ouvrage
nous
promène
donc à
travers
les
temps
et
les
lieux, de
la
Grèce
archaïque
à
l'Europe
des
Lumières,
et
du
banquet
platonicien
aux
cours de l'âge moderne.
Suivant
un
plan
chronologique,
le
recueil
s'ouvre
avec
une
commu-
nication
de
E.L. Bowie
sur
l'émergence des symposia :
l'auteur
a
tenté
de
reconstituer,
en
recourant
essentiellement
au
témoignage d'Homère, de
la
poésie
élégiaque
et
de
la
comédie
ancienne,
et
avec
toute
la
prudence
qu'imposent
les
effets
de
stylisation
inhérents
à l'emploi
de
tel
ou
tel
genre
littéraire,
l'éventail
des propos de
table
en
usage
dans
les
banquets
de
l'époque
archaïque
et
classique:
se profile
ainsi
un
certain
nombre
de
sujets
topiques
de
l'échange
symposiaque
(réflexions
morales,
éloges,
invectives,
propos
érotiques
... )
qui
désignent
la
conversation
comme
un
espace
hautement
ritualisé.
Avec
la
communication
de
Cl.
Imbert,
nous
nous
tournons
vers
la
naissance
du
dialogue
philosophique, à
travers
l'étude
de
quatre
textes
platoniciens,
Phédon, République,
Banquet
et
Phèdre.
Tout
en
insistant
sur
l'abondante
postérité
du
genre
inventé
par
Platon,
tant
dans
l'Antiquité
que
sous
la
Renaissance,
avec
notamment
Marsile
Ficin,
l'auteur
souligne
la
singularité
inaliénable
du
dialogue
platonicien
qui,
transformant
le
logos
en
objet
d'examen
et
d'expérimentation,
eut
l'audace
de
sortir
la
conversation
de son
état
strictement
anecdotique
pour
constituer
une
dramaturgie
de
l'argumentation.
Le
domaine
latin
n'offre
rien
d'équivalent,
car
les
œuvres
philosophiques
de
Cicéron,
en
dépit
de
leur
forme
souvent
dialoguée,
échappent
au
domaine
de
la
conversation
du
fait
de
leur
tendance
au
dogmatisme,
comme
le
montre
la
communication
de
C. Lévi.
Or
c'est
l'absence
de
tension
que
les
Romains
ont
ressentie
comme
la
caractéristique
majeure
de
la
conversation,
ce
qui
explique
peut-être
l'absence à Rome de
toute
théorie
sur
la
question:
considérée
tantôt
dans
son
usage
utilitaire,
tantôt
comme le
medium
de
l'entretien
entre
amis,
la
conversation
semble
avoir
été
trop
associée à l'idée
de
naturel
pour
qu'on
ait
jugé
utile
d'en
codifier
la
pratique.
On
note
en
revanche
l'apparition,
chez
les
penseurs
romains,
d'une
éthique
de
la
conversation,
conçue
comme
un
moment
privilégié
du
respect
de soi-même
et
d'autrui,
et
chez
les
poètes
(Catulle,
Ovide), celle
d'une
érotique
de
la
conversation
envisagée
comme
art
de séduire.
122
Pas
plus
qu'à
Rome
on
ne
trouve
en
Grèce
de
théorie
de
la
conversation,
sans
doute
en
bonne
partie
parce
que
le
dialogue,
ayant
été
annexé
par
la
philosophie,
apparaissait
comme
une
spécialité hors de
la
compétence
des
rhéteurs.
Aussi
la
présence de
la
conversation
dans
la
rhétorique
antique
est-elle, comme
le
montre
L.
Pernot, "une présence
aux
marges,
erratique
et
fragmentaire", qui affleure à propos de
l'étude
du
dialogisme,
du
genre "homilétique" ou de
la
la
lia,
autrement
dit
lorsqu'il
est
question
du
recours à
la
forme dialoguée ou
au
ton
de
la
conversation
à
l'intérieur
de
genres
littéraires
autres,
le
plus
souvent
à
titre
d'instrument
du
second degré -ce qui prouve
bien
la
vocation critique
prêtée
par
les Grecs à l'usage
du
dialogue.
La
communication
de
M.
Fumaroli,
qui
vient
clore
le
recueil,
met
l'accent
sur
la
fécondité des réflexions
inaugurées
par
le monde ancien.
La
nouvelle
émergence
du
banquet
lettré
aux
XVème-XVIème
siècles
s'enracine
en
effet
dans
une
réflexion
sur
les
textes
de
l'Antiquité
classique
(Cicéron) ou
tardive
(Macrobe, Aulu-Gelle, Athénée) qui, à
la
Renaissance,
sont
entrés
en
consonance avec
certains
passages
du
Nouveau
Testament. Ainsi
le
banquet
lettré
devient-il, sous l'influence
du
modèle
de
la
Cène,
un
moment
de communion
le
livre
fait
fonction de
sacrement.
