château dit château Lambrecht, puis sanatorium dit sanatorium

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Nord-Pas-de-Calais, Nord
Montigny-en-Ostrevent
Cité-du-Sana
place du Sana
château dit château Lambrecht, puis sanatorium dit sanatorium familial,
enfin cité ouvrière dite Cité du Sana
Références du dossier
Numéro de dossier : IA59001905
Date de l'enquête initiale : 2003
Date(s) de rédaction : 2003, 2016
Cadre de l'étude : enquête thématique régionale patrimoine hospitalier du Nord-Pas-de-Calais
Degré d'étude : étudié
Désignation
Dénomination : château, sanatorium, cité ouvrière
Vocable : Saint-Charles
Appellation : château dit château Lambrecht, sanatorium dit sanatorium familial, cité ouvrière dite Cité du Sana
Parties constituantes non étudiées : chapelle, école, ferme
Compléments de localisation
Milieu d'implantation : en écart
Références cadastrales : . 1878 A3 663 à 684
Historique
Le château avait été bâti sur les plans des architectes Lucien-Ambroise Hénault et Benoît-Victor Lenoir pour Félix-
Edmond Lambrecht, député de la ville de Douai, et les travaux exécutés entre 1853 et 1856, dates et noms d'architecte
mentionnés par des travaux historiques. Afin de financer la construction d'un sanatorium sur le site de ce château, la Ligue
du Nord contre la tuberculose, fondée en 1900 par le médecin Albert Calmette, obtint en 1903 du Parlement, l'émission
d'une loterie dont le tirage eut lieu le 15 avril 1904. Pour y implanter le futur établissement, la Ligue du Nord acquit en
1904 un terrain de 21 hectares distrait de la propriété Lambrecht avec le château et la ferme. L'architecte départemental
Léonce Hainez établit les plans du sanatorium avec le concours de l'ingénieur sanitaire Degoix, selon les prescriptions
d'Albert Calmette, alors directeur de l'institut Pasteur de Lille. Ce fut ce dernier qui conçut la configuration pavillonnaire si
particulière du sanatorium, afin d'y accueillir les tuberculeux accompagnés de leur famille compte tenu du fait qu'il s'était
avéré que la perspective d'un éloignement de leur foyer constituait de la part de ces malades un des principaux motifs de
refus d'être hospitalisé. La formule s’inspirait, quant à son parti architectural, du sanatorium de Saranac Lake aux États-
Unis, constitué de petits chalets, dont le promoteur et concepteur avait été le médecin Edward-Livingston Trudeau. Selon
la volonté de ce médecin américain, les chalets étaient intérieurement distribués pour y recréer une ambiance familiale
quelques chambres individuelles étant réparties autour d’un salon central –, mais ils hébergeaient exclusivement des
patients tuberculeux, que l’on s’efforçait toutefois de regrouper à partir de critères socioculturels, et ce afin de favoriser les
relations entre eux. En revanche la version de la formule telle qu'elle avait été revue par Albert Calmette, avec l'instauration
d'un regroupement familial, était encore sans précédent en Europe et même parfaitement inédite au plan mondial.
Étaient conservés, dans le projet de construction du sanatorium, le château qui servirait à la fois de logement au directeur
et de siège à l'administration, ainsi que les bâtiments de la ferme qui seraient aménagés pour y abriter l'économat, la
vacherie et la porcherie. Les tuberculeux seraient installés quant à eux dans des bâtiments entièrement neufs : d'une part
douze pavillons doubles destinés aux malades accompagnés de leur famille, chaque pavillon enfermant deux logements
chacun pour une famille, d'autre part deux bâtiments de 26 lits chacun, pour loger respectivement les malades célibataires
hommes et femmes, enfin un bâtiment abritant les services médicaux et 8 chambres d'isolement pour les contagieux,
dit pavillon Sculfort. Les travaux de construction et d'aménagement entrepris dès juillet 1904, furent exécutés par
l'entrepreneur Jonquez, et le sanatorium inauguré le 5 octobre 1905 par le président de la République Émile Loubet. Le
maître d’œuvre, l’architecte Léonce Hainez, avait dessiné des bâtiments élégants, de style Art nouveau, réussissant à
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donner à cet établissement l’allure d’un lotissement de villégiature plutôt que celle d’un édifice sanitaire. Le déploiement
de tout ce luxe avait cependant inévitablement engendré un coût de construction et d’installation considérable puisque la
dépense totale s'était élevée à plus d’un million de francs pour un total de 76 lits de malades, soit un prix de revient de 14 000
francs par lit, ce qui constituait un record absolu dans le genre. De surcroît, l’offre pourtant si originale de soins s’était vite
révélée inadaptée à la demande : les 24 logements voués à l'accueil des familles demeuraient ainsi en partie vacants, ce qui
prouvait à l'évidence qu'il était encore plus difficile de convaincre une famille entière de s'exiler loin de son environnement
familier que de le faire pour son seul membre malade. En raison de ces graves difficultés de fonctionnement, la direction
de l'établissement fut confiée en 1912 au médecin Louis Guinard, directeur du sanatorium de Bligny, un des plus
anciennement fondés en France, situé sur la commune Briis-sous-Forges appartenant alors au département de la Seine-et-
Oise. Guinard repensa incontinent toute l’organisation mise en place au sanatorium de Montigny, n’hésitant pas ainsi à
placer des tuberculeux célibataires dans les pavillons originellement destinés à l'accueil des familles, et ce à raison d’un
par chambre et donc de trois par logement, ce qui lui permit d'admettre dans l'établissement jusqu’à 140 pensionnaires
au lieu de 76 précédemment.
