Groupe de travail Gériatrie – 19 janvier 2016
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1. Cadre de travail
Ce travail doit faire l’objet d’une convention entre la SFR et la SFGG (Société Française de
Gériatrie et de Gérontologie). Pour rester dans l’esprit du GBU, il faudra associer la SFMN
(Société Française de Médecine Nucléaire).
La SFGG fédère 16 sociétés régionales françaises de Gériatrie et/ou de Gérontologie. Dans
un premier temps, Olivier Henry va présenter le projet à la délégation Ile-de-France,
l’objectif étant ensuite d’élargir au niveau national avant l’été.
On peut également envisager de contacter GEROND’IF, qui est le pôle de gérontologie d’Île-
de-France, mis en place par l’AP-HP et dont l’objectif est de favoriser la recherche en
gériatrie.
2. Méthodologie
Faut-il « coller » au GBU pour ce travail ou partir des pratiques actuelles en réalisant une
analyse critique ?
Il est proposé de partir des principales situations cliniques du patient telles que définies dans
le GBU en prenant bien en compte la notion de pertinence. Il n’existe que très peu de
bibliographie concernant la gériatrie et il est indispensable de s’appuyer sur les avis des
experts.
Comment procéder ?
Sélection commune des Items neuro, otéo-articulaire, thorax et abdomen et des situations
les plus fréquentes.
1. La situation concerne la personne âgée (selon le niveau d’autonomie)
2. La situation est spécifiquement gériatrique
3. Nouveaux Items ?
Différencier les situations cliniques : urgence ou chronique.
Jean Philippe David sélectionnera des items avec François Hemery, DIM à Henri
Mondor pour établir une cartographie PMSI (diagnostic, diagnostic associé,
polypathologies, âge physiologique (état général, autonomie, troubles cognitifs…) : SSR
et pathologies aiguës. Croiser ces données avec le GBU pour définir les items qui
pourraient avoir une spécificité gériatrique sachant qu’il n’y aura probablement que
quelques examens pertinents et qu’il faudra insister sur la notion d’urgence en gériatrie
compte-tenu de la dégradation rapide de l’état des patients
Proposer des recommandations ; « radiations ionisantes et personnes âgés »
Envisager également la radiologie interventionnelle
Evaluer la pertinence des injections de produit de contraste chez des patients souvent
insuffisants rénaux.
Prendre en compte le fait que les patients âgés porteurs de pace-maker n’ont pas, dans
la plupart des cas, bénéficié d’un pace-maker compatible.