Une nouvelle
étape
est
franchie à l'âge classique lorsque,
du
domaine
humaniste,
la
conversation se trouve exportée
dans
le milieu des
cours,
le
monde
s'emparant
alors de l'expérience de l'otium
lettré
pour
l'attirer
dans
la
sphère
de
la
galanterie
et
celle de
la
diplomatie :
la
conversation
devient
alors
une
forme complète
de
civilisation
et
fait
fonction de ciment social.
On
mesure
ainsi l'ampleur
du
chemin
parcouru
depuis l'Antiquité.
On
regrettera
toutefois que,
dans
un
recueil
jouant
sur
la
longue durée, soit
absent
tout
travail
sur
le Moyen Age, implicitement renvoyé
par
ce
silence
au
purgatoire
des siècles obscurs
du
dogmatisme
et
de
la
stérilité. L'âge
de
l'amour
courtois, qui
avait
fait
d'Ovide
un
de ses
livres
de chevet,
aurait
pourtant
sans
doute
pu
fournir
lui
aussi
une
intéressante
contribution
à cette réflexion
sur
la
conversation, sinon
dans
le
domaine
de
la
philosophie,
au
moins
dans
celui de l'érotique,
il
pourrait
bien
constituer
un
important
maillon
de
cette
"manducation
des classiques"
dont
parle
la
préface de
L.
Pernot.
C.
J.
123
Graziella
et
Nicos NICOLAIDIS, Mythologie grecque et Psychanalyse,
Neuchâtel,
Paris,
Delachaux-Niestlé, 1994.
Le
dernier
ouvrage de Nicos
et
Graziella
Nicolaïdis,
psychanalystes
suisses, se propose de relire les
mythes
grecs à
l'aune
de
la
psychanalyse.
L'exercice, nécessaire
et
passionnant,
s'inscrit à
la
suite
d'une
tradition
qui
remonte
à
Freud
lui-même qui a
intégré
le mythe d'Oedipe
au
coeur
de
toute
production
fantasmatique
individuelle;
par
la
suite,
et
pour ne
se
limiter
qu'à
la
langue française, on
se
souviendra des
travaux
de certains
psychanalystes
comme
D.
Anzieu (L'oedipe
avant
son complexe, 1966),
A.
Green
( Un oeil en trop, 1969), Anzieu, Gilibert, Green, N.Nicolaïdis
et
Potamaniou
(Psychanalyse
et
culture
grecque,
1980)
et
encore
N. Nicoalaïdis, Savopoulos,
G.
Nicolaïdis (Théophagie, 1988).
L'ouvrage
présenté
ici (207 pages) se compose de
neuf
chapitres,
d'un
résumé
et
d'un
index bien
utile
des noms propres des divinités ou
auteurs
grecs.
Le
postulat
de
départ
de ce genre d'étude est, comme nous
l'a
appris
la
psychanalyse,
que
les individus
et
les peuples construisent, à
mesure
de
leur
développement, des "appareils" psychiques (fantasmatiques) pour
les
individus,
et
mythiques
et
culturels
pour
les peuples.
En
ce sens,
comme le
rappellent
les
auteurs
dès
leur
introduction, le mécanisme
et
la
dynamique
par
lesquels
un
mythe
ou
une
tragédie
se
construisent
ressemble
au
mécanisme
et
à
la
dynamique qui
président
à
la
construc-
tion
de
la
représentation
de
la
pulsion
et
des fantasmes. C'est
pour
cela
que
la
recherche
d'un
événement
"fondateur" d'une névrose
-la
séduction
d'un
enfant
par
un
adulte- comme
Freud
s'y employait
avant
1897 (sa
"neurotica") a
être
abandonnée
par
lui
au
profit
d'une
recherche
d'un
événement
fantasmatique
réalisant
le
désir
et
la
satisfaction
pulsion-
nelle. Ce
débat
entre
l'histoire comprise comme repérage
d'un
événement
et
l'histoire
en
tant
que réalisation
d'un
désir
que le
mythe
met
en
scène
sera
repris
par
les
auteurs
dans
leur
dernier
chapitre.
Il
faut
croire
cependant
que
malgré
leur
désir
d'apporter
un
éclaircissement psychanalytique de l'évolution de
la
mythologie grecque il
reste
des "zones d'ombres"
puisqu'un
lapsus
s'est glissé dès l'introduction
lorsque
les
auteurs
présentent
la
traduction
dite
des
Septante,
d'Alexandrie, comme
étant
celle de
la
tradition
orale de
la
Bible (p. 11)
alors
qu'elle
est
celle de
la
tradition
écrite
de
la
Thora
(tora
shé bi-
khétab).
La
compilation
de
la
tradition
orale
(tora
shé
be
'al
pé)
ne
viendra,
on
le sait,
qu'au
IVo
et
VO
siècle avec les
Talmuds
et
les
midrash
de Babylone
et
Jérusalem.