Ce redressement opéré par Louis Guinard allait être interrompu fort peu de temps après le début de sa mise en œuvre par le
déclenchement du premier conflit mondial, l'édifice ayant dû être évacué dès le mois d'août 1914, du fait de sa proximité
de la zone des combats. L'armée allemande qui venait d'occuper la région le réquisitionna aussitôt pour en faire un hôpital
militaire qui fonctionna durant presque toute la durée des hostilités ; en lui adjoignant plusieurs baraquements, les services
sanitaires de l'armée allemande en augmentèrent même considérablement la capacité d'accueil. Lors du recul de ses troupes
en octobre 1918, l'armée allemande emmena dans sa retraite tous les produits, matériels et équipements transportables et
au surplus dynamita la salle des machines et les installations d'épuration des eaux. En raison de l'importance des dégâts
occasionnés, la Ligue du Nord contre la tuberculose hésita à rouvrir son sanatorium au lendemain de la guerre, d'autant
que le choix du site avait été précédemment critiqué en raison de l'humidité jugée excessive de la contrée où il se trouvait.
Elle renonça définitivement à l'idée d'une réouverture lorsqu'elle apprit que les terrains avoisinant le sanatorium seraient
cédés, en juillet 1919, à la compagnie des mines d'Aniche. Considérant qu'un tel voisinage de caractère industriel serait
incompatible avec une activité médicale de type sanatorial, elle se résolut en conséquence à vendre sa propriété en 1920
à cette même compagnie minière.
La dite compagnie entreprit dès lors de lotir les vastes surfaces disponibles du parc entourant le château par la construction
de maisons de mineurs : un premier groupe de maisons dit groupe A, fut édifié vers 1923, le groupe C en 1924-1925, le
groupe D avant 1932. En 1932 fut entreprise la construction d'une école dotée d'une salle des fêtes, puis d'une église dédiée
à Saint-Charles, ouverte au culte en novembre 1935. Le sanatorium se muait ainsi en cité ouvrière. Les bâtiments d'origine
avaient été tous préservés lors de ces lotissements successifs, mais ceux qui relevaient proprement de la cure sanatoriale
ont été depuis, pour la plupart, rasés : ainsi onze des douze pavillons destinés aux familles furent détruits au début des
années 1980, le pavillon Sculfort le fut en 1990. Par ailleurs le château, sinistré par incendie vers 1986, fut ensuite restauré
et agrandi sur l'arrière par l'adjonction d'un bâtiment neuf pour devenir en 1999 une maison d'accueil médicalisée pour
personnes âgées dépendantes. Les deux bâtiments de célibataires hommes et femmes sont toujours conservés, mais leur
modernisation drastique relativement récente a conduit à la destruction de tout les décors de façade qui faisaient leur
charme - avec notamment suppression de tous les balcons -, ce qui a ainsi radicalement gommé leur aspect d'architecture
Art nouveau.
Période(s) principale(s) : 3e quart 19e siècle (), 1er quart 20e siècle ()
Dates : 1856 (daté par travaux historiques), 1904 (daté par source)
Auteur(s) de l'oeuvre : Lucien-Ambroise Hénault (architecte, attribution par travaux historiques), Benoît-
Victor Lenoir (architecte, attribution par travaux historiques), Léonce Hainez (architecte départemental, attribution par
travaux historiques), Degoix (ingénieur, attribution par travaux historiques), Jonquez (entrepreneur, attribution par
travaux historiques)
Personne(s) liée(s) à l'histoire de l'oeuvre : Albert Calmette (commanditaire, attribution par source)
Description
Le corps de logis du château est bâti en pierre calcaire de Saint-Leu avec remplissage de briques tandis que la ferme
présente un gros œuvre entièrement en briques. Les divers corps de bâtiments édifiés, dans le cadre de la création du
sanatorium, sur les terrains correspondant au parc du château sont faits en maçonnerie, très vraisemblablement de brique,
recouverte d'un enduit. Le corps de logis du château ainsi que les deux bâtiments de tuberculeux célibataires et le pavillon
Sculfort sont en rez-de-chaussée surélevé. Hormis le pavillon Sculfort et les bâtiments de la ferme qui ne s'élèvent que d'un
étage, tous les autres bâtiments sont surmontés de deux étages carrés. Le corps de logis du château et les deux bâtiments
de tuberculeux célibataires présentent une élévation ordonnancée.