Dès
le
premier
chapitre
est
donc
mise
en
avant
l'analogie
entre
l'évolution psychosexuelle de l'appareil psychique de l'être
humain
et
celle
théogonique-cosmogonique de
la
mythologie grecque. On
retiendra
ainsi
la
distinction de
trois
catégories:
la
première, pré-oedipienne (comme
dans
la
mythologie scandinave)
est
marquée
par
la
dominance féminine, le
clivage
et
les
éléments
de
la
nature
menaçants
dans
un
esprit
de
contrainte
typique
de
la
répétitivité
"psychotique"
(meurtres
répétés,
fusions
incestueuses,
etc.).
La
deuxième
laisse
apparaître
une
124
construction
déjà
oedipianisée : les
sentiments
négatifs
du
complexe
d'Oedipe
relèvent
encore de
la
loi
du
talion, comme
dans
la
Bible
et
le
sacrifice
d'un
fils répond
au
désir
de
meurtre
du
père.
Enfin
une
troisième
catégorie représentée
par
les récits d'Homère
et
la
Théogonie-Cosmogonie
d'Hésiode montre
l'évolution
des générations des dieux
se
"secondarisant"
de
plus
en
plus
et
aboutissant
au
triangle
oedipien
Zeus-Héra-dieux
olympiens.
Cette
évolution hésiodique se
présente
elle-même
séparée
en
trois
périodes:
originaire (avec le couple "proto-oedipien" mère-fils/mari
Gaïa-Ouranos),
primaire
(Gaïa,
voulant
mettre
fin
aux
relations
ryhtmiques
et
pulsionnelles d'Ouranos, demande à Kronos de
châtrer
son
père
/
frère:
c'est
le
premier
"non" ,
un
"non"
maternel
porteur
du
"Nom
de
la
mère")
et
secondaire (introduction
du
triangle
Kronos-Rhé-Zeus
et
l'introduction
à
la
castration
symbolique
représentant
l'intégration
du
"N om-du-Père").
Dans
le deuxième
chapitre
sera
mis
en
parallèle le fait que le
mythe
de
Narcisse
-dans
toutes
ses versions-
et
le
mythe
de Dionysos
Zagreus
offrent des analogies ontologiques, anthropologiques
et
psychanalytiques
concernant
les
mouvements
de
l'appareil
psychique.
Au
passage,
les
rapports
entre
mesure
(métron) / démesure (hubris) chez les grecs seront,
par
analogie,
référés
au
principe
du
plaisir-déplaisir
de
l'appareil
psychique. Les
auteurs
soulignent
alors
la
similitude
entre
le
retard
d'apparition,
dans
la
culture
grecque,
du
mythe
de Narcisse
et
celui
du
concept de narcissisme
dans
l'oeuvre théorique de
Freud.
La
proposition
théorique
est
ici
que
l'advenue
du
concept comme
du
mythe
portant
sur
Narcisse
implique
une
sorte
de "stase libidinale"
en
marge
de
la
vie
pulsionnelle sexuelle:
il
a donc demandé
du
temps
pour
être
"repéré".
Le
troisième
chapitre
développe
le
thème
de
la
Philia
et
plus
spécifiquement celui de
la
pédo-philie,
en
particulier celle de Laïos,
le
père
d'Oedipe, envers Chrysippe.
Les
auteurs
soulignent
que
l'hubris
et
la
punition de Laïos proviennent
surtout
d'avoir
usurpé
un
privilège (on
pourra
se
reporter
à
l'étude
de
M.Balmary
pour
ce qui concerne
la
transmission
intergénérationnelle
de
la
faute
de
Laïos,
dans
L'homme
aux
statues, 1978, 1994). Les époux
Nicolaïdis
insérent
ici
la
problématique de
la
pédophilie
dans
celle,
plus
large,
de
la
séduction homo
et
hétéro-sexuelle
dans
le
développement
psycho-sexuel de
l'enfant
et
du
contre-transfert
du
psychanalyste.
Le
quatrième
chapitre défend l'idée que
la
déesse Athéna, vierge
et
non-mère
a
un
"amour"
maternel
pour
son
protégé
Ulysse,
lequel
est
son
"complément" narcissique.
Il
y a
comme
un
paradigme
de
l'amour
maternel,
le fils
réalisant,
par
ses actions, les voeux de
la
mère.
Le cinquième
chapitre
débute
par
une
étude
intéressante
du
carrefour
ou bifurcation a lieu
la
rencontre avec le Sphinx. Est-ce
une
voie à deux
ou
à
trois
chemins ?
Remarquons
que
le
chiffre
deux
qui
exprime
la
bifurcation,
le fourchu,
est
la
traduction
de
"schizo",
mot
ayant
une
connotation
clinique
exprimant
des défenses psychiques
archaïques.
Le
Sphinx
est
aussi
repéré
comme synonyme d'inceste avec
la
mère:
l'énigme
étant
substituée
à
la
lutte
et
la
possession sexuelle.
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