Le corps de logis du château est couvert d'une toiture principale à longs pans et à croupes tandis que les tourelles qui le
cantonnent sont chacune coiffées d'un toit conique. Corps de logis et tourelles ont une couverture en ardoise. Les pavillons
carrés qui cantonnent les bâtiments de la ferme sont coiffés d'un toit en pavillon. Les divers bâtiments du sanatorium
sont eux aussi couverts d'un toit à longs pans et à croupes, mais leurs toits offrent une pente beaucoup moins prononcée
que ceux du château. Les deux galeries de cure d'air respectives des hommes et des femmes sont couvertes d'un toit en
appentis. La ferme du château et les bâtiments du sanatorium ont une couverture en tuiles mécaniques.
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Eléments descriptifs
Matériau(x) du gros-oeuvre, mise en oeuvre et revêtement : brique, pierre avec brique en remplissage ; calcaire, pierre
de taille
Matériau(x) de couverture : ardoise, tuile mécanique
Étage(s) ou vaisseau(x) : sous-sol, 2 étages carrés, rez-de-chaussée surélevé, étage de comble
Élévations extérieures : élévation ordonnancée
Type(s) de couverture : toit à longs pans, croupe ; toit conique ; toit en pavillon ; appentis
Escaliers : escalier dans-oeuvre, escalier tournant à retours avec jour, suspendu
Typologies et état de conservation
État de conservation : remanié
Références documentaires
Documents d'archive
Projet de construction du sanatorium par l'architecte Léonce Hainez (1904-1905).
Archives départementales du Nord, Lille, série J, projet de construction du sanatorium par l'architecte Léonce
Hainez : J/1 212 (1904-1905).
Archives départementales du Nord, Lille : J/1 212
Bibliographie
Hygiène hospitalière (1907).
MARTIN, Louis. Hygiène hospitalière. Paris : J.-B. Baillière et fils, 1907. 255 p. : ill. Dans : BROUARDEL,
Paul-Camille-Hippolyte, MOSNY, Ernest. Traité d’hygiène, tome VIII, pp. 236-238.
pages 236-238
Les architectes élèves de l’école des beaux-arts (1793-1907), (1907).
DAVID DE PENANRUN, Louis-Thérèse, DELAIRE, Edmond-Augustin, ROUX, Louis-François. Les
architectes élèves de l’école des beaux-arts (1793-1907). Paris : librairie de la Construction moderne, 1907.
XI-480 p. Notices sur Lucien-Ambroise Hénault, p. 174, et sur Benoît-Victor Lenoir, p. 194.
Notices sur Lucien-Ambroise Hénault, page 174, et sur Benoît-Victor Lenoir, page 194.
Ligue du Nord contre la tuberculose (1909).
CALMETTE, Albert, WOEHREL, Théophile. Ligue du Nord contre la tuberculose. Dans : Lille et la région du
Nord en 1909. Lille : imprimerie L. Danel, 1909. Tome I, pp. 1073-1079.
pages 1073-1079
Contribution à l’étude des sanatoria populaires. Le village sanatorium (1910).
RICHTER, Henri-G. Contribution à l’étude des sanatoria populaires. Le village sanatorium. Paris :
Imprimerie de l'Enseignement médico-mutuel international, 1910. 77 p.
La lutte contre la tuberculose à Lille (1895-1940). Discours et réalités, (1992).
ROGEAUX, Nathalie. La lutte contre la tuberculose à Lille (1895-1940). Discours et réalités. Thèse de l’école
des Chartes, 1992. 3 volumes.
Redécouvrons Montigny (2003).
DUPUIS, Huguette. Redécouvrons Montigny. [s.l.] : Société d’histoire locale de Montigny-en-Ostrevent, 2003.
82 p.
Périodiques
La lutte sociale contre la tuberculose. Le sanatorium familial de Montigny-en-Ostrevent (27 septembre
1905).
LETULLE, Maurice. "La lutte sociale contre la tuberculose. Le sanatorium familial de Montigny-en-
Ostrevent". In : La Presse médicale, 27 septembre 1905, pp. 609-612.
pages 609-612
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M. Loubet à Montigny, inauguration du sanatorium (6 octobre 1905).
"M. Loubet à Montigny, inauguration du sanatorium". In : Progrès du Nord et du Pas-de-Calais, 39e année
(1905), N°279 (6 octobre).
Le sanatorium de Montigny-en-Ostrevent (29 février 1920).
"Le sanatorium de Montigny-en-Ostrevent". In : Le Grand Hebdomadaire illustré de la région du nord de la
France, 2e année (1920), 29 février, p. 69.
page 69
Le sanatorium familial de Montigny-en-Ostrevent (Nord) : échec d’une tentative de création d’un
établissement antituberculeux modèle, de caractère national (septembre 2005).
Laget, Pierre-Louis. "Le sanatorium familial de Montigny-en-Ostrevent (Nord) : échec d’une tentative de
création d’un établissement antituberculeux modèle, de caractère national". In : In Situ, revue électronique du
service de l’Inventaire général, N°6 (septembre 2005).
Liens web
• In Situ, revue du patrimoine, n° 6 (2005) : https://insitu.revues.org/9316
Illustrations
Plan cadastral de 1878, section
A, 3e feuille, 20 mars 1877, vue
générale de la feuille avec, au centre,
le terrain d'assiette du château
sur lequel est dessiné le parc ;
le château, sa ferme et son parc
occupant les parcelles N°663 à 684.
Phot. Pierre Thibaut
IVR31_20035901651V
Projet de construction d'un
sanatorium, plan masse général par
l'architecte Hainez, 1er juin 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900064X
Château, projet d'aménagement, plan
de distribution du sous-sol avant la
réalisation de toute transformation,
par l'architecte Hainez, 14 avril 1905.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900096V
Château, projet d'aménagement,
plan de distribution du rez-de-
chaussée avant la réalisation
de toute transformation, par
l'architecte Hainez, 13 avril 1905.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900095V
Château, projet d'aménagement, plan
de distribution du rez-de-chaussée
avec les transformations projetées
par l'architecte Hainez, 16 mai 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900070X
Château, projet d'aménagement, plan
de distribution du 1er étage avant la
réalisation de toute transformation,
par l'architecte Hainez, 12 avril 1905.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900093V
Nord-Pas-de-Calais, Nord, Montigny-en-Ostrevent, Cité-du-Sana, place du Sana
château dit château Lambrecht, puis sanatorium dit sanatorium familial, enfin cité ouvrière dite Cité du Sana IA59001905
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Château, projet d'aménagement, plan
de distribution du 1er étage avec
les transformations projetées par
l'architecte Hainez, 16 mai 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900071X
Château, projet d'aménagement, plan
de distribution du 2e étage avant la
réalisation de toute transformation,
par l'architecte Hainez, 14 avril 1905.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900094V
Château, projet d'aménagement,
plan de distribution du 2e étage avec
les transformations projetées par
l'architecte Hainez, 16 mai 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900072X
Ferme, projet d'aménagement,
plan de distribution du rez-de-
chaussée avant la réalisation
de toute transformation, par
l'architecte Hainez, sans date (1905).
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900087V
Ferme, projet d'aménagement, plan
de distribution du 1er étage avant la
réalisation de toute transformation,
par l'architecte Hainez, 14 avril 1905.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900101V
Projet de construction d'un
sanatorium, bâtiment destiné à
abriter les services médicaux et
les chambres d'isolement des
malades, dit pavillon Sculfort, plan
de distribution du sous-sol, du rez-
de-chaussée et du 1er étage par
l'architecte Hainez, 17 avril 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900092V
Projet de construction d'un
sanatorium, bâtiment destiné à abriter
les services médicaux et les chambres
d'isolement des malades, dit pavillon
Sculfort, coupe transversale par
l'architecte Hainez, 27 avril 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900068X
Projet de construction d'un
sanatorium, bâtiment destiné à
abriter les services médicaux et les
chambres d'isolement des malades,
dit pavillon Sculfort, élévations
postérieure et latérale gauche par
l'architecte Hainez, 18 avril 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900089V
Projet de construction d'un
sanatorium, bâtiment destiné à
abriter les services médicaux et les
chambres d'isolement des malades,
dit pavillon Sculfort, élévations
postérieure et latérale gauche par
l'architecte Hainez, 18 avril 1904.
Phot. Pierre Thibaut, Autr. Léonce
(architecte départemental) Hainez
IVR31_20035900787ZA